Le Plus Bel Ete 01

BÊTA PUBLIQUE

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J'en chiale. Il m'attrape par la main. Je me sors de mon fauteuil. Nous échangeons un regard. Lorsque soudain, il s'approche de moi ; je vois sa main qui monte vers mon visage, qui attrape mes lunettes, les replie posément, et se saisit d'un mouchoir en papier dans la boite posée sur la table. D'un geste d'une douceur extrême, il me prend par l'épaule et essuie les larmes qui coulent sur mes joues. Nous nous dévisageons. Intensément. Un moment d'une douceur incroyable. Alors je n'y tiens plus. Cet homme m'aime comme personne ne m'a jamais aimée. Je passe mes bras autour de son cou. Je niche mon visage contre son épaule. Je me serre contre lui. Plus fort encore, tellement c'est doux. Et là, je sens. Je sens ses lèvres qui remontent sur mes joues, sur la trace des larmes essuyées, qui picorent de légers baisers à chaque millimètre de ma peau pendant que je me repose totalement sur lui. Son corps est chaud. Son corps me rassure. C'est un corps doux et rond. Un corps d'homme fait. Je sens ma poitrine qui s'écrase. Il doit sentir mes gros seins... Il a dit que j'étais belle. Je suis belle pour lui! Je réalise que cela me suffit, que ça me comble totalement. Et maintenant, je suis dans ses bras!

Je ne sais plus combien de temps nous sommes restés enlacés de cette façon. Longtemps, je crois. Les grillons continuaient de peupler la chaleur de leur concert habituel. Une lumière diffuse nous entourait. Et puis j'ai eu envie. Une envie irrépressible. Moi aussi, de l'embrasser, de couvrir son visage aimé de toute la tendresse dont je me sentais capable. Et de me serrer, de l'étreindre encore plus que je ne le faisais jusque là. Pendant que j'attrape son visage à deux mains, en vrillant mes yeux dans les siens, si près qu'il ne peut plus voir que mon œil gauche tente de s'évader, je serre mon ventre contre le sien. Fort. Très fort. Et tout d'un coup, je perçois, entre nos deux ventres cette barre qui s'immisce, qui à l'air de se gonfler. Mon cœur s'emballe. Il bande! C'est ça, il bande! Ça ne peut être que ça!

L'impression me transporte. Je sers encore plus mon ventre, si c'est possible. Puis je l'embrasse. Oh! Comme je l'embrasse. Je baise ses joues légèrement râpeuses de la barbe du jour. Je baise son nez. Je baise ses yeux. Alors il rit! D'un rire gêné et tendre. D'un rire heureux. Je suspens mes lèvres, et là! Là, il approche les siennes des miennes... Et commence à me caresser... du bout de ses lèvres... du bout de sa langue qui pointe et vient m'humecter délicatement... Une bouffée de chaleur m'envahit. Mes lèvres... mon ventre... Tout se relie. Une sorte de court-circuit, de flash brutal. Je colle mon visage au sien. Comme une ventouse. Maladroitement au début. Le temps d'essayer. De tenter. Et de me frotter. De frotter mon ventre contre sa barre... Je sens que tout en bas, je me transforme en chaudron. Des élancements parcourent mon entrejambes. Je n'ai jamais ressenti ça. Je vibre.

Puisqu'il a sorti sa langue, je vais en faire de même. Elles se rencontrent. Se testent. Moi aussi je ris de la sensation. J'entrouvre ma bouche, et je sens qu'il entre, qu'il me pénètre. Je lutte doucement. Nous nous enroulons l'un autour de l'autre. Moi aussi, je tente une percée dans sa bouche.

Nous reprenons notre souffle. Il s'approche de mon oreille, en frôlant doucement mon visage.

-- Tu vois que tu sais ce qu'est le plaisir...

Puis il me gratifie de son plus beau sourire.

Je craque. Je ne sais pas où tout ceci me mène, mais l'aventure me tente. Il me prend la main et ajoute simplement :

-- Viens!

Nous montons un escalier en colimaçon vers l'étage supérieur, et arrivons dans une chambre qui donne au dessus de la terrasse. Les volets sont tirés comme au rez-de-chaussée. La pièce est dans une pénombre adoucie d'un rai de lumière qui passe entre les vantaux. Suffisamment pour apercevoir un lit dans un coin, un tapis chinois et une tapisserie de style anglais. Le lit est recouvert d'un joli patchwork et une couette recouverte de coton blanc apparaît dans les coins.

-- La chambre d'ami, articule Xavier.

Il tire le dessus de lit et la couette.

Je suis à la fois excitée et morte d'angoisse. Il me tient toujours par la main. J'ai envie mais je n'ose plus. Alors, très doucement, il me caresse le visage de la paume. Nos lèvres se rapprochent à nouveau. Nous nous étreignons. Mon ventre se heurte encore à cette barre mystérieuse mais dont la présence dissimulée me liquéfie de plaisir anticipé. Mais quel plaisir?

Je suis dans ses bras. Moi, j'ai passé les miens autour de son cou. Je lui laisse l'initiative. Que voulez-vous que je fasse, comme une gourde que je suis. Et puis nouvelle sensation. Celle de ses grandes mains qui arpentent mon dos. Ah! Elles viennent de passer devant! Il les a mises en coupe sous mon soutif! J'en ai le souffle coupé! Imaginer qu'on puisse me faire ça! Ah! Xavier, continue s'il te plaît... Ne me laisse pas... C'est sublime! Il malaxe doucement mes gros nichons. Et ça me fait un bien fou!

Je me mords doucement la lèvre, ma respiration se hache de soupirs tandis que mes yeux en perdition se vrillent dans son regard. Un bien être indescriptible me saisit. Ses mains sont légèrement remontées et ses pouces lissent doucement les bouts de mes seins. La sensation me submerge. Ma tête vacille.

Alors doucement il me fait pivoter et se place derrière moi. Je sens sa « chose » qui se gite au travers de nos pantalons entre les deux globes de mon popotin. Et ses mains qui viennent jouer les soutiens gorge... Je m'appuie le dos contre son torse ; je bascule la tête à la renverse sur son épaule, ma pommette en appui contre sa mâchoire. Doucement, sa main gauche soulève mon T-shirt, pendant que la droite se glisse sur ma peau et vient à nouveau assiéger le contenu de mon soutif. Je lève les bras comme une danseuse flamenca, et je fais se rejoindre mes mains derrière son cou. La forteresse est abandonnée. La citadelle est ville ouverte. L'envahisseur peut agir à sa guise. Je me suis rendue!

L'envahisseur profite de mon abandon pour me bécoter le visage pendant que ses mains arpentent mon abdomen autour de mon nombril et ma poitrine. Il me murmure :

-- On va essayer de te faire grimper aux rideaux... Laisse-toi aller, simplement...

Je ne sais pas ce que veut dire « grimper aux rideaux », c'est la première fois que j'entends l'expression. Mais il m'a dit de me laisser aller. Comme c'est déjà ce que je fais depuis un moment, la suite n'est pas compliquée.

Nous faisons face au lit défait. Je me tiens coite. D'une main, il me maintient contre lui. L'autre se glisse entre nous, dans mon dos. Avec une adresse qui me stupéfie encore aujourd'hui, je sens qu'il libère l'agrafe de mon soutif. Sous le poids de mes nichons, les bonnets s'affaissent et mes doudounes suivent. La main repasse en façade. Mais s'immisce cette fois ci entre le coton et mes roberts. Chacune des ses paumes coiffe une de mes rondeurs. J'étouffe un petit hoquet de contentement.

J'aime la chaleur de ses paumes sur mes seins. Il les masse, les presse, les remue, les caresse. Il brosse de la pulpe de ses doigts mes bouts qui se gonflent! Il les pince, les tire doucement. Mes tétons! Et cette chaleur qui se communique dans mon ventre. J'ai l'impression que je coule, que mon slip se mouille... Et pourtant, je suis sûre que ce n'est pas la période de mes... Qu'est-ce qu'il m'arrive?

Il a continué comme ça un temps infini. Au fil de ses caresses, de ses pinçons, de ses massages, ma respiration s'accélérait. Lorsqu'il revenait sur mes bouts et qu'il les pinçait, je me surprenais à couiner. Je me déhanchais doucement, j'oscillais au rythme de ses mains.

Soudain, l'une d'entre elles est descendue, sans hâte, et sous le nombril s'est heurtée à la ceinture de mon jean. J'ai senti, pendant qu'il continuait à modeler mon sein gauche, qu'il déboutonnait la braguette, bouton après bouton, sans se presser ; que je comprenne bien qu'il me dénudait, que j'y consente, que j'acquiesce.

La main droite est passée sous l'élastique de mon slip. Petit à petit, elle s'est approprié cette frange de peau avant qu'il n'aborde mon gros coussin moussu... Je ressens une honte délicieuse. Et voilà maintenant qu'il fourrage dans ma chevelure intime! Ses doigts se sont écartés, et c'est comme s'il peignait ma « sauvagerie ». Et voilà qu'il me murmure :

-- Dis-moi... c'est bien humide entre tes jambes...

Sa main cherche l'accès. Instinctivement, j'écarte les cuisses pour la laisser passer. Ses doigts! Ils ne font plus qu'un avec mes replis intimes, et j'ai la sensation d'une fusion entre mon sillon et sa main, dans un bain de liqueur divine! Nos mouvements se suspendent. Sa main est en conque sur mon bas-ventre, et je me repose sur elle, comme si mon centre de gravité s'y était transféré, en concentrant mon esprit sur le glissement sublime qui se produit entre ses doigts et le plus intime de moi-même.

Je lui glisse un regard. Je le vois attentif à l'effet de ses caresses.

Il poursuit. Il a désormais totalement délaissé ma poitrine. Sa main gauche se glisse dans la raie de mes fesses. Bientôt ses deux mains se rejoignent, et je me trouve comme sur une espèce de selle « émouvante » animée d'une vie propre qui échauffe et excite mon entrejambes de ses caresses.

Je colle à nouveau mes lèvres sur les siennes. Mon excitation croît, j'ai l'esprit qui chavire, mon ventre me brûle, je sens que je deviens une fontaine et que j'inonde les mains qui me réjouissent.

-- Je ne vais pas te voler ton plaisir... On va faire ça plus posément...

Il me fait à nouveau face, et m'aide à quitter dans un même mouvement mon T-shirt et mon soutif ouvert. Puis il s'agenouille, et lentement, découvre mes hanches, mes fesses, ma fourrure. Son visage au niveau de mon ventre, au fur et à mesure qu'il me dénude, il couvre ma peau de ses baisers, jusqu'au moment où il se noie dans mon buisson en s'enivrant des odeurs qu'il exhale. L'idée que mon chéri puisse plonger ses lèvres et son nez dans ma forêt intime me révulse et me transporte à la fois. De la honte au plaisir. Ces efflorescences vénéneuses, cette liqueur du diable qui inonde maintenant tout le haut de mes cuisses... et le reste... sans que je puisse déterminer si c'est de la pisse ou autre chose... Je frémis, je tremble alors que je sens son nez farfouiller de plus en plus bas, et qu'il abaisse inexorablement mon dernier rempart de tissu, qui vient de franchir le pli de mes genoux, et entravera bientôt mes chevilles. Parvenu au bas de sa course, Xavier m'aide à passer le pied par-dessus la jambe tirebouchonnée, et se redresse.

Je suis nue. Pour la première fois de mon existence, sauf devant ma mère ou le médecin, je suis nue. Devant un homme qui me scrute. Qui me dévore des yeux. Qui m'a déjà fait entrevoir le plaisir. Qui a mis ses mains à des endroits où je ne mets les miennes que contrainte par les nécessités hygiéniques de la vie. Ma respiration se suspend, puis reprend dans de grandes exhalaisons. Je suis totalement décontenancée et en même temps impatiente de connaître la suite! Une chose est certaine cependant : il n'y a pas de raison que je sois nue devant lui et que lui reste habillé.

Je lui adresse un sourire timide et je commence soigneusement, lentement, à déboutonner sa chemisette. Elle s'ouvre sur un torse revêtu d'une toison de poils blancs. Je repousse les bords au dessus de ses épaules et les fait basculer dans son dos.

Le pantalon maintenant. Et sa « chose »... Je desserre sa ceinture. Je déboutonne. Le vêtement tombe. Il s'en débarrasse d'un coup de pieds. Il reste avec un slip shorty en coton blanc, avec une de ces ouvertures horizontales qui sert de braguette. Il est imposant. Doucement, je passe le dos de la main sur sa grosseur. Ça réagit et se redresse. Je relève les yeux. Les siens sont amusés, comme ironiques.

-- Ça ne va pas te manger! Tu peux la découvrir... Doucement...

J'hésite. Bien sûr, j'ai déjà surpris des... queues?... bites?... en photo dans des canards que des filles se montraient en cachette pendant les récrés, mais là... C'est chaud, ça vibre, ça a du volume... Finalement, je me décide, je passe les mains de chaque côté et je commence la descente. Mais ça accroche... Que faire? Dois-je tirer? Forcer? Il m'a dit : doucement! Il faut que j'ose. D'une main je me saisis du relief, que je plaque sur son ventre, et de l'autre je tire la ceinture par dessus. Je découvre l'engin. Sa « chose » s'incline un peu, comme pour me saluer. Je le débarrasse de cette dernière entrave, et je me relève.

Voilà, maintenant c'est fait! Nous sommes tous deux nus, face à face.

Alors, il me prend par la taille, et doucement m'enlace, serre ma nudité contre la sienne, ma tiédeur contre la sienne, ma fourrure contre ses poils, et sa... queue?... Bite?... contre mon... ma... Quoi, au fait? Sexe? Trop médical. Fente? Seulement ça? Il me dira. Je me love contre lui, je m'accroche à son cou. Et nous finissons par nous rouler un patin de première!

Plus tard, il m'avouera qu'il a été à la fois fasciné et ému par mon corps, qu'il s'est émerveillé de ma fourrure, abondante, intacte, qui tapissait largement mon ventre au-delà même de mon pubis, foisonnait dans tout mon entrejambe, jusque sur le haut de mes cuisses, pilosité qui retenait selon lui les fragrances de mon parfum de femme qui l'enivraient tant ; fascination également pour mes gros nichons en poire, dont les tétons se dressaient vers le ciel comme les queues de ces fruits, et qui, me dira-t-il, attiraient irrépressiblement la main et les lèvres.

Il parcourt mon buste, mes seins, mes fesses de ses mains. Comme une prise de possession encore plus absolue qu'au départ. Il me presse, il me triture. Il s'intéresse à mon gros cul dont il écarte les globes. Il me caresse la raie, explore ma moiteur... Met le doigt sur mon... mon trou du...!

Mais c'est sale, ça! Il sent que je me rebelle. Je le regarde d'un air furibond. Il sourit et me calme :

-- Il n'y a rien de malpropre chez toi, rien de sale. Rien d'interdit non plus. Que la douceur...

Doucement, il me fait m'allonger sur le lit, et vient s'allonger auprès de moi. Nos regards sont vrillés l'un dans l'autre.

Je sens tout d'abord sa main rôder sur mon ventre. Après un baiser à peine esquissé sur mes lèvres, je vois sa tête qui s'abaisse et sa bouche qui s'empare voracement de mon téton droit. La main continue sa progression, et mesure le galbe de ma hanche. Ah! Sa langue qui presse mon mamelon! Ses dents qui viennent irriter la petite excroissance... Ses lèvres qui se ventousent sur mon bout ; l'autre main qui malaxe le frère jumeau, et dont les doigts pincent et étirent mon téton gauche...

Je me cambre sur ma couche, projette si je puis encore davantage ma poitrine vers lui, la lui offre, me donne en pâture, observatrice attentive et excitée des caresses qu'il me prodigue et dont je commence à ressentir les effets...

Je vois mon sein gauche qui se gonfle, déferle comme dans une sorte de houle, au gré de l'emprise de sa main. Le bout de mon sein droit qui s'étend vers sa bouche sous l'effet de la succion... Et moi qui hoquète, qui adore ce traitement, qui sens ma respiration s'amplifier, mon torse qui se gonfle, mon ventre qui me chauffe...

Brusquement, la main qui reposait sur ma hanche s'est déplacée vers ma cuisse et s'est immiscée entre mes jambes, à l'endroit ou la peau est si douce, ajoutant un frisson supplémentaire à ceux qui me transpercent déjà... Lentement elle remonte... Je sens qu'elle m'effleure le plus intime... Il n'a pas besoin de me demander : spontanément j'écarte les cuisses, je désire plus que tout le contact entre le plat de sa main et ma « zone humide ». Je coule, et je veux que ce que, pour la première fois, j'appelle « ma mouille », soit étalée, d'une touche appuyée, d'un massage de ses doigts sur mes replis...

Soudain, ses lèvres délaissent mon téton... Ah! Le manque effrayant!... La main qui poursuit son œuvre sur mon sein gauche ne parvient plus à me suffire. Je vois sa chevelure argentée s'éloigner, ses lèvres laisser un chemin de rosée sur mon abdomen, tourner autour de mon nombril, se perdre dans ma chevelure noire « du bas », descendre encore... Sa main gauche, au lieu du massage attendu, passe sous ma cuisse et fermement la relève, lui dévoilant dans son intégralité l'écrin de ma fourrure autour de mon secret... Je sens son souffle qui me chatouille.

Ça y est! L'autre main a aussi abandonné mon sein! Elle passe sous l'autre cuisse, qu'elle lève tout comme l'autre. Dans le compas de mes cuisses relevées contre ma poitrine, je le vois admirer mon « origine du monde », se perdre dans mes boucles noires, admirer mon exposition lubrique...

Et le voilà maintenant qui approche ses lèvres, et qui d'un mouvement très doux commence à me lécher... Là!!! Là où c'est inimaginable! Jusqu'à ce que je sente qu'il m'ouvre, à moins que ce soit moi qui me sois ouverte sous la caresse... La langue se désaltère, lape ma liqueur sacrée qui s'est déposée sur les lèvres dont je découvre l'existence, au fur et à mesure qu'avec sa bouche, les lèvres de sa bouche, il les saisisse, les suce, les étire, passe la langue entre elles, que sa langue s'aventure vers la source, vers le puits encore clos...

Et puis... Il a collé un des ses pouces, qu'il a humecté dans mon humeur de noyade lubrique, sur mon... petit trou. Il tourne sur le muscle. Je sens chacun des plis nettement, lissé par son doigt... Il est au milieu. Il appuie... doucement... Je sens que ça cède un peu... Très peu... Mais l'impression est unique. La caresse se mêle à celles de ses lèvres sur mes lèvres du bas...

Chacune de ses agaceries m'électrocute. Je me surprends à émettre des exclamations, comme des points virgules sonores, mon souffle se bloque, repart. Il remonte dans ma fente, et son nez se coince à la commissure, juste à la jointure de ma fêlure... L'effet est indescriptible. Je ne sais pas ce qu'il me fait, ce qu'il touche, ce qu'il caresse, mais je me sens prise en dedans d'une impression de noyade, puis comme d'une expulsion de moi-même, et je crie encore et encore, toujours plus fort!...

Il a suspendu ses léchouilleries ; de derrière mon buisson il me regarde, puis avance les doigts pour me saisir et me faire saillir... quoi... l'intérieur de ma commissure. Il l'attrape maintenant entre ses lèvres, comme il ma sucé mon téton tout à l'heure, et je ne frémis plus, je m'arque, je tressaille, je me tends comme une corde, j'écarte encore davantage les cuisses pour qu'il continue, oui... encore!!! Oui!... Continue!!!... je t'en prie...

Je rejette la tête en arrière, je hurle! Une dernière crispation, complètement folle, complètement intense ; j'ai rabattu mes mains sur le drap, que j'attrape, que je froisse... Tension... folie... AAaaah!

Point final. Anéantissement. Je repose les pieds sur le lit. Je serre les cuisses. Je suis morte. Je me détends. Je ne peux plus bouger. Je reprends ma respiration... Ça y est! Je sais ce qu'il voulait dire! J'ai grimpé aux rideaux!

-- Alors, ma belle, un joli petit pied, on dirait!

-- J'ai jamais senti ça! J'adore! Je t'adore!

-- Mais non, c'est juste que tu ne savais pas...

-- Mais personne n'avait jamais pris cette peine...

-- Comme l'Hélène aux sabots, alors.

-- Qui est-ce?

-- Quelqu'un... Autrefois... Tu es trop jeune...

-- Allez! Dis-moi...

-- C'était une chanson qui disait entre autres :

Moi j'ai pris la peine

De le retrousser

Le jupon d'Hélèn'

Moi qui ne suis pas capitaine

Et j'ai vu ma peine

Bien récompensée

Sous le jupon de la pauvre Hélène

Sous son jupon mité

Moi j'ai trouvé des jambes de reine

Et je les ai gardées (1)

(1) Georges Brassens - Les sabots d'Hélène

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Anonymous
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1 Commentaires
AnonymousAnonymeil y a presque 15 ans
enfin

au moins une histoire en francais qui commencent avec amour, merci

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