Le Pouvoir à la Belle Epoque Ch. 04

Informations sur Récit
Voyages à deux (Première partie)
6.8k mots
4.88
18.2k
00

Partie 4 de la série de 12 pièces

Actualisé 04/27/2024
Créé 10/20/2023
Partagez cette Récit

Taille de Police

Taille de Police par Défaut

Espacement des Polices

Espacement des Polices par Défaut

Face de Police

Face de Police par Défaut

Thème de Lecture

Thème par Défaut (Blanc)
Tu dois Connectez-Vous ou Inscrivez-Vous pour enregistrer votre personnalisation dans votre profil Literotica.
BÊTA PUBLIQUE

Remarque : Vous pouvez modifier la taille de la police, la police et activer le mode sombre en cliquant sur l'onglet de l'icône "A" dans la boîte d'informations sur l'histoire.

Vous pouvez temporairement revenir à une expérience Classic Literotica® pendant nos tests bêta publics en cours. Veuillez envisager de laisser des commentaires sur les problèmes que vous rencontrez ou de suggérer des améliorations.

Cliquez ici
Walterego
Walterego
16 Admirateurs

Chapitre 04 : Voyages à deux (première partie)

« Mais c'est un vrai palace sur roues ! » s'exclama Catherine en entrant dans la partie salon de la voiture.

« J'ai dû insister pour que Mariette et Lucie s'installent dans le compartiment de nuit à coté du nôtre tellement elles en étaient intimidées» enchaîna Gauthier. « Mon ami Georges ne lésine pas sur le luxe de ses wagons-lits et vu le succès de la Compagnie, j'ai été fort aise qu'il accepte de mettre un wagon et une locomotive à notre disposition pendant un mois ! »

« Première étape Nancy. Tu es certain que le train arrivera à l'heure et que le doyen de l'école de médecine nous rejoindra ce soir? »

« Arriver à l'heure est une gageure ... Notre train n'est pas prioritaire nous pourrions facilement arriver à 14h au lieu de midi mais même en ce cas, cela nous laissera encore six heures avant le dîner avec le doyen qui m'a hier confirmé notre rendez-vous par télégramme .. oups !»

Catherine venait de le pousser sur le large sofa qui trônait au milieu du salon et sauta sur ses genoux.

« Ce sera formidable. A Nancy je pourrai loger chez ma cousine Huberte et je te rejoindrai toutes les fins de semaine à Epinal »

« Tu vas quand même me manquer ; je ne te verrai plus que deux jours par semaine ! »

« Entre tes affaires et tes Influencées, tu n'auras pas le temps de t'ennuyer sans moi . Ne me dis pas que la semaine passée tu m'es resté fidèle rue Thiers. Combien de tes servantes as-tu culbutées?»

« Le minimum vital, je t'assure ... »

« Alors que moi, je jouais à la Pénélope à Dogneville-le-Désert ! Je ne suis pas jalouse de tes Influencées mon ami. Je t'ai prise pour mari en pleine connaissance de cause mais tu as déchaîné en moi les pires turpitudes et seul toi peut me combler»

Sur ces entrefaites, le train avait pris de la vitesse et le wagon tressautait à chaque nouveau rail.

« Vous me devez réparation Gauthier Lemestre » s'exclama-t'elle le sourire aux lèvres. Elle quitta un moment ses genoux et troussa sa robe jusqu'à son nombril, dévoilant au passage son intimité luisante dépourvue de tout dessous.

« Madame Lemestre ! Vous ne portez pas de culotte ! Aurais-je épousé une dévergondée? »

« Que nenni mon ami ; je suis une femme pratique. Je n'allais pas souiller des dessous alors que ce matin même, vous avez si abondamment déchargé votre trop plein de foutre dans mon vagin! Ceci dit, il faudra que je me lave les jambes avant de rencontrer le doyen.»

Tout en le taquinant, elle avait déboutonné sa braguette et s'acharnait à en extraire la verge à nouveau monstrueusement bandée. Une fois le mandrin en bonne position, elle s'assit à califourchon sur son mari et s'empala lentement jusqu'à ce que le membre la remplisse toute. Son mari voulut empoigner ses hanches pour commencer à lui faire l'amour mais elle l'arrêta tout de suite :

« NON ne bouge pas Gauthier, laissons faire le train »

A chaque nouveau rail, un léger soubresaut se transmettait vers leurs bas-ventres mais la coquine avait bien calculé son coup : l'onde se transmettait à son clitoris collé contre la peau de son mari alors que la verge de ce dernier restait captive immobile dans le fourreau brûlant.

Après quelques minutes de ce traitement, Catherine se mit à gémir de plus en plus fort à chaque rail tandis que des gouttes de transpiration commençaient à perler sur le front de son mari douloureusement conscient de l'impossibilité de soulager une érection de plus en plus frustrante.

« Gau.. thier ... regarde -moi ... je vais ... oooh... Gau... oui ... c'est ... bon. OUI ! »

Elle se crispa sur le corps de son mari, broyant au passage la verge prisonnière. Croyant son épreuve enfin terminée, Gauthier essaya de reprendre le contrôle de leur accouplement mais elle feula immédiatement à son oreille

« NON, pas ... encore ... moi .. d'abord ! Beaucoup ... jouir ... toi ... comme moi .. semaine passée. Le train ... laisse ... faire ... train »

Elle étreignait son mari avec une force surprenante, même pour une femme aussi athlétique qu'elle. Affalé dans le sofa, sans point d'appui pour se lever ou basculer sur le côté, il ne pouvait donc que subir son supplice de Tantale.

Après quelques minutes d'immobilité totale, les mains de Catherine quittèrent les flancs de Gauthier pour amener son visage vers le sien et elle l'embrassa avec une passion qui lui fit presque oublier l'insoutenable rigidité qui lui taraudait le bas-ventre. Puis, sans rompre leur baiser, elle déboutonna le haut de sa robe et fit jaillir sa ferme poitrine hors du corsage. Haletante, elle se redressa et elle soupesa ses seins comme pour les présenter à son mari tout en se lançant à corps perdu dans une espèce de délire verbal.

« Tu vois ce que tu as raté la semaine passée? Ou est-ce que tu préfères les nichons de tes Influencées? Regarde comme mes tétons sont dressés et durs ... Si tu es un bon godemiché, je te laisserai les sucer mais pas maintenant, j'ai encore envie de jouir sur mon gode... humain .. grâce au .. train. Mon clitoris .. il est si .. chaud ... si gros... aah ... »

Soudain, elle empoigna la chemise de son homme et tira des deux côtés, faisant sauter tous les boutons avant que ses ongles ne commencent à lui labourer la peau et même la chair.

« Ouiii ... je t'aime ... mon gode .. je prends ... mon ... plaisir ... sur ta ... bite ... géante ... je vais ... aah ... la noyer ... si bon... Regarde ... gode ... je ... je ... JE JOUIS »

Gauthier émit un gémissement inarticulé presqu'inhumain tout en essayant de capturer un téton turgescent du bout de ses lèvres mais à nouveau Catherine l'immobilisa dans une étreinte d'ourse, lui communiquant les tremblements d'orgasme qui la ravageaient.

« Cathy, ...pitié ... je n'en peux plus...Tu ne te rends pas compte »

« Mais si ! Quand tu es loin de moi, c'est déjà pénible mais en plus, quand je sais que tu baises tes Influencées, c'est encore pire. J'ai beau m'astiquer comme une damnée, je n'éprouve presque rien. Même avec les filles c'est fade. J'ai besoin que tu me baises tous les jours, que tu me pourfendes jusqu'à la petite mort , que tu me besognes comme un bûcheron, que tu me tringles comme un soudard, que .. . »

« Arrête ! J'ai compris ... Je te promets de mieux m'occuper de tes besoins mais de grâce, laisse-moi jouir ! »

Catherine se pencha en arrière et sa main vint caresser les bourses de son homme.

« Et comment est-ce que mon Maître désire se soulager? Dans mon minou? Dans ma bouche? Avec ma main? Entre mes seins? »

« Ensemble ... Je veux jouir de toi mais avec toi. Prends-moi comme une Amazone »

« Bonne idée .. ; » dit-elle en soulevant les hanches pour mieux retomber sur le bassin de son mari. « Huu , c'est serré ... j'aurais besoin .. d'un chausse-pied ... ou d'un chausse-pénis... aaah ... »

A bout de patience, Gauthier lui empoigna les hanches et commença à la faire monter et descendre le long de son sexe écarlate.

« Je ne .. vais .. han... pas tenir... han ... longt han ... »

« Viens mon amour, donne-moi ton plaisir, inonde-moi ! »

Il donna un dernier coup de reins magistral, la soulevant dans les airs sans qu'elle ne lâche ses testicules et il hulula son plaisir durant une bonne minute , se soulageant en elle comme jamais auparavant avec ses Influencées tandis que sa femme s'écroulait sur son torse en tremblant de tous ses membres.

Malgré la violence de sa jouissance, Gauthier ne débanda pas ; son mandrin restant tout aussi somptueusement érigé au coeur de l'intimité de sa moitié.

« Ouf » soupira la jeune femme. « J'ai eu l'impression qu'une bouteille de champagne explosait dans mon ventre. Heureusement que le bouchon est encore en place sinon j'inonderais le sofa de ton ami Georges »

« Judicieuse remarque. Appelons Mariette et Lucie pour qu'elles apportent des serviettes... » dit-il en actionnant la cloche d'appel de service.

« J'ai une meilleure idée... » rétorqua Catherine lorsque les deux servantes pénétrèrent dans le salon « Mariette, quand je me désengagerai, viens me lécher ; je te préviens, cela sera copieux et Lucie, occupe-toi de Monsieur. Je pense qu'il n'est pas encore assouvi . »

« Certainement Madame »

« Avec plaisir Monsieur »

Sans se quitter du regard, les Lemestre se tinrent tendrement la main tandis que les jeunes servantes leur prodiguaient leurs attentions jusqu'à un ultime orgasme presque simultané .

« Merci mesdemoiselles, nous vous récompenserons ce soir après-dîner » conclut Catherine lorsqu'elle reprit ses esprits. « Maintenant, j'aurais grand besoin de votre aide pour me rafraîchir dans votre compartiment. Gauthier devra se débrouiller seul dans le nôtre. »

Peu après, le train s'arrêta sur une voie de garage de la gare de Nancy avec une petite demi-heure de retard sur l'horaire prévu, ce que Gauthier qualifia de performance remarquable.

Ils décidèrent donc de déjeuner légèrement dans le wagon puis de se laisser aller à une petite sieste et de partir vers le centre-ville.

«J'aime beaucoup le Parc de la Pépinière en cette saison» commenta Gauthier. «Les feuilles de toutes ces variétés d'arbres offrent une palette de couleurs chatoyantes en automne. »

« Oui et ce bosquet d'arbustes est encore bien feuillu. Si nous y pénétrons, nous devrions être à l'abri des regards ! »

« Auriez-vous une idée derrière la tête Madame Lemestre? »

« Je pense surtout que si je vous veux calme et posé à table, c'est le moment idéal pour vous traire mon mari mais vous devrez vous contenter de ma main. Je ne veux pas souiller ma robe ou mes dessous ! »

Comme des adolescents en rut, ils se glissèrent dans le bosquet où Gauthier ouvrit son pantalon et exhiba son membre déjà turgescent. Comme promis, Catherine pris position sous son épaule et commença à le masturber avec vigueur tout en lui susurrant :

« Pense à ce soir, tu pourras nous prendre toutes les trois. Nous serons nues et nous nous caresserons pendant que tu nous pourfendras avec ton gros dard. Et tu jouiras en chacune d'entre nous après nous avoir fait défaillir de bonheur Et nous crierons de plaisir à en réveiller le chef de gare à chaque fois que ton gourdin nous défoncera jusqu'à l'utérus »

L'imagination de Gauthier galopait au même rythme que celle de sa femme et il ne tarda pas à se cabrer avec un grognement guttural, expédiant un long jet blanc à près d'un mètre.

« Ouf ! Heureusement que je n'étais pas sur la trajectoire de la lance d'incendie » ironisa t'elle. Nous aurions dû retourner au train ».

Gauthier se rajusta. « Ce n'est pas ma méthode favorite mais cela fait du bien . Et maintenant ma mie, nous pourrions déjà rejoindre le Grand Hôtel de la Reine pour y prendre l'apéritif en attendant notre invité? Une fois sur place, il laissa son nom au maître d'hôtel ainsi que celui du Professeur Haucrate puis entraîna son épouse au bar.

« Ma chérie, je vais profiter de ce moment pour vous expliquer nos prochaines étapes. Demain nous partirons pour Reims via l'embranchement d'Epernay. Là je dois y rencontrer une de mes associées, Louise Mompery qui est la co-héritière des Champagnes Mompery et dont nous distribuons les produits en Belgique et en Angleterre. Son frère est directeur de la production et elle de la vente. »

« Et quelle âge a cette dame? »

« Euh, elle vient d'aborder la quarantaine je crois »

« Aha ... ne me dis pas que ... »

« Euh oui ... Une de mes premières Influencées en dehors des servantes engagées par ma mère après ma Transition . Mais c'est surtout une occasion de te montrer les caves Mompery creusées dans la craie. C'est monumental ! Et je tiens à visiter la cathédrale que je n'ai encore jamais vue de mes propres yeux. Honte sur moi !».

« Serais-tu royaliste? »

« Non pas du tout mais tout de même, c'est un lieu important de l'histoire de France, du moins sous l'Ancien Régime. »

« De toute façon, je te vois mieux en Sheik mahométan avec ton harem »

« Femme, cessez ce persiflage et dis-moi plutôt ce que tu veux boire pour que je puisse héler le garçon.. »

« A Londres, j'appréciais un verre de Sherry à l'occasion »

Gauthier commanda pour lui-même un Spritz à l'eau de Seltz et continua ses explications.

« Ensuite retour à Epernay où nous reprendrons le chemin de Paris. Je devrai consacrer une journée à passer en revue les résultats de notre filiale de distribution mais son directeur est particulièrement compétent et cela devrait aller assez vite. Cela nous laissera toute une semaine pour profiter des plaisirs de la capitale avant de mettre le cap vers Bruxelles où je te présenterai à ma mère, à ma sœur aînée et à ma demi-sœur cadette... »

« Ah enfin, je vais rencontrer cette femme exceptionnelle qui a enfanté un Doué ! Tu avais déjà fait allusion à ta sœur mais tu as aussi une demi-sœur?»

Ils furent interrompus par le maître d'hôtel qui leur annonça l'arrivée de leur invité. Ils se hâtèrent de le suivre jusqu'à la table qui leur était réservée et où était déjà assis un personnage à la barbiche blanche mais dont la mine lugubre doucha quelque peu l'enthousiasme de Catherine.

« Professeur Philippe Haucrate? » s'enquit Gauthier qui ajouta « Je suis Gauthier Lemestre et voici mon épouse Catherine ».

Le croque-mort comme l'avait déjà surnommé Catherine se leva, serra la main tendue de Gauthier et s'inclina devant Catherine. Gauthier commanda sans préambule une nouvelle tournée apéritive et ils devisèrent un moment sur leur récent mariage et le voyage en train privé qui sembla impressionner Haucrate.

« Appelez-moi Philippe » dit-il. « Mon cher Gauthier, je vous remercie pour cette invitation qui me flatte mais je m'en voudrais de dîner à vos dépens alors que je n'ai pas de bonnes nouvelles à vous annoncer. »

Le coeur de Catherine se serra. Avec son optimisme béat, elle n'avait jamais imaginé que la Faculté de Médecine de Nancy puisse lever un quelconque obstacle à son inscription.

« J'ai beau être le Doyen de la Faculté et théoriquement souverain en ce qui concerne les inscriptions des nouveaux étudiants, je suis néanmoins soumis à un conseil de surveillance qui peut censurer mes décisions. Il se fait, malheureusement, que ce conseil est pour le moins conservateur, surtout son président, le chevalier de La Part-Dieu qui est tout sauf chevaleresque. Bref, le conseil a refusé à l'unanimité votre inscription Catherine malgré la très généreuse promesse de mécénat de votre époux. Vous m'en voyez navré. »

La vue de le jeune femme se brouilla et elle lutta pour réfréner ses larmes. Mais elle n'allait pas montrer le moindre signe de faiblesse qui serait certainement attribué à l'émotivité féminine lorsque rapporté à ces réactionnaires.

« Vous êtes bien conscient que ma promesse de mécénat est subordonnée aux études de ma femme » dit Gauthier d'un ton glacial. « La somme ira donc à une autre Faculté de Médecine car je sais de source sure qu'au moins une autre ne fera pas d'objection à la candidature de Catherine »

« J'en étais parfaitement conscient tout comme je suis conscient de la perte que représente cette décision pour Dame Catherine, pour la Faculté de Nancy et même pour les patientes de notre région ».

Les mots de Gauthier « J'en connais au moins une autre » avaient fini par percer le brouillard dans lequel baignait la jeune femme. Quoique surprise par cette annonce, elle était tenaillée par un espoir aussi grand que sa déception était immense et il lui tardait de voir déguerpir le doyen afin d'en savoir plus. Mais une fois de plus, sa fierté prit le dessus.

« Comme vous le dites, Philippe, je suis extrêmement déçue mais je puis vous assurer que j'obtiendrai un jour mon doctorat même si je dois suivre le cursus à Sainte-Hélène donc je ne vois aucune raison de nous priver d'un bon repas. »

Les deux heures qui suivirent parurent interminables à la jeune femme et c'est avec un soulagement indicible qu'elle vit leur invité se lever pour prendre congé. Elle parvint à garder bonne figure tandis que Gauthier réglait la note et faisait héler une calèche pour les ramener à la gare mais à peine assise, elle éclata en sanglots contre la poitrine de son mari. Il la laissa pleurer jusqu'à destination puis la souleva dans ses bras et la porta silencieusement jusqu'au wagon-lit. Il la déposa sur sa couchette avant d'effacer les traces de larmes avec son mouchoir.

« Ma chérie, tu as toute mon admiration. Ta déception a certainement été terrible et pourtant tu es restée de marbre »

« C'est parce que tu as dit que tu connaissais une autre Faculté qui pourrait m'accueillir... C'est vrai?»

« Absolument. Le plan A n'a pas fonctionné mais quand tu me connaîtras mieux, tu sauras que j'ai toujours un plan B. »

« Et serait-il indiscret de te demander quel est - ou plutôt où se situe - ce plan B? »

« Le point négatif, c'est que c'est trop loin pour que tu puisses à rentrer à Dogneville en fin de semaine. Mais côté positif, je suis certain à 200 % que tu seras acceptée et surtout que nous nous verrons beaucoup plus souvent »

« Bon, ne me fais pas languir. Où est-ce? Paris? »

« Hélas non ; je n'ai pas les bonnes relations à Paris par contre à Bruxelles oui. La faculté de médecine locale compte d'ailleurs déjà plusieurs femmes parmi les étudiants et même une professoresse d'après ce que mes amis m'ont écrit!»

« Et pourquoi est-ce que je te verrai plus souvent à Bruxelles? »

« La famille Lemestre va se redéployer : Ma mère et son second mari dirigeront la brasserie d'Epinal - enfin surtout ma mère; ma sœur aînée va s'installer à Paris et travailler avec notre directeur parisien ; quant à ma demi-sœur, elle va partir pour Londres pour perfectionner son anglais mais aussi pour garder un œil sur notre filiale d'importation là-bas. Et moi je vais diriger notre brasserie dans la banlieue de Bruxelles ainsi que des importations des bières de la brasserie Obermeister ce qui m'amènera à voyager en Alsace de temps à autres . Mais en dehors de ces quelques déplacements, nous vivrons ensemble comme un couple tout ce qui a de plus banal»

« Alors tu savais que la fac de Nancy allait me refuser? »

« Non, vu le montant que j'avais mis dans la balance, j'ai été le premier surpris par leur refus. »

« Tu es un amour mais je suis encore toute chamboulée. Est-ce que cela t'ennuie si je passe mon tour ce soir? Va rejoindre Mariette et Lucie, je vais me reposer en t'attendant ici »

« Il est hors de question que je t'abandonne cette nuit entre toutes les nuits ! Et si on faisait venir les filles ici? L'une pourrait te border pendant que l'autre me soulagera ...»

Un simple appel suffit pour que Mariette et Lucie déboulent dans le compartiment et quelques minutes plus tard, Catherine ; entièrement nue, commençait enfin à se détendre grâce à un massage appuyé de Lucie sous l'oeil intéressé de Gauthier à qui Mariette prodiguait une fellation de bon aloi.

Quand Catherine commença à ronronner d'aise, Lucie la retourna sur le dos et sans transition, se précipita vers son entrejambe pour lui lécher le clitoris.

« Uuuh, Gauthier ... elle est démoniaque ! »

« Laisse-toi aller .... humpf ... ma chérie. .. J'ai la verge qui ...nghh... tiraille, je vais baiser Mariette ! »

Il la positionna perpendiculairement sur sa couchette et commença à la prendre en levrette. La jeune soubrette gémit de plaisir et se cambra pour lui offrir le meilleur accès à son intimité plus que trempée par la sensation de la verge qui lui avait ramoné la bouche. Il passa à la cadence de combat en grognant de plaisir puis feula littéralement lorsqu'il sentit des doigts venir lui caresser les testicules. Sur-stimulé, il ne résista pas longtemps et éjacula à gros bouillons dans le vagin de Mariette. Les oreilles bourdonnantes, il entendit vaguement sa femme pousser un cri d'extase.

Lorsqu'il parvint à se retourner, il vit qu'elle avait la bouche à nouveau grande ouverte sur un cri silencieux tandis qu'elle plaquait la tête de la jeune servante sur sa corolle. Lorsqu'elle relâcha enfin la pression, Le visage de Lucie était aussi dégoulinant que si elle sortait du bain.

Walterego
Walterego
16 Admirateurs
12