Le Pouvoir à la Belle Epoque Ch. 04

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« Oooh ... désolée Lucie, c'est la première fois que cela m'arrive ... Chéri, tu as épousé une femme-fontaine ... et dire que je croyais que c'était un fantasme masculin ! »

« C'est un fantasme masculin ma mie. Regarde dans quel état cela me met »

Malgré sa toute fraîche jouissance, il bandait à nouveau comme un taureau et prit la place de Lucie entre les cuisses de sa femme et pénétra d'un seul mouvement le fourreau parfaitement lubrifié.

« GAAAW ... Gauthier ! TU ES ... AAAH ... EENOOORME ! AAAGH ... TROP ... aah ... fort... Nooon ... n'arrête paaas... oooh... vas-y ... mon mâââle ... baise-moi aah... baise ta ... aargh ... femelle ... fontaine ... défonce ... moi ... »

Gauthier s'émerveillait de la responsivité sensuelle de se femme. Elle n'était ni Influencée et encore moins Améliorée mais réagissait aux stimuli sexuels avec encore plus d'ardeur voire d'avidité que la plus passionnée de ses houris. Il la pistonnait maintenant avec une fureur que jamais un missionnaire n'avait pu connaître, la faisant défaillir sous les coups de sa verge démesurée par le désir qu'il avait cette -non - de SA femme.

Il sentit les bras et les jambes de celle-ci soudainement se crisper autour de son propre corps, l'empêchant d'encore bouger et elle se mit à trembler sous le coup d'un orgasme ravageur. Ses soubresauts et le constriction de sa chatte furent de trop pour son mari qui la rejoignit dans le plaisir, l'inondant de sa semence en jets puissants.

Il entendit vaguement le glapissement de plaisir de Lucie qu'il supposa dans les bras de Mariette mais il était lui-même trop perdu dans les brumes de la jouissance pour y prêter plus attention. Il finit par débander suffisamment pour pouvoir se retirer de l'antre d'amour de son épouse, entraînant avec lui le flot qu'il y avait déposé et qui rejoignit le drap déjà trempé au préalable par l'éjaculation de celle-ci.

Il s'aperçut que les filles étaient maintenant assises sur l'autre couchette, semblant attendre son bon vouloir.

« Lucie, Mariette, changez les draps de cette couchette pour que j'y installe Madame puis vous en ferez de même avec celle-ci ».

Sitôt la première couche parée de draps frais, il y transporta Catherine maintenant endormie et attendit que la seconde couchette fut prête pour s'y allonger à son tour.

Il fut vaguement réveillé le lendemain matin à l'aube par le sifflet de leur train et se rappela que leur chef de train lui avait expliqué qu'ils devaient démarrer très tôt pour éviter de se trouver coincés par les premiers omnibus de la journée qui transportaient les ouvriers de et vers Nancy. Tranquillisé, il se rendormit pour être à nouveau réveillé quelques secondes - minutes - plus tard par un corps alangui sur le sien.

« Chéri, il faudra dire au conducteur de toujours forcer la chaudière » susurra la voix de sa femme à son oreille. Elle avait réussi à s'empaler sur son mari endormi et se laissait aller aux cahots du train, comme le premier jour mais jouissant du rythme plus rapide que la veille.

Particulièrement excité, Gauthier lui laissa donner le tempo de leur étreinte et ne fut pas surpris de sentir monter en lui sa première éjaculation de la journée.

« Ouf ... je ne connais rien de mieux qu'une gentille petite fornication matinale pour récupérer des émotions de la soirée » lui murmura tendrement Catherine à l'oreille.

Comme par transmission de pensée, les deux jeunes soubrettes se manifestèrent peu après et elles entreprirent de les aider à se débarbouiller tous deux en même temps, ce qui s'avéra rien moins qu'évident dans un compartiment somme toute exigu malgré son luxe.

A l'embranchement d'Epernay, Catherine ne ne put s'empêcher de poser la question qui lui brûlait les lèvres :

« Monsieur mon mari, est-ce que je dois m'attendre à ce que vous vous isoliez avec la dame Mompery pour discuter affaires ou est-ce que je pourrai assister à euh... l'entrevue? »

« Comme il vous plaira ma mie. Vu l'âge canonique de son mari le marquis, Louise Mompery fait feu de tout bois. Elle m'a même laissé sous-entendre qu'elle se laissait même parfois aller à trouver satisfaction auprès de son frère donc elle n'est pas farouche, même en dehors de mon Influence »

« Voulez-vous que je diminue la pression de vos gonades avant Reims? »

« Cathy, tu sais bien que ce n'est pas le genre de choses que tu dois me demander ; j'ai toujours envie de toi mais tu n'auras pas le temps de te changer à nouveau. »

« Un complément de petit-déjeuner m'ira très bien » sourit-elle...

Arrivés à Reims en milieu de matinée, ils eurent le temps de visiter la cathédrale avant de se faire déposer à la Maison Mompery.

Louise Mompery les accueillit en personne et Catherine décela chez elle tous les signes d'une intense frustration sexuelle, proche de l'hystérie féminine dont parlaient ses manuels.

Elle avait en effet le début de la quarantaine et l'âge lui avait amené des rondeurs de bon aloi au goût de Catherine même si dans quelques années, elle serait plus matrone que Madone.

« Louise, puis-je vous présenter mon épouse Catherine? »

« Votre .. épouse ..?? »

« Oui, mon épouse, ma femme, ma maîtresse et mon amie ! »

« Mais alors .. pour nous? »

« Elle n'a soulevé aucune objection à nos relations extra-professionnelles. »

« Dans ce cas, Catherine, vous voudrez peut-être visiter notre domaine avec mon assistante pendant que je me fais ... pendant que je m'entretiens avec votre mari? »

« Hors de question ma chère Louise, je suis aussi l'assistante de mon mari ! Je tiens à superviser votre entrevue ... »

Louise n'hésita pas longtemps et les entraîna vers un salon à la décoration très kitsch. Une fois la porte refermée derrière eux, elle regarda Gauthier d'un œil interrogateur.

« Déshabillez-vous Louise. Ne gardez que votre corset !! »

La femme s'exécuta même s'il fallut patienter de longues minutes avant qu'elle ne vienne à bout d'une kyrielle de boutons et d'une abondance de froufrous. Catherine s'était assise dans un large fauteuil pour mieux apprécier les déhanchements de leur hôtesse visiblement en proie à un désir exacerbé.

Lorsqu'elle ne fut plus vêtue que de son corset qui comprimait sa taille mais faisait jaillir ses lourdes mamelles, Gauthier lui ordonna :

« Va t'agenouiller devant Catherine, Louise, remonte sa robe et caresse son entrejambe avec ta langue »

« Gauthier, ... non ... s'il vous plaît Maître ... »

« Si tu veux que ton Maître te donne du plaisir, ton premier devoir est de lui obéir, Soumise ! »

Catherine était un peu interloquée par l'attitude dominatrice de son mari. Même avec les Influencées de Dogneville, il n'avait jamais eu ce comportement impératif. Mais Louise devait en avoir l'habitude car elle baissa la tête et s'agenouilla devant Catherine et releva sa robe, ôta sa culotte puis plongea sa tête entre ses cuisses avant de lui lécher la fente .

Pendant ce temps, Gauthier s'était dirigé vers un guéridon où reposait une bouteille de champagne dans un seau à glace ainsi que deux coupes. Il fit sauter le bouchon avant de remplir les deux coupes dont il en tendit une à sa femme.

« Carpe Diem ma mie, orgasme au champagne ! »

« Hum , elle n'est pas aussi douée que les filles mais c'est vrai que la combinaison est fort agréable » Et entrant le jeu : « Concentre-toi sur mon bouton, Soumise , lèche mon clitoris ! »

« Humpf ... oui ... Maîtresse »

Gauthier ouvrit sa braguette, extirpa sa verge hors du pantalon et vint s'agenouiller derrière le postérieur rebondi de Louise et l'emmancha sans autre forme de procès. La femme glapit comme une grue tandis qu'il la pourfendait sans retenue. Catherine dut lui renfoncer la tête entre ses cuisses pour la rappeler à ses devoirs un moment oubliés par la saillie qu'elle subissait.

Il ne fallut que quelques dizaines de secondes pour que Louise jouisse comme une possédée, agrippée aux cuisses d'une Catherine frustrée.

« Lèche-moi grosse truie ! Ne t'arrête pas ! Mes servantes sont bien meilleures que toi»

Gauthier lui jeta un regard torve tout s'en s'extirpant du vagin de la Soumise puis pointa son braquemart vers le petit trou , s'arc-bouta aux hanches replètes et commença à la forcer. Luise émit un gémissement étouffé par la conque que Catherine avait écrasé sur sa bouche. Cette dernière était aux premières loges pour assister, bouleversée, à la magistrale sodomie de l'héritière Mompery.

Son amant anglais l'avait sodomisée à quelques reprises mais elle n'en n'avait pas gardé de grands souvenirs, ni plaisants ni douloureux vu la taille réduite de son engin. Mais elle voyait ici un chibre d'un calibre monumental se frayer un passage entre les fesses de la Soumise et elle commença à imaginer qu'elle subissait la même pénétration anale.

A sa grande surprise, Louise-la-Soumise geignait maintenant de plaisir alors que son anus devait être distendu à l'extrême et d'autant plus que son mari semblait avoir adopté un rythme de croisière beaucoup plus soutenu.

« Ooohh ... Gauthier, ... tu l'encules .. . avec ton énooorme vit ... Son petit trou ... défoncé ... ooh ... et cette truie ... aaah ... jouit ... avec ta bite ... dans le... ooh .. cul !

Son mari ne répondit pas, trop occupé à pilonner l'entre-fesses de l'Influencée qui hurlait son plaisir à pleine gorge. Elle en avait complètement oublié de s'occuper de Catherine qui de son côté s'envolait dans un orgasme purement mental en s'imaginant à la place de Louise, l'anus explosé par le gigantesque membre de Gauthier. Instinctivement, elle poussa à nouveau la tête de Louise entre ses cuisses au moment où, pour la deuxième fois de sa vie, elle éjaculait un flot de cyprine, cette fois directement dans la bouche de la Soumise dont le dernier cri de jouissance se termina dans un gargouillis étranglé au moment même où Gauthier se vidait dans son rectum en rugissant.

Quelques minutes plus tard, les deux époux s'étaient rajustés et terminaient la bouteille de champagne tandis que Louise s'était retirée pour se rafraîchir.

« Mon expérience de la sodomie ne m'a jamais amenée à de tels sommets de plaisir » dit Catherine d'un air songeur. « Même pas une petite collinette .»

« Je dois t'avouer que je triche avec mes Influencées » avoua Gauthier « J'adore les sodomiser mais je sur-stimule mentalement leur clitoris pendant que je les prends par derrière pour que le plaisir surpasse la douleur de la pénétration anale. Mais hélas, avec toi cela ne marchera pas puisque je n'arrive pas à t' Influencer. »

« Il faudra quand même qu'on essaye à l'occasion. Peut-être que si Mariette et/ou Lucie me sur-stimule, je pourrais atteindre le même état de relâchement? » ajouta-t'elle d'un ton ironique. »

« Changeons de sujet, tu me fais bander comme un âne ! »

« Garde ton érection comme cadeau de départ pour Louise. Elle m'a l'air d'être bien en manque mais réserve-moi ta semence ... »

Louise revint dans le salon, toute fraîche et pimpante.

« Allons montrer les cuves et les caves à Catherine ; nous discuterons affaires pendant la visite. » proposa t'elle.

Les cuves de fermentation , la filtration et la seconde fermentation en bouteilles rappelèrent à Catherine son enfance à la brasserie mais les caves creusées dans la crayère la stupéfièrent par leur gigantisme en commençant par l'interminable escalier qui y descendait. Elle se retrouva à un moment donné seule à admirer les rangées de pupitres jusqu'à ce qu'elle rencontre un ouvrier occupé au remuage des bouteilles. Elle l'observa un moment à la tâche avant de retourner sur ses pas pour rejoindre les autres.

Elle ne les retrouva qu'au son de leur accouplement sur une table de dégustation dans une petite cave à l'écart des grandes rangées. Elle les observa d'un air goguenard : Louise couchée sur le dos, cuisses écartées en équerre tandis que Gauthier, debout devant la table, la pilonnait sans répit la menant deux fois à l'orgasme avant de se vider en elle. Quand il s'aperçut du retour de son épouse, il commenta « Nous avons scellé un accord sur la distribution des champagnes Mompery en Belgique et Louise va injecter des capitaux dans nos filiales belge et anglaise »

« Elle injecte des capitaux et tu injectes du sperme? » lui répondit-elle d'un ton sec « Je croyais que nous étions d'accord sur ma réserve ... »

« Oups, sorry chérie, je me suis un peu oublié mais je te promets de mieux me contrôler à l'avenir »

« Je l'espère car je serais navrée de priver tes Influencées de tes parties viriles ; n'oublie pas que je manie très bien le scalpel ! »

Il hésita, ne sachant pas très bien si elle plaisantait ou pas mais elle lui donna une bourrade dans les côtes en souriant.

« Ne fais pas cette tête. Aide-moi à relever Louise. Elle a l'air complètement sonnée et je crains que tu ne doives la porter jusqu'en haut de l'escalier. Bonne chance ! »

Finalement, il était trop tard pour déjeuner et ils suivirent les indications de leur hôtesse et décidèrent de prendre le thé Place Drouet-d'Erlon. Mais évidemment, Reims n'étant pas Londres ; le thé fut remplacé par une première puis une deuxième bouteille de champagne et les scones par des biscuits roses.

C'est donc une Catherine éméchée mais joyeuse qui rejoignit la gare au bras de son mari. Au moment de monter dans leur train, elle interpela son homme :

« Je n'ai pas l'intention de te partager ce soir mon amour par contre, j'ai bien l'intention de te tarir ! Je vais prévenir les filles de préparer des draps propres hi hi»

Lorsqu'elle se réveilla, elle porta d'abord la main à sa tête douloureuse puis à sa bouche sèche comme du carton. Prise d'un besoin pressant, elle voulut se lever mais elle était inextricablement imbriquée avec Gauthier sur la couchette. Poussant, tirant ou faisant osciller le grand corps de son mari, elle parvint à se libérer mais faillit glisser sur une bouteille de champagne vide qui jonchait le sol en compagnie de trois de ses congénères.

Pendant qu'elle se soulageait dans le cabinet d'aisance, de vagues images lui revinrent : elle chevauchait Gauthier comme une furie ; elle versait du champagne sur sa verge avant de la sucer ; elle chevauchait à nouveau Gauthier tandis qu'ils buvaient chacun au goulot ; elle le masturbait et essayait de diriger les giclées de sperme dans une bouteille (vide?) ; elle versait du champagne dans les bouches grandes ouvertes de Lucie et Mariette (quand étaient-elles arrivées?) puis les poussait à s'embrasser et à se caresser tandis que le couple de voyeurs se caressait mutuellement et en faisant circuler une bouteille (encore une!).

Pensant à la déchéance de son père, elle se réprimanda vertement et se promit de ne plus se laisser aller à de telles bacchanales. Elle se dressa face à l'évier surmonté d'un miroir et gémit à nouveau : elle avait du sperme séché dans les cheveux et des traces gluantes d'origine indéterminée sur tout le corps.

Elle n'osa pas quémander l'aide des filles et commença péniblement à se laver de haut en bas. Elle s'essuya en rêvant à une grande tasse de thé - non une théière entière - puis enfila pour la première fois sa chemise de nuit pour se traîner jusqu'au salon. En traversant le compartiment couchettes, elle s'aperçut que Gauthier dormait toujours et que les draps des deux couchettes semblaient plus maculés qu'une serpillère un jour de grand nettoyage de printemps.

Miracle, la table du petit-déjeuner était dressée et une carafe de jus de pomme lui permit de réhydraté sa bouche au moment où Lucie surgissait de la cambuse avec une théière fumante.

« Je vous ai préparé une camomille, Madame, c'est souverain pour les lendemains difficiles »

« Sois bénie, Lucie ! Mon château pour une camomille ! »

« Mariette vous prépare une omelette et des toasts ; vous devez manger pour éponger le champagne »

Bien que manquant totalement d'appétit, elle obéit à l'injonction et commençait à se sentir un tout petit peu mieux lorsque Gauthier fit irruption dans le salon en robe de chambre ouverte sur sa poitrine. Ses cheveux en bataille trahissaient le fait qu'il n'avait pas fait sa toilette et lorsqu'il s'approcha, des effluves de sexe et de vin frappèrent les narines de Catherine qui n'en demandaient certainement pas tant.

« Lucie, allez ouvrir en grand la fenêtre de notre compartiment et changez les draps par pitié ou tout Epernay saura à quoi s'en tenir quant à nos mœurs quand nous y passerons! »

« Certainement Madame mais nous avons déjà passé Epernay ; nous sommes en route pour Paris maintenant . Il est presqu'onze heures»

« Bon sang, Gauthier, vil suborneur, votre Don vous permet de récupérer assez vite mais ce n'est pas mon cas. Tout Paris va s'apercevoir que je suis une ivrogne dévergondée. »

« Mais non Cathy, rassure-toi, sur cette ligne, nous devons céder la priorité à tellement de trains express ou rapides que nous n'arriverons à la gare de l'Est qu'à la nuit tombée. Personne ne verra que tu es une débauchée qui aime à se rouler dans le stupre ! ... AÏE !»

Catherine venait de lui pincer un téton exposé par l'échancrure de sa robe de chambre.

Il s'empressa de continuer :

« Tu vas avoir le temps de récupérer ; pour la première fois depuis ma transition, mes batteries sont complètement déchargées et demain j'ai rendez-vous avec mon directeur. Tu auras donc une bonne partie de la journée pour profiter des ressources de l'hôtel pour reprendre ton image de femme respectable ... AÏE ! Mais c'est une manie par Jupiter »

« Que veux-tu ... je prends beaucoup de plaisir à maltraiter ton téton à moins que tu ne préfères le scalpel? »

« Moi qui m'inquiétais surtout pour ton intimité ... Tu ne ressens pas trop d'inconfort de ce côté après notre coïtus non-interruptus? »

« Assez curieusement, je pense que c'est la seule partie de mon corps qui n'élance pas ... Par contre, j'ai des bleus plein les cuisses »

« Eh .. c'est toi qui m'a chevauché comme un étalon à dompter. J'étais l'élément passif ! »

« Et mes seins qui sont passés au laminoir? »

« Non-coupable votre Honneur. Tu t'agitais tellement violemment sur moi qu'ils valdinguaient dans tous les sens et tu ne voulais pas que je les maintienne ... Ceci dit, si tu continues à me rappeler nos exploits de la nuit, je vais très vite avoir un problème ...»

« En fait, moi aussi mon amour . J'ai de nouveau envie de toi mais est-ce qu'on pourrait y aller calmement cette fois? June bonne petite saillie paresseuse? »

Ils se hâtèrent vers leur compartiment dont Lucie avait refermé la fenêtre après avoir changé les draps mais qui était un peu frisquet. Ils se pelotonnèrent en cuillères sous une couverture et Gauthier prit bien soin de faire preuve d'une extrême prudence en pénétrant sa femme qui ronronna de plaisir.

« Voilà le remède souverain contre la gueule de bois » haleta t'elle

Gauthier ne répondit pas, se contentant de la prendre lentement, concentré sur les réactions de sa femme. Après quelques minutes de lentes allées et venues, il avait une folle envie de jouir en elle mais il voulait à tout prix l'amener au nirvana avant lui malgré la rigidité douloureuse de sa verge.

« Gauthier ... je t'aime ... » murmura t'elle avant de se tétaniser dans un orgasme tranquille. Mis en joie par cet aveu, il se laissa aller lui aussi et lui mordilla la nuque tandis qu'il se vidait en elle.

« Je t'aime aussi Cathy-Catherine. Tu es ma Dame de Coeur »

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