Le Premier Rôle

BÊTA PUBLIQUE

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"Je confirme." Ajoute Étienne. "Ça fait partie de son profil. Le look rigoureusement naturel, aucune modification."

Je suis soulagé. Si Étienne est de notre côté, le compte est bon.

"Bah. Moi je dis que faire le ménage un peu en bas des lèvres, y aurait pas de mal. Tu imagines toi foutre ta langue l'a dedans? Tu vas te retrouver des poils plein les dents." Proteste Cécilia. Elle n'a pas entièrement tort mais fait remarquer que c'est un détail qui ne m'a jamais empêché de me foutre le bouche entre les jambes d'Aurélie et ce, à répétition.

Étienne secoue la tête, il est inflexible. Je m'attends à voir Cécilia se vexer mais elle semble déjà avoir laissé tomber.

Le visage d'Aurélie est rouge comme une pomme; j'imagine que d'entendre parler de sa minette comme un article de catalogue pendant qu'elle se tient debout le sexe à l'air peut être un peu intimidant.

Cécilia se relève doucement en ne quittant pas le visage d'Aurélie des yeux en lui offrant un somptueux sourire et l'enlace pour lui détacher sa brassière. Elle colle son corps contre celui d'Aurélie beaucoup plus intimement qu'il est nécessaire. Si seulement j'avais un appareil photo... Les mains adeptes de la jeune femme n'ont besoin que d'un court instant pour venir à bout de l'agrafe qui tient la brassière en place. Une courte seconde plus tard, la voluptueuse Cécilia recule d'un pas et ma copine est complètement nue, ses jolis seins enfin libérés sont toujours aussi mignons et fermes. J'ai le goût d'aller mordre ses jolies mamelles roses.

Cécilia se retire définitivement et s'éloigne en prenant soin de porter les vêtements d'Aurélie au placard et d'y chercher la longue robe de chambre d'un vert royal qu'elle devra porter durant sa première scène. Aurélie semble perdue au milieu de cette pièce, complètement nue et vulnérable, ses yeux regardent un peu partout, on croirait qu'elle ne me voit même pas. Ses longues boucles brunes tombent sur ses seins délicats et comme toujours, sa superbe touffe fait un délicieux contraste avec sa peau pâle. Je pense qu'il est impossible en tant qu'homme de ne pas avoir envie d'elle.

Quand Cécilia se retourne, elle sourit en regardant Aurélie dans son ensemble. "T'es mignonne tu sais? Tu vas être une belle addition à notre studio, la jolie brunette timide, jolis nichons pas trop gros, superbe cul bien rond; les mecs vont se battre pour faire une scène avec toi et avoir le privilège de te bourrer le cul ou la chatte. Si j'étais moi-même un mec, je te sauterais dessus." Elle s'approche et l'aide à rapidement enfiler la robe de chambre qui s'attache d'un simple cordon à l'avant. À ma grande (et agréable) surprise, Cécilia s'avance enfin, passe ses bras autour d'Aurélie et pose un long baiser sur ses lèvres. "Tu es magnifique! J'ai tellement hâte qu'on fasse une scène ensemble que je puisse faire l'amour avec toi, je vais tellement abuser de toi ma belle!"

Aurélie est rouge comme une pomme et ne sait pas quoi dire. Je sens son excitation qui monte en flèche. La robe lui fait à merveille. Elle est d'un vert ancien qui semble usé; c'est probablement un vieux vêtement. Le tissus est léger et mince, on peut deviner la forme de ses mamelons et je me plais de constater que son joli cul est jalousement épousé par le velours qui le recouvre. J'observe les deux autres. Étienne ne prête toujours pas attention aux filles, il est en train de fignoler sa caméra. Quand à Max, il est nu comme un ver et semble avoir repris intérêt puisqu'il se masturbe furieusement en regardant Aurélie. Je suppose qu'Étienne l'a bien choisi pour le rôle, ce garçon ne possède pratiquement aucune virilité sinon un bon membre bien raide. Les quelques poils qui décorent son torse sont discrets voire, ridicules. Pour être honnête, il a un joli visage. Si seulement il n'était pas un idiot de première... Enfin, Étienne voulait un look de jeune homme innocent et facile à corrompre, il a bien cadré l'acteur.

"Veux-tu bien me dire ce que tu fais?" Demande Cécilia.

"Bah c'est évident non, je m'assure de rester bandé! Faut je sois prêt pour ma scène!" Et tout bêtement, comme s'il venait d'avoir une épiphanie, Max abandonne son membre et se croise les bras devant la poitrine en regardant Cécilia avec un sourire arrogant. "De toute façon, si j'ai besoin, tu peux t'occuper de moi!"

Cécilia éclate encore de ce même rire méprisant, plus exaspérée que jamais. "Non, je ne suis pas ici pour m'occuper de toi, je ne suis pas payée pour faire du fluff. Toi, tu es à ton premier rôle, tu devrais être excité sans bon sens. D'ailleurs..."

Avant de poursuivre, Cécilia défait le cordon de la robe d'Aurélie d'un coup sec et ouvre complètement le vêtement pour de nouveau nous donner une vue frontale et complète du corps nu de ma copine. Aurélie pousse un petit cri timide avant que Cécilia n'enchaine: "Mon petit champion, si la vue de cette superbe femme à poil ne suffit pas à te garder bandé jusqu'à demain, surtout considérant que ta seule tâche aujourd'hui c'est de la baiser, tu peux t'en aller, tu n'es pas fait pour ce métier."

Max ne parle plus. Aurélie bouge vainement les bras, cherchant à reprendre le contrôle de son vêtement et maladroitement se couvrir, son visage maintenant bien au-delà du rouge. Je sens que je dois faire quelque chose sinon elle va briser de l'intérieur. "Si je peux me permettre, moi je suis si bandé que j'en ai mal au ventre et je vais probablement le rester jusqu'à demain rien qu'à la regarder. Est-ce que je suis à ma place?"

Aurélie me regarde quelques secondes et baisse les bras, elle ne pense même plus à cacher son corps puisqu'elle se met à pouffer d'un rire incontrôlable; chaque expiration fait rebondir ses jolis seins. Max est pantois. Je sais qu'il essaie de paraître fâché mais la vue du corps nu d'Aurélie ne le laisse définitivement pas indifférent.

"Bon allez ça suffit. On fait quelques essais sans trop se forcer pour bien cadrer la scène et acclimater nos deux jeunes aspirants." Ordonne Étienne, revenu à l'avant-scène. "Max tu t'assois sur le lit. Aurélie, tu viens le rejoindre mais tu restes debout. Max, tu peux la tripoter un peu mais tu n'ouvres pas sa robe, c'est elle qui va le faire. Amuse-toi avec ses seins, son cul, reste relax. Essaie de suivre son jeu, elle est douée, tu verras. Le film sera muet mais c'est ok si vous discutez, essayez seulement de ne pas abuser. Aucune pénétration avant mon signal." Étienne me regarde enfin. "Toi mec tu restes gentiment assis à l'écart. Je sais que c'est ta copine mais ce sont les règles du jeu."

Je lui fais signe que j'ai compris et que je suis d'accord. Ma copine. Trop tard pour reculer. J'ai du mal à avaler. C'est sur le point de vraiment commencer. Je m'assois sur un des gros divans à une distance suffisante du lit pour ne pas être dérangeant mais quand même assez près pour ne rien manquer de l'action.

Cécilia vient s'asseoir près de moi. "Ils n'auront pas besoin de moi pour un bon moment alors aussi bien faire connaissance. Ça va? Pas trop nerveux?"

Je la regarde avec attention. Elle est vraiment attirante, cette Cécilia malgré le fait qu'elle est tout le contraire de ma copine. Elle ne donne aucune impression d'innocence et de naïveté, deux traits d'Aurélie qui m'enflamment. Si ce n'était de ma copine toute proche et de la situation actuelle, je serais vraiment tenté d'explorer la possibilité de baiser avec elle. Fidèle ou non, il faut comprendre qu'en ce moment très précis mes hormones ont largement le dessus sur mon cerveau. Ironique quand même. Ma copine sur le point de se laisser baiser par un autre homme et moi je garde tout de même mes distances avec la superbe femme qui est assise à quelques petits centimètres de moi.

"Nerveux moi? Mais c'est Aurélie qui..."

Cécilia sourit, se tourne complètement vers moi et s'approche un peu. Personne ne nous porte attention et ses mots sont de toute façon très discrets. "Tu le sais comme moi. C'est ta jolie copine qui s'apprête à se faire belle pour la caméra. Ce jeune garçon va ouvrir sa robe et elle va bientôt être toute nue. Tout le monde pourra regarder sa petite chatte poilue que tu aimes tellement et c'est devant tes yeux impuissants que ce mec va y planter sa grosse bite." Cécilia se rapproche encore plus, elle passe une de ses jambes par-dessus la mienne et s'installe pour chevaucher ma cuisse tout en comblant les centimètres restants. Je dois faire un immense effort mental pour ne pas aller lui prendre le cul à deux mains.

Je sens ses seins s'appuyer contre ma poitrine alors qu'elle passe ses mains autour de mon cou et approche sa tête. Son odeur est enivrante et son haleine me donne le goût de l'embrasser. "Essaie d'imaginer la scène quand il va la pénétrer à fond. Il va ressentir toute cette douceur qui jusqu'à maintenant était réservée à toi. Quand ses couilles vont cogner contre son joli sexe et quand les douces lamentations de ta belle vont finir au fond de sa bouche à lui alors qu'il explore la sienne sans se gêner..." Cécilia me domine totalement. Bien assise sur moi, elle balance son bassin tout doucement et frotte sa chatte sur mon abdomen.

Soudain, je panique! Si Aurélie nous voit elle va péter un câble! Heureusement, un coup d'oeil rapide me permet de voir qu'elle est dos à nous pendant qu'Étienne lui explique quelque chose, elle semble absolument absorbée.

La créature de rêve accroupie sur moi continue la délicieuse torture en passant les doigts d'une de ses mains sur la peau de mon cou. Elle me susurre à l'oreille: "Dans tout juste quelques secondes, ton adorable petite Aurélie va se faire culbuter par un autre mec et on va tout bien filmer pour que ce moment demeure éternel. En plus, le mec en question est un abruti qui nous énerve tous les deux. Ce n'est pas un peu frustrant ça mon joli?" Ses lèvres sont tellement proches de mon oreille que j'attends à ce qu'elle m'y donne un petit coup de langue pour m'aguicher d'avantage.

Elle prend une petite pause pour me laisser bien apprécier l'implication. Elle m'a rapidement saisi, cette fille. Elle a très vite compris ce qui m'allume et même si elle me l'annonce comme si c'était une catastrophe sur le point de se produire, j'en suis impossiblement excité. Mon fantasme va se produire d'une seconde à l'autre et la seule chose qui gâche le moment c'est que le mec en question est effectivement un imbécile. Cécilia marque tout de même un excellent point: maintenant que c'est sur le point de commencer, je suis excité comme si c'était ma première baise.

"Alors, nerveux?" Me demande-t'elle à nouveau. Je ne peux plus dire si sa voix est douce ou cruelle.

"Horriblement nerveux."

Cécilia se retire de quelques centimètres, juste assez pour se donner du jeu pour porter sa main à mon entrejambe et caresser discrètement mon membre déjà dur comme un roc. Son toucher léger mais habile m'envoie des frissons dans le corps. Elle s'attarde un peu et fait durer la torture en faisant de doux mouvements de va et vient par-dessus mon pantalon, son pouce glissant sur le bout de mon pénis pour augmenter la torture. Je frôle l'extase. Je suis tellement stimulé qu'un simple baiser de ses lèvres suffirait surement à me faire jouir comme un débutant.

"Au moins, tu sembles apprécier le spectacle mais quelque chose me dit que c'est pas juste ta jolie copine qui te fait bander en ce moment, mon mignon. T'aimerais pas ça savoir si ma chatte est aussi douce que la sienne? Tu ne trouves pas ça injuste que ta belle Aurélie te rende cocu quand moi je pourrais te donner une baise dont tu te souviendrais toute ta vie? Tu m'imagines nue? Complètement à poil, assise sur ta verge à crier comme une salope pendant que ta copine se fait défoncer la minette juste à côté? "

"Oh putain ne me dis pas ça... Pas parce que j'en pas ridiculement envie mais, je peux pas faire ça à ma copine, je l'aime cette fille. Ce qu'elle fait aujourd'hui, elle le fait parce qu'on est les deux d'accord. Je sais qu'elle m'aime aussi. Je ne suis pas cocu, ma copine n'est pas sur le point de me tromper, elle s'apprête à jouer un rôle et rien d'autre."

Je prends une petite pause. Je sens que Cécilia va se foutre de ma gueule d'idéaliste et se mettre à rire comme une harpie mais tant pis. D'ailleurs, je prends le temps d'ajouter, juste pour elle. "Même si, je dois l'admettre, tu es jolie, tu es belle, tu es bandante comme c'est pas possible."

C'est à ce moment que Cécilia fait la dernière chose à laquelle je me serais attendu. Elle me sert fort contre elle et je sens que ce geste n'a plus rien de sexuel. "Tu me surprends, mon coco. T'es un bon mec et tu ne laisses pas ta queue décider pour toi même si c'est clairement ton morceau le plus éveillé en ce moment." Me roucoule-t-elle tout doucement à l'oreille. "Je pense que je vais bien m'entendre avec toi, surtout si tu me laisses baiser ta copine un jour."

Pendant que je laisse cette dernière image mentale mijoter dans mon esprit, Cécilia se retire doucement et se rassoit à mes côtés. "De toute façon, ça aurait pas marché entre nous, t'es pas mon genre." Ajoute-elle avant de me faire une grimace discrète.

"Toi, t'es une putain de succube." Je lui réponds en souriant. Elle ne dit rien mais me renvoie un sourire plein de promesses. Me serais-je fait une amie?

La distraction terminée, Il est maintenant temps de se concentrer sur le spectacle. Étienne a déjà commencé à filmer et Aurélie s'est approchée de Max mais rien d'autre ne s'est passé. Elle ne semble pas avoir eu connaissance de notre petite... conversation.

Debout toute proche de son futur partenaire sexuel, elle lui caresse les cheveux délicatement mais semble un peu hésitante à bouger. Je peux déjà imaginer le résultat, vu le filtre sépia et tout, c'est gagné d'avance. On dirait vraiment un film du début du siècle avec la jolie femme dans la trentaine qui cherche à initier le jeune garçon aux plaisirs du corps.

"T'es mignon max. Tu ne me fera pas trop mal?" La voix d'Aurélie est cajolante mais si j'étais à la place de Max, je serais très sérieusement en train de me demander si elle se moque de moi.

"T'en fais pas mamie, je vais quand même pas te frapper mais je vais te défoncer comme une salope. Je vais me faire ta putain de grosse chatte poilue."

Cécilia semble découragée. "Quel tombeur..." Je dois avouer qu'en matière de dialogue érotique, c'est largement comparable à de la merde. C'est finalement une bonne chose que le film soit muet.

Aurélie recule d'un petit pas et cesse de toucher les cheveux de son partenaire douteux, visiblement éteinte par cette réplique des plus désenchanteresse. Comme si elle venait de baisser sa garde et que c'était le moment attendu, Max s'élance. D'une main il saisit la robe d'Aurélie par la taille et tire brutalement vers lui. Surprise, Aurélie ouvre grand les yeux et pousse un petit cri de détresse alors qu'elle perd l'équilibre et titube vers l'avant, s'inclinant pour reprendre prise et éviter de tomber. De son autre main, Max la saisit par les cheveux, la force vers lui et l'embrasse agressivement. Ce n'est pas exactement ce que j'avais imaginé comme premier contact

"Holà... doucement mon vieux. Je sais qu'elle est jolie et que tu es excité mais tu es censé être initié ici." Lance Étienne. Le jeune homme lâche prise et Aurélie essaie de reprendre un semblant de dignité.

"Quel con..." Soupire doucement Cécilia, juste assez fort pour moi mais en s'assurant que Max n'entende pas. Peu importe; en ce moment précis, Max ne semble avoir qu'une seule idée en tête; il n'a visiblement plus aucun problème avec l'idée de baiser "la mamie".

Cécilia se lève et se dirige vers Aurélie. "Replaces toi où tu as commencé ta scène." Commande Cécilia. "Toi l'excité, bouge un peu du chemin et observe!" La jeune femme prend la place assise qu'occupait Max et continue sa démonstration. "Tu es censé explorer, découvrir. Tout est doux et merveilleux, regarde..." Cécilia prend gentiment la main d'Aurélie pour la faire se rapprocher d'elle. Elle place son autre main sur les fesses couvertes de velours et caresse sans trop se presser et sans jamais quitter son regard des yeux de la belle. Abandonnant la main d'Aurélie, Cécilia glisse ses doigts tout le long de l'abdomen de sa nouvelle chérie et s'arrête pour délicatement agacer le bout de ses mamelons au travers la robe. Aurélie sourit, ferme les yeux et soupire tout doucement.

"Quand tu sens qu'elle est à l'aise, tu l'invites silencieusement à s'asseoir à côté de toi." Souffle Cécilia en indiquant une place sur le lit. Aurélie s'approche et prend place dans un mouvement si délicat, si empreint de féminité que même Max peine à garder son calme. Cécilia passe un de ses bras autour de la taille d'Aurélie, s'approche d'elle et l'embrasse longuement, profondément pendant que son autre main fait la navette entre le visage, les seins et la chevelure de ma copine. Leurs jolies bouches s'explorent mutuellement, leur jeu de langue me laisse euphorique; les légers soupirs sont bientôt peuplés de douces lamentations mutuelles, pleines de promesses. Aurélie a tôt fait de passer un bras autour des épaules de sa belle tortionnaire pendant que son autre caresse la poitrine de Cécilia. Les deux filles sont prises dans une étreinte passionnée et ne se quittent plus pour un moment qui m'est très agréable.

Quand Aurélie finit par être libérée de l'étreinte de Cécilia, elle est haletante et excitée. Elle frissonne un peu et ses yeux trahissent le désir. Elle peine à se séparer de l'autre belle, je devine sa chatte chaude et mouillée: elle est fin prête à se faire baiser mais c'est selon moi Cécilia qui devrait avoir ce privilège.

Ou moi. Allez savoir.

"Merci Cécilia." Lance Étienne qui n'a pas perdu une seconde de cette précieuse scène. "Aurélie, relève-toi. Max, tu peux faire pareil?" Max hoche la tête, il semble avoir compris.

Tout le monde reprend place, Max reste assis sur le lit et garde le silence. Aurélie, toujours sous l'euphorie charnelle du moment tente de récupérer la situation en lui faisant les yeux doux et en s'approchant avec une hésitation qui multiplie le niveau d'érotisme de la scène. Elle laisse sa main droite descendre vers lui et s'attarde à caresser délicatement son pénis en érection. Je ne sais pas si elle pense que c'est dans la nature du rôle mais elle continue de lui offrir un large sourire. Gênée peut-être? Encore sous l'emprise des caresses de Cécilia? Une chose est certaine: être à la place de ce Max, avoir eu 20 ans et devoir me faire initier au sexe, j'aurais aimé que ce soit par elle et exactement de cette façon. Putain qu'elle est belle.

Puisque le jeune homme ne semble pas parti pour l'inviter doucement comme on vient de lui démontrer, Aurélie s'approche encore jusqu'à ce que les plis du bas de sa robe touchent les jambes de son jeune cavalier.

Ce léger contact physique déclenche une réaction immédiate. Aussi soudainement que lors du premier essai, Max se lève et se rue pratiquement sur Aurélie. Le mouvement est si brusque qu'elle abandonne son pénis et lève les bras, ne sachant trop que faire de ses mains. Max lui saisit simultanément un sein et une fesse et se met à les tripoter rageusement avec une hargne inexplicable; rien à voir avec ce qu'on vient de lui démontrer. Il y met tant d'énergie que j'ai mal pour Aurélie. Ses fesses sont capable en prendre, j'ai déjà essayé, mais y aller aussi brutalement avec ses seins?

Aurélie pousse un petit gémissement de douleur. Je suis à la fois outré et excité. Étienne se contente de laisser les choses aller pour le moment. Max en rajoute en se rapprochant le plus possible et en se mettant à donner des coups de hanches pour frotter son pénis en érection sur le velours qui recouvre l'abdomen de la belle. Aurélie est si mal à l'aise, c'en est palpable. Cécilia est découragée et moi j'ai le goût de me lever pour cogner cet imbécile.

"Max bordel, c'est quoi ces conneries? C'est elle que tu dois baiser, pas sa robe! Tu lui fais mal et tu as l'air d'un con! C'est pas crédible merde! On coupe!"