Le Professeur et sa Harley Davidson

BÊTA PUBLIQUE

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C'est ce arriva quand en passant dans une allée, en compagnie de Aïda qui, dès qu'elle m'a vue arriver avec le T-shirt, me fit un sourire coquin et un clin œil comme pour me dire "Oh, toi alors!" En voyant "notre" prof arriver alla franchement dans sa direction pour le saluer, il lui fit même la bise car après tout, il était de sa famille. J'avais continué mon chemin puis me suis arrêtée pour l'attendre et, je les vire venir tous les deux dans ma direction. Son regard, en me serrant la main, fixa, je ne sais si c'est ma poitrine ou mon t-shirt ou les deux, toujours est-il que dans son regard il ne put me cacher son excitation. Il avait reçu le message 5 sur 5 et je savais qu'il pensait déjà à l'étape suivante maintenant que j'avais consenti à jouer "sa" Harley Davidson!

Je déballais mon matériel pour le cours quand j'entendis une notification sur mon smartphone, celle de whatsApp. Je vérifie. La veille, en rentrant, j'avais noté le numéro marque sur le message plié en me gardant de mettre HD au lieu de son nom ou sa fonction. C'était lui. En mettant le mode Avion sans ouvrir le message, l'idée de distinguer ses messages par une autre notification me traversa l'esprit. Ce n'est qu'à la récréation que je suis allée m'enfermer aux toilettes pour lire et peut lui répondre.

- Heureux que tu aies accepté! Disait le 1° message puis toute une série :

- Quand et où pourrais-je faire une balade, Harley Davidson?

- je ne veux surtout pas faire pression, tu restes libre de décider...

- Le T-shirt est à mes yeux la plus belle des trouvailles pour me dire oui!

- Je rêvais d'une moto de la marque, maintenant mon rêve, c'est toi!

- Ma Harley Davidson! (Suit un émoji de cœur)

Mon Coeur trépignait tant pour l'aventure que pour tous les risque que nous prenions. Si pour moi, c'est scandale éventuel, pour lui, c'est sa carrière, son mariage et peut être même une plainte judiciaire si mes parents venaient à l'apprendre. Quand on entre dans ce tourbillon sensuel, le cerveau primitif, celui de l'instinct naturel, avec tout le processus hormonal, résister devient presque impossible et, au contraire, il y a comme une incitation qui se crée, s'installe en permanence au point qu'on ne pense plus à rien d'autre qu'à ce devient, d'heure en heure, comme un besoin, une obsession et une curiosité. Au moment où je me demandais si je devais répondre et quoi lui dire, un autre message tomba :

- Si tu as lu, ne me réponds que si, comme pour moi, quelque chose est née en toi. Prends ton temps, s'il te plait mais ne me fait pas trop languir, je pourrai croire que j'ai été maladroit!

- Ah, oui, stp, quelle que soit ta réponse, efface tous ces messages.

Ma vie allait changer depuis ces instants. Même si je ne savais pas encore quelle suite donner, son image ne me quitta plus. Comme un bouton, bénin mais présent, il était quelque part au fond de mon esprit, dans ma tête au point que, à chaque que je voulais sortit, il me fallait penser à mon look au cas où on se rencontrerait.

C'est le soir, après avoir diné qu'il se mit à m'écrire et comme j'avais choisi pour le distinguer, un son de notification, à peine audible, en rentrant, après le dernier cours, j'entendais les sons tomber et les messages s'accumuler. Une douche pour me permettre de réfléchir, puis, nue dans ma sortie de bain, je me mis sur le lit, un jus d'orange pour me calmer. J'ouvrai ses messages. Plus d'une vingtaine en tout et dès le premier, le ton est donné :

- Harley! Qu'est-ce que tu m'as fait?

- Je ne pense plus qu'à toi, c'est étrange!

- J'ai l'impression que j'ai rencontré celle à laquelle j'ai toujours rêvée.

- STP, juste un Oui ou un Non pour que je puisse décider si je dois continuer à rêver ou si je dois oublier.

- Tout à l'heure, je t'ai suivie du regard, dans la cour. Ce que tu es belle, attirante et si féminine.

- Je ne voyais plus les autres, tu étais seule dans la cour.

- Peux-tu m'expliquer ce qui m'arrive?

Suivent des messages de plus en plus chauds et, plus ils se livrait et plus il devenait audacieux. Comme pour me convaincre, il livrait son va-tout.

Le dernier message était une question, comme un ultimatum et après :

- Je sais que c'est risqué et dangereux si cela venait à se savoir mais j'accepte de prendre ce risque si toi aussi, tu le veux.

- Dis-moi, stp, simplement c'est OUI ou NON!

La lecture de tous ses messages m'as mis dans un tel état qu'il m'a fallu les relire plusieurs fois jusqu'à ce que l'index tremblant tappa :

- OUI!

Toute la soirée, c'est une déferlante de message, de plus en plus chaud, de plus en audacieux et osés. Au sommet de ce monologue, car je ne répondais que par oui ou non, la question qui le taraude : "Comment allons-nous faire une balade?" pour rester dans son thème favori de biker qui veut monter sa moto! Il me suggéra divers scénarios, tous ou presque, risqués avec cette crainte omniprésente de nous voir ensemble.

- Je vais aller dormir, demain je me lève tôt mais je vais rester avec toi, dans mes bras, jusqu'au réveil. Fut son dernier message. Je pris soin de tout effacer, on ne sait jamais. Mon propre professeur était amoureux de moi et, de mon côté, j'avoue que cela flattait mon ego et il me fut difficile de trouver le sommeil cette nuit-là!

Pendant plusieurs jours j'eus droit à un flot incessant de message, de plus en plus osés allant du frémissement de mes lèvres quand, en classe, je réponds à une question, au vertige de mon déhanchement dans la cour. Vint le moment tant attendu, celui où nous devions trouver le moyen de nous rencontrer sans attirer l'attention et à l'abri des regards. Ce soir-là, il était fougueux plus que d'habitude surtout que pendant les travaux pratiques de la matinée, il m'avait collé jusqu'à sentir son souffle dans mon coup. Il est vrai que la manipulation était délicate mais, je sais, qu'il a profité de l'occasion pour se frotter à moi, d'autant plus que je ne fis rien pour m'écarter, au contraire, j'ai même trouvé du plaisir à son contact :

- Tu sais, toi, tu es en train de me faire perdre la tête. Dans son premier message.

- Je ne fais rien, moi et c'est même toi qui me provoques.

- Rien que le fait de te voir, c'est la pire des provocations!

- Tu exagères, non?

- Dis-moi, as-tu pensé à comment faire pour nous rencontrer en dehors?

- Je ne vois pas comment. Ils ont mon emploi du temps et savent à quelle heure je dois être à la maison.

- J'ai pensé à quelque chose mais je sais que tu ne vas pas vouloir!

- Dis toujours!

- Le soir à quelle heure, tout le monde dort, chez vous?

- Quoi? Tu veux que je fasse le mur et sortir en pleine nuit?

- Non, je sais que tu ne pourras pas le faire. Vers quelle heure, tout le monde dort, chez vous? Normalement.

- Moi vers 22h je gagne ma chambre mais eux, cela dépend.

- Cela dépend de quoi?

- Des fois ils regardent un film ou mon papa, un match de foot ou les news! Pourquoi cette question?

- Qu'est-ce que tu dirais si je viens vers 00h ou 01h?

- Tu viens où?

- Chez toi! Je sais que vous habitez un pavillon avec un grand jardin.

- Comment tu sais?

- C'est Aïda qui m'a donné cette idée!

- Celle de venir la nuit comme un voleur?

- Non, elle me décrivait où vous habitiez et j'ai eu cette idée.

- Oublie, s'il te plait, c'est une idée folle!

- Je t'assure que c'est sans risque si nous prenons toutes les précautions. Soit, tu me rejoins dans le jardin, soit tu me fais entrer!

- C'est complètement hors de question! Tu imagines si on nous surprend, le scandale, ta carrière, ton mariage, tu risques même d'être arrêté et jeté en prison. Non oublie!

- Si je te dis que pour te voir, passer un moment avec toi, je suis prêt à courir ce risque!

- Je te dirais que tu perds la tête!

- C'est ce que je me tue à te dire depuis des jours! Ecoute, ne me dis pas non et promet-moi d'y réfléchir.

- Non c'est impossible!

Nous continuâmes cet échange fou et inimaginable même en rêve. Lui à m'expliquer que si nous prenons nos précautions, nous passerions quelques heures ensemble, l'un dans les bras de l'autre et moi, à sentir le petit diable gigoter comme pour me donner le sourire et reconsidérer mon refus à courir tant de risques pour quelques instants voluptueux et sensuels. J'avoue qu'avant de trouver le sommeil, j'étais déjà à rêver, à imaginer, à réfléchir comment faire. Je fis le tour de toutes les issues dans ma tête et c'est en allant chercher un verre d'eau que je vis la porte arrière de la cuisine qui donnait sur une petite cour. Je fis même le geste de l'ouvrir pour sortir et examiner comment et par où il pouvait venir. Quelque chose, en moi, s'était enclenchée et des films défilaient dans ma tête en songeant aux précautions à prendre : D'abord, le silence absolu, ma mère avait le sommeil très léger, ensuite, l'obscurité absolue pour l'accueillir et le mener jusqu'à ma chambre. En cas d'imprévu, il pouvait toujours s'échapper par la fenêtre qui donnait sur le jardin ou prévoir, de la place dans le placard.

En me mettant au lit, je me suis murmuré, presque à voix haute, "Mais qu'est-ce qui me prend?"

C'est Teddy, notre chat, qui me donna l'idée. Avant, Teddy était comme un meuble ou un bibelot. De temps à autre, il passait en ronronnant en se frottant contre ma jambe mais sans plus. Je savais qu'il habitait avec nous mais sans plus. Quand le projet diabolique qui germait dans ma tête, il me fallait trouver comment attirer l'attention. Comme sortir la nuit sans raison, cela pouvait mettre la puce à l'oreille aux proches. Je me mis à me rapprocher de Teddy, à le caresser, à le goinfrer de croquettes tant et si bien que l'animal changea d'attitude et comme par hasard, dès que je rentrai, il était dans le couloir comme s'il m'attendait. Il se mit à chercher une place près de moi, devant la télé, sous la table, à la cuisine quand je prenais mon petit déjeuner. Au point que Maman me dit, un jour :

- Teddy semble s'attacher à toi!

- C'est ce que j'ai remarqué. Peut-être qu'il manque d'affection.

- Surtout, ne lui donne pas de mauvaises habitudes.

- Comme quoi?

- Comme dormir dans ton lit, il met des poils partout!

Au fond, dans ma tête, le petit diable travaillait à me trouver tout ce qui peut m'aider à éviter tout risque et sur mon smartphone, le professeur apportait sa touche pour m'encourager à aller de l'avant.

Un jour, à la fin du cours, je restai la dernière pour aller vers le professeur. Il fit comme si j'étais une élève quelconque et quand il vérifia que tout le monde était parti :

- Alors? Me demanda-t-il en me fixant droit dans les yeux.

- J'y ai pensé mais, toi, comment tu vas justifier ton absence la nuit?

- Tu me dis quand et je trouverai comment.

- Moi c'est quand tu veux. Après Minuit, c'est possible mais tu attends jusqu'à je te prévienne par message.

- Ne t'inquiète pas, tout ira bien si tu as su prendre toutes les précautions.

- Ok, à plus!

- Attends! Tu feras de moi l'homme le plus heureux si cela se réalise.

- Arrête! Allez, on reste en contact ; et j'ai filé comme si j'avais peur qu'il se livrerait à une folie si je restais tellement il s'était excité.

Trois jours après, un message :

- Cette nuit? Tu peux?

- Et ta femme?

- Chez ses parents, je la rejoins le week end.

Puis,

- Ah si tu pouvais venir chez moi, nous serions plus tranquilles et sans risque.

- Tu oublies qu'on me connait dans ton quartier!

- Ok, ce soir alors! Tu as tout bien pensé, au moins?

- Après minuit, tu stationnes dans la rue derrière, du côté du garage et de la cuisine. Je te contacte sur whatsApp.

- (Une série de petits cœurs)

Toute la soirée passa comme si j'étais ailleurs, sur un nuage. Le diner puis je regagnai ma chambre prétextant des devoirs. Chez nous, les études, c'est juste ce qui vient après Dieu. Je savais que personne ne viendrait me déranger. De ma fenêtre, je pouvais voir la rue et en attendant l'heure fatidique, je me suis occupée à mettre de l'ordre, un peu pour ne pas frétiller d'impatience et beaucoup pour ma chambre soit plus un antre pour le plaisir qu'une vulgaire chambre d'étudiante. Vers 23h, toute la maison était plongée dans le silence. Je fis un tour vers la cuisine, je ne tenais plus en place et je refis même le chemin de la porte de la cuisine vers ma chambre en écoutant le bruit ou le grincement des portes, en mémorisant chaque meuble ou objet car, je savais que sa venue devrait être dans l'obscurité totale et le silence absolue.

Vers 23h30, un message :

- J'espère que tu n'as pas changé d'avis, je sors pour venir!

Je ne répondis pas sur le moment. Dans ma tête, des milliers de pensées, un brouhaha dans mes oreilles et un cœur qui change de rythme chaque minute. Je me mis à la fenêtre et je lui envoie :

- Non, ça tient toujours. Je t'attends. Essaie de passer, en voiture devant l'entrée pour que je sache que tu es arrivé et stationne dans la rue de derrière mais loin de chez nous.

- (Un Coeur + Un pouce vers le ciel). Il arrive, me dis-je et dans ma tête, je fais le trajet qu'il allait suivre. La nuit, la circulation étant presque nulle, il sera là dans un quart d'heure.

Vers 23h45, je vis des phares, puis la mini Cooper passer. Arrivé devant chez nous, il ralentit, scrutant la façade et il me vit, sort son bras et me fait signe. J'éteignis les lumières et, armée du seul flash de mon smartphone, j'allais à la cuisine, ouvre doucement la porte et sort dans la petite cour. D'entre les branches des hibiscus qui faisaient le tour de la cour et du jardin, j'attendis et j'entends des pas. Je le vis et j'allumai le flash pour attirer son attention. Il s'approcha. Je lui chuchote,

- Tu restes ici, je vais déverrouiller la porte d'entrée. Je pars sur la pointe des pieds, tourne le loquet et reviens vers lui :

- Vas-y et ne fais pas de bruit! Il fait le tour, je surveille la porte. Elle s'ouvre, il entre, me cherche du regard, je lui fais signe. Quand il arrive, je lui prends la main et le précède dans la cuisine, puis le couloir et enfin dans ma chambre. Je verrouille et avant de tirer les rideaux, je lui fais signe d'approcher.

- En cas de pépin, tu sautes par la fenêtre! Je tire les rideaus et je le sens tout contre moi. Il me prend dans ses bras, m'embrasse dans le coup :

- Enfin, Tu ne peux pas savoir combien j'attendais ce moment. Je me tourne vers lui

- Chut! Parle à voix basse. Ma mère a le sommeil très léger. Avant même de terminer ma phrase, il m'embrassa sur les lèvres et comme neige au soleil, je me mis à fondre. Notre premier baiser sembla durer une éternité. Nous avions tellement soif, l'un de l'autre, que nous pouvions rester ainsi jusqu'à l'aube. Nos yeux s'étant habitués à la lumière qui venait des lampadaires, nous pouvions nous voir, nous regarde dans les yeux. Je recule et l'entraine vers le bord du lit, nous nous installâmes et, moi, toujours dans ses bras, j'étais séduite, conquise pour ne pas dire offerte à ses mains, sa bouche. Il me poussa sur le lit, nos pieds encore sur le sol, il se mit à explorer d'abord mes lèvres, mon visage, mon cou. Au fur et à mesure qu'il avançait, je lui ouvrais le passage. Il me retira le blouson de mon survêt, puis le débardeur. Il chercha à glisser sa main dans mon dos pour dégrafer mon soutien-gorge qui s'ouvrait en avant. Il parut étonné quand mes seins qui se libérèrent comme pa magie! Il en prit possession avec fougue, avidité et comme quand on s'oublie quand on dévore un fruit mûr et délicieux, je n'étais plus dans ma chambre, chez nous, sur terre. Il glissa sa main vers mon ventre puis sous le pantalon qu'il poussa vers le bas :

- Attends! On est mal installés, non? Il se releva et je me mis à monter sur le lit. Il profita pour retenir le pantalon et, au fur et à mesure que je m'installai sur le lit, il me déshabillait. Il se leva, entreprit de se dévêtir et me fixant du regard, il guettait ma réaction quand il ôta son boxer. Quelle érection et quelle queue! Me dis-je. A ce point, je pouvais l'exciter jusqu'à me demander qu'aurait-il fait si je me refusais à lui? M'aurait-il violée de force? Quand je sentis son corps contre le mien, même le viol devenait un plaisir qu'une femme pouvait espérer devant tant de sensualité et de volupté. Une jambe glissa entre les miennes et il se figea pour me demander :

- Tu es encore vierge? En me regardant droit dans les yeux. Sa queue dure sur le haut de ma cuisse, comme si elle attendait un signal.

- Si je te dis oui, qu'est-ce que tu ferais?

- C'est pour cela que je te pose la question! C'est toi qui décides. Déjà le fait qu'on soit ensemble est pour moi un rêve réalisé. Il me fixa et attendit ma réponse et je pense qu'il l'a lue dans ma manière de le regrader car il m'embrassa entre les seins et se mit à parcourir, avec ses lèvres, mon ventre tout en se mettant à genoux pour venir me prendre par les fesses et me soulever. Je compris que c'était sa façon de "me boire" car sa bouche sur ma vulve, comme un tonnerre dans ma tête, je pense, un instant, m'évanouir quand ses lèvres, sa langue prirent possession de toute mon intimité. Tous mes muscles frissonnaient quand enfin il me déposa et vint sur moi. Je sentis sa queue, que dis-je? J'accueillais sa queue avec cette moue qui fait perdre la tête à tous ces mâles en rut quand la promesse devient acte. Il me pénétra doucement, lentement et profondément! Il s'immobilisa, toujours en moi :

- Je vais te poser une question et réponds-moi sincèrement.

- Oui vas-y!

- Si je divorçais, accepterais-tu de m'épouser?

- Non! Dis-je sans même prendre le temps de réfléchir.

- Pourquoi?

- Je ne bâtirais pas mon bonheur sur le malheur d'une autre même si elle était mon ennemie!

Il reprit son va et vient, il était heureux, insatiable mais tendre et doux. Je ne sais plus combien de fois nous avons fait l'amour mais quand, en sortant d'un orgasme, je vis l'heure sur l'horloge digitale sur la commode. Je me mis sur le coude pour lui murmurer :

- Je suis désolée, c'est l'heure de partir, il est 04H30. Il m'enlaça, me tira vers lui.

- S'il te plait, ne me fait pas attendre longtemps. De mon côté je vais essayer de trouver une solution moins risquée pour nous rencontrer. Il se leva, je le regardais s'habiller. Je couvris ma nudité d'un drap et me levai. Un autre baiser, plus reconnaissant que fougueux et je lui pris la main pour aller ouvrir la porte, jeter un coup d'œil pour refaire le chemin inverse vers la sortie. Sitôt dans mon lit, je sombrais dans un sommeil si profond que je ne me réveillai que vers 1Oh.

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