Les malheurs de Clotilde Ch. 04

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ça continue pour Clotilde.
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4

Partie 4 de la série de 24 pièces

Actualisé 06/15/2023
Créé 12/19/2018
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Cette histoire est basée sur la déchéance d'une femme. C'est violent et difficile à lire pour une âme sensible. Si vous n'aimez pas le genre, vous n'aimerez pas cette histoire, alors inutile de la lire. Pour les autres, bonne lecture, car je pense que c'est mon meilleur texte écrit jusque à présent.

Sinon, étant Italien, et arrivé à vingt ans en France, j'ai appris le français parlé, auprès de ma mère qui est française. Par contre pour ce qui est de l'écrit, je l'ai appris à l'école, en Italie, ce qui explique que j'ai pas mal de lacunes. Malgré les correcteurs d'orthographe et les petits trucs de quelques lecteurs, mes textes sont truffés de fautes d'orthographe, notamment sur le pluriel des verbes, mais aussi de fautes de grammaire. Veuillez m'excuser pour ce souci, que j'améliore à chaque texte. Pour ce que cela rebute, éviter de le lire, si pour vous l'orthographe est plus important que le texte. Je remercie pour leur courage ceux qui me pardonne ces fautes, et me lise quand même. Bonne lecture à vous.

C'est l'impression d'être dans un bateau pris en pleine tempête qui me réveille. J'ouvre les yeux, c'est juste Jérôme qui me viole. Je regarde par la baie vitrée, il fait jour, je n'ai pas dut me reposer longtemps. Je grogne de douleur tant sa bite torture mon sexe. Greg qui regardent Jérôme me prendre en buvant un verre avec Meyer, voit que je suis réveillée.

- Alors la belle au bois dormant, on est enfin réveillée?

Je ne lui répond pas. Il enchaîne.

- Il est sept heures du matin. On t'a baisée toute la nuit sans que tu te réveille. Je peux te dire que l'on t'a bien remplit.

Je suis horrifiée, ils m'ont violée pendant mon sommeil. J'ai dormis pendant treize heures. Jamais je n'ai dormis autant. Greg sourit en voyant mes larmes qui jaillissent de nouveau.

- Je te rassures, on ne t'a baisée que huit heures pendant que tu étais endormie. Nous aussi on s'est reposés pour être en forme.

Je ne répond pas, juste, je pleure plus fort.

- Surtout que aujourd'hui, c'est le jour de ta punition. Pour cette fois je ne te punirais pas pour avoir dormit trop longtemps. Par contre la prochaine fois, oui.

Je reviens à Jérôme et à son viol. Il accélère ses coups de reins. Il se fiche en moi en grognant. Il vient de se vider. Il se retire, mais déjà Greg approche. Il se met nu, se couche sur moi, et me viole lui aussi. Après lui, c'est Meyer qui me prendra. Ils me violeront deux fois chacun, me faisant hurler de douleur.

Ils mettent une écuelle d'eau par terre. Je bois, à quatre patte, comme une chienne. J'ai faim, mais je n'ose le leur demander. Ils ne me donnent rien à manger quand je n'ai plus soif. Ils me sortent, me font uriner dehors. Ils me font boire leurs urines aussi. Mais cette fois, quand je rentre, j'ai droit à une douche, sans viol. Je peux même me laver les dents. Ça fais du bien. Ensuite on descends au sous-sol. Une chaîne terminée par une paire de menotte pend au plafond.

Greg me fait lever les bras au-dessus de ma tête. Il me menotter les poignets, au maximum de ce qu'il peut. Je crie de douleur quand les bracelets se referment sur mes poignets. Greg a une télécommande en main. Il s'en sert, la chaîne remonte, jusque à ce que mes orteils touchent à peine le sol. Et encore, si je me tiens sur la pointe des pieds. La voix de Greg retentit alors.

- C'est l'heure de ta punition ma belle!

Je fonds de nouveau en larmes. Je ne m'arrête jamais longtemps de pleurer. Dès que je me calme, un de ces monstres trouvent le moyen de me faire replonger. Je tremble de peur, j'ai déjà mal aux bras, aux orteils.

- Si je t'ai placé ainsi, c'est pour avoir le plaisir de te voir te débattre, sans avoir la possibilités de trouver un point d'appui!

Je n'ai aucune idée de ce qu'il dit, mais je sais une seule chose, je vais vraiment morfler, je le comprends au ton de la voix de Greg.

- Ta punition sera la cravache. Je vais te frapper avec. C'est un cadeau, la prochaine fois ce sera le fouet.

Je n'ose lui répondre, je n'ose le supplier. Quand il cesse de parler, je sais que le moment est venu. Mes omoplates et la raie de mes fesses se resserrent. Je suis tellement terrifiée, qu'une envie de faire pipi alourdit mon bas-ventre. J'y résiste désespérément. Puis siffle le cuir comme un serpent. La cravache me mord par le travers de mes belles fesses. Je sursaute avec une telle violence, que je décolle du sol. Je me refuse cette fois, vaillamment, à leurs donner le plaisir d'entendre mes plaintes. Alors je me mords la lèvre, avec une telle force, que le goût du sang envahit ma bouche.

Au second coup, ma tête se renverse en arrière, tandis que je danse, telle une poupée désarticulée, au bout de mes chaînes, qui cliquettent sinistrement. Il n'y a eut que deux coups, que déjà j'ai l'impression d'être dans le dernier cercle de l'enfer. Les trois rigolent de me voir comme cela. Comment peut-on prendre autant de plaisir à voir un être humain ainsi souffrir? Quels monstres peuvent-ils bien être?

Le rythme de la tannée devient infernal. La cravache est partout à la fois. Sur mon cul, là où il s'incurve, puis elle remonte sur le dos, et son claquement est plus mat. Puis la cravache revient à l'endroit roi, mon divin popotin, qui, avec le vagin, est un des principaux atout de la femme. Je suis en train de l'apprendre à mes dépens, mais le derrière de la femme, est l'endroit roi, le morceau de choix des séances de flagellation. Surtout que avec ma peau si fragile de véritable blonde, la cravache fait dix fois plus mal que sur une peau plus résistante, plus épaisse.

Au début je me suis promis, juré, j'ai crut pouvoir tenir... Et pourtant je m'entends gémir, me plaindre, crier, hurler. Je n'en peux plus, c'est horrible. Je n'ai jamais reçu une seul claque, un seul coup avant eux. Je craque. Je le supplies honteusement d'arrêter, ne serait-ce qu'un peu. Je promet tout à Greg : d'être complaisante, sage, servile. De leurs faire absolument ce qu'ils voudront... En vain... Je sens mon dos se recouvrir de marques. La cravache frappe mes seins, mon ventre, mon sexe même. Il me frappe encore et encore. Me faisant le maximum de mal sans abîmer mon corps. Les zébrures faites par la cravache disparaîtront au bout de quelques jours. Greg ne cesse de me battre que quand je pends de tout mon poids au bout de mes chaînes, jambes molle, évanouie, matée.

Je reviens à moi, encore dans le brouillard, sous les coups de pénis de Greg. Il me viole, possédant mon corps suspendu. Mes bras qui supportent tout mon corps pulpeux, me font presque autant souffrir que les parties cravachées de mon corps. Une douleur fulgurante me traverse, me faisant hurler à la mort et me tordre dans tout les sens au bout de mes chaîne, cette fois je suis complètement réveillée. Je rue si bien que le pénis de Greg est éjecté de mon vagin, où il allait et venait, bien au chaud. Mon hurlement de douleur se confond avec le juron furieux de Greg.

- Meyer, merde, prévient.

En effet, Meyer par pur plaisir sadique vient de me planter une longue aiguille dans le sein gauche. Profondément. D'abord je ressens une violente brûlure. Puis la douleur qui lancine et émet des ondes dans tout mes nerfs. Greg remet son pénis devant mon vagin, tandis que je pleure comme une folle. Il guide son engin dedans, tandis que je demeure suspendue. D'un coup de reins, le porc se réintroduit entièrement en moi. Il me bourre alors le sexe comme fou, me donnant des coups de reins furieux. Il fait balancer mon malheureux corps, mes seins, dont le gauche est encore orné de l'épingle, bougent en tout sens. Il me viole avec une telle frénésie, qu'il ne tarde pas à envoyer sa semence en moi, tout en m'insultant.

- Tient putain, prend tout!

Une fois vidé, il sort son braquemart de mon corps. Il l'essuie sur mes fesses, tout en affirmant :

- Elle est vraiment trop bonne cette chienne. Cette salope a un con chaud comme l'enfer.

Déjà Meyer prend sa place dans mon sexe distendu par les viols répétés. Tandis que pour faire bonne mesure, c'est Jérôme qui me plante une de ces monstrueuse épingle dans le sein. Le droit cette fois. Ils se gaveront de pilule « sexe-dure ». Me violant et me violant encore. M'enfonçant épingle sur épingle dans les seins. J'en ai une dizaine dans chacun de mes globes mammaires, certaines traversant mon mamelon droit, quand Greg m'en enfonce une dans le mamelon gauche. En longueur cette fois. Alors que personne ne me force le sexe. Je hurle comme une folle, ruant en tout sens, envoyant du sperme de partout. Avant de m'évanouir, enfin, sous l'effet de la douleur.

C'est encore Greg qui me réveille, en me giflant. Je suis allongée sur le dos, à même le sol. Je n'ai pas besoin de baisser les yeux, pour sentir les nombreuses épingles dans ma magnifique et orgueilleuse poitrine. Je ne peux pas les enlever, j'ai les mains menottées. Mais Greg s'en charge pour moi, me faisant de nouveau hurler. Il les retirent très lentement, les faisant tourner, me donnant ainsi le maximum de douleur, m'arrachant des hurlements de plus en plus stridents.

Quand la dernière épingle sort de mon corps, celle enfoncée horizontalement dans mon téton, je m'évanouis de nouveau. Je ne pense pas être rester dans le coltard longtemps, ce sont de nouveau des gifles qui me réveillent. Administrée par Meyer, elles sont aussi forte que par Greg.

Greg me surplombe. Il me sourit encore une fois. Moi, à peine revenu à moi, je pleure de nouveau, tant la douleur qui émane de mon corps est puissante.

- Tu souffre sale pute?

- O..oui...

- Bien, tu pourrais souffrir encore plus?

- Non... je.. ne... pense pas.

Il ne dit rien. Il me retourne juste sur le ventre. Il va sûrement encore me baiser, il m'a souvent forcé le vagin comme cela. Moi couchée sur le ventre, lui allongé sur mon dos, son pénis dans mon vagin.

Finalement, il m'enlève un bracelet, il me retourne, me menottant, pour changer, mes poignets sur le devant de mon corps. De plusieurs claque sur mes fesses, qui réveille ma peau encore douloureusement sensible à cause de la morsure de la cravache, il m'oblige à me mettre à quatre pattes. Greg vient se placer derrière sa pute, je suis certaine que c'est comme cela qu'il pense à moi, sa pute. Il passe sa main entre mes fesses. Il remonte sa main avec violence, en couperet, venant heurter mon entrecuisse en son centre, écrasant ma vulve tout en écartelant mes lèvres vaginale mouillées par toutes leurs semences. Il me fait très mal, me faisant couiner de douleur pour la énième fois.

Je ne sais pas pourquoi je ne me débats pas, ni pourquoi je ne supplie pas. Pourtant je ne prends vraiment aucun plaisirs à ce qu'ils me font. Mes larmes et mes cris sont là pour le prouver. Je suis amorphe, résignée, vaincu. Si seulement j'avais put savoir ce qui m'attendais...

Ce monstre ne cherche qu'à me faire mal. Mon clitoris qu'il pince, me lance comme sous un contact électrique. Les pétales de ma fleur, lésés, s'empourprent et enflent. Mais en agissant ainsi, Greg s'est économisé des paroles, et je me suis ouverte autant qu'il est possible. Mes genoux demeurant au sol, offrant mon arrière-train à la manière des bêtes. Il va sûrement me prendre en levrette, une position qui ne m'enthousiasme pas du tout. La pire de toute pour une femme violée comme moi. Ces trois monstres me vont vivre un enfer sexuel, un véritable gang-bang, entrecoupé de coups, de violences abject. Je ne sais pas comment je tiens. Moi qui n'aime pas le sexe, qui le déteste même, et bien ils sont arrivés à me le faire encore plus détester, la copulation, n'est plus, pour moi que synonyme d'horreur.

Greg me ramène, avec brutalité, mes poignets dans mon dos. Je ne sais pas pourquoi cette image apparaît alors rapidement dans ma tête. J'ai l'impression d'être une voiture sur cric dont on a ôté les deux roues avant. Je suis obligée de réagir comme tel. En supprimant le support du cric, la voiture pique du nez. Et c'est ce qui m'arrive. Ne disposant plus de mes avant-bras pour amortir le choc, je bascule en avant, en heurtant avec violence le sol de mon menton mignon. Je crie de douleur. Le choc me fait claquer des mâchoires, je me mords cruellement la langue, et me retrouve en définitive dans une position fort inconfortable... La plus inconfortable qui soit pour subir les assauts d'une immonde brute, qui se prend pour un taureau, dont par ailleurs, il a la bite.

Mince, j'ai pensé bite, et non plus pénis comme auparavant. En plus de corrompre mon corps, ces monstres corrompent aussi mon langage, mon cerveau, mon âme. Je suis tellement surprise et sonnée, que je n'entends pas le claquement sec et implacable des menottes se refermant dans mon dos, me livrant encore plus cruellement à mon agresseur. Greg m'a fait mal exprès, il m'aurait demandé de prendre cette position, je l'aurais fait de moi-même. Non, au lieu de ça, il a choisit la manière violente, douloureuse, l'enfoiré...

Privée de support, l'avant de mon corps plonge sur le sol, où, à chaque coup que va recevoir mon pont arrière, je me râperais méchamment les joues. Ma croupe, qui est, dans cette position, exagérément cambrée, n'en paraît que plus callipyge et obscène. Ainsi ma margelle enflée s'aperçoit encore plus clairement au centre de la raie écartée de mes fesses. Plus bas s'ouvre carrément ma motte grasse, martyrisée, gonflée de façon que mes deux ouvertures paraissent adresser un clin d'œil à mon bourreau.

Je n'en peux plus. Je voudrais les supplier, je voudrais hurler tellement j'ai mal dans mon corps comme dans mon âme. Je n'ai plus aucun velléité de résistance, je ne veux qu'une chose, qu'ils en finissent avec moi, et le plus vite possible. Attention, je veux dire en finir avec mon viol, pas avec moi. J'ai une telle phobie de la mort que je suis prête à tout subir plutôt que de mourir, ou même juste pour éviter d'avoir encore plus mal. Mais je ne peux pas, il est impossible pour moi de leur parler, Greg a été assez clair sur le sujet. Je sais que la seule issue qu'il y aura si je fais cela, c'est la punition. Et je ne pourrais plus supporter la cravache sur mon corps. Mais peut-être que malgré ma position, ils vont enfin me laisser tranquille. Que ce n'est qu'un dernier jeu pour m'humilier.

Agenouillé derrière moi, Greg m'ôte toutes mes illusions en tâtonnant de son gros doigt, venu en reconnaissance, dans la raie de mes fesses. Dégageant l'œillet, qui placé au grand jour, s'affole et palpite. Mon sphincter s'ouvrant légèrement et se refermant complètement suivant les sollicitations du doigt. Moi je commence à paniquer. Je ne comprends pas encore consciemment, mais inconsciemment la vérité jaillit en moi. Je sais au fond de moi, qu'il va me sodomiser. Mais ce savoir n'arrive pas encore à mon cerveau.

Greg après avoir joué avec mon petit trou, qui l'attire irrésistiblement, fini par pointer son doigt au centre de sa cible. Quand son membre digital me pénètre par là, la vérité m'arrive en pleine face. Il va m'enculer. Ce n'est pas possible. Je ne l'ai jamais fait. L'idée même d'être sodomisée me révulse et me fais horreur, une longue plainte sort de ma gorge. Je suis sur le point de le supplier de ne pas faire ça. De lui crier que cet orifice ne sert pas à ça. Que c'est sale, douloureux, et assassin pour la psyché de la femme. Qu'il va me détruire avec son gros membre, à l'intérieur autant que dans mon affect. Il est trop énorme pour rentrer dans un si petit orifice, il va me tuer, ou pire, me laisser handicapée. Mais je ne sais par quel effort de volonté, je ne lui dis pas tout ça. Non seulement je serais quand même sodomisée, surement encore plus sauvagement que ceux qu'il a prévu de me faire, mais en plus je serais sévèrement et longuement punit.

Il n'a que le bout de son doigt en moi, mais il poursuit son avancée imperturbable, contre laquelle mon muscle culier, cependant bien entraîné par une vie de fermeture hermétique, et d'une puissance maximum, ne peut rien. Une phalange me pénètre, la douleur et l'humiliation sont indescriptible. Je ne connais aucun mot pour vous dire ce que je ressens à ce moment-là.

Meyer et Jérôme voient le bout du doigt de Greg disparaître dans mon cul. Mon sphincter cède. Deux phalanges de ce monstre sont désormais en moi. Mes belles fesses rondes,profondément fendues, tremblent et se couvrent de chair de poule. Je met alors au monde une longue et horrible plainte, venu du plus profond de moi.

Je suis complètement sèche de ce côté, et terriblement étroite, ce qui rend la pénétration encore plus douloureuse. Son doigt me fait souffrir le martyr. Les doigts épais de Greg sont de la taille d'une saucisse de Strasbourg. J'entends sa voix résonner.

- Putain les gars, on va s'éclater! Cette chienne est vraiment étroite par là. J'ai mal au doigt tellement c'est serré, en plus cette conne contracte son intérieur comme une bête. Ça va être génial!

Parles pour toi, sale monstre, pour moi, cela va être tout sauf génial. Je me raccroche à un seul espoir, une voix qui résonne dans ma tête. « Ce n'est qu'un doigt, cela pourrait-être pire! ». En effet, cela pourrait-être bien pire, mais j'ai aussi conscience que je ne suis pas quitte. Je soupire de soulagement, il ne l'a pas enfoncé plus, son doigt vient de se retirer de mon anus. Il l'a fait lentement, me faisant pousser un long cri cette fois. Heureusement que ce n'était pas plus gros, mes entrailles me brûlent encore.

Cet enfoiré à retiré son doigt lentement, très lentement. Pas pour ne pas me blesser, bien au contraire. Il l'a fait en tournant le doigt et en fouillant dans mon rectum. J'ai eus l'impression que l'on me retiré un énorme tire bouchon de l'anus. Le doigt de Greg se termine par un ongle assez long, taillé grossièrement au carré. Si bien que j'ai la sensation, qui n'en finit pas, qu'il me ramone l'anus et les entrailles, en me déchirant les muqueuses. Quand il est sorti, j'ai eus l'impression d'une bolée d'air frais sur mon orifice irrité. Je ne le sais pas encore, mais après le doigt je vais avoir droit à la queue.

Mais une nouvelle fois, Greg brise tout mes espoirs. Mon soulagement à été de très courte durée. Ce qui ce presse contre ma rosette douloureuse est plus doux, mais surtout autrement plus gros qu'un doigt. Et si l'extrémité de son pieu ne comporte pas d'ongles, son calibre énorme est beaucoup trop conséquent pour ne pas être redoutable. La pire de mes phobies pourtant si nombreuses va arriver. Je vais me faire sodomiser. C'est impossible, il va me déchirer, me fendre en deux. Je pense qu'il va vraiment me défoncer, voir me tuer, c'est certain. Si je survis, quand cet énorme zob se sera servit de mon petit trou, ce dernier sera tellement ouvert, tellement élargit, tellement massacré que, ayant perdu tout élasticité, plus jamais il ne se refermera. Je perdrais alors mes matières à mesure, incapable de me retenir, comme ces homosexuels qui ont été trop souvent et longtemps bourrés. Voilà ce qui m'attends, j'en suis persuadé, si Greg arrive à ses fins.

Je commence à pleurer à gros sanglots, quand la pression au centre de mon petit trou, devient plus insistante et précise. Je sens peser sur l'entrée de mon puits minuscule, cette chose énorme, à la fois douce, chaude et dure. Mais je me garde de protester, sachant que je serais vraiment cruellement puni pour cela. Avant ou après, m'être de toutes façons, faîtes sodomisée. Et se défendre aggraverait mon cas, moi qui ne suis pour eux, seulement la putain de service. A qui on a retiré le titre d'humain.

Ces monstres n'ont pas eus besoin de m'apprendre leurs règles, je les aient assimilées en un rien de temps, parce que je réponds à ce masochisme que toute femelle porte dans sa tête et son ventre. Mon dieu, comment je pense, comment ais-je pus en arriver là? Femelle, masochisme, ces trucs de macho, de misogyne, comment puis-je y croire? Ou m'en servir comme prétexte à ma nouvelle condition? Celle de putain, leur putain...

Greg, cramponné à mes hanches hautement féminine, dans lesquelles il enfonce rudement ses doigts d'acier, afin de maintenir son braquemart enculeur bien en ligne, force comme un dingue. Mon trou encore vierge, est si étroit, et si contracté par mes soins, qu'il peine malgré sa force et la violence de son désir qui transforme son pénis en barre d'acier. Je résiste, je me bat pour garder cet orifice vierge, pour éviter ce viol sodomite si dégoûtant, et qui s'annonce si douloureux.

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