Les malheurs de Clotilde Ch. 04

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Sur mes reins nu tombent des gouttes de sueur qui coulent du front de mon bourreau, qui se mêle à ma peau recouverte de ma transpiration, et glissent irritante sur l'arrondie de mes fesses. Une longue plainte continu s'échappe de ma gorge, pourtant rien n'est encore rentré, mais j'ai si mal. Greg peine, mais ne renonce pas. Au bout de plusieurs longue minutes, las de lutter, mon sphincter cède dans un craquement horrible. Il vient de me le fissurer en plusieurs endroit. Le hurlement que je pousse est long, puissant, épouvantable.

Greg pousse un grondement de fauve satisfait quand il triomphe du cul féminin. Je perçoit intégralement le travail laborieux de mon anus qui, écartelé à force, se porte peu à peu aux dimensions incroyable que l'on veut lui faire absorber. Moi, je continue de hurler, un hurlement continue, sans aucune pause.

Mes mains liées dans mon dos, m'interdisent malheureusement tout mouvement de défense. Je ne peux que subir, offerte. Mon hurlement se transforme en une sorte de hululement sinistre, dont le son devrait faire débander mon enculeur, sort des lèvres de l'enculée. En l'occurrence moi. Car c'est ce que je suis maintenant, une enculée, même si c'est pour l'instant seulement le bout du gland de mon agresseur qui se trouve dans mes fesses. Mes lèvres, mon visage sont tordues par la souffrance.

Le bruit qui sort de ma gorge, devient plus puissant, plus monstrueux encore, au moment où, assurant brutalement sa prise, Greg m'empale d'un seul coup de queue en poussant un « han! » de bûcheron. Mon anus à un nouveau craquement. J'ai l'impression d'exploser de l'intérieur, que des bouts de moi, que des morceaux de chairs, volent de partout dans la pièce. Un éclair puissant frappe mes yeux sous la souffrance immonde. Je ne suis plus qu'un corps de souffrance, dont l'épicentre est mon petit trou.

Bien entendu, Greg se garde d'attendre que le trou qu'il force, bien trop petit pour le recevoir, s'adapte à son engin. Il fore son passage dans mon corps. Repoussant mon intérieur pour faire place à son truc. Ayant vaincu la résistance du seul muscle qui s'opposait encore à la pénétration, il s'enfonce millimètre par millimètre, imperturbable. Je sens chaque veine, chaque cratère, chaque porosité sur son sexe. Je suis contractée à fond pour essayer d'empêcher, en vain, ce viol sodomite. Je ne me rends pas compte que je ne fais que augmenter ma douleur, ma souffrance, mon enfer.

Lui enfoncé d'un tiers dans mon corps, est ravit. Mon intérieur lui serre délicieusement la bite, palpitant tellement, qu'il a l'impression que je le branle de mes entrailles. Ne rencontrant plus de résistance, il continue sa lente progression, paraissant arracher mes entrailles. J'ai l'impression qu'il va trop loin en moi. Qu'il va franchir les poumons, pour remonter par ma gorge et ressortir par ma bouche. Je pense connaître le supplice de l'empalement. Je suis revenue au moyen-âge, et on me fait de nouveau subir cette torture.

Lui ne s'arrête pas de progresser en moi, avant de s'installer bien au chaud dans mon corps, à fond, ses grosses couilles venant s'écraser contre mes fesses martyrisées, et mon vagin dans un encore plus triste état. Les poils hirsute de son pubis, irrite mon entre-fesse, déjà écarquillée à la limite de la rupture. Il reste quelques instant immobile en moi, tandis que mon hurlement se transforme peu à peu en râle grave. Satisfait d'avoir agrandit le minuscule chenal, il sodomise alors sa victime, c'est à dire moi, à grands mouvements ample. La douleur est telle que mes hurlements reprennent, atteignant une horreur jamais atteinte jusque à présent. Pour lui je ne suis plus que la pute qu'il perce, et dont il met le cul en pièces.

Chaque coup dont il me défonce est à lui seul un viol, un feu d'enfer dévore mes tripes. J'ai l'impression que son gland heurte mon cœur à chaque coup. Je ne suis plus que souffrance, je ne suis plus que torture. Je suis une femelle victime une nouvelle fois du pénis des hommes. Pour lui, je ne suis plus qu'un trou à plaisir. Tandis que pour moi, il n'ai plus qu'un engin de souffrances atroces.

Ce viol horrible, semble durer une éternité. D'autant plus que ce salaud s'attarde, fait durer, prends son temps. Il reste immobile un instant, tandis que son braquemart s'est presque entièrement retiré de mon trou fumant. Puis, d'un seul coup, il me défonce d'un élan qui propulse sa trique démesurée jusque au fond de mes boyaux enflammés, massacrés, détruits. Jusque à ce qu'il soit à nouveau collé rudement contre mes fesses frémissantes et au pot cassé.

Combien de fois ce monstre m'a-t-il passé ainsi à sa broche ardente? Je ne saurais le dire. Je suis au fin fond de l'enfer, petite boule de souffrance hurlante. Et lui me sodomise et me sodomise, sans fin. Il saisit mes seins sous mon corps, les massacre de ses doigts, de ses ongles qu'il plante dans mes aréoles, mes tétons. Puis, devant l'augmentation de la force de son viol, je m'évanouis à moitié, me contentant de grogner de douleur.

J'ai l'impression qu'il martèle mon derrière pour la dix-millièmes fois peut-être, lorsque enfin, il cesse de contrôler ses coups de bélier, paraît saisi de frénésie. Il me défonce encore plus fort, il massacre mon anus, mon rectum, mes entrailles. Il devient fou, il bave, grince des dents, puis crie :

- Tiens, sale pute! Prends tout! Sens mon foutre qui gicle dans ton cul et se mélange à ta merde!

A moitié évanouie par ce viol si sauvage, je me trouve ranimée quand son sperme jaillit en mon abdomen avec la violence d'un geyser, me donnant l'impression de subir un lavement brûlant et atroce. Je me remets à hurler comme une malade, je sens mon ventre se gonfler et se tordre sou l'afflux du liquide tiède. La giclée fuse d'une manière fulgurante dans mes entrailles, me donnant un choc qui fait monter mon hurlement crescendo.

Quand il s'arrache de mon anus massacré, fissuré, je ressens à nouveau une fulgurante douleur, au moment où le gland gorgé de sang passe la rondelle. Mon hurlement, étouffés par les murs de cette villa, va rejoindre tout ceux que nul n'entend et que pousse de partout dans le monde, les femelles martyrisée.

Je m'effondre sur le côté. Mon anus pulse comme un fou, la douleur irradie de partout dans mon corps. J'ai si atrocement mal, que je vomis sur le sol. Il me battrait avec un nerf de bœuf, que je ne réagirais pas, mais je sais que je subirais sans me défendre toute nouvelle humiliation.

Mon anneau culier, horriblement distendu, grand ouvert, d'où s'écoule un flot de sperme, de merde et de sang, me lance comme si on le pique avec des milliers d'épingle rougit à la flamme. Je redoute, je suis certaine, je suis sure que jamais je ne me refermerais. Je pleure de toute mes forces, je tremble, mon corps est secoué de soubresaut. Je me mets en chien de fusil, je remonte mes genoux sur mes seins. Je bave tellement je pleure. Je suis anéantie, détruite. Ce salaud m'a tué. Je ne suis plus humaine, je ne le serais plus jamais. On ne peut pas se remettre de ça. Je sens, je sais, je serais leur putain tout ma vie. Les subissant encore et encore, jusque à la fin.

C'est la caresse inattendue d'une main qui me rend à la réalité. En vérité je ne me suis point évanouie, j'ai sombré dans une torpeur qui ressemble à un coma. Ma surprise est totale quand je constate que c'est la main de Greg. Cette grosse brute qui m'a frappée et tellement fait souffrir. Sa main se promène avec douceur sur l'arrondi de ma croupe. Je reste ahuri, stupéfaite. Serait-ce la fin de mes tourments? Va-t-il me libérer, et c'est dans cette optique qu'il se comporte gentiment avec moi? Pour que je ne porte pas plainte? De toutes façons je ne le ferais pas, j'ai trop honte, et surtout trop peur.

Puis je me rends compte qu'en vérité ce n'est peut-être pas vraiment une caresse. En fait Greg étale, avec l'orgueil de l'enculeur, le plaisir du violeur, le liquide crémeux dont il m'a remplit les intestins, moi sa pute, et qui s'écoule maintenant, en partie, par mon trou du cul distendu. La paume de la main trouve agréable, de masser, avec sa semence, toute la surface rebondie de mes fesses neigeuses, cependant méchamment malmenées, et qui en portent d'épouvantable trace.

Mes espoirs sont de nouveaux douchés, si je sortirais sûrement un jour, ce n'est pas pour maintenant, je pense que les deux autres vont me sodomiser aussi... En tout cas, si ce qu'il fait me dégoûte, m'humilie, au moins je ne ressens pas une douleur supplémentaire, autre que celle puissante, provenant de mon anus détruit. Tout mon corps me fait souffrir, j'ai mal partout. A travers mes larmes, je vois Meyer revenir avec un seau et un balai espagnol et nettoyer mon vomit.

Puis le visage de Greg surplombe le mien. Je comprend ce qu'il veut faire, au moment où il colle ses grosses lèvres lippues, et gluantes de bave, aux miennes, pulpeuses et jeunes. Or ce baiser qui viole ma bouche, cette langue dans ma salive et qui caresse la mienne, je n'en veux pas. Mais je l'accepte néanmoins, je n'ai pas le choix, je réponds à la pelle qu'il me roule. Je descend plus bas que terre. En l'acceptant, c'est faire alliance avec le monstre, le fumier qui vient de m'enculer. Pis que vendre mon anus, mon vagin et même tailler des pipes. Je viens aussi de lui vendre ma tendresse, en quelques sortes mon âme...

En acceptant ce baiser, je ne suis même plus une putain, qui elles n'acceptent pas les baiser, je sors du camp des putes, qui elles n'offrent pas leurs lèvres à leurs clients. Non, je descend encore d'un cran dans l'échelles des femmes, je ne suis plus qu'une chienne qui donne tout ce qu'elle a, aux hommes qui la viole, la frappe et la torture.

Quand Greg cesse son baiser, Jérôme s'approche de moi. Quand sa main s'approche de moi, je sursaute en geignant. Il m'allonge sur le ventre. Cette manipulation me fait souffrir, surtout dans mon anus mutilé. Quand il se couche sur moi et qu'il enfonce son sexe dans mon orifice grand ouvert, je me remets à hurler, à ruer même, en vain.

Puis après Jérôme, c'est Meyer qui profite de mon conduit si serré, que je contracte toujours inutilement. Pendant des heures, ils vont me forcer. Pénétrant mon vagin, mon anus, ma bouche. Alternant les orifices, ou prenant le même à la suite. Jouissant en moi, sur moi. Pendant des heures je vais être leur jouet. Jusque à ce que épuisée, totalement détruite dans mon corps et dans mon âme, je m'évanouisse. Cette fois, même leurs gifles ne me réveilleront pas. Alors, fatigué eux-aussi, ils laissent mon corps salit, et ils vont se reposer. Demain sera un autre jour. De bonheur pour eux, d'horreur pour moi.

Je ne sais pas si j'ai dormis, si j'ai été évanouis ou dans une sorte de coma, mais c'est les gifles de Greg, qui une fois de plus me réveille.

- Allez la belle au bois dormant, tu as dormis huit heures, il est temps de revenir parmi les vivants.

Les vivants, tu parles, vous m'avez tuée, espèces de salauds.

- A genoux, c'est l'heure du petit-déjeuner!

En geignant de douleur, je lui obéis. J'ai la bouche pâteuse, emplit du goût de la semence masculine. Mon anus et mon vagin me torture horriblement. Mais j'y arrive. Il met alors son pénis devant ma bouche. Je n'hésite pas, je ne résiste pas, j'ouvre la bouche en grand. Il s'enfonce dans ma cavité buccale, je referme mes lèvres de velours sur son engin, attendant ses ordres.

- Tout les matins dorénavant se sera comme cela. On commence par le café!

Aussitôt un jet dru d'urine jaillit de son engin. Il y en a une quantité énorme, le jet est fort. Mais j'avale comme une malade, ne pensant même pas au dégoût que cela m'occasionne. Je bois toute son urine du matin. Le goût est plus acre, plus dégueulasse. Mais je ne vomis pas. Puis une fois qu'il a fini d'uriner, il reste dans ma bouche.

- Suce!

De nouveau j'obéis.

Pour une fois, il ne me viole pas la bouche comme si c'était un sexe. Il me laisse faire. Je ne sais pas ce qui est le pire. Je dois lui tailler une pipe pendant de longues minutes. Quand il commence à jouir, j'entends sa voix résonner de nouveau.

- Tiens, ça c'est les croissants!

Son sperme jaillit sur ma langue. J'avale tout, une nouvelle fois. C'est quand même mieux que l'urine, ça a meilleur goût. En pensant cela, je me rend compte de la bassesse dans laquelle je me trouve. Je compare le goût de deux trucs dégueulasse que je suis obligé d'ingérer. Le pire, c'est que Jérôme et Meyer feront la même chose. Je boirais leurs urines et avalerais leurs semence. Une fois qu'ils sont vidés, ils déjeunent devant moi. Ils ne me donnent rien à manger. Je n'aurais rien à boire non plus, sauf leurs urines bien entendu. Cela sera suffisant pour m'hydrater, mais le sel me laisser assoiffée. Ensuite, ils me sortent avec la laisse, me faire mes besoins dehors, avant de me baiser par devant, l'un à la suite de l'autre. Je rentre, dégoulinante de sperme, mais au moins, ils ne m'ont pas sodomisée de nouveau...

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3 Commentaires
Darkangel73Darkangel73il y a plus d’un an

Sympa l’idée des aiguilles dans les seins

AnonymousAnonymeil y a presque 4 ans
Explication

Il serait interessant de savoir pourquoi greg s'en prend à clthilde

A un moment il dit ce sonr les ordres.Quels ordres de qui ?

AnonymousAnonymeil y a presque 5 ans

a quant la suite

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