Les malheurs de Clotilde Ch. 09

Informations sur Récit
Retrouvailles entre frère et sœur.
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Partie 9 de la série de 24 pièces

Actualisé 06/15/2023
Créé 12/19/2018
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Je baisse les yeux, la honte me submerge. Mon frère, mon propre sang me voit comme cela. Habillée, maquillée comme une vulgaire putain. En plus il préfère cette tenue. Bon, a dix-huit ans tout juste il est encore jeune, son jugement va plus vers une femme habillée comme une courtisane qu'en femme de bonne foi sexy. Puis Pierre, mon frère est encore puceau, donc si il voit des seins et des jambes, même ceux de sa sœur, il aime.

- Entrez.

Greg entre en premier, je le suis. Pierre referme la porte derrière nous. J'espère que mon frère ne dira rien à mon père, ni à ma sœur. Je suis aux bords des larmes, rouge de honte.

Le studio est petit. On reste debout. Pierre s'assoit dans le canapé. C'est bien un jeune homme, il ne nous propose pas de s'asseoir. Il me fixe, les yeux agrandis, savourant du regard mon corps. Ce n'est pas possible, il me semble lire du désir dans ses yeux. Je suis sa sœur quand même. J'ai beau être habillée en putain, il n'a pas à me regarder comme cela. Puis Greg parle. La phrase me cingle, encore plus fort que la cravache.

- A poils la chienne.

- Mais Greg, il y a mon frère.

- Je sais, obéis, tu auras une seconde punition pour ce refus. En plus de celle que tu me dois déjà.

- Mais...

- Une troisième, chacune sera pire que la précédente.

Je me rappelle avec horreur de la cravache. Mais c'est mon frère, je ne peux pas me déshabiller devant lui. Et pourquoi il ne dit rien? Il me regarde avec encore plus de perversité dans le regard. C'est impossible, il n'a quand même pas envie de me voir nue? Moi, sa sœur aînée!

Même la terreur de la punition n'est pas aussi forte que la honte de me mettre nue devant mon frère, je retente un supplique.

- Greg, pitié, c'est mon petit frère...

- Quatrième punition, continue.

Je baisse les yeux, j'hésite. Mais je dois encore essayer.

- Greg...

- Cinquième punitions.

Cette fois il ponctue sa phrase d'une gifle violente qui m'envoie au sol. Il me mets ensuite trois puissant coup de pied dans le ventre, tandis que je suis à quatre pattes, en train de me relever.

Je roule sur le sol. Pierre n'intervient pas, qu'est-ce qu'il fait ce con, il ne va pas laisser sa sœur se faire battre?

Déjà Greg s'assoit sur mon torse, écrasant mes seins. Il m'envoie quatre coups de poings violent. Ma lèvre éclate, le goût du sang envahit ma bouche. Il se redresse, me tourne sur le dos, alors que je suis à moitié assommée. Je comprends enfin, avec épouvante, pourquoi Pierre, mon jeune frère ne bouge pas. Il se branle en matant Greg me battre. D'ailleurs ce dernier m'attrape par ma queue de cheval. Il tape mon visage, trois fois sur le sol, me cassant le nez. Il colle alors sa bouche à mon oreille.

- Tu vas obéir ou je continue à te battre.

- Pitié...

Je suis en larmes, j'ai mal. Il tape une fois de plus mon visage sur le sol. Pas assez fort pour que ce soit dangereux, juste extrêmement douloureux. Je hurle.

- J'ai demandé si tu vas obéir?

- Oui... pitié... je vais obéir...

- Bien.

Il me retourne sur le dos. Pierre me surplombe alors, sa queue qu'il masturbe en dehors de son pantalon. Son sperme gicle, m'inondant le visage. Je pleure de plus belle. Je me relève difficilement. Je ne sais pas pourquoi Pierre participe à cela. J'espère juste qu'il ne va pas me violer lui-aussi, je ne le supporterais pas. Je me relève difficilement, en pleurant. Le sang coule en fine rigole de mon nez et de ma lèvre. Je sens mon œil droit gonflé, se fermer. Je dois être horrible à voir. Je bave aussi, de la morve coule de mon nez. Je me déshabille alors, leur offrant la vue de mon corps de déesse nu. Pierre se masturbe de nouveau, son sexe est de nouveau dur. Greg me saisit par le cou, me penche vers mon frère. Quand ma lèvre touche le gland fraternel, je n'ai pas d'autres choix que d'ouvrir la bouche et de l'avaler.

Je suis au bout de tout, je dois sucer mon propre frère. Psychologiquement, c'est pire que tout ce que j'ai vécu. Mais je n'ai pas le temps de penser à ça. Greg vient de m'enculer, violemment. Je hurle. Hurlement qui est absorbé par le bâillon de chair que représente le sexe de mon frangin. Greg ne tarde pas à me remplir. Pierre fait de même avec ma bouche, j'avale tout. Par habitude, je continue un peu de le sucer pour nettoyer son sexe, avant de m'agenouiller et de faire de même avec celui de Greg. Quand il est propre, Greg se relève, il se rhabille, tandis que moi, choquée, je me roule en boule sur le sol, le corps secoué de sanglots, horrifiée par la situation.

Je sursaute quand Greg s'accroupit près de moi et me touche l'épaule.

- Je te laisse avec ton frère. Obéit-lui bien, demain soir quand je viens te chercher, si il se plaint, je te jure que ce que je te réserve sera pire que la mort. Déjà que tu es bien dans la merde niveau punition...

Je ne réponds pas, mais une fois de plus, ce monstre à réussit à me faire descendre d'un cran de plus dans les profondeur de l'enfer.

Greg se relève, sa voix résonne de nouveau.

- Les frangins, j'y vais. Et surtout faîtes bien des bêtises. Sinon Pierre, pour l'entretien de ta chienne, c'est pisse et sperme au petit-déjeuner. Elle le prend directement à la source. Pour les repas de midi, rien, elle mangera mieux le soir.

- OK Greg. Merci, à demain.

J'entends la porte claquer, moi je reste sur le sol, en boule. La voix de Pierre résonne.

- Regarde-moi!

Je lève mes yeux vers lui. Je gémis d'horreur, il est nu, le sexe dressé. Il est aussi gros que Greg.

- Pitié Pierre, tu es mon frère...

- Rien à foutre, sur le dos, cuisses écartées, que je goutte à ta grotte d'amour.

- Pourquoi Pierre, pourquoi tu fais ça?

Il ricane, me crache dessus.

- A cause de toi et ta petite pute, je n'ai pas eus d'enfance. Papa et maman n'en avez que pour vous deux, et pour Ninon aussi. Moi, qui étais le dernier, qui aurait dut-être le chouchou, rien!

- Ce n'est pas vrai Pierre!

Mes parents se sont autant occupés de lui que de Emma. Je ne sais pas pourquoi il a cette impression.

- Tu me traite de menteur?

Le coup de pied qu'il me donne me fait mal. Mais lui est pied nu, il me fait moins souffrir que Greg.

- Non, non, pardon, ne me bats pas!

- Alors ouvre tes putains de jambes que je te baise!

Vaincu, j'obtempère, je roule sur le dos et écarte les cuisses. Je lâche un sanglot fort quand il se couche sur moi, je hurle quand il pénètre violemment mon vagin si fragile et si martyrisé. Je me débat, mais il est trop fort. Je tente de le repoussé, il attrape mes bras, les replis au-dessus de ma tête, les immobilisant d'une main en les tenant par les poignets.

Il se met à me défoncer comme un sauvage. Il met de la haine dans son viol, bien plus que mes trois autres bourreaux réunis. Il me fait vraiment mal, je hurle comme une folle. Les voisins vont sûrement entendre. J'ai l'impression qu'il lit dans mes pensées quand il me dit :

- Tu peux hurler autant que tu veux, il n'y a plus personne ici. Ils démolissent l'immeuble dans deux mois, je suis le dernier!

Le mince espoir de recevoir de l'aide vient de disparaître. Une violente douleur me traverse le sein droit. Pierre vient de me le mordre, y laissant la trace profonde de ses dents. Il me baise comme un lapin à une vitesse folle, me distendant mon intérieur. Rouvrant mes blessures internes. Je les sens se déchirer sous la puissance de ses coups de reins.

Ne me demandez pas pourquoi, mais tout en subissant ce viol incestueux, je pense que je ne sens plus mon collier de chien que je porte autour du cou. Sûrement une façon trouvée par mon subconscient pour fuir ce viol infernal.

J'ai de la chance, Pierre, sûrement encore puceau, je dis sûrement car je n'en suis plus aussi certaine maintenant, ne dure pas longtemps dans mon corps. Rapidement, entre deux cris, je l'entends ahaner de plaisir, signe annonciateur qu'il ne va pas tarder à éjaculer en moi. Je me mets à prier dans ma tête pour qu'ensuite il me laisse tranquille. Ce viol fait par mon propre frère est sans doute le plus dur à vivre jusque ici. Pierre ne s'en rend pas compte, ou peut-être que si, mais il me traumatise encore plus. Pourtant vous le savez bien, depuis quelques jours, questions traumatismes j'en connais un bout.

Il me pilonne maintenant comme un marteau-piqueur. Ses mains crispés sur mes seins me font mal, tant il enfonce ses ongles longs dans la chair tendre. Mon vagin est en feu, tant, en plus d'aller vite, il y va fort. Mon visage, mon nez, mon corps me brûle, faute aux coups de Greg. Pierre va encore plus vite. Ses grognement augmentent eux aussi de rythme. Il m'embrasse, sa langue s'enfonçant dans ma bouche, dans un baiser incestueux dégoûtant. Ses coups de reins accélèrent encore d'un cran, jamais on ne m'a baiser aussi vite, ni aussi fort. Même pas mes trois violeurs précédents, qui pourtant m'en ont fait voir...

Finalement il cesse son baiser, pour me regarder dans les yeux. Je détourne mon regard pour ne pas voir le visage, proche de l'extase de mon frère. Par contre je ne peux m'empêcher d'entendre, il jappe maintenant tout en me massacrant le sexe. Puis il se fiche en moi, le plus profondément qu'il peut. Il crie en lâchant son poison tiède et visqueux dans mon ventre. M'inondant l'intérieur, me remplissant l'utérus, me tuant de son pénis.

Il s'écroule sur moi, couvrant mon visage remplit de larmes, de bisous.

- Sort, Pierre, sort pitié, je suis ta sœur...

Il ne me répond pas. Je lâche un gémissement d'épouvante, quand il se remet à bouger en moi, prêt pour un second round. Je comprends donc qu'il y a plusieurs niveau de viols. Ceux fait par des inconnus, sont les moins pire de tous. Attention, je ne dis pas que c'est facile, ou quoi que ce soit du genre, non. Un viol par des inconnus, est déjà en soit, un assassinat qui laisse sa victime en vie. On tue son être intérieure, sa psyché, sa condition d'humaine. Puis il y a le viol fait par des gens que l'on connaît. Des amis, des voisins, des connaissances. Là, c'est quelqu'un avec qui tu as vécu des bons moments, qui t'assassine en vie. C'est vrai, pour moi, les viols de Greg ont été plus dur que ceux de Meyer, qui eux, ont été plus dur de ceux de Jérôme. Sans prendre en compte la violence physique de ceux-ci, je ne parle que au niveau de son psychisme, de son être intérieur.

Puis le pire, ceux de la famille. Là, en l'occurrence, ceux effectués par un cousin proche, doivent déjà être infernal à vivre. Mais ceux effectués par un frère, le sang de son sang, cela est horrible, cela vous tue, vous assassine en vie, mais pire, cela tue aussi le regard que vous portez sur vous. Vous n'êtes plus humaine, vous n'êtes plus qu'une bouche, un anus, un vagin. Un trou à bites ou une éponge à spermes. Vous êtes tout cela, mais vous n'êtes plus humaine, et plus vraiment en vie. Le sexe d'un frère qui vous force, tue tout ce que vous avez de vivant en vous.

Et c'est ce que je vie, là, maintenant, en ce moment, en servant une nouvelle fois de vide-couilles à mon frangin. Il se moque de ce que je ressens, ne pensant que par son pénis, ne pensant qu'à lui. Prenant son plaisir avec le premier sexe qu'il trouve, c'est-à-dire moi. Quoique, pour le coup, il a dut me chercher, pour me prendre après ce que j'ai subis avec Greg and Co. Comment ils ont pu se parler de cela, mystère.

Il me massacre encore plus durement que la première fois. J'entends les splotches fais par mon vagin plein de sperme, de son sperme. Je suis une truie, sa truie. Il prend du plaisir avec son organe reproducteur, cela se voit sur son visage. Moi, je n'ai plus la force de hurler, je suis anéantie. Je ahane à chaque fois que son truc rentre en moi, poussant un petit cri rauque à chaque fois que son gland heurte mon col de l'utérus. Je gémis, à chaque fois qu'il se retire. Cette fois, s'étant vidé une fois, il tiendra plus longtemps. Je le sais, moi l'ingénue, la naïve des choses du sexe, j'en suis devenu une experte bien malgré moi. Une experte en viols, et en durée d'un coït masculin. Avec ou sans pilules. Après une ou plusieurs éjaculation. Je sais maintenant, pratiquement à la seconde près, combien de temps va durer ce rapport forcé.

Dans le cas de mon frère, je vois qu'il va durer longtemps. Et que ce ne sera pas le dernier. Il est trop méchant dans le forçage de ma vulve pour être calmé par une seule autre éjaculation. Alors il défonce monstrueusement la chose, sa chose, moi. Il me viole avec un plaisir non dissimulé, m'insulte, me mords les seins, me pince, me griffe. Il massacre mon intérieur de son pénis, mon extérieur de ses doigts, de ses ongles, de ses dents. Il tire, tord, tourne mes piercings. J'ai l'impression qu'il m'arrache les tétons, le clitoris, la douleur est infernale, lancinante, méchante. Je suis une victime, sa victime, leurs victime.

Mon frère lui se fiche pas mal que je sois sa sœur. Non, je me trompe, le fait que je sois sa sœur en ajoute à son plaisir, à sa jouissance. Il peut se venger, déverser son fiel, toute la haine accumulée contre moi, au cours de ses années. Et il se venge très bien, avec son pénis devenu arme de destruction massive, enfin plutôt arme de destruction de Clotilde.

Quand son sperme jaillit en moi pour la seconde fois, j'espère, je prie pour que ce soit finit. J'ai un court espoir quand il se retire et s'allonge sur le dos, reprenant son souffle. Alors comme Greg me l'a enseigné, je m'agenouille tout en gémissant de douleur, je le prends en bouche et le nettoie. Une envie de vomir m'envahit, je suce mon frère, c'est plus cela qui me donne envie de vomir plutôt que la fellation en elle-même. Une fois propre, Pierre me repousse, il se lève et va prendre un truc dans la table de chevet.

- Regarde la pute!

Je lève les yeux vers lui, toujours à genoux sur le lit, tandis que le sperme, son sperme coule toujours de mon vagin. J'agrandis mes yeux d'horreur, il vient d'avaler une pilule sexe-dure. Ce n'est pas fini pour moi, il compte me violer, profiter de mon corps une bonne partie de la nuit, si ce n'est toute la nuit. Il se recouche sur le lit.

- Reprends ta pipe, la pute, et va au bout.

Alors, obéissante, je me penche sur lui et entreprend de continuer ma fellation.

J'ai hélas raison, il a passé une bonne partie de la nuit à me prendre. Me défonçant l'anus après ma fellation. Mais c'est mon sexe qu'il a préféré. Les coups aussi, il a bien aimé. Me donnant des petites tapes sur mon nez cassé, ma lèvre fendu, mon œil fermé. Pas forte les tapes, juste de quoi me faire bien mal en réveillant mes blessures. Il m'a fait m'empaler sur lui, par devant ou par derrière, m'humiliant à me violer moi-même, me le disant à chaque fois : Tu pourras toujours te plaindre que je te viole, mais là tu le fais toute seule, comme la putain que tu es.

Il n'est pas allé une seule fois au WC, il s'est servi de moi, ses nouvelles toilettes humaine. Vidant son urine dans ma bouche, m'obligeant à dire à chaque fois que j'adore cela. Puis enfin, vers quatre heures du matin, on a dormi. Il s'est réveillé une fois, je ne sais pas à quelle heure, mais il faisait jour. Il m'a réveillé et à uriné dans la bouche, avant de me sodomiser. J'ai dû le nettoyer avec ma langue avant qu'on se rendorme.

C'est lui qui m'a réveillée. En me secouant.

- La pute, réveille-toi. Il est treize heures.

J'ai ouvert les yeux. Il est nu, devant le lit. Il boit son café.

- Allez la pute, viens prendre ton petit-déjeuner à la source.

Je sais ce qu'il veut. J'ai envie de lui hurler que je m'appelle Clotilde et pas la pute, le surnom qu'il me donne depuis la veille. Que je suis sa sœur, que l'on est issue du même ventre, du même sang, mais surtout que je ne m'appelle pas la pute. Au lieu de ça j'ouvre la bouche et je prends son sexe mou. J'attends qu'il urine, avalant consciencieusement tout le liquide dégueulasse. Je peux vous le dire, l'urine du matin est vraiment bien plus gerbante et dégueulasse que les autres. Une fois qu'il a fini, je le suce, jusque à ce qu'il jouisse dans ma cavité buccale.

- Bien reste à quatre pattes, la pute.

Il va poser sa tasse, il va prendre une douche. J'entends l'eau couler, j'ai envie d'une douche, j'en ai besoin. Je vais le lui demander quand il sortira. En attendant je garde la position, obéissant à ses ordre, j'ai reçu bien assez de coup la veille pour prendre le moindre risque aujourd'hui.

Quand il ressort nu, je le supplie.

- S'il-te-plaît Pierre, je peux prendre une douche?

- Non, une chienne comme toi, ça reste sale et pleine de sperme, compris la pute?

- Oui.

Je baisse les yeux, humiliée, il ne m'accorde même pas ça. Je me remets à pleurer, doucement. Mon frère le remarque et sourit.

- Merde, tu chiales vraiment pour rien, la pute!

Je ne réponds pas, baissant juste la tête.

- Regarde-moi quand je suis là à te parler, la pute!

J'obéis, je redresse la tête. Il se masturbe en me regardant. Puis il s'approche du lit, le sexe droit. Au passage, il gobe une pilule, j'ai compris, je vais passer une journée de viol incestueux.

- Mets-toi à plat ventre, tête relevée, jambes serrée.

J'obéis à ses ordre, ils me disent par où il va me prendre : par derrière.

- Je vais t'enculer, la pute. Tant que ton petit cul est encore étroit, car avec tout ce que tu prends dedans, ça risque de ne pas durer longtemps.

Il a raison, d'ailleurs je le sens bien, mon anus n'est plus aussi refermé qu'avant son dépucelage. On ne force plus autant pour me sodomiser, sauf bien sûr quand ce qui rentre en moi est trop gros. Je sursaute quand il me monte dessus et se couche sur moi. Je gémis de douleur et me mets à pleurer plus fort quand il me pénètre, je crie quand il commence à aller-et-venir en moi avec son style si brutal.

Il me sodomise comme un fou. D'une main il martyrise mes seins, de l'autre, il me tire les cheveux en arrière, faisant tenir ma tête droite. Il jouit une première fois en moi, mais il ne ressort pas. Mon frère reste tranquille quelques secondes, puis il reprend son galop sauvage dans mes entrailles. Mes chairs sont tellement à vif, qu'elles me font autant souffrir, suite au frottement du corps du pénis de mon frère, que le viol en lui-même.

Après sa seconde éjaculation, je ne cries plus, je gémis juste de douleur, alors qu'il attaque sa troisième sodomie de suite. Il va tenir parole, il va m'agrandir le cul à ce rythme-là. Mais une fois de plus, alors que je crois avoir atteint le dernier palier de l'enfer, je vais voir qu'il y en a toujours et invariablement un autre en dessous.

Cela fait bien une heure maintenant que mon frangin me sodomise sauvagement. Il a jouit quatre fois en moi, dans mes entrailles. J'ai reçu tellement de sperme que j'ai l'impression que mon ventre est gonflé de liquide chaud et visqueux. Il me démonte toujours le cul, quand la porte s'ouvre. Je crie d'horreur en voyant la personne qui entre.

C'est mon père qui est là. Il nous regarde stupéfait. On n'a pas entendu la porte d'entrée s'ouvrir. Mon père croyant surement que mon frère dort, à dut venir directement dans la chambre. Je suis morte de honte, humiliée. Il me voit me faire sodomiser par mon propre frère. Je voudrais disparaître, me faire toute petite. Et mon monstre de frangin qui continue sa sodomie, ne ralentissant même pas en voyant notre père. Notre paternel reste quelques instants immobile, pétrifié, sans parler. Comme changer en statue. Quand il sort de sa stupeur, ses premiers mots résonne.

- Mais, les enfants... Vous faîtes quoi?

Mon père flegmatique comme toujours, ne s'énerve même pas.

- Ben cela ne se voit pas? Papa, je l'encule, c'est tout.

La réponse de mon frère me sidère, je n'ai même pas la force de le supplier d'arrêter. Je voudrais lui hurler qu'il faut qu'il sorte, que notre propre père est là, nous regardant baiser. Enfin, le regardant me violer, me sodomiser de force. Faire de moi sa pute, sa chienne. Mais au lieu de cela je ne dis rien, je gémis juste de douleur.

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