Les malheurs de Clotilde Ch. 09

- Oui, j'ai vu, mais bon c'est ta sœur quand même!

- Et alors, elle n'a pas une chatte et un trou du cul comme tout le monde? Des orifices bien délicieux, je peux te le dire.

- Oui, c'est vrai, on dirais bien... mais bon... Quand même... Ce n'est pas dans l'ordre des choses...

La conversation me paraît surréaliste, il devrait quand même voir que je ne suis pas consentante. Que je pleures, que mon visage est tuméfié par les coups que j'ai reçu.

- Ah oui? Et c'est quoi l'ordre des choses alors?

- Pas qu'un frère couche avec sa sœur en tout cas.

Mon père semble embarrassé, surtout que Pierre ne s'arrête pas, me sodomisant encore et encore.

Puis mon père me regarde, je baisse les yeux, de honte.

- Puis toi Clotilde, tu es sa grande sœur, tu aurais dut lui dire que cela ne se fait pas. Je te croyais sérieuse, pas le genre de fille facile qui couche avec son frère!

Ce n'est pas possible, il ne voit donc pas?

- Je croyais que tu étais responsable, et au lieu de ça, tu te fais sodomiser par ton frère, ton petit frère en plus.

Je n'y crois pas, il m'engueule en plus. Pourtant question tête de victime on en peut pas faire mieux.

- Je veux bien que tu sois une nymphomane, que ton mari ne te suffise pas ou ne te contente pas, mais ton petit frère, quand même!

Là, j'explose, pleurant encore plus fort. Mon propre père ne peut pas réagir comme cela... pas lui...

- Ne pleures pas, ce n'est pas comme cela que l'on se fait pardonner quand on faute!

Je ne me retiens plus, je ne veux pas être autant rabaissée dans le cœur de mon papa chéri.

- Il me viole papa, il me viole, tu ne le vois pas!

- Si il te viole c'est différent. Mais cela n'excuse pas tout non plus. Tu n'as pas trop l'air de te débattre non plus. Tu aimes ça?

Je n'y crois pas, c'est tout ce qu'il trouve à dire.

- C'est dur de résister à un viol, c'est vrai. Mais cela ne t'excuse pas quand même. Tu aurais pu te défendre, te débattre, hurler.

Je suis dans un cauchemar, ce n'est pas possible qu'il me dise cela.

- Au lieu de cela, tu te laisses faire. Je suis certain que tu avais envie de coucher avec lui.

Je n'ai pas la force de répondre à cela. Mon frère se met à grogner de plaisir, puis il explose en moi.

Il reste imbriqué dans mon corps. Couché sur moi, il a enfin lâché mes cheveux. J'ai la tête posé sur le matelas. Ma joue gauche reposant dessus. J'entends mon frère parlé. Je ferme mes yeux, morte de honte, espérant peut-être, que si j'ai les yeux fermés, on ne me verra plus.

- Tu ne m'as pas répondus papa. C'est quoi l'ordre des choses?

Mon père ne répond pas immédiatement. Mon frère sort enfin de mon anus grand ouvert. Je sens un flot de sperme m'inonder la raie culière. Je reste comme ça, tremblante de tout mon corps, pantelante et meurtrie.

Mon frère se lève et se rassoit aussitôt sur le lit. Je ne veux pas le voir, ni lui, ni mon père qui le laisse faire. He pense : « Mon petit papa d'amour, aide-moi! Je suis ta fille chérie! Tu ne vois pas que ton fils, mon frère va encore me violer??? »... Ce n'est pas possible, il se couche sur moi. Les yeux fermé, j'ai l'impression qu'il est plus lourd. Quand son sexe met entre mes fesses, j'ai là aussi l'impression qu'il est plus gros. Enfin mon père répond à la question de mon frère, son fils. Mais sa voix est plus proche qu'elle ne devrait-être, c'est bizarre la perception des choses les yeux fermés.

- L'ordre des choses, mon fils, c'est que avant qu'un frère encule sa putain de sœur...

Ses mots me glacent le sang, je ne suis pas une putain!!! Mon père ne peut penser cela. Mais le reste de ses mots est pire.

- Le père doit passer en premier!

Je comprends, ma perception n'a pas changée, ce n'est pas mon frère qui est couché sur moi, c'est mon père. C'est pour cela qu'il n'a pas répondu de suite, il était en train de se déshabiller.

Je vais pour me débattre, fuir ce viol encore plus incestueux que le précédent. Plus assassin que celui prodigué par mon pédé de frère. Mais c'est trop tard, mon géniteur fait rentrer son gros pénis dans mes entrailles. Alors je fais ce que je ne fais que trop bien maintenant, je hurle. Mais je ne le fais pas longtemps, juste quelques secondes. Cette fois c'est trop horrible, trop fort, je m'évanouis.

C'est mon frère qui me réveille, en me pissant dans la bouche. Cet enfoiré a profité de mon évanouissement, pour ouvrir ma bouche et m'enfoncer son sexe dedans. Toujours dans mon cul mon père en profite pour me faire mettre à quatre-pattes. C'est monstrueux, horrible. Je suis en train de me faire forcer à la fois par mon père et par mon frère.

Comment un père peut-il faire cela à son propre enfant, à sa fille chérie? C'est inhumain, monstrueux, dégueulasse. J'ai envie de vomir, je vomis d'ailleurs, mais cela en rajoute à mon purgatoire. Le pénis de mon frère est enfoncé si loin dans ma gorge, la rendant complètement hermétique, tant et si bien que rien ne sort. Au contraire, je suis même obligée de ravaler mon remugle. Je suis écœurée, si mon frère m'a assassinée tout en me gardant en vie quand il m'a violée pour la première fois, et bien mon père le fait aussi, seulement cette fois c'est bien pire. Beaucoup plus dure à vivre. Quand je pense que le pénis qui me sodomise, est l'endroit d'où je suis sortis, alors que je n'étais qu'une spermatozoïde... enfin, je m'évanouis de nouveau.