Les malheurs de Clotilde Ch. 17

Informations sur Récit
Attention texte violent.
4.4k mots
4.65
6.6k
00

Partie 17 de la série de 24 pièces

Actualisé 06/15/2023
Créé 12/19/2018
Partagez cette Récit

Taille de Police

Taille de Police par Défaut

Espacement des Polices

Espacement des Polices par Défaut

Face de Police

Face de Police par Défaut

Thème de Lecture

Thème par Défaut (Blanc)
Tu dois Connectez-Vous ou Inscrivez-Vous pour enregistrer votre personnalisation dans votre profil Literotica.
BÊTA PUBLIQUE

Remarque : Vous pouvez modifier la taille de la police, la police et activer le mode sombre en cliquant sur l'onglet de l'icône "A" dans la boîte d'informations sur l'histoire.

Vous pouvez temporairement revenir à une expérience Classic Literotica® pendant nos tests bêta publics en cours. Veuillez envisager de laisser des commentaires sur les problèmes que vous rencontrez ou de suggérer des améliorations.

Cliquez ici

Cette histoire est basée sur la déchéance d'une femme. C'est violent et difficile à lire pour une âme sensible. Si vous n'aimez pas le genre, vous n'aimerez pas cette histoire, alors inutile de la lire. Ce serait comme commander un gratin aux aubergines dans un restaurant, alors que vous détestez l'aubergine. Vous trouverez le plat dégueulasse, mais ça vous le saviez avant, ben pour cette histoire, c'est pareil. Pour les autres, bonne lecture, car je pense que c'est mon meilleur texte écrit jusque à présent.

Sinon, étant Italien, et arrivé à vingt ans en France, j'ai appris le français parlé, auprès de ma mère qui est française. Par contre pour ce qui est de l'écrit, je l'ai appris à l'école, en Italie, ce qui explique que j'ai pas mal de lacunes. Malgré les correcteurs d'orthographe et les petits trucs de quelques lecteurs, mes textes sont truffés de fautes de grammaires et d'accords, notamment sur le pluriel des verbes, mais aussi de fautes conjugaison. Veuillez m'excuser pour ce souci, que j'améliore à chaque texte. Pour ce que cela rebute, évitez de le lire, si pour vous les accords, la grammaire, la conjugaison, est plus important que le texte. Je remercie pour leur courage ceux qui me pardonne ces fautes, et me lise quand même. Bonne lecture à vous.

Pour finir je ne fais aucunement l'apologie de la violence, ni d'ailleurs l'apologie de quoique ce soit. Le viol et tout ce qui est décrit dans ce texte est sévèrement puni dans toutes les démocraties de ce monde, ce qui est une très bonne chose, que j'approuve et soutien complètement. Ce n'est même pas le résultat d'un fantasme, juste une histoire que j'ai eus envie de raconter. En essayant de la rendre le plus proche possible de ce qui est malheureusement une réalité. Je dirais même que ce que font vivre les mafias albanaises ou tchétchène par exemple sont souvent bien pire, avant que les malheureuses arrivent en Europe de l'Ouest. D'ailleurs, l'afflux de prostituées ukrainienne sur le sol des pays d'Europe accueillant des réfugiées, n'est à priori pas toujours volontaire. Elles ne se sont pas dit: super, Poutine nous attaque, allons-nous prostituer à Paris, Rome, Londres ou Berlin. Mais cela la télé n'en parle pas, alors tout le monde s'en moque... Comparée à la réalité, mon texte est presque doux, comparé à la violence, la noirceur et la dépravation de notre monde.

Assurez-vous donc d'aimer ce type d'histoire, d'avoir le cœur bien accrocher. C'est violent, âpre, dérangeant, très noir. Mais surtout il n'y a aucun espoir pour les protagonistes, ni aucune douceur. Ce chapitre et les suivants seront dans le même style et du même type que les précédents. Si cela vous a gêné, ne lisez pas ce chapitre. Tous les personnages de cette histoire sont majeurs.

Ninon :

La jeune et belle prof ne sait qu'une chose, ce n'est pas fini. Ninon n'a exploré qu'un chemin du vice, de leurs vice, et il y en a bien d'autres. Elle est brisée, humiliée, souffrante, dégoulinante de foutre et de larmes. Elle ressent honte, peur, dégoût, mais elle n'a plus de révolte en elle. Les assauts sauvage des quatre brutes ont brisé sa fierté, sa résistance. Elle va se laisser faire, la belle prof ne veut plus avoir mal inutilement, les viols sont largement suffisant. C'est ainsi, comme cela doit être.

Ninon a été traitée en salope, en pute, en morceau de viande. En jouet sexuel. Et elle l'est encore, mais cette fois ils le font de vive voix, tout en continuant à la malmener, à la violer. Lorsque elle reste sans réaction sous les coups de bites qui l'accablent, par tous ses trous, ils la mordent, la pincent, lui donnent des coups. Là où le corps humain et notamment, plus particulièrement même, celui de la femme est le plus fragile, le plus sensible aussi. Les yeux toujours aveuglés, à aucun moment elle ne peut découvrir à qui elle a affaire. Sans voir, les sensations de la belle prof, sont plus accentués, elle ressent tout plus fort, plus douloureusement. Avec toujours en sourdine, cette voix qui lui dit que c'est la faute de sa sœur.

À un moment, comme elle est parvenue à la longue, après avoir été bien tarabustée, à faire un peu glissé son bandeau, on le lui remit en place. Pour lui apprendre à ne plus prendre ce genre d'initiative, on lui claque les lèvres avec violence. L'une d'elles, déjà enflée, éclate. Elle a le goût du sang, en plus du sperme, dans la bouche. Une voix s'élève alors, vraisemblablement celle du chef du commando.

- Pas au visage! Les ordres du boss sont de ne pas abîmer la tête! Le client se moque des marques de bleus, de fouet, de griffures, de morsures, mais il tient à ce que le visage reste séduisant et intacte! Tâche de t'en souvenir, fait en sorte que je n'ai pas à le répéter, tu n'aimerais pas ça!

Il fut obéit, nul ne porte plus la main sur son visage. Ils se rattrapent par contre, avec luxure, sur tous les endroits de son corps où il est permis de lui faire mal.

Moi :

Je deviens folle, cela fait maintenant dix jours que je suis réveillée, sans que l'on me détache une seule fois du lit. Je suis obligée de regarder cette suite de films de viols à la télé. Enfin, viol est un petit mot. Tant les tortures, les coups pleuvent sur ces pauvres femmes. Pour chaque fille, c'est le même topo. Résistante au début, hurlante pendant, brisée et obéissante ensuite. Les vidéos sont condensées, cela dure en réalité au minimum plusieurs jours, parfois plusieurs semaines, rarement plusieurs mois. Mais à chaque fois le même résultat, à la fin elles sont des putes obéissantes. Un dressage en force de femelles humaines, voilà ce que sont ces films. Comme je l'ai vécu moi-même.

Le docteur m'a prévenu, Géraldine, l'infirmière est chargée de me surveiller. À chaque fois que je détourne trop les yeux, elle doit le compter, j'aurais une punition pour chacun de mes regards trop détournés. Inutile de vous dire que j'ai obéis, j'ai trop été punis pour ne pas en avoir d'autres pour un motif non douloureux pour moi.

Les viols anaux, vaginaux, buccaux de Géraldine entrecoupent la journée. Souvent l'américain, mais aussi d'autre docteurs ou infirmiers. Environs une dizaine par jour. La magnifique rousse les subis en faisant semblant de jouir, en souriant, en remerciant. Ne pleurant qu'une fois qu'ils sont partis. Je ne tente plus de lui parler, j'ai compris le risque de punition si ils nous entendent à travers les micro, ou nous voient par les caméras.

Sans parler des nombreux coïts que Géraldine subit chaque jour. Moi je suis épargnée, jusque à présent je n'ai eus qu'à sucer trois fois l'américain, une fois un infirmier, et deux fois un autre docteur. Comparée à l'infirmière ou aux filles des vidéos, c'est peanuts. Sans parler de ce que j'ai déjà vécu...

C'est Géraldine qui me nourrit, une bouillie infâme qu'elle me donne à la cuillère. Je dois faire mes besoins dans un haricot. Elle me nettoie après la grosse commission. Par contre pour l'urine, mon urine, je dois la boire. Comme celle de Géraldine. Je ne me rebelle pas. Je me mens sur la raison, je me dis que c'est pour les berner, pour pouvoir m'évader à la moindre occasion quand je serais sortis. Mais la vérité, c'est que Greg m'a brisée. J'accepterais toutes les humiliations, tous les viols qu'ils voudront effectuer sur moi. Comme Géraldine. Tout pour ne pas être punit comme les filles sur la vidéo. Ou comme moi auparavant, je suis prête à tout pour ne pas revivre l'enfer que j'ai vécu...

Ninon :

Toute la nuit elle est foutue, enculée, doit sucer. Ninon doit prendre toutes les positions qui leurs sont agréables. Tandis que l'un est sur elle, les trois autres, boivent et mangent pour réparer leurs forces. C'est surtout psychologique, ils n'en ont pas vraiment besoin, ils ont pris ces nouvelles pilules pour bander toute la nuit...

Ils fument et boivent de l'alcool tandis qu'elle se fait violer le cul, la chatte ou la bouche. Ninon peut sentir le parfum de la fumée, entendre tinter les verres tandis qu'ils trinquent et qu'elle trinque aussi, mais différemment. Parfois ils donnent des conseils à celui qui l'enfile violemment, ou ils apprécient ses splendide avantages femelles en employant des mots grossiers, sans doute afin de mieux l'avilir.

Ainsi elle est baisée, violée, profanée dans les trente-deux positions classique, ou presque, car ils en inventent d'autres. Puis la douleur s'aggravent, ses cris augmentent en volume, puis au bout d'un très long moment, ses cris, qu'elle ne pousse plus, trop épuisée pour cela reprennent, quand ils décident de lui faire connaître les joies du viol à deux. Celui qui en a l'idée est félicitée. À partir de là, il arrive souvent qu'ils la prennent ensemble, ou même à trois, le troisième se servant de sa bouche. Ils aiment se renvoyer son corps nu, torturé, comme un hochet, faisant le pari de décharger dans ses issues au même moment. Y arrivant d'ailleurs souvent.

La nuit se termine en apothéose. À cheval sur le premier, étendu sur le sol, sa queue enfoncée en son vagin, elle est enculée par le second, qui pour le fun, rajoute trois doigts en plus de sa pine. Le troisième en profite alors, tandis qu'elle gueule, pour lui enfoncer sa bite dans la bouche allant jusqu'à sa gorge. Le quatrième glisse son engin dans la main droite de Ninon, afin qu'elle le masturbe.

Après une mêlée épique et brutale, le premier lui balance son foutre dans ses intestins, l'autre au fond de son vagin, le troisième lui rinçant les amygdales de son sperme. Quant au dernier, après lui avoir envoyé son premier jet dans les cheveux, il colle son gland au front de Ninon pour finir d'éjaculer. Le sperme coule sur son front, puis dans ses yeux. Elle apprend alors, hurlant de douleur, que la semence du mâle peut brûler les fragiles globes oculaires comme le plus puissant des acides.

Alors qu'elle croit qu'ils en ont enfin fini avec elle, un des hommes colle sa bouche contre l'oreille de la belle prof.

- Bravo, tu nous a tous essorée, tu es une bonne putain...

Ninon, détruite ne répond rien.

- On va voir si tu es aussi douée pour servir les quarante hommes d'équipage. C'est leurs tour, soit une aussi bonne salope avec eux, que tu l'as été avec nous.

Ninon lâche alors une longue plainte d'horreur absolue, tandis qu'elle entend une foule de pas pénétrer dans la cale.

Emma :

De nouveau, après une journée de viol vaginal incestueux, Emma passe son test. La magnifique blonde de dix-huit ans le réussit haut-la-main. Souriant et simulant, elle donne l'impression d'aimer ce qu'elle fait en rebondissant sur la bite de Boris qui la taraude. Seul ses yeux disent l'enfer qu'elle vie. La jeune fille se retient très difficilement de pleurer, de grimacer de douleur. Emma serre son sexe pour qu'il soit le plus serré, le plus agréable possible pour la bite en elle.

Emma ne sait pas pourquoi son père, qu'elle a tant aimée, mais qu'elle haït maintenant, lui fait subir cela. Elle sait qu'il n'hésitera pas à la torturer, à la faire violer collectivement si elle n'obéit pas. Et si elle ne réussit pas les tests, c'est Boris qui s'en chargera. Alors, Emma fait la seule chose qu'elle puisse faire, elle obéit.

Cette fois Boris la fait se baiser sur lui sans capote. Aussi, quand il arrive à la jouissance, c'est dans son utérus qu'il se vide. Emma le remercie de l'avoir baisé, puis elle se penche, lui nettoie le sexe avec sa bouche. Avalant les quelques gouttes tombées sur le ventre de son agresseur quand elle s'est retirée. Satisfait, Boris se lève et se rhabille. Sans la regarder, comme si elle n'existe que pour le sexe, il félicite son père :

- Bravo le test est réussi. On dirait vraiment une salope qui prend son pied à se faire baiser.

- Alors que c'est une putain qui prend son pied à se faire prendre.

Les deux rigolent de cette blague pas drôle, humiliant encore plus Emma.

- Bon, Jeff à demain pour le premier test de son cul. Mais cela ne doit être qu'une formalité pour une salope comme elle. Puis elle a tant de potentiel...

- Ne t'en fais pas, je vais bien exploiter son potentiel.

Dès que Boris est sorti il regarde sa fille :

- Mets-toi à plat ventre sur le lit, je vais t'enculer. Mais je ne prends pas de pilule pour durer, là, c'est juste pour le fun.

Emma ne dit rien, se contentant de prendre la position demandée. Écartant ses fesses à l'aide de ses mains pour facilité ce viol anal qui s'annonce. Elle pleure et grogne de douleur tout le temps où son père l'encule. Au moins, cette fois-ci, elle peut exprimer réellement ce qu'elle ressent. Pas la peine de simuler.

Ninon :

Ninon ne sait pas pendant combien d'heures l'équipage l'a violée si sauvagement. Elle a morflée, ils ne l'ont prise que par trois à la fois. Occupant chacun de ses trous, chaque membre la prenant plusieurs fois. Quand enfin ils l'ont laissée, elle n'est plus que douleur. Mais cette fois, après eux, ils la laissent enfin se reposer. Ninon s'est alors plus évanouit qu'endormit.

Quand elle se réveille, elle est toujours dans la cale. La belle prof ne connaît pas la durée de son repos, mais vu que ses douleurs sont aussi vivante qu'avant d'être laissée tranquille, elle pense que c'est peu de temps. D'ailleurs elle sent encore le sperme qu'elle a reçu s'écouler de ses orifices forcés...

Les dix jours suivants se déroulent de la même façon, viols par ses quatre kidnappeurs, puis viols par l'équipage, puis un peu de repos. Puis de nouveau les kidnappeurs, puis encore l'équipage, puis enfin du repos. Et ainsi de suite, sans qu'elle enlève le masque qui lui enlève la vue. Sans jamais voir un de ses violeurs, les subissant sans fin. Jusque à ce qu'enfin, on lui dise qu'elle est arrivée et qu'une aiguille ne se glisse dans son bras. Quelques minutes plus tard, droguée, elle s'évanouira.

Moi :

Quand l'américain entre, Géraldine se lève et commence à déboutonner son blouse d'infirmière. C'est comme cela maintenant. Chaque fois qu'un homme entre, elle doit se mettre nue. Ils pourraient la laisser sans vêtement, vu le nombre de viols qu'elle subit chaque jour. Mais non, après les avoir remercier de l'avoir profanée, elle se rhabille. Puis se déshabille à chaque homme qui la visite. C'est plus humiliant comme cela. Devoir se mettre nue pour se faire ensuite violer en simulant le plaisir...

Mais cette fois, il y a du changement :

- Reste habillée pour l'instant.

Géraldine ne dit rien, se contentant de se remettre assis, sans reboutonner les deux boutons qu'elle a défait. Mais cette fois c'est moi qui suis horrifiée, je ne peux m'empêcher de pousser une longue plainte tout en m'urinant dessus. Ce n'est pas possible, mon cauchemar, mon enfer ne peut pas recommencer.

Greg, Jérôme et Meyer viennent d'entrer à la suite de l'américain. Ils me regardent d'un air lubrique, je ne me fais aucun doute sur ce qui m'attend. Je suis tentée de les supplier, mais je me retiens, je ne me rappelle que trop le traitement qu'ils me réservent si ce que je fais ne leurs plaît pas. Comme d'habitude, c'est Greg qui parle :

- Alors la chienne, on t'a manquée pendant ces dix-sept jours?

Je vais pour lui répondre, puis je me rappelle. Je n'en reviens pas comme les violences que j'ai subis m'ont traumatisée, mais aussi dressée. Je me retiens de pleurer...

- Ouaf!

Cela les fais rire, seule Géraldine ne bronche pas, elle comprend ce que je vis, elle vit la même chose.

- Je vois que tu n'oublies pas ta place d'animal de compagnie. Tu peux parler, et nous dire ce que tu penses, tu ne seras pas punis. Je te dirais quand tu devras reprendre le mode chiennasse.

Je réfléchis, est-ce un piège ou pas? Mais autant que je m'en souvienne, ils ne m'ont jamais piégée sur le mode de langage.

- Non, tu ne m'as pas manquée. Ni toi, ni les deux autres.

- Dommage, moi qui ai toujours pensé que l'on avait tissé des liens intimes.

- Des liens intimes pour vous, pour moi ce n'a été que viols, tortures, humiliations...

- Oui, que des bonnes choses. Ne t'en fais pas, on est de retour pour de bon. On a été retenue par une livraison de soixante-dix ukrainiennes.

Je suis atterrée, je ne me fais aucune illusion, il n'y a aucun doute sur ce que ces femmes ont vécu.

- De belles salopes âgée de dix-huit à quarante ans. Que des canons. Dont une cinquantaine entre dix-huit et vingt ans, venant d'un lycée du Donbass. La guerre cela a du bon. Mais entre les migrantes et les réfugiées d'Ukraine, l'organisation est un peu dépassée devant l'afflux de marchandises. On recrute en masse, mais c'est long à trouver de bon professionnels pour dresser tout ce bétail. Tu sais ce que c'est...

Encore cette mystérieuse organisation. Je me demande ce que c'est, bien que je commence à comprendre que c'est un très gros truc.

- Mais bon, trêve de parler boulot, parlons un peu de toi. Je vois que tu es décorée. J'aime bien tes piercings et ton tatouage.

- Cela veut dire quoi?

- Tu le sauras assez rapidement maintenant. Mais avant, un peu de fun. L'américain nous a dit que tu es très très serrée maintenant. Encore plus que pour notre première fois. Cela te dis de tester?

- Pitié...

- Ce n'est pas une réponse.

Je sais. Je ne vais pas me rebeller, je sais ce que je risque. Puis il faut que je garde ma chance d'évasion si ils croient que je suis une bonne esclave sexuelle, ils baisseront la garde, à un moment, au moins une fois, j'aurais une chance, se sera alors à moi de la saisir.

- Fais ce que tu veux. Je suis à toi, à l'organisation. Mon corps t'es ouvert, offert. À toi et à qui tu veux...

Je finis ma phrase en pleurant malgré moi.

Ninon :

Quand elle se réveille, la jeune femme ne sait pas où elle est. Elle voit qu'elle est dans une belle chambre, qu'elle n'a plus le bandeau sur les yeux. Il y a une porte. Elle se lève, puis tombe à genoux tant elle est faible. La belle prof se dirige donc vers la porte à quatre pattes. Elle fait un effort pour se relever. Elle essaie la poignée, la porte reste close, elle est fermée à clé. Ninon essaie de tirer, mais rien n'y fait. La porte ne bouge pas. Certes, elle est faible, mais le bois est solide, même avec tout ses moyens, elle sait qu'elle n'y serait pas arrivée.

Lentement, en marchant debout cette fois, elle retourne au lit. En s'allongeant, elle se rend compte de quelques changement sur elle. Ninon est horrifiée, ses tétons et son clitoris son piercé. Elle a un tatouage juste au-dessus du sexe, puis sur la face extérieur de ses chevilles. Chaque fois le même symbole, un éclair avec un double « I » majuscule. La jolie prof se met à pleurer, se demandant pourquoi ils lui ont fait cela, en plus de tout les viols. Puis la haine pour sa sœur aînée revient. À cause d'elle... vivre l'enfer qu'elle vient de vivre et qu'elle vivra sûrement encore...

Emma :

Boris savoure. La gamine de dix-huit ans, empalée par l'anus sur sa bite, rebondit sur lui. Son trou-du-cul est habitué, son père l'a sodomisée six heures le matin, et six heures l'après-midi. Elle sourit et simule parfaitement. Elle serre son trou-du-cul sur sa hampe, mais elle serre aussi ses entrailles, ce qui est difficile à réaliser. C'est parfait. Quand elle se retire, Emma le remercie d'avoir bien voulut l'enculer. Puis elle nettoie sa bite, avant de le remercier de nouveau.

L'homme se lève et se rhabille.

- Bravo Jeff, c'est parfait.

- Merci.

- Je passe demain matin pour le DP, demain après-midi ce sera TP, avec notre meilleur client.

- Pas de souci Boris, à demain.

Quand il est partit, Jeff se tourne vers sa fille, lui souriant perversement :

- Allez Emma, allonge-toi sur le dos, cuisse écartée. Pas besoin de sourire ou de simuler, je préfère quand tu pleures.

La gamine tout juste majeure acquiesce de la tête et prend la position demandée, jambes repliées et écartées, comme elle sait maintenant que son père aime.

- Papa, c'est quoi DP et TP?

- Tu verras demain. Je peux juste te dire que Boris et moi, on va adorer, le client aussi. Toi par contre pas du tout.

12