Les malheurs de Clotilde Ch. 17

Comme d'hab se dit Emma. Puis ses pensées retournent vers son père qui vient de la pénétrer vaginalement, pour la première fois de la journée.

Ninon :

Les pensées de la jeune prof dérive. Immobile sur son lit, elle essaie d'éviter de se remémorer le nombre de fois où tout ses trous ont été tronchés, en vain. Ninon ne parvient pas à en établir le compte. Onze jours de viols non-stop, par tout ses trous, la plupart du temps par plusieurs hommes en même temps. Ses quatre kidnappeurs, puis les quarante membres d'équipage...

Si elle a été piercée et tatouée, ils ne l'ont pas lavée. En tout cas elle est vraiment dans un fichu état. Ninon se redresse péniblement sur son séant afin de contempler sa nudité. Chaque pore de sa peau la fait souffrir. Elle est couverte d'ecchymoses, de morsures, de griffures. Sans parler, de multiples brûlures de clopes ou de cigares. Surtout sur ses seins, son sexe, ses fesses.

Des mèches de cheveux sont collées entre elles. Quand Ninon porte une main entre ses cuisses, elle découvre un vrai cloaque. À aucun moment, que ce soit le quatuor de kidnappeurs ou l'équipage violeurs, personne ne l'a autorisée à se laver. D'ailleurs il est dans un fichu état, ce joli con, si doux et serré, avant qu'elle ne subisse tout cela. Enflé, irrité, sanguinolent, baillant d'avoir été trop bourré, béant à force d'être violé par des bites bien trop grosses et agressives. Il faudra à son sexe, tant est qu'il puisse le faire, plusieurs semaines, pour qu'il retrouve un aspect normal. Si, bien entendu, on ne la viole plus...

Ninon pue, elle le sent, par l'odeur, mais aussi par la texture qui recouvre tout son corps meurtri. Sans parler du goût du sperme dans sa bouche... Elle se souvient de la première fois où elle les a suppliés de l'autoriser à uriner. Ils ont refusés naturellement de la laisser s'éloigner ou s'enfermer. La belle prof, à dut uriner dans un sceau, debout. Puis une fois qu'elle a eut fini, le chef lui a ordonné de boire sa pisse. Quelques coups et une main dans sa chatte, l'ont facilement convaincu d'obéir. Ensuite ce fut comme cela à chaque fois, pisser dans un sceau et boire ce qu'elle vient d'expulser...

D'ailleurs, après qu'elle est tout but, pour n'être point en reste, ils ont également pissé sur elle. Les quatre à la fois, campés debout, au-dessus de son corps, la forçant à garder ses jambes écartées. L'un dirigeant son jet sur le visage de la malheureuse, l'autre sur ses mamelles, les deux derniers, entre ses cuisses qu'elle maintient grandes ouvertes. Offrant à leurs pisses ruisselantes, sa chatte écartelée et la raie de son cul. Transformés en déversoir par où coule l'impétueux fleuve jaune.

Ils disent que c'est pour la laver, mais une fois fini, cette séance d'ondinisme les ayant mis en appétit, ils la baisent à nouveau, souillant encore une fois ses trois ouvertures. Elle a criée, la Ninon. Autant de honte d'être une pissotière, qu'à cause du liquide salé qui brûle chacune de ses blessures.

Après de nombreux autres viols, ils ont un peu changés la règle. Cette fois trois lui pisse dessus, tandis que quand ses compères ont finis, le dernier enfonce son gland dans sa bouche et urine directement. Ils ont dus faire passer le message à l'équipage, car là aussi, ont lui a uriner dessus, tandis que d'autres lui ont fait boire directement à la source, leurs liquides dégueulasse.

Ninon, sent donc, outre la pisse : l'homme, le sperme, le stupre. Elle se sent dégueulasse, détruite, triste à en mourir. Elle a été violée et violée. Sodomisée, baisée, torturée. La belle prof se demande qui peut la sauver de cette prison où ils l'ont enfermée, qui pourrait prévenir la police qu'elle a disparue? Car elle n'est plus sur un bateau, elle le sent. Elle n'a plus d'amis. Vlado son ex, la déteste. Sa sœur? Si cette pute est la cause de ses tourments, c'est impossible. Ses collègues du lycée? Elle n'a aucun contact avec eux en dehors du taf... Il reste son père et son frère... Mais eux ne s'inquiéteront que quand ils seront sans nouvelle d'elle, plusieurs jours après la date prévu de son retour. D'ici là, il n'y aura plus aucune trace de son enlèvement...

Ninon se met à pleurer, elle ne sera pas secouru. Ce n'est pas pour une rançon qu'on l'a enlevée, elle ou sa famille, si ils sont aisés, n'ont pas de fortune. Donc ses ravisseurs ou d'autres vont sûrement revenir, pour la violer de nouveau. Et ça, Ninon n'en peut plus...

Emma :

En deux jours de viols continu, sauf pour manger et dormir, la belle et jeune Emma à apprit ce que veux dire DP et TP. En hurlant et suppliant au début, en souriant maintenant. Double Pénétration et Triple pénétration... Des mots horribles quand ils sont fais de force. Ses bourreaux par contre, dont son propre père, eux ont adorés.

Mais maintenant, à la fin du deuxième jour, Emma à apprit à se faire prendre par deux ou trois bites en souriant, en simulant, en remerciant et nettoyant une fois finis. Elle a même apprit à avaler l'urine, à se faire pisser dessus, dans sa chatte ou dans son anus en souriant.

À la fin, Emma est en état de choc, son esprit réfugié dans un coin de son cerveau. La jeune fille de dix-huit ans, a à peine réagit en grimaçant quand on a tatoué juste au-dessus de son sexe, sur la face extérieur de ses chevilles. Elle grimaça à peine également quand ils ont piercé ses tétons, sa langue, son clitoris.

Une fois tout cela fait, après un dernier viol à trois, Emma est enfin tranquille, ils lui octroient douze heures de repos. En récompense de sa splendide transformation, passant d'une écolière gâtée, en une putain prête accepter toutes les avanies sexuelles de ses tourmenteurs...