Les malheurs de Clotilde Ch. 18

Informations sur Récit
Attention texte violent.
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Partie 18 de la série de 24 pièces

Actualisé 06/15/2023
Créé 12/19/2018
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Cette histoire est basée sur la déchéance d'une femme. C'est violent et difficile à lire pour une âme sensible. Si vous n'aimez pas le genre, vous n'aimerez pas cette histoire, alors inutile de la lire. Ce serait comme commander un gratin aux aubergines dans un restaurant, alors que vous détestez l'aubergine. Vous trouverez le plat dégueulasse, mais ça vous le saviez avant, ben pour cette histoire, c'est pareil. Pour les autres, bonne lecture, car je pense que c'est mon meilleur texte écrit jusque à présent.

Sinon, étant Italien, et arrivé à vingt ans en France, j'ai appris le français parlé, auprès de ma mère qui est française. Par contre pour ce qui est de l'écrit, je l'ai appris à l'école, en Italie, ce qui explique que j'ai pas mal de lacunes. Malgré les correcteurs d'orthographe et les petits trucs de quelques lecteurs, mes textes sont truffés de fautes de grammaires et d'accords, notamment sur le pluriel des verbes, mais aussi de fautes conjugaison. Veuillez m'excuser pour ce souci, que j'améliore à chaque texte. Pour ce que cela rebute, évitez de le lire, si pour vous les accords, la grammaire, la conjugaison, est plus important que le texte. Je remercie pour leur courage ceux qui me pardonne ces fautes, et me lise quand même. Bonne lecture à vous.

Pour finir je ne fais aucunement l'apologie de la violence, ni d'ailleurs l'apologie de quoique ce soit. Le viol et tout ce qui est décrit dans ce texte est sévèrement puni dans toutes les démocraties de ce monde, ce qui est une très bonne chose, que j'approuve et soutien complètement. Ce n'est même pas le résultat d'un fantasme, juste une histoire que j'ai eus envie de raconter. En essayant de la rendre le plus proche possible de ce qui est malheureusement une réalité. Je dirais même que ce que font vivre les mafias albanaises ou tchétchène par exemple sont souvent bien pire, avant que les malheureuses arrivent en Europe de l'Ouest. D'ailleurs, l'afflux de prostituées ukrainienne sur le sol des pays d'Europe accueillant des réfugiées, n'est à priori pas toujours volontaire. Elles ne se sont pas dit: super, Poutine nous attaque, allons-nous prostituer à Paris, Rome, Londres ou Berlin. Mais cela la télé n'en parle pas, alors tout le monde s'en moque... Comparée à la réalité, mon texte est presque doux, comparé à la violence, la noirceur et la dépravation de notre monde.

Assurez-vous donc d'aimer ce type d'histoire, d'avoir le cœur bien accrocher. C'est violent, âpre, dérangeant, très noir. Mais surtout il n'y a aucun espoir pour les protagonistes, ni aucune douceur. Ce chapitre et les suivants seront dans le même style et du même type que les précédents. Si cela vous a gêné, ne lisez pas ce chapitre. Tous les personnages de cette histoire sont majeurs.

Clotilde : Victime principale de cette histoire. Trente-deux ans. Blonde aux yeux verts, elle a de gros seins : 80 bonnet E. Mince, avec une chute de reins très prononcés, mettant en valeur un petit cul bombé, en forme de cœur, aux fesses fermes.

Ninon: Vingt-trois ans. Blonde aux yeux bleus. Un vrai canon aux gros seins et au cul d'enfer. Ninon à presque le même corps que Clotilde.

Emma : Dix-huit ans. Blonde aux yeux verts. Elle est le sosie de Clotilde aussi bien de visage que de corps, mais avec quinze ans de moins. Ainsi que des seins aussi gros, un cul aussi beau, mais le tout avec la fermeté de sa jeunesse.

Géraldine : Rousse aux yeux marrons, vingt-quatre ans. Seins 90 B, un joli corps. C'est une belle infirmière qui s'occupe de Clotilde à l'hôpital.

Greg et Meyer : Collègues de travail de Clotilde. C'est eux qui la viole et en font leurs esclave en premier.

Jérôme : Ami de Greg et tourmenteur de Clotilde.

L'américain : Chirurgien travaillant pour une mystérieuse organisation. C'est lui qui s'occupe de Clotilde pour la remettre en état.

Pierre : Frère de Clotilde, qui l'a agressée sexuellement quand Greg la lui a offert.

Jeff : Mari de Clotilde et père d'Emma. Il viole et dépucelle sa fille.

Boris : Directeur d'un hôtel de passe, appartenant à la mystérieuse organisation.

Moi :

C'est en pleure que j'ai vu Greg se déshabiller. J'ai gémis de terreur, bien malgré moi, quand il s'est couché sur mon corps attaché et écartelé. J'ai hurlé quand il a commencé à me pénétrer. Un deuxième premier viol... en pire... Sa bite n'a pas grossi, par contre mon sexe, lui, a bien rétréci...

La douleur, putain, la douleur... J'ouvre la bouche, je veux hurler... aucun son ne sort... J'ai tellement mal... il n'y a plus d'air dans mes poumons... Greg, lui, entre... il s'enfonce... s'enfonce... comme d'habitude, il se moque de ce que je ressent... je ne suis qu'un réceptacle pour sa bite... juste un objet de plaisir...

Au travers de mes larmes, je vois Géraldine qui me regarde. Je vois de la pitié dans ses yeux. Elle sait ce que je vis, elle a probablement vécu la même chose. Puis enfin mon hurlement sort. Il emplit la pièce. Long. Guttural. Sourd. Contentant toute la misère du monde... toute la misère de mon monde. Cette fois mon cri n'est pas une mélodie aux oreilles de mes violeurs. Ils m'enfoncent un tissu épais dans la bouche, me bâillonnant. Il n'y a plus le son, mais la douleur, elle, est toujours là.

Quand il se met à bouger en moi, ma souffrance se décuple. Je ne pense plus à mon évasion, de nouveau, je ne pense plus qu'à une chose... Que ce viol soit mon dernier, que sa bite me tue... Greg attrape mes cheveux, me redresse la tête, pour que je vois son pénis en moi... Pour mon plus grand malheur, alors que j'ai l'impression que des mètres de bite sont en moi, je me rends compte qu'il n'a encore entré que son gland...

Emma :

Quand Emma revient à elle, la jeune fille fond en larmes. Elle voit ses tétons piercé, elle en sent un sur son clitoris. Elle voit le tatouage, un éclair jaune avec deux « I » majuscules. La jeune fille sent aussi le corps de son père contre le sien. Alors elle ne bouge pas. Emma ne veut pas le réveiller. La jeune et belle fille sait ce qui l'attend. Il la violera aussitôt réveillé.

Puis le dégoût l'envahit, il l'a prévenu, il ne la violera pas aussitôt, avant elle devra boire son urine, c'est son nouveau rôle. En plus d'être la pute de son père, maintenant, elle en est la pissotière. Si elle est sage, il n'urinera que dans sa bouche. Si elle le déçoit, se sera dans son sexe ou entre ses fesses.

Emma aura trente minutes de répit, avant qu'elle ne sente son père bouger. Le petit canon pense d'abord faire semblant de dormir pour gagner quelques secondes. Puis elle se dit que si il s'en rend compte, il urinera dans son corps. Tout sauf ça.

Alors elle se met à genoux, attendant que son père ouvre les yeux. Quand il le fait, elle lui dit, comme il le lui a appris :

- Bien dormit, papa?

- Oui.

- Ta pissotière est prête. Quand tu auras fini de m'offrir ton divin nectar, tu veux que je transforme ma gorge de WC en garage pour ta bite? Ou tu préfères un autre de mes orifices?

- Quand j'ai finis de pisser, tu me fais bander avec ta langue, ensuite je veux que tu empales ton cul de salope sur ma bite.

- D'accord papa, ta putain fera tout pour te faire plaisir.

Humiliée au plus profond de son âme, Emma ouvre la bouche, elle se penche, avalant le début du membre mou de son géniteur. Ses douces lèvres se refermant hermétiquement juste en dessous le gland du mâle. Quand il commence à uriner, elle se met à tout avaler.

Erwan Duflot :

- Encore une tranche de rôti chéri?

Perdu dans ses pensées, Erwan, vingt-neuf ans n'entend pas sa femme. Il faut dire qu'il a pas mal de problèmes. Lui, et par écho, sa famille.

- Papa, maman te demande si tu veux encore du rôti.

La voix de sa fille, Lilas sept ans, le tire de ses pensées maussade. Elle est l'aînée de ses enfants, il a également un fils, Kevin cinq ans. Il est en couple avec Li depuis dix ans, marié quelques mois avant la naissance de leurs fille, quand Li a appris qu'elle était enceinte.

Li est française d'origine thaïlandaise, elle a vingt-sept ans. C'est une très belle femme, joli visage, petit seins affriolants, cul splendide. Malgré les années, ils s'aiment encore.

- Non, merci chérie.

Sa femme n'insiste pas, elle voit qu'il n'est pas bien. Elle sait qu'au boulot cela n'est pas top. C'est en partie ce qui mine son mari. Il a sa propre entreprise dans l'énergie. Un concept novateur pour le solaire, les centrales hydroélectrique et d'autres truc du genre. Des matériaux moins polluants à la construction, un coût un peu plus lourd, mais amortit plus rapidement. Le souci c'est que pour se développer, il lui faut d'abord de petit contrat. Et là, son invention est plus cher que ses concurrents, pour un amortissement un peu plus long. Même si sur le long terme, il rapporte plus. Ses améliorations ne gagnant en amortissement ou en gains qu'à partir d'une certaine taille qu'il n'a pas les moyens de construire.

L'autre problème, c'est que ce n'est que du théorique. Il a bien trouvé au début, un investisseur, qui a injecté cinq millions d'euros dans son entreprise. Prêt qu'il doit commencer à rembourser dans six mois. Cinq ans jour pour jour après l'envoi de l'argent. Mais tout a été engloutit dans l'élaboration théorique du projet. Ce qui fait, que tous les contrats auxquels il a postulé l'ont refusé. Il ne lui reste plus que deux chances : un contrat à deux millions d'euros, pour lequel il a postulé, pour s'en sortir. Ce contrat pourrait mener, pour la même entreprise, à un plus gros de cinquante millions, auquel il a également postulé. Il aura la réponse dans deux mois pour le premier et une semaine plus tard pour le deuxième. Il prie pour que cela marche. Car si il n'y a qu'une autre entreprise pour le concurrencer, cette dernière a pignon sur rue, et l'a déjà battue dans des appels d'offres précédentes.

Mais ce n'est pas la seule chose qui le mine, il vient de rompre avec sa maîtresse depuis deux ans, enfin c'est plutôt elle qui a rompu. Une journaliste scientifique de vingt ans, qui l'a interviewée sur son invention. Elle se prénomme Lola, c'est une belle rousse au corps de folie, digne d'une actrice porno. L'article n'est pas paru, mais elle si, dans sa vie. Elle risque de lui faire pas mal de problème, il a fait l'erreur de beaucoup d'amants, lui promettre de quitter sa femme pour elle. Ce qu'il n'a jamais eu l'intention de faire. Là, voyant qu'il ne quitterait pas son épouse pour elle, Lola l'a larguée, en lui promettant d'aller tout raconter à Li. Ce qui serait la cause d'un divorce, sa femme n'étant pas folle de jalousie, mais elle ne supportera pas d'avoir été trompée pendant si longtemps.

Tout cela le mine, surtout qu'avec son épouse, le sexe ce n'est plus ça. Baiser c'est la seule chose qui le détend vraiment, qui lui fait oublier les problèmes. Deux grossesses, la fatigue de son travail, les enfants, elle est trop exténuée la semaine pour la bagatelle. Ce n'est que le dimanche... Et là, on est mardi.

Ninon :

Quand la porte s'ouvre, que quatre hommes entrent, Ninon comprend que ce sont ses quatre kidnappeurs. C'est la première fois qu'elle les voient, ayant, durant tout son séjour sur le bateau, garder son bandeau sur les yeux. Il y a deux blancs, un maghrébin, un black. Leurs nudités et leurs sexe bandé ne cache pas ce qui l'attend. Alors, comme elle le fait si souvent depuis son enlèvement, la belle prof se met à pleurer.

Vaincu, Ninon ne bouge pas. Quand le premier des deux blancs monte sur le lit, elle écarte les cuisses. Il se couche sur elle, la belle prof gémit quand il la pénètre. Puis elle se laisse baiser, ensuite, elle fera pareil pour les trois autres... avant que les quatre ne l'encule, l'un à la suite de l'autre. Une fois fini, ils quittent la pièce, après s'être fait nettoyer la bite par la bouche de Ninon. À aucun moment un seul mot ne fut prononcé.

Emma :

Pour une fois se retrouver à quatre pattes sur le lit, son père fiché dans son vagin, tandis que Boris l'encule, ne dérange pas trop Emma. Il faut dire qu'elle sait que c'est une double-pénétration d'adieu. Ensuite, pour la première fois depuis des jours, elle pourra s'habiller. Puis enfin, avec son père, ils rentreront chez eux, le tout après une bonne nuit de sommeil, où Emma l'espère, elle ne subira pas trop de viols incestueux. Il le lui a dit juste avant qu'ils ne la prenne à deux.

Après que son père est remplit son utérus de sa semence, que Boris est fait la même chose dans ses entrailles, qu'elle les est remercié, la jeune majeure nettoie les deux de sa bouche. Si son père se contente d'un nettoyage, elle devra aller au bout avec Boris. Une fois que la semence du gros homme est sur sa langue, qu'il s'est retiré, Emma ouvre la bouche pour lui montrer le sperme dans sa cavité buccale. Elle referme ses lèvres et avale le liquide maintenant froid, mais toujours âcre. Le tout en souriant. Puis elle se relève, regardant le sol, elle dit :

- Merci Boris d'avoir mis votre bite dans le cul d'une putain comme moi. Merci aussi de m'avoir nourrie de votre divin nectar.

L'homme ne dit rien, il lui sourit, fait la bise à Jeff, le remerciant pour le dressage de sa chienne, puis il quitte la pièce.

Emma reste debout, tête baissée, attendant les ordres de son père. La jeune fille est brisée, elle ne pense plus refuser d'obéir à son géniteur. Même à ses ordres les plus dégradant. Il s'approche, lui relève la tête, lui roule une pelle à laquelle elle répond. Son conditionnement est parfait.

- Bon, on va allez prendre une douche. Tu me lave, ensuite je te lave. Tu séchera ton corps, mais gardera les cheveux mouillés, je te préfère comme cela.

- D'accord père. Cette pute fera comme vous le désirez.

- J'espère, c'est ton intérêt. N'oublie pas que je peux te faire punir à n'importe quel moment.

- Père, cette pute n'oublie pas.

Jeff sourit, son dressage est parfait. Même dans ses rêves les plus fous, il n'a jamais imaginé pouvoir faire de sa fille une telle esclave sexuelle. C'est aussi sa dernière lubie, la faire l'appeler « père », le vouvoyer, parler d'elle à la troisième personne avec des mots comme : chienne, salope, pute ou putain.

Emma se dirige vers la salle-d'eau, la tête basse. Son père la suit, matant son cul, se disant qu'il la sodomisera sûrement avant qu'ils soient sortis. Mais avant cela, il y aura des tas d'autres amusements. Enfin pour lui, car pour sa fille, il sait qu'il va en aller tout autrement.

Ninon :

La belle prof n'est plus sur le bateau, mais les choses ne changent presque pas. À part le bandeau qu'elle n'a plus sur les yeux, à part le sol qui ne tangue plus, le reste est le même... Elle a été violée vaginalement, elle a sucée des bites, s'est faîtes sodomisée. Elle sent le sperme frais sur son visage, qui s'écoule de sa chatte déchirée, de son anus fissuré...

La grande télé en face son lit s'allume d'un coup, des hurlements retentissent. À travers ses larmes, Ninon regarde l'image. Une jeune maghrébine, au visage magnifique, au corps de fou, est en train de se faire violer par un homme, tandis que six autres regardent. Le sang qu'elle aperçoit sur la bite du violeur à chaque fois qu'il sort du corps de la fille, prouve qu'elle est vierge... enfin, était... Ce ne sont pas ses quatre agresseurs, il y a donc d'autres hommes, plus nombreux, qui font vivre la même chose à d'autres femmes? Ninon n'a pas le temps de se poser plus de questions, la porte de sa chambre s'ouvre.

Un gros homme entre, ses quatre kidnappeurs sont avec elle. Le gros la regarde sévèrement.

- Debout!

Matée par les épreuves affreuses qu'elle vient de subir, Ninon obéit. Les lois de l'attraction faisant leurs effets, la belle prof sent le sperme s'échapper de son anus et de son vagin, coulant le long de ses cuisses.

- La pute, écoute-moi attentivement, enregistre ce que je vais te dire, je ne me répéterais pas.

Ninon sent qu'il vaut mieux écouter en effet. L'homme paraît de loin, être pire que ses kidnappeurs.

- Maintenant ta vie change. Tu as eus un aperçu de ce que l'on peut faire. Tu appartiens maintenant à l'organisation, tu vas passer le temps que l'on jugera nécessaire à la servir. Nous avons de très nombreux et riches clients, qui nous contactent pour utiliser les femelles que nous avons sélectionnées. Tu baiseras avec qui on te dit, quand on te le dit.

Il laisse un blanc pour que Ninon enregistre ses paroles. Le visage horrifié de la pute lui prouve qu'elle comprend bien tout.

- Tu devras te montrer docile et accueillante. Dis-toi que à chaque fois que tu n'observes pas la règle, à chaque fois qu'un client a à se plaindre de toi, tu seras sévèrement punie!

- Punie...

Ninon répète ce mot horrible un peu sottement.

- Si tel est le bon plaisir d'un client, il pourra te faire punir, mais rien de comparable à ce que tu vivras si tu faute. Dis-toi que ton voyage en bateau te paraîtra alors une partie de plaisir! D'ailleurs, tu pourras voir des exemples de punitions douce sur la télé. Cela éclairera un peu ton cerveau stupide de putain!

Si il n'y avait pas eus l'enlèvement, les centaines de viols sur le bateau, Ninon aurait pu croire que c'est une sinistre plaisanterie. Punie, elle, la belle prof indépendante qui a toujours pensée être une femme forte et libre... Voilà qui semble inconcevable... enfin, dans sa vie d'avant. Avec toutes les monstruosités qu'elle a vécu ces derniers jours, Ninon ne proteste pas. Se jurant de tout faire, même le plus dégradant, pour ne pas se faire punir.

- Avec ce que tu as subis, je pense que tu comprends ce qu'il t'attends, que tu es déjà prête à toutes les complaisances. Mais dis-toi que après avoir été punis, tu supplieras sincèrement pour que l'on te traite comme la pire des chiennes, plutôt que de subir une autre punition...

Cela, Ninon n'en doute absolument pas.

- Je vais te donner les premières règles que tu dois respecter. Le premier article de cette règle est l'obéissance. Le second est le silence. Tu ne dois ouvrir la bouche que si on t'interroge. Et bien entendu, pour lécher une chatte ou tailler une pipe. Mets-toi dans la tête, que même la plus pauvre des mendiantes du monde, qui n'appartient pas à l'organisation, t'es supérieure.

Ninon ne dit rien.

- Si tu te rebelle, on te dressera. Comme toutes l'ont été. Nos méthodes ont fait leurs preuves.

Ninon n'en doute pas.

- On va te changer de chambre, te mettre dans une avec une douche. Tu auras dix minutes pour te laver, ensuite je vais essayer tes trous, que mes quatre amis me disent merveilleux, même après leurs passage et celui de l'équipage. Je t'expliquerais ensuite ce que l'on attend exactement de toi.

Entourée de ses quatre kidnappeurs, Ninon emboîte le pas du gros homme.

Emma :

Ce n'est pas la première douche qu'elle prend avec son père. La jeune majeure de dix-huit ans doit le nettoyer avec du savon liquide et un gant. Des fois, c'est avec ses seins et son corps qu'elle doit le savonner, elle déteste ça. Emma se concentre, elle sait que si elle fait mal, son père la punira. La jeune fille a vu suffisamment de punitions légère sur la TV de sa chambre, pour savoir que les plus simples sont déjà un enfer.

Les parties les plus dégueulasse pour elle, se sont quand elle doit laver les parties génitales de son père. Elle doit d'abord lui lécher consciencieusement les couilles et la bite. Puis après avoir passé de l'eau dessus, les savonner à la main. Parfois, comme aujourd'hui, il exige qu'elle le fasse jouir avec ses mains. Il éjacule dans ses paumes. Elle doit alors les lécher, le goût du sperme et du savon se mélangeant alors dans sa bouche.

Puis le pire du pire arrive, elle doit lui nettoyer l'anus avec la langue. Emma se met sur ses genoux derrière son père, elle lui écarte les fesses de ses mains, puis se met à lui lécher le trou-du-cul. Heureusement que son père est propre, qu'il prend au moins une douche par jour. Le goût n'est pas trop fort. Mais cela écœure quand même Emma. Elle se met à pleurer de devoir s'avilir ainsi...

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