Les malheurs de Clotilde Ch. 18

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Moi :

Mes jambes sont largement écartées par le corps de Greg agenouillé entre-elles. Après quelques secondes en moi, il vient de se retirer.

- Putain, tu es vraiment plus étroite qu'avant. Docteur, je ne risque pas de la tuer en la violant trop fort? Pas que je tienne à elle, mais le commanditaire la veut vivante.

Je vois l'américain sourire, ma souffrance lui fait plaisir.

- Tu peux y aller aussi fort que tu veux, elle ne risque rien. Il y a même beaucoup moins de risque qu'avant...

- Dans ce cas...

De la façon dont Greg me regarde, je comprends que je vais vraiment morfler...

Alors qu'il avance, touchant les lèvres de mon sexe de son énorme engin, je réalise que mes jambes forment presque une ligne droite. Les muscles de mes jambes commencent déjà à me faire mal. Hélas, je ne suis que trop consciente, que je vais rapidement oublier cette douleur. Je sais plus que bien, que de nouveau, le viol de mon sexe provoquera une douleur mille fois plus grande...

- Regarde-moi, putain!

Greg siffle entre ses dents, au travers de mes larmes, j'obéis.

- Je vais te donner la baise de ta vie!

J'ai pensé, malgré ce que j'ai ressentis quelques secondes avant, pouvoir résisté à ce nouveau viol, ne pas leurs faire le plaisir de hurler, de supplier, de pleurer. Après tout, j'ai vécu des jours et des jours de viols, de sodomie, de gang-bang... J'ai été fistée, baisée par des chiens, j'en passe et des meilleurs.

C'était un espoir insensé. Je m'en suis rendu compte dès que la grosse tête de la bite de Greg ; a de nouveau écartée les lèvres de mon sexe. Cette douleur est pire, bien pire. Pire que d'être fistée par la plus grande main qui soit venue me violer avant ma reconstruction vaginale. Pire que d'être forcée par un homme après l'autre dans un viol collectif de plusieurs jours. Pire que de presque s'étouffer à mort sur la bite d'un homme qui viole ma gorge. Pire que ma première sodomie. C'est tout à mon honneur de ne pas avoir crier, lors des deux premier battements de cœur, après que le sexe se soit enfoncé en moi. Mais après cela, je hurle d'une agonie absolue.

Greg rit, s'amusant complètement de mon calvaire, alors qu'il force lentement mais sûrement en moi. Me pénétrant de plus en plus de son membre massif, trop gros pour ma nouvelle chatte. Perçant centimètre par centimètre dans mon fourreau serré et tendre. Tout en me pénétrant, Greg grogne :

- Oui salope, crie plus... Laisse-moi boire ton souffle! Laisse-moi me régaler de ton agonie! Crie plus fort! Tu m'as tellement manquée...

Tout en me pénétrant, pour rajouter de l'humiliation à ma douleur, il me crache au visage, sur mes seins. Sa bite est si grande, si longue, si épaisse, pour mon orifice rétrécit chirurgicalement, que je sens chaque palpitation, chaque veine, chaque bosse... J'ai l'impression que cela me déchire, une lance chaude enfoncée brutalement entre mes jambes. De temps en temps j'halète, essayant de me contrôler, d'arrêter de me dégrader en criant plus fort... mais c'est inutile... il me fait trop mal... la douleur est simplement trop intense, trop puissante...

Il veut enfoncer toute sa longueur en moi, bien que j'ai l'impression que je ne peux la prendre sans être gravement blessée. Il m'empale en entier sur sa bite, alors que je hurle de toutes mes forces. Puis il s'immobilise en moi, son gland contre mon col-de-l'utérus. Juste un ou deux centimètres de chair hors de mon corps. Il me regarde en souriant, jusque à ce que j'arrête de hurler, que je me contente de gémir d'une agonie absolue, sans nom.

Sans bouger sa bite, Greg attrape mon sein droit. Il plante ses ongles dedans, il le serre si fort, que je ne peux retenir un nouveau cri fort et strident. Encore une fois cela le fais sourire. Je souffre tellement, que je ne vois même pas les trois autres hommes se branler lentement tout en regardant mon viol...

Tout en broyant mon sein, il se met alors à entrer-et-sortir de mon corps. Brutalement, sadiquement. J'ai l'impression qu'il me sépare en deux... qu'il déchire mon ventre... qu'il m'arrache les poumons... Je hurle de douleur, puis le supplie :

- Pitié... arrête... pitié... maître...

Tout le reste de ma dignité est brutalement arraché, alors, que tandis que cette nouvelle explosion de souffrance absolue traverse mon corps, je l'appelle « maître ». Mais Greg ne semble pas entendre, tout à son horrible ouvrage. Il retire presque entièrement son sexe de mon corps, puis, une fois de plus, il pousse ses hanches vers l'avant, tout en me tirant vers son entrejambe. M'empalant encore plus loin sur sa terrible et monstrueuse queue. Mes hurlements d'agonie résonnent à travers la chambre, semblant encore plus exciter, mon violeur et les spectateurs.

Je suis incapable de me concentrer sur la moindre pensée pour fuir cet ignoble viol. Seule cette douleur terrible, brûlante, blanche, absolue occupe mon cerveau. Je pensais avoir vécu le pire avec mon premier séjour avec eux... avec les chiens... je me rend compte, pour mon plus grand malheur, que le pire réserve bien des surprises, mais surtout qu'il est sans fin...

Tout mon corps, le monde entier, tout ce que je ressens se rétrécit, pour que seule mon sexe et la douleur qu'il ressent, n'existe. Il n'y a plus rien d'autres que mon vagin, brûlé et déchiré en même temps par cet ignoble pénis. Je peux voir et entendre, mais cela, en ce moment, ne signifie plus rien. C'est seulement moi et la douleur.

J'en arrive à espérer, à le supplier de jouir en moi. Je quémande pour qu'il envoi sa semence dans mon corps. Tandis qu'il arrive à me faire plus mal, me faire hurler plus fort, tandis qu'il augmente le rythme de son viol en me prenant plus fort et plus vite :

- Oui! Souffre putain!

Je veux seulement que cet enfer prenne fin, hélas, cela semble devoir durer éternellement. Ce monstre à toujours la même endurance quand il s'agit de me violer à mort.

- Souffre!

En disant cela, il enfonce sa deuxième main dans mon sein encore libre. Plantant ses ongles dedans. J'ai l'impression que des charbons ardents sont pressé contre la peau tendre de ma poitrine.

Je hurle encore plus fort, la douleur supplémentaire me prenant par surprise. Jamais je n'aurais cru, compte tenu de la souffrance infernale que je ressens déjà, que je remarquerais même une autre source de douleur. Mais je me suis trompée. La douleur semble plus profonde que ma peau, comme si mon âme elle-même, souffre et crie de tourment. J'ai tellement mal, que j'ai l'impression que je vais perdre la tête si il continue... que je vais devenir une folle juste bonne à interner.

Pour l'avoir vécu maintes fois, je sais que son éjaculat en moi ne provoquera que douleur et sera dégradante pour moi. Mais je ne peux, entre deux hurlements, m'empêcher, sans plus aucune dignité, de continuer à le lui quémander. Je prie pour qu'il jouisse, tant l'agonie flamboyante irradiant de ma chatte maltraitée me rend de plus en plus folle.

La respiration de plus en plus lourde de Greg, semble indiquer qu'il s'approche de plus en plus de son apogée. Qu'enfin, en crachant dans mon ventre, il va mettre fin à ce calvaire. Pour le moment, cependant, cela rend mon viol encore pire, encore plus douloureux, encore plus brutal, encore plus choquant. Son rythme est régulier, vicieux. Il se retire jusque au gland, puis m'empale à fond sur sa bite. Là, il commence à pousser ses hanches fortement, me tenant en place, me pénétrant plus fort et plus profondément qu'auparavant. Je suis à peine consciente, tant il maintient se rythme de longues minutes. Enfin il se plante en moi une dernière fois, je sens alors une douleur terrible quand un liquide brûlant remplir ma chatte. Il semble remplir sans fin mon ventre de sa graine vil et dégoûtante. Je lâche un ultime cri quand il se retire de moi, la sortie étant presque aussi douloureuse pour mes chairs tendres brûlées par l'acide qu'il vient d'y injecter, que l'intromission.

- C'était bien, la putain!

Il regarde l'américain, souriant.

- Incroyable, cette chienne est putain de serrée! C'était déjà une très bonne baise avant, mais là, c'est la meilleure de ma vie!

- Je te l'ai dit. Cette technique est splendide. Regarde, en plus elle saigne à peine, alors qu'elle a pris encore plus cher qu'avant!

Je pousse un gémissement tourmenté, je suis à peine consciente sauf de la terrible douleur qui engloutit mon corps. Greg me regarde en souriant :

- Tu n'en a pas encore fini, sale pute!

Je balbutie, parlant doucement entre deux sanglots.

- Pitié... pas plus... pas plus...

- Si, plus. Il y a encore le docteur à contenter avec ta chatte... Puis Jérôme et Meyer. Ensuite ce sera de nouveau moi, mais dans ton cul cette fois...

- Je... t'en... supplie...

- Il faut bien t'habituer. Dans dix jours, il faudra que tu te fasses baiser et enculer, en simulant et en souriant.

Je suis trop faible pour lui répondre. Mais ce qu'il vient de me dire me semble impossible. Pourtant, encore une fois, je me trompe lourdement.

Emma :

Après avoir nettoyé l'anus de son père avec sa langue, ce dernier la fait se lever et s'appuyer contre le mur. Bras tendu, paume sur les carreaux de la douche, fessier offert.

- Tu m'as bien lavé. Alors je vais être gentil, je vais te laisser demander gentiment de te faire prendre, mais en récompense je te laisse choisir entre ton trou-du-cul de chienne et ta chatte de salope!

Pendant quelques secondes un duel se fait dans le cerveau de Emma. D'un côté, si il la baise, il risque de la mettre enceinte. Mais se faire enculer lui fait tellement mal. Les deux sont un cauchemar à vivre. Mais en réfléchissant, la belle jeune fille se dit que si il doit la mettre enceinte, cela doit-être fait depuis longtemps, vu le nombre de fois où il a jouit dans son ventre fertile. Tandis que malgré tout ce qu'on lui a dit sur le fait de s'habituer, le fait de se faire sodomiser, est de plus en plus douloureux pour elle.

Alors elle choisit :

- Père, votre salope et chienne de fille, serait très honorée si vous daignez mettre votre pénis dans sa chatte de salope!

Il sourit, la conne est bien formatée, bien dressée. L'homme colle son pénis contre l'entrée du sexe de son enfant. D'un seul coup de reins, il la pénètre. Elle gémit, transformant son râle de douleur à ce qui ressemble à un râle de plaisir, elle est douée pour cela aussi. Il se met alors à la baiser, au rythme de son viol, Emma se met à simuler le plaisir. Serrant son sexe pour que la bite paternel trouve le meilleur dans ce viol incestueux. Emma n'espérant qu'une chose, qu'il jouisse vite en elle.

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Anonymous
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2 Commentaires
charlottelovesexeardbdsmcharlottelovesexeardbdsmil y a plus d’un an

Merci d'avoir pris le temps pour la description des personnages, j'avais zappée quelque truc que j'apprends, le récit n'en est que plus captivant

AnonymousAnonymeil y a plus d’un an

Un peu trop violent, mais une des trop rare série de ce site qui s'améliore avec les chapitres. Bravo

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