Les malheurs de Clotilde Ch. 21

Informations sur Récit
Attention texte très violent.
3.9k mots
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8.1k
1

Partie 21 de la série de 24 pièces

Actualisé 06/15/2023
Créé 12/19/2018
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A LIRE ABSOLUMENT AVANT DE LIRE L'HISTOIRE:

Pour éviter les commentaires de personnes ne lisant pas ou ne comprenant pas mon avertissement, j'en remets une couche: Si toi pas aimer viol ou l'ultra-violence, toi pas lire. Si toi lire, tant pis c'est ton choix, assume et viens pas pleurer comme Assas 78.

Cette histoire est basée sur la déchéance d'une femme. C'est violent et difficile à lire pour une âme sensible. Si vous n'aimez pas le genre, vous n'aimerez pas cette histoire, alors inutile de la lire. Ce serait comme commander un gratin aux aubergines dans un restaurant, alors que vous détestez l'aubergine. Vous trouverez le plat dégueulasse, mais ça vous le saviez avant, ben pour cette histoire, c'est pareil. Pour les autres, bonne lecture, car je pense que c'est mon meilleur texte écrit jusque à présent.

Sinon, étant Italien, et arrivé à vingt ans en France, j'ai appris le français parlé, auprès de ma mère qui est française. Par contre pour ce qui est de l'écrit, je l'ai appris à l'école, en Italie, ce qui explique que j'ai pas mal de lacunes. Malgré les correcteurs d'orthographe et les petits trucs de quelques lecteurs, mes textes sont truffés de fautes de grammaires et d'accords, notamment sur le pluriel des verbes, mais aussi de fautes conjugaison. Veuillez m'excuser pour ce souci, que j'améliore à chaque texte. Pour ce que cela rebute, évitez de le lire, si pour vous les accords, la grammaire, la conjugaison, est plus important que le texte. Je remercie pour leur courage ceux qui me pardonne ces fautes, et me lise quand même. Bonne lecture à vous.

Pour finir je ne fais aucunement l'apologie de la violence, ni d'ailleurs l'apologie de quoique ce soit. Le viol et tout ce qui est décrit dans ce texte est sévèrement puni dans toutes les démocraties de ce monde, ce qui est une très bonne chose, que j'approuve et soutien complètement. Ce n'est même pas le résultat d'un fantasme, juste une histoire que j'ai eus envie de raconter. En essayant de la rendre le plus proche possible de ce qui est malheureusement une réalité. Je dirais même que ce que font vivre les mafias albanaises ou tchétchène par exemple sont souvent bien pire, avant que les malheureuses arrivent en Europe de l'Ouest. D'ailleurs, l'afflux de prostituées ukrainienne sur le sol des pays d'Europe accueillant des réfugiées, n'est à priori pas toujours volontaire. Elles ne se sont pas dit: super, Poutine nous attaque, allons nous prostituer à Paris, Rome, Londres ou Berlin. Mais cela la télé n'en parle pas, alors tout le monde s'en moque... Comparée à la réalité, mon texte est presque doux, comparé à la violence, la noirceur et la dépravation de notre monde.

Assurez vous donc d'aimer ce type d'histoire, d'avoir le cœur bien accrocher. C'est violent, âpre, dérangeant, très noir. Mais surtout il n'y a aucun espoir pour les protagonistes, ni aucune douceur. Ce chapitre et les suivants seront dans le même style et du même type que les précédents. Si cela vous a gêné, ne lisez pas ce chapitre. Tous les personnages de cette histoire sont majeurs.

Clotilde : Victime principale de cette histoire. Trente-deux ans. Blonde aux yeux verts, elle a de gros seins : 80 bonnet E. Mince, avec une chute de reins très prononcés, mettant en valeur un petit cul bombé, en forme de cœur, aux fesses fermes.

Ninon: Vingt-trois ans. Blonde aux yeux bleus. Un vrai canon aux gros seins et au cul d'enfer. Ninon à presque le même corps que Clotilde.

Emma : Dix-huit ans. Blonde aux yeux verts. Elle est le sosie de Clotilde aussi bien de visage que de corps, mais avec quinze ans de moins. Ainsi que des seins aussi gros, un cul aussi beau, mais le tout avec la fermeté de sa jeunesse.

Géraldine : Rousse aux yeux marrons, vingt-quatre ans. Seins 90 B, un joli corps. C'est une belle infirmière qui s'occupe de Clotilde à l'hôpital.

Greg et Meyer : Collègues de travail de Clotilde. C'est eux qui la viole et en font leurs esclave en premier.

Jérôme : Ami de Greg et tourmenteur de Clotilde.

L'américain : Chirurgien travaillant pour une mystérieuse organisation. C'est lui qui s'occupe de Clotilde pour la remettre en état.

Pierre : Frère de Clotilde, qui l'a agressée sexuellement quand Greg la lui a offert.

Jeff : Mari de Clotilde et père d'Emma. Il viole et dépucelle sa fille.

Boris : Directeur d'un hôtel de passe, appartenant à la mystérieuse organisation.

Je m'urine dessus. Je dois me tenir au mur pour ne pas m'évanouir, pour ne pas tomber. Ma tête tourne. Dans un murmure d'épouvante je lui dis :

- Emma ??? Jeff, tu couches avec notre fille ???

- Oui, par tout les trous, depuis ton départ. Dis-lui Emma !

Ma fille, mon amour, mon sang se met à pleurer. Ce que j'entends est pire que mon enfer. Est pire que tout.

- Il... me force... maman... il me viole... il me fait mal... maman... si mal... mon dieu... ce qu'il me force à faire...

Les paroles de ma fille me tue, me glace le sang. La suite est bien pire...

- Aide-moi Maman... pitié... aide-moi...

Je ne peux rien y faire, je suis victime moi aussi. Mais comment le dire? Comment le lui dire? Je vais le tuer. Devrais je passer tout le reste de ma vie en prison, mais je vais le tuer. Je vais pour avancer, quand je me fige.

Un applaudissement retentit derrière moi. La pire voix du monde se met à parler :

- Clotilde. Tu es tellement conne. Tellement prévisible. Un petit piège et hop, tu tombes dedans.

Je me retourne, c'est Greg. Meyer et Jérôme sont avec lui. Je tombe à genoux. La terreur m'envahit.

- Pardon... Je ne voulais pas...

- Oh, si tu le voulais. Mais tu es si conne. Le gars que tu as agressé est un cascadeur qui bosse pour nous. Heureusement, il aurait été un vrai client, il serais mort.

- Comment tu as su que je viendrais ici... J'aurais pus aller à la police... aux gendarmes...

- Tu as oubliée également que tu as un GPS dans tes piercings de putain. Si tu étais allée aux flics, on serait peut-être intervenu pour t'intercepter. Ou on aurais laisser faire ceux qui bosse pour nous. J'ai suivis tes mouvement en temps réel. Tout en baisant ta fille. Au passage, elle est aussi bonne que toi. Voir meilleure, car bien plus jeune et serrée!

- Emma... mon bébé...

- Mais tu es stupide. Si stupide. Tu as fais ce que tout le monde attendais. Venir ici Pour info, le reportage que tu as vus à la télé est un faux. Personne n'est au courant de ta disparition.

- Mais le boulot... mes amis...

- Officiellement tu as démissionné pour un poste aux USA. Jeff c'est chargé de rassurer les inquiets.

- Ma fille... pourquoi ma fille...

- D'abord, si on peux avoir la mère, pourquoi pas la fille. Puis c'était une des conditions...

- Conditions ???

- Ton mari veux nous rejoindre. Plus précisément l'organisation pour laquelle je travaille. Pour cela il doit donner une femme proche de lui, puis en dresser une qui est aussi une proche. Il t'a offerte à l'organisation, et à choisit de dresser votre fille.

- Je ne comprends rien...

- Disons que comme tu le sais maintenant, je bosse pour une organisation dont tu en apprendras plus plus tard. Je dresse des femelles pour cette organisation.

- Pour les prostituer... comme moi...

- Non, enfin si. Pas la pute traditionnelle comme tu l'entend. La pute très très haut-de-gamme. Pour une pute ou une escort destinée au grand public, la violence suffit. La plupart du temps on ne les dressent pas vraiment. À l'abattage, le client se moque que la fille soit consentante ou pas, si elle ne l'est pas, c'est même mieux. Tu comprends ?

- Oui monsieur.

- Donc comme tu le sais, on étais proche, mais je l'étais de ton mari aussi. Quand tu m'as dis que tu t'étais mise d'accord avec lui pour qu'il aille voir ailleurs, tant que c'était que du sexe, je me suis encore plus rapproché de lui. On a plusieurs sites dans la région, dont un que ta fille connaît bien d'ailleurs tenu par un certain Boris. Bref, je lui en ai parlé, un hôtel, où pour pas cher, il aura accès à toutes les filles qu'il veut. Comme c'est mon pote, ainsi qu'autre chose que je t'expliquerais plus tard, pour Jeff c'est deux cent euros par nuit. La seule chose, c'est que pour une future putain encore vierge ça reste plein pot.

Greg fait une pause, j'ai envie de vomir en entendant ce qu'il me dit.

- La seule restriction pas de mineure. Chaque site compte une centaine de filles, de dix-huit à cinquante ans. De tout type, de toutes couleurs de cheveux, de toutes ethnies. Avec la possibilité pour ceux qui y mette le prix, d'avoir la fille, ne faisant pas partie de l'organisation, qu'ils veulent.

D'accord, mon connard de mari est allé voir des putes non consentantes, mais je ne vois pas que cela a à voir avec moi. Encore moins avec Emma.

- Donc chaque fois qu'il t'a dit allé voir une fille qu'il avait dragué, il est allez chez nous. Aucune vierge ou presque vierge, c'est à dire à moins de dix viols anal ou vaginal, qui sont très cher. Mais il a eut accès à toutes les autres. Je peux te dire que de la beurette, de la black, de l'asiatique, je passe et des meilleurs, de dix-huit ans, avec tout juste dix viols par trou, il s'en ai tapé !

J'ai envie de vomir en entendant cela.

- Bon après je te dis cela, c'est pour t'expliquer comment il a connu l'organisation, parce que qu'il soit client ou pas, n'a rien à voir avec ce qu'il t'es arrivée, à toi et à ta fille.

- C'est déjà ça.

- C'est l'offre de contrat que j'ai vu passé, qui a tout déclenchée.

- Contrat ???

- On t'expliquera d'ici peu. Donc j'ai saisis l'occasion, cela fait longtemps que je veux te violer. Ton mari ne t'aime plus, il est resté avec toi, à cause de ta fille. Emma le fait vraiment fantasmer depuis quelques temps, depuis qu'elle a un corps de femme. Il me l'a dis, je savais comment le mettre dans ma poche pour t'avoir. Lui offrir sa fille et son corps sur un plateau, sans risque pour lui d'aller en prison.

Je tombe des nues, Jeff, que j'aime tant, qui veut couché avec notre fille... Je n'ai rien vu. Puis il y a du bruit dans les escalier, je vois quatre hommes descendre, avec deux filles nues, du sperme entre les jambes. Je sais parfaitement ce que viennent de vivre les deux femmes. Je reconnais Géraldine, mais pas l'autre. C'est une très belle brune, superbement foutue, dans la vingtaine. Greg me la présente.

- Lydie, la fille qui a remplacé ta fille à la colonie de vacances. Le directeur a beaucoup apprécié ses orifices. Mes quatre amis aussi. Eux, c'est l'équipe qui bossent pour moi. Enlèvement, dressage, ils savent tout faire, tout comme moi.

Greg s'interrompt, il y a du nouveau du bruit, avec horreur, je vois mon père et mon frère. Avec Ninon, ma sœur. Les salauds, je ne leurs aient pas suffit. Il a fallut qu'ils violent aussi ma petite sœur. Une envie de vomir me prend. Moi, ma fille, ma sœur. Les femmes de la famille sont donc toutes devenues des esclaves sexuelles ??? J'entends vaguement le bruit d'une voiture qui se gare.

- Ton père et ton frère bossent avec moi, ce sont mes lieutenants.

Puis je vois Ninon devenir rouge de colère.

- Clotilde ? Toi aussi tu te fais violée ? Comme moi ?

- Oui... désolée...

- Désolée ? Seulement désolée??? Alors que tout est de ta faute ? SALE PUTE !

Je suis tellement abasourdie, que je ne fais rien pour l'éviter quand elle fonce sur moi. Les autres sont également surpris, car personne ne bouge.

Je crie de douleur quand je prends le corps de ma sœur en plein sur moi. Je tombe à la renverse, elle me file quelques coups de pieds dans les côtes. Heureusement qu'elle est pied nus, sinon elle m'en aurait brisée quelques-unes. Elle s'assoit sur mon torse, elle va pour me mettre des coups de poings en plein visage, quand elle hurle. Ninon est désarçonnée. Elle s'écroule au sol, hurlante, convulsant. Cela dure une trentaine de secondes. Ensuite Greg la retourne sur le ventre, il lui menotte les poignets dans le dos. Je ne comprends rien à ce qui est arrivé. Mon père me montre une petite télécommande. Greg m'explique :

- Tu te rappelles, quand je t'ai fais piercé les seins et le clito, je t'ai dis que tes piercings peuvent envoyer des ondes magnétiques dans le corps. C'est comme une électrocution, mais ce n'est pas mortel et sans risque vital. Voilà le résultat.

Je n'ai pas le temps de répondre, qu'une voix grave résonne :

- C'est quoi ce bordel ?

Je regarde, un jeune homme de l'âge de Ninon vient d'arriver. Il tient une magnifique brune, d'environs trente-cinq ans. Elle est en laisse, marchant à quatre patte, comme une chienne, comme Greg me l'a souvent fait faire. Je vois dans ses yeux toute la misère du monde. Elle a le même regard que toutes les autres femmes de la pièce. Y compris, sûrement, le mien.

Je me dis que le jeune homme doit être le chef, tout le monde se tait quand il entre. Ninon le regarde interloquée :

- Vlado ?

- Oui, c'est moi. Pourquoi tu as attaquée ta sœur ?

- Tout ce que j'ai vécu comme viol, et tout ce que Emma à sûrement vécu aussi, sont de sa faute.

Elle désigne les quatre hommes du menton :

- J'ai entendu mes quatre kidnappeurs en parler. Mais toi ? Tu fais quoi ici ?

- Messieurs, c'est vrai ?

Les quatre hommes dénient de la tête.

- Ninon, tu me mens ?

- Non, au début, quand j'étais cagoulée, j'ai entendu une conversation entre deux d'entre eux : « Tout cela à cause de sa sœur... ».

Vlado regarde les quatre hommes, ils réfléchissent quelques minutes, puis l'un d'eux s'exclame :

- Je m'en rappelle, Greg nous en envoyé le viol de Clotilde par les chiens, en vidéo. Je l'ai regardé en buvant une bière avec je ne sais plus lequel de mes compères. « La pauvre, elle se fait défoncée par ce chien, tout cela à cause de sa sœur... ».

- Tu vois connasse, tu prends ta sœur comme coupable, parce que comme à chaque fois, tu es trop stupide pour avoir toutes les infos. Tout ce qui se passe ici, depuis le début, est de ta faute !

Cette fois c'est moi qui regarde Ninon avec colère. Mais je ne la toucherais pas. D'abord par peur des effets des piercings, ensuite parce que je n'en peux plus de la violence. Ninon est vraiment dépitée, elle ne comprend rien :

- Comment ça ? À cause de moi ? Mais je t'aime !

- Je ne t'ai jamais aimé, j'avais juste une belle chienne, une vraie bombasse acceptant tout de moi sans que je la force. Je suis restée avec toi juste pour le cul, le reste, tu ne vaux rien.

- Mais Vlado... je ne comprends rien...

- Je vais t'expliquer. La pute là, c'est Françoise-Xavière. Sa société intéressé beaucoup mon père, comme les plus de deux-cent-dix millions d'euros qu'elle possédait. J'ai donc été chargé de la séduire, de l'épouser et de faire main basse sur sa fortune. Pour cela je l'ai coupée de toutes ses connaissances, de ses amies, d'ailleurs, ses deux meilleures amies sont comme les autres femelles ici, devenus des putains. Et toi tu as faillis tout gâcher.

- Comment ça ???

- J'ai pris une fausse identité pour cela, au cas où les choses tournent mal. Elle m'a connu sous le pseudo de Tom. C'est en tant que tel que je l'ai séduite, que je l'ai épousé. Toi, tu me harcèle, de plus en plus. Il se passe quoi si tu débarques à notre mariage en m'appelant Vlado ? Si tu la fais doutée ? Si elle annule tout ? Je passe pourquoi auprès de mon père dont je suis l'héritier en tant qu'aîné de ses fils ? Si je ne réussis pas une simple mission comme celle-là, comment je peux prendre sa suite à la direction d'une organisation comme la notre.

Ninon comprend que tout vient d'elle, qu'elle est allée trop loin avec lui. Nous entraînant moi et ma fille dans ce bordel. Même si je ne vois pas encore comment...

- Donc il fallait te faire taire. Mais je n'allais pas te faire exécuter non plus.

- Tu tenais trop à moi pour ça ???

Je vois de l'espoir dans les yeux de Ninon.

- Tu rigoles ? Te tuer ne m'aurais pas dérangé. Mais cela aurait ouvert une enquête criminelle. Les flics auraient put me convoquer sous ma vrai identité, la pute que je veux épouser aurait put le savoir. Voir même les flics, ils auraient pus décourvir que j'ai une seconde identité. Trop dangereux, c'est tout. Quand au fantasme de « on ne retrouve jamais un corps », cela n'existe que très rarement, je ne pouvais donc pas prendre ce risque.

L'enfer remplace l'espoir dans les yeux de ma sœur. Elle est en vie, pas parce qu'il tient a elle, mais parce que c'est trop dangereux.

- Notre organisation enlève beaucoup de femme à travers le monde, on sais faire. Même en France, il y a des milliers de disparitions non retrouvées chaque année. Très peu sont classée inquiétante. Pourtant la majorité sont des femmes jeunes et belles. L'organisation de mon père y prend part, comme d'autres du même type, plus grosses. Nous, nous visons surtout les migrantes, les sans-papiers, les filles des quartiers pauvres dont tout le monde se fou. Avec l'Ukraine en plus, c'est un afflux très important de bombasse qui tombent entre nos pattes. Mais on sait faire autrement aussi, quand il s'agit de putains en place, ayant des familles, des amis. Bon pour toi, Ninon, ta sœur et ta nièce c'est un peu différent. Mais pour les autres, celle comme Françoise-Xavière ou ses deux meilleures amies, on sait faire autrement. En deux semaines on dresse une pute. Officiellement, elles partent en voyages de noces, en vacances, en formation, pour le boulot, des excuses crédibles qui ne mettent la puce à l'oreille à personne. Aujourd'hui, n'importe qui peut appeler Françoise-Xavière ou vous sur vos téléphones, vous répondrez que vous allez bien, que vous êtes occupées. Fin de l'inquiétude.

Il a raison, si on m'appelle, qui que ce soit, je répondrais si Greg me le demande, je dirais ce qu'ils veulent.

- Ces putes ont des enfants, des parents, une fratrie, bref des gens qui tiennent à eux. C'est notre assurance pour les garder tranquille. Un mauvais choix, et hop, on s'en prends à eux. Ça plus le dressage, les punitions... On a des tas de manières de dressée une femelle. Comme avec vous quatre. Françoise-Xavière peut vous le dire, elle l'a vécu lors de notre voyage de noces au Mexique. Les hommes du cartel de Juarez, avec qui nous tavaillons beaucoup, peuvent vous le certifier, mon épouse, enfin, l'épouse de Tom est très réceptive au dressage par la violence. Surtout après en plus des hommes, avoir connus des chiens et des chevaux... Après les coups, la drogue, la privation d'eau et de nourriture sont aussi des moyens très bons pour arriver à nos fins. Mais ça, on l'utilise souvent pour les putes que l'on veut garder vierge.

Je me dis que quoi qu'il arrive, on ne s'en sortira pas...

- Bref pour en revenir à vous, on a une sorte d'intranet, passant par le Dark-Web, dans notre organisation, où on propose des contrats sur des femelles visées à nos équipes. Celles intéressées répondent, et le membre dirigeant ayant passé l'offre, choisit l'équipe en charge. Pour toi, cinq équipes ont répondu, il faut dire qu'un canon comme toi ne se refuse pas. Mais comme tu le sais celle qui a retenu mon choix, est celle de Greg. D'abord pour son taux de réussite, mais aussi parce que ton père et ton frère étaient dans le deal. Ainsi que le mari de ta sœur comme recrue potentielle.

Je maudis Greg, il n'a eut aucune pitié pour moi, son amie.

- D'ailleurs tu sais pourquoi souvent tu t'ai faîtes violer les yeux bandés ?

- Non...

- Parce que ton frère faisait partie de tes violeurs, il ne fallait pas que tu le reconnaisse. Il est le seul à avoir prit une pilule d'augmentation de fertilité. Les autres prenaient des pilules stérilisante momentanée. Le triptyque est ainsi fait. Tu es enceinte de ton frère, Clotilde de votre père, Emma de son père. Des enfants nés dans la famille quoi. Un peu comme vous...

Là, je ne comprends pas, Ninon est plus rapide que moi pour répondre :

- Comme nous ?

- Oui, la mère de Clotilde, de ton frère et de toi, est aussi votre tante. Votre père vous a eus avec sa sœur.

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