L'Île de Marana Chapitre 11

BÊTA PUBLIQUE

Remarque : Vous pouvez modifier la taille de la police, la police et activer le mode sombre en cliquant sur l'onglet de l'icône "A" dans la boîte d'informations sur l'histoire.

Vous pouvez temporairement revenir à une expérience Classic Literotica® pendant nos tests bêta publics en cours. Veuillez envisager de laisser des commentaires sur les problèmes que vous rencontrez ou de suggérer des améliorations.

Cliquez ici
OmegaNu
OmegaNu
13 Admirateurs

— Elles sont sept. La déesse-mère est H'Arhia, que tu as rencontrée, et ensuite ses six filles, H'Alir, déesse de la guerre, H'Amiah, déesse de la nature, H'Adhara, déesse des forêts.

Nous arrivons sur le côté de l'Auberge, il y a des écuries.

Ces chevaux, des juments comme me l'explique T'Asha, font quatre mètres de haut. Elles ressemblent aux bêtes que je connais, sauf qu'elles sont énormes, adaptées à ces femmes géantes. Je passe en dessous sans problème. Elles ont une belle robe noire luisante, un noir de geai aux reflets bleutés tellement elles sont noires. Il y a cinq juments noires et deux plus petites, blanches qui sont les juments de bât.

— Ces juments sont trop grandes pour toi, tu seras devant une cavalière pour avancer dans la nature, pas devant les femmes.

— Pourquoi?

— Les mâles ne peuvent monter à cheval, mon cher Arno, sur Marana, les mâles sont uniquement des esclaves.

— Et moi?

— Toi, tu es l'esclave des déesses, tu leur appartiens. Cela veut dire que nous te traitons bien. Bientôt, l'île comptera à nouveau des milliers d'esclaves.

— D'où viendront-ils?

— Du reste du monde. Nous allons repartir à la conquête du monde, et nous aurons des milliers d'esclaves pour les travaux et notre bon plaisir.

— Mais comment allez-vous faire?

— Nous allons les battre. C'est une stratégie. Nous ne pouvons perdre, nous avons nos déesses. Notre magie revient. Nous sommes invulnérables.

Elle me montre le matériel et les sacs qui seront accrochés aux flancs des deux chevaux blancs, ainsi que les immenses selles de leurs juments noires.

— Tu es définitivement en notre pouvoir, Arno. Pendant ton voyage dans le Nord, tu apprendras tout ce que tu dois savoir pour être l'unique mâle Mar.

— Mais je croyais que vous alliez avoir plein d'esclaves.

— Oui, esclaves des Mars, mais toi tu es l'esclave des déesses, c'est un statut privilégié, tu fais désormais partie de notre peuple, grâce à toi, notre puissance revient. Tu es le catalyseur, personne ne peut te faire du mal, mais ne t'en fais pas, nous pouvons toujours te punir, mais je serais incapable de te tuer ou de t'handicaper.

Je reste un peu dubitatif, mais après cette vision de la déesse, tout est possible. Depuis le temps que je suis ici, trois semaines, ma vision des choses a changé. Il existe un autre monde, les déesses existent, et je me sens irrémédiablement attiré par ces grandes femmes, alors que lorsqu'elles me parlent d'esclavage et de conquête du monde, je n'en ai cure.

T'Asha me ramène dans l'Auberge Dorée.

— Quelles sont les autres déesses?

— Je te dirai tout en chemin, tu devras bien retenir les noms et les cultes, savoir comment les servir.

Je fais sensation, ainsi nu dans la grande salle. Nous rejoignons les amies de T'Asha, également vêtues de cuir noir, assises à l'arrière alors que nous devons passer dans une foule de géantes noires.

— Toutes les touristes ont maintenant quitté l'île, m'apprend une des amies de T'Asha, A'minha. Nous sommes entre nous.

— Et ceux qui s'étaient échappés? Je me souviens que nous avions rencontré un groupe de guerrières qui les pourchassaient.

— Arno, elles jouaient, laissaient de faux espoirs. Ils ont été capturés il y a longtemps.

— Et que leur est-il arrivé?

— Ils ont été mis à mort.

— Mais? Ils n'avaient rien fait.

— Ils s'étaient enfuis. Ils avaient refusé les ordres et les lois de Marana, comme tous les autres mâles qui sont venus ici.

— Et moi?

— Tu es le seul garçon de l'île. Tu es le seul à accepter nos lois. Et pour cause.

Je n'en reviens pas. Je suis le seul mâle, je suis blanc et je suis tout nu.

— Et où sont les touristes?

— Nous les avons dirigées vers Mar'Sil et renvoyées à Nassau et puis chez elles. De toute façon, dès demain, touristes ou pas, tu seras dans un monde différent. Rien que des femmes noires. Et tu seras tout nu. Avec impossibilité de t'habiller, quoiqu'il arrive.

Les cinq femmes rient. Nous recevons notre repas, et ensuite T'Asha se lève et me dit de l'accompagner. Nous sortons et allons à la police. Nous retournons devant la capitaine.

— Nous partons tôt demain matin, puis-je avoir son laissez-passer?

— Bien sur, maitresse T'Asha. Mais il n'en a plus besoin désormais. Vous voulez ses affaires?

— Non. Il ne lui est plus autorisé à mettre des vêtements. Il continue son voyage totalement nu.

— Que faisons-nous de ses affaires?

— Qu'en penses-tu, Arno? Me demande T'Asha en se penchant sur moi.

— Pouvez-vous les envoyer à Mar'Sil? Je m'habillerai en partant.

— C'est une excellente suggestion, me dit la capitaine. On voit que tu apprécies vraiment nos lois.

— D'autant plus que je ne sais pas encore si nous allons passer par ici au retour de son voyage initiatique.

En sortant, elle me prend la main.

— Nous risquons de ne pas revenir ici? M'inquiété-je.

— Cela pourrait arriver.

— Et vous me laisseriez tout seul loin d'ici?

— Pourquoi pas. Tu trouverais certainement quelqu'un pour t'aider. Tu as voyagé tout nu dès que nous nous sommes rencontrés.

Nous rentrons ainsi à l'Auberge. Il y règne une belle ambiance de fête. Dès mon arrivée, la cinquantaine de géantes noires crient, elles semblent ivres. Certaines viennent parler à T'Asha qui sourit en me regardant. Elle me soulève par les deux poignets pour me mettre à sa hauteur.

— C'est une excellente idée, Arno, tu vas aller sur la scène et danser pour nous!

Elle me conduit ainsi et il y a de la musique. Je vois des dizaines et des dizaines de visages de femmes qui rient et crient. Après un moment de blocage, je commence à gesticuler au son des rythmes musicaux. Il m'est interdit d'arrêter, elles me font danser pendant des heures, me permettant parfois de prendre un peu d'eau. Je suis exténué, mais n'ose arrêter. Mon sexe dur gigote devant moi, sans arrêt, sans vouloir débander, toujours dressé grâce à l'énorme quantité de phéromones dégagées par toutes ces femmes.

Tard, je vois T'Asha venir me prendre sur scène. On applaudit. Elle me mène par les poignets dans le couloir et nous rejoignons sa chambre.

— Retire mes bottes! M'ordonne-t-elle.

Après avoir trouvé le mécanisme de fermeture, je commence à retirer les bottes qui montent à mi-cuisse, pratiquement la hauteur de mes épaules, et je les lui retire. Ce n'est pas évident, des bottes de cette taille pèsent lourd pour quelqu'un comme moi. Je les range dans un coin et lui retire ses gants et sa ceinture. Quelle force doit-elle avoir pour porter tout cela en permanence?

Elle défait sa combinaison qui se retire facilement. T'Asha est superbe en sous-vêtements blancs.

— Wow, m'exclamé-je, madame, vous êtes si belle.

Elle sourit et me prend pour me déposer sur l'immense lit.

Elle vient s'asseoir sur moi. Je me sens tout minuscule encore une fois, une femme de peut-être un mètre plus grande que moi. Elle est à genoux au dessus de mon corps, je sens sa féminité si proche. Elle se baisse, seuls ses gros seins me touchent et elle m'embrasse, tendrement. Puis elle se retire et s'étend à mes côtés, ma tête dans ses gros seins et sa main sur mon sexe tendu.

— Tu as de beaux attributs mâles. C'est trop grand pour toi, pour les femmes de ton monde, mais il convient parfaitement aux femmes de Marana. Et j'adore ce bijou.

— Pourquoi vous m'aimez bien? M'inquiété-je. Après tout, vous n'êtes que des femmes, vous n'avez pas besoin d'hommes.

— Non, mais nous aimons les mâles bien faits comme toi, nous ne sommes pas asexuées. Et le plus agréable, c'est la domination, tu es subjugué par moi, tu es prêt à tout, et moi, je te contrôle comme cela, les femmes contrôlent toujours grâce à ton sexe. C'est toi le sexe faible, en érection, tu ne sais qu'obéir, avec l'espoir que tu puisses soulager la pression.

Elle a raison, me dis-je dans un sursaut de lucidité, mais cela n'a pas d'importance.

— Les Mars préfèrent que les mâles utilisent leur bouche, mais tu peux faire l'amour, montre-moi comment tu fais.

C'est vraiment une parole humiliante, surtout qu'elle se place sur le dos, et je dois aller entre ses cuisses. Mon sexe pénètre le sien. Comme moi, son corps magnifique et ultra-féminin est dépourvu de tout poil. Son sexe s'ouvre, et je m'enfonce en elle. La différence de taille est telle que je n'ai rien pour m'agripper, je ne peux même pas m'étendre. Elle sourit et m'aide à m'installer. Cette grande femme semble m'apprécier, elle est sévère, elle veut me voir à ses pieds comme un esclave, mais je lui suis très cher.

Sa respiration s'accélère, son sexe est adapté à la taille du mien, et je peux lui faire l'amour. Elle ne met pas longtemps à jouir et me pousse hors d'elle pour récupérer. Pas longtemps, elle s'assied et me regarde de sa hauteur. Elle a retiré son soutien, elle est complètement nue. Sans rien dire, elle attrape mon poignet droit et me tire contre elle. Je suis debout contre elle, et elle m'embrasse.

— Tu es un amant merveilleux, tu es un excellent esclave. Les déesses t'ont créé parfait pour les Mars.

Je ne pensais pas avoir fait quelque chose d'exceptionnel. En tout cas, il est certain qu'elle ne me flatte pas. D'un coup, elle me pousse sur le dos et elle revient sur moi. Alors, elle s'empale sur moi, et se laisse aller de tout son poids. Elle est vraiment lourde c'est géante, elle est si grande alors que mon sexe est en elle. Sans attendre, elle prend mes deux poignets et les cale dans une seule main, puis monte et descend sur mon sexe, chaque fois de la pointe à la base. L'anneau qui serre mes testicules rend les choses encore plus terribles, plus excitantes. Elle jouit encore et encore, ne me laissant aucune occasion de le faire moi-même. Elle m'utilise, je pourrais être une poupée, je n'ai pas le droit de bouger ou de prendre une initiative.

A un moment, elle se retire, elle a pris son pied je ne sais combien de fois. Elle me prend dans ses bras, assise sur le bord du lit, et me coince entre ses seins, puis me masturbe. Elle me vide en fait. Le but n'est pas de me donner du plaisir, mais de soulager la pression, comme elles font souvent. De vider tout, elle va même plus loin que toutes les autres puisqu'elle le fait dix fois.

OmegaNu
OmegaNu
13 Admirateurs
Veuillez évaluer cet récit
L’auteur apprécierait un commentaire de votre part.
  • COMMENTAIRES
Anonymous
Our Comments Policy is available in the Lit FAQ
Publier comme:
Partagez cette Récit

LIRE LA SUITE DE CETTE SÉRIE

Histoires SIMILAIRES

L'invasion Ch. 01 Une nouvelle voisine géante et sexy.
My Last Night of Freedom Ch. 01 Young man tricked into slavery.
Black Owned Slaves - Mayor's Wife Sabrina the mayor's wife becomes a slave.
49 1/2 Shades James is looking for a threesome. Sarah has other plans.
Vive La Difference Black girl seduces white guy into femdom BDSM.
Plus d'histoires