Lucie, But Not Lucky (?) Ch. 02 bis

BÊTA PUBLIQUE

Remarque : Vous pouvez modifier la taille de la police, la police et activer le mode sombre en cliquant sur l'onglet de l'icône "A" dans la boîte d'informations sur l'histoire.

Vous pouvez temporairement revenir à une expérience Classic Literotica® pendant nos tests bêta publics en cours. Veuillez envisager de laisser des commentaires sur les problèmes que vous rencontrez ou de suggérer des améliorations.

Cliquez ici
cinolas
cinolas
11 Admirateurs

Il abaisse légèrement mon dossier pour plus de confort puis il me somme de poser mes escarpins sur le tableau de bord, pour une meilleure approche de mon entrejambe, et de me bichonner les labiales intimes. Devant le mutisme de mes doigts, sa main prend la parole, il écarte ma culotte fendue et commence à titiller mon clito. J'ai fermé les yeux pour m'extraire de ce lieu et de ces acteurs dignes d'une mauvaise scène de film de cul. Paul ne l'entend pas ainsi et veut me faire profiter pleinement du contexte de mon humiliation! Il pince sévèrement mon clito m'arrachant un couinement et me ramenant à lui.

-- Ils sont là pour toi, souris, fait un effort, c'est comme ça que tu accueilles les clients dans ta boite?

Comment lui faire comprendre que le strip-tease au travail n'est pas encore dans les attributions de toute secrétaire qui se respecte et qu'il serait dans certains cas plus désastreux pour la boite. Une certaine ségrégation s'opérerait alors dans le choix du personnel d'accueil et renverrait les plus mal loties, anorexiques, boulimiques et autres faciès disgracieux en tout genre aux basses besognes dans les profondeurs de l'entreprise. Au rebut les moches ... le slogan serait dévastateur et propice aux revendications des délégués syndicaux! Mais je m'égare ...

En affrontant les voyeurs, j'aperçois qu'un troisième homme les a rejoint, tout aussi attentif au moindre de mes mouvements. Et à chaque fois que j'ose jeter un œil à l'extérieur, je découvre un nouveau visage. Ils doivent être une dizaine maintenant à entourer l'avant de la voiture. Leurs trognes, à peine visibles à la seule lumière des phares, ont un aspect légèrement déformé, une vraie bande de zombies dont l'haleine fétide obscurcit peu à peu les vitres.

-- J'ai l'impression que la salle est pleine et que tout ton public est arrivé. Je laisse la place à ta main experte, elle connaît mieux que quiconque ce clito que j'ai senti grossir entre mes doigts, impatient lui aussi de s'exprimer.

Ma main rejoint un minou en désuétude, seul mon clito s'est effectivement laissé compter fleurette par quelques gros doigts baratineurs et affirme toutes voiles dehors son indépendance.

-- Pendant que tu te caresses, tu vas tous les reluquer, un par un, prends le temps de partager leur regard, de leur sourire, de leur montrer ton plaisir à t'offrir.

Mon palpitant s'est accéléré, il bat la chamade à les observer se repaître de mon attitude obscène et dépravée. À la fois embarrassée, intimidée et perturbée par cette exhibition imposée, je tente au mieux de faire bonne figure et de ne pas laisser transparaître cette anxiété qui m'envahit. Une fois passée en revue la ribambelle de dépravés qui me reluque, Paul sort de la voiture et m'intime de ne pas arrêter la douce mélodie sur mon clito.

Je le vois papoter un moment avec eux, jouant lui-même le rôle de voyeur à certains moments, me souriant en m'observant me dorloter la foufoune. De retour, il me félicite sur le spectacle donné en me précisant qu'il a eu du mal à résister à sortir son chibre pour lui aussi se branler devant moi.

Mais la suite se complique quand il me demande de sortir de la voiture pour proposer une vue complète et détaillée de mes charmes à la critique de ce public exigeant. Il est hors de question que je mette le nez dehors, je n'ai pas envie d'être l'objet d'autant d'attention, angoissée que je suis d'aller affronter cette horde de mateurs invétérés, même si elle ne me semble pas sauvage.

-----

Paul la regarde, il la trouve anxieuse, vraiment mal à l'aise, il a prévu daller un peu plus loin avec elle ce soir, de la faire sortir de la voiture et d'aller à la rencontre de ses admirateurs pour qu'ils puissent l'enivrer de caresses et profiter des charmes de son corps. Mais là il n'est plus très sûr, il ne veut pas la mettre en danger et la frontière est ténue. Il va falloir jouer serrer pour ne pas décevoir les visiteurs!

Les amies qu'il amène habituellement sont consentantes et motivées. Quelques-unes sont forcément un peu tendues, il n'est jamais aisé de s'exposer ainsi en public, qui plus est en extérieur devant des inconnues. Mais elles sont toutes toujours excitées d'aller affronter ce challenge, d'arriver pour certaines à se dépasser, à surmonter leurs pudeurs, d'être capables de mettre son intimité en spectacle.

La petite demi-heure nécessaire pour rejoindre ce parking suffit même à en mettre certaines dans un état d'excitation incroyable, la culotte toute trempée en arrivant. Une d'entre elles surtout, qui est d'une pudeur parfois presque maladive. Les mains sont à peine posées sur son corps qu'elle a son 1er orgasme de la soirée ... et il ne restera pas esseulé longtemps!

-----

-- Tu n'as rien à craindre, je vais rester près de toi. Ils vont juste te caresser et seulement avec leurs mains, aucune bite ne te touchera ni te pénétrera. Tu n'auras même pas à les sucer. Tu vas pouvoir résister sans être trop frustrée? se moque-t-il, tu ne devras pas, par contre, t'arrêter de bichonner ton clito sinon je ne réponds de rien!

Et sans plus attendre, sans se préoccuper de mes remarques il sort de la voiture et viens gentiment m'ouvrir la portière pour descendre. Sous ce geste de galanterie se cache une injonction à sortir de mon refuge. Je m'extrais de mon siège à contrecœur. J'ai bien compris qu'il me mettait juste la pression pour mon clito, mais je vais essayer de ne pas l'oublier.

Il me prend par la taille et m'emmène devant la voiture, ils sont tous à quelques mètres de nous en arc de cercle. Un flash et la lumière fut, m'éclaboussant, les phares du camion d'en face me les font découvrir en entier. Me voilà une nouvelle fois sous les feux des projecteurs, je suis pétrifiée, le silence est pesant. J'aurai presque préféré quelques commentaires, même graveleux, cela aurait permis de détendre l'atmosphère et de focaliser mon stress sur autre chose.

-- Un bain de foule t'attend, relâche-toi il se passera bien celui-là!

Malgré ses paroles rassurantes, je suis tendue comme la ficelle d'un string d'une jouvencelle lors de son premier rendez-vous avec ce fantasme qui la taraude toutes les nuits. Je suis offerte à un troupeau de voyeurs. Tous ces regards m'oppressent, j'étouffe, mon petit côté claustro qui ressurgit. Paul est présent, me parle doucement, me rappelle aux câlins, me prend la main et l'aide à trouver le rythme d'une langoureuse attention à mon sexe.

J'agis presque comme une automate, focalisée sur mon public. Leurs queues prennent l'air au fur et à mesure de mes caresses, le pantalon sur les chevilles pour certains pour mieux s'exprimer. Ils se branlent doucement, se tripotent la nouille délicatement. C'est la première fois que je vois autant de sexe en une seule fois, cela ne m'émeut pas, ni m'excite plus que ça, mais le tableau reste impressionnant. Cette dizaine de queues affichée, en grande forme, devant moi et pour moi devrait flatter mon égo parfois surdimensionné, mais je n'arrive pas à me détendre et à apprécier la scène à sa juste valeur.

Je vois aisément maintenant, à ses chibres érigés, que je leur plais ou du moins qu'ils sont contents d'être là et de me voir. Comme dans la voiture Paul m'invite à les admirer et à les lui détailler, sans oublier le petit regard satisfait à chaque propriétaire. J'en décris des petites trapues, des fines élancées, des bien bâties posées sur un socle bien burné, des épaisses au gland très discret, des tortueuses biscornues à souhait, tout un panel de formes et de couleurs en action!

Tout au long de cette exploration de l'anatomie masculine, mon sourire niais et crispé répond aux regards amourachés de cette meute de clébards en rut.

-----

Paul la regarde stresser, il ne lui a pas précisé que la rencontre avait été organisée, la laissant dans le doute. Il a l'habitude, avec deux des routiers, de concocter ces rendez-vous. Eux se chargent ensuite de trouver les participants nécessaires, toujours des hommes de confiance. Mais il est temps de passer aux choses sérieuses, vers un second acte plus palpitant.

-----

Ce que je redoutai est ne tarde pas de se produire, sur l'invitation de Paul la distance qui me séparait de cet essaim de dards est en train de fondre à toute vitesse. Mon thermostat est occupé à faire des bonds dans des zones encore inexplorées, je transpire et angoisse à tout va. Il a le bras sur mon épaule lorsque la première main étrangère vient découvrir les contours de ma silhouette. Il se veut par ce geste réconfortant, sécurisant, mais m'empêche également de me soustraire à cette invasion qui se prépare.

J'ai beau lui faire confiance, il ne doit pas me mettre en danger, c'est un de ses principes, mais devant cette foule de mains qui se précipite à mon encontre, devant toutes ces choses, certainement des proches de la famille Adams (!), j'ai presque envie de lui demander de ne pas me quitter.

C'est un véritable ballet de mains qui se met en route, l'une d'elles vient tester la fermeté de l'un de mes seins, une autre la douceur de mes cuisses, le galbe de mes fesses ... Mes bras, mon dos, mon sexe rien n'est épargné, c'est tout mon corps qui se fait ausculter, détailler, tripoter, malaxer dans tous les sens sans aucune vergogne! Je tente désespérément de les empêcher, de les décourager de me découvrir, mais elles sont trop nombreuses.

Alors que je défends mon flan droit, une d'entre elles en profite pour donner un peu plus de liberté à l'un de mes mamelons en le sortant de son bonnet, une autre remonte ma culotte et l'enfonce entre mes fesses pour avoir un accès à la douceur de mon postérieur. Insatisfait par le résultat il s'attache à me l'enlever complètement sans que je puisse intervenir. Mon sexe n'est pas laissé à l'abandon, alors que Paul me prend la main pour la ramener à son contact, m'intimant de continuer mon office, je ne trouve plus la moindre parcelle de place disponible! Deux mains sont déjà dans la place, occupée à me doigter et à caresser mon clito!

Je finis par attraper la main de Paul la serrant plus que nécessaire, anxieuse face à toutes ses invasions, j'en tremble de tout mon corps. Il me rassure et me parle tout le temps, me demande de me détendre de me laisser aller, de lâcher prise, de lui faire confiance ... Le ballet de ces paluches est incessant, chacune d'elles laissant la place à sa voisine après quelques cajoleries. La tête me tourne, je perds pied au milieu de cette foule, j'ai plusieurs fois l'impression de défaillir.

Je viens de me rendre compte que Paul n'est plus à mes côtés, je le cherche angoissée, retrouve sa tête grâce à son mètre quatre-vingt-quinze à quelques encablures de cette ruche humaine. J'ai perdu la notion du temps, je sens leur souffle dans mon cou, sur ma figure, accompagné de fumerolles de testostérone! Mon corps est à leur disposition, aucun centimètre carré n'a été oublié, aucun sexe ne m'a touché, un vrai miracle!

Et puis, sans que j'en remarque la raison, c'est une autre chorégraphie qui se met en branle. Tous ces dards quittent leur proie pour aller se remettre en arc de cercle juste devant moi! Paul, lui, est revenu dans mon dos. Le concours de branlette est lancé, chacun astique son poireau au rythme qui lui convient, en douceur pour certains, jusqu'aux tendances frénétiques pour d'autres dont la rougeur du visage frise l'apoplexie!

-- Tu ne veux pas partager ce petit plaisir collectif? Ne fais pas ta timide, ils vont finir par te croire asociale, branle-moi ce clito avec toute la fougue et la passion que tu sais y mettre.

Mon clito est en forme lui, moi je suis toute molle, les jambes encore flageolantes après cette sortie de mêlée. Alors que je démarre tranquillement, mes branleurs, qui eux ont pris de l'avance, se transforment en artificiers amateurs. Il commence à pleuvoir des jets de foutre dans tous les sens, l'un d'eux atterrit même entre mes jambes restées bien écartées, le sol se retrouve rapidement constellé de multiples petites flaques de sperme. Il va me falloir être attentive pour poser les pieds!

-- Ferme les yeux, le spectacle est terminé, m'ordonne Paul, qui toujours dans mon dos vient de prendre possession de mon clito.

Il m'est plus aisé de me laisser aller sans les voir, même si ces queues dansent encore devant mes yeux clos! Paul n'a pas besoin de faire preuve de beaucoup de persévérance pour arriver à ses fins, j'explose après un tripotage rugueux en règle de mon clito. Et ce n'est qu'après m'avoir laissé profiter pleinement de cet orgasme qu'il m'autorise à rouvrir les yeux. Nous sommes seuls! Mes voyeurs se sont évanouis, seules quelques cabines éclairées viennent me susurrer que je n'ai pas rêvé!

-- Nettoie ton escarpin gauche, un filet de foutre s'est égaré sur le dessus ... non pas comme ça, avec ta bouche! me précise-t-il.

Je lèche cet écœurant surplus, remerciant la précision des branleurs de m'avoir évité une dose plus massive de leur semence. Puis, je récupère ma culotte, ne prends pas la peine de remballer mes nibards et vais me blottir dans le manteau, engoncée au plus profond de mon siège, furieuse, haïssant Paul de m'avoir obligé de sortir de la voiture et de m'avoir fait jouir en public pour la seconde fois de la journée!

Sa queue, elle, ne s''offusque pas de ma mauvaise humeur, et c'est d'une main ferme qu'il indique à ma tête de venir s'occuper d'elle.

-- Viens reprendre des forces, tu dois être frustrée après cette petite mise en bouche de foutre.

Je le suce sans entrain, ses mains profitent amplement de mes mamelles, il n'est pas long à remplir ma bouche d'une dose de protéine qui rassasierait toute suceuse inexpérimentée. Je me renferme ensuite dans mon mutisme, le laissant, lors du trajet du retour, à son monologue sur la magnifique soirée qui vient de se dérouler.

Acte 3 - En toute détente!

C'est un réveil plutôt agité qui m'attend, je remets les pieds dans la réalité les mains crispées et agrippées à la couette. Assise dans mon lit j'ai besoin de la sentir et de la pétrir pour retrouver tous mes esprits. J'ai le regard à moitié comateux, je cherche quelques repères dans cette purée matinale.

Cette tapisserie jaune pastel me ramène chez moi, au sortir de ce brouillard c'est bien dans mon plumard que je suis. Il va falloir que je lui trouve une petite décoration à ce mur dénudé, un petit Miro aux couleurs douces propices à la rêverie ferait parfaitement l'affaire. Il me permettra sûrement des matins moins perturbés! Je mets un peu de temps avant d'émerger complètement, encore à moitié retournée par cette scène qui est des plus réelle dans mon souvenir. Je vois encore très distinctement ces vits violacés, turgescents et démesurément déployés de ces dégoûtants clébards m'aspergeant de leur foutre, une fontaine de sperme se déversant sur ma tête en permanence! Ce cauchemar matinal était horrible!

Une douche tiède me masse divinement, en me lavant les tripotages de la veille me reviennent à l'esprit. Avec eux, un petit nœud au ventre fait son apparition en repensant à cette gêne honteuse lors de cette exhibition. Elle a été tellement violente que j'ai failli m'enfuir, me réfugier dans la voiture, m'extraire de leurs regards pour m'emmitoufler dans le manteau. La présence de Paul à mes côtés m'en a dissuadé, elle était rassurante, garantissant quelque peu la bonne tenue des voyeurs. Mais surtout sa main sur mon épaule ne me laissait aucune porte de sortie.

Mon clito, lui, ne fait pas la différence, à la seule énoncée de cette association « mains, nœuds et caresses » que le voilà déjà intéressé! Et comme tout bon ado qui se respecte, il met dans sa poche mes remarques austères, fait preuve d'espièglerie et s'enhardit en pointant son nez dehors.

Mon sexe réagit à l'appel des 18 mains, ou 20 peut être, et s'attelle à la recherche d'une libération qui ne devrait pas vraiment poser de problème si tout le monde y met du sien. Ma main droite est la première à réagir et à monter au front, s'attachant dans les tranchées formées par mes lèvres à dégotter tous les points sensibles pour atteindre une complète et totale reddition.

Un jet de douche froide réduit à néant tout espoir de victoire, faisant fuir ce galopin de clito qui va retrouver précipitamment la douceur de son foyer. C'est ma main gauche, qui, elle, a gardé toute sa lucidité et vient couper court à cette dérive pernicieuse en basculant la température. Serres les cuisses ma fille, serres les cuisses, ne te laisse pas entraîner dans les délires de ce pervers!!

Une après-midi entre copines me changera les idées, quatre ou cinq d'entre elles sont disponibles pour un papotage entre filles sur fond de thé détox et de quelques grignotages bio et végane ... forcément, je sais recevoir! Mais là aussi, par un succinct retour de printemps certainement, le sexe est le fil rouge de nos discussions, elles sont pour une fois toutes branchées cul à fond!

Entre celle qui vient de se trouver un bellâtre italien au regard de braise, au petit cul bien moulé, aux charmes méditerranéens et qui baise comme un dieu ... un manque d'objectivité qui sent « l'amourachée » à plein nez! La découverte pour une autre d'un sextoy clitoridien, lui aussi la révélation de la semaine, elle l'idolâtre comme le roi des « orgasmeurs ». Et l'autre qui vient enfin de se décider à regarder « Love », et qui joue la critique dépitée et désespérée devant le manque de profondeur du film, laissant même son minou au repos!! Elle qui s'était donnée bonne conscience pour un petit plaisir solitaire sans se mettre un film de boules!

Vous allez me dire que la taille de l'histoire se limitait à celle de la bite de l'acteur principal, je vous l'accorde, seule la profondeur du sexe de sa partenaire a été atteinte! Mais je serai curieuse de savoir combien de producteurs de films x ont appelé Gaspard Noé le lendemain de sa sortie pour savoir comment il avait réussi l'exploit de diffuser un film de boules dans des cinémas tout public!!

Bref c'est un après-midi délicieux, ponctué d'anecdotes croustillantes, de crises de fou rire, de chambrages et déconnes en tout genre. Seul mon sexe est le laissé pour compte dans ces moments de détente.

Paul vient même ajouter sa touche personnelle avec un petit texto, discret, mais sulfureux, un simple « Remember! » à l'esprit de « Barbouzes » suivi d'une photo des 10 mecs de la veille, en arc de cercle, la bite à la main, fièrement dressée, qui me regarde droit dans les seins avec une folle envie de s'exprimer! Ce salaud les a pris en photo dans mon dos. Je ne suis pas dessus, mais quand même.

Je me suis éclipsée pour le consulter dans la cuisine, je commence à avoir l'habitude de ses turpitudes! C'est un complot, une conspiration, ils se sont donnés le mot pour me garder sous tension ou quoi. Ça n'arrange pas mes affaires comment voulez-vous que je m'en sorte!

Et j'ai quand même fini par craquer et me la faire en début de soirée cette partition à deux mains, à la fraîche, décontractée du clito. Il s'est parfaitement comporté d'ailleurs et pleinement exprimé au cours de cette envolée funeste, entonnant un hymne à la joie, déclamant une ode à l'onanisme, fredonnant cette mélodie en sous-sol. N'avez-vous jamais entendu dans vos chaumières le cri du clitoris le soir au-dessus de la boite à ouvrage?

Je me retrouve de nouveau les mains crispées à ma couette, mais de plaisir cette fois, le souffle court, la nuisette retroussée, le shorty en panade. L'esprit libéré de toutes tensions pernicieuses et de toutes pensées libidineuses, sereine, détendue après ce monologue du vagin réussi!

cinolas
cinolas
11 Admirateurs
12
Veuillez évaluer cet récit
L’auteur apprécierait un commentaire de votre part.
  • COMMENTAIRES
Anonymous
Our Comments Policy is available in the Lit FAQ
Publier comme:
4 Commentaires
AnonymousAnonymeil y a plus de 3 ans
Génial

Vraiment ravi de voir que les aventures de Lucie reparte de plus belle, bon courage pour la suite ;-)

cinolascinolasil y a plus de 3 ansAuteur
La suite arrive :-)

Bonjour Sarah,

Je vais publier un épisode tous les 8 / 10 jours.

Je te fais un message pour ta proposition.

Sarahxs3Sarahxs3il y a plus de 3 ans
une suite ? :)

Bonjour :)

J'adore cette histoire, je l'avais déjà suivie quand tu avais sorti la première version.

Tu penses publier la suite bientôt ?

Si t'as besoin d'inspiration je serais ravie de t'aider :)

Merci de nous faire mouiller :3

Bisous !

AnonymousAnonymeil y a plus de 3 ans
Hummmm

J’adore ! Très bien écrit et super excitant. Vivement la suite ...!!

Partagez cette Récit

LIRE LA SUITE DE CETTE SÉRIE

Histoires SIMILAIRES

18 Maîtres Ch. 01 Mon fantasme se réalise.
Un entretien tourne Mal Impuissante, une femme en prend plein les trous.
Florence de Femme Mariée à Callgirl 01 Florence mariée va payer les dettes de son mari.
La nouvelle vie de Christine Soumission d'une belle-mère.
La Vengeance d'un intello 01 La revanche sur sa salope de sœur.
Plus d'histoires