Lucie, But Not Lucky (?) Ch. 05

Informations sur Récit
Lucie, une jeune femme de 25ans, découvre la soumission.
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Partie 7 de la série de 20 pièces

Actualisé 06/09/2023
Créé 01/22/2020
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cinolas
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Chapitre 5 - Une semaine pimentée! -

Acte 1 - Percer n'est pas joué

Réveil de merde, sonnerie de merde, journée de merde, où comment se lever du pied gauche. Je dois me rendre au magasin de piercing en début d'après-midi et comme par hasard ma boule au ventre est bien présente dès mon levé!

13h, je suis à la bourre avec sa foutue lettre à taper en urgence à la dernière minute, il est coutumier du fait en plus ce con! Cette matinée au taf un peu chargée m'a permis de m'extraire un peu de cette échéance tétons en péril.

Je ne traîne pas, mon rancard est pour 14h et j'en ai pour une bonne demi-heure de bus pour m'y rendre. Oui une lubie matinale de Paul, son dernier sms me précisait d'y aller en bus, vêtue d'un t-shirt moulant et sans soutif histoire de me mettre bien à l'aise! Cette belle journée d'arrière-saison lui a semblé idéale pour que je diversifie mes modes de transport!

Un arrêt au stand toilette pour me changer, je me couvre quand même d'une petite veste cintrée le temps de sortir du taf ... certains collègues ne rateraient pas l'occasion d'une blague salace ... et direction l'arrêt de bus.

Je stresse un peu pour ce rencart, j'ai pris quelques renseignements auprès d'une amie qui s'est fait mettre un piercing sur la langue et cela avait été douloureux pendant plusieurs jours. La perspective d'avoir les seins percés ne m'enchante pas, je crains notamment leurs réactions, ils sont de nature très sensibles, pointent souvent pour un rien et ces anneaux permanents risquent de les solliciter constamment.

J'ai quand même tenté hier soir de faire changer Paul d'avis, sa réponse n'a pas tardé ... ma photo lors d'un vendredi noir, le sourire aux lèvres et leurs bites à la main, me rappelant son chantage et le contrat m'a rapidement fait abandonner ma négociation!

J'arrive à trouver un petit coin tranquille dans ce bus peu rempli, je ne souhaite pas m'exposer, mon t-shirt moulant fait trop ressortir mes seins à mon goût. Le regard du chauffeur en montant ne m'a laissé aucun doute sur le dessin proposé par ma poitrine dans cette tenue!

Je trouve assez facilement l'échoppe du pierceur, situé en bordure du centre-ville, sa devanture bariolée de divers motif de tatouage ne passe pas inaperçue.

Je vois arriver, au son de la petite cloche de la porte, un homme d'une cinquantaine d'années. Il est assez grand, un peu maigre, porte une barbe fournie au début grisonnant. Il est bardé de tatouages que laisse apparaître un cuir sans manche dont le cliquetis des chaînettes raisonne sous les pas de ses santiags.

Même en barbe blanche il n'aurait aucune chance dans le rôle du père noël, celui d'un Hells angels lui collant bien plus à la peau. Il me demande de l'attendre, il a encore une patiente sur le feu, mais cela ne devrait pas être long. Je ne trouve aucune chaise à disposition alors je m'occupe à détailler le décor qui s'offre à moi.

La pièce est un peu sombre, les murs recouverts de dessin de tatouage aux motifs eux aussi des plus ténébreux, aux styles souvent gothiques, c'est super gaie tout ça, pas facile de se mettre dans l'ambiance!

Un pan de mur est réservé au piercing, recouvert de photos de ceux réalisés dans son magasin je suppose, un large panel de morceaux de viande fraîche sont exposés, orné d'un bijou, tige, anneaux et autres appareils barbares, placés parfois dans des endroits des plus inattendus. Je commence à ressentir une tension et à avoir un peu chaud en voyant tous ces piercings et cet étalage de chair, le stress du matin fait sa réapparition à grandes enjambées.

Une jeune femme d'une vingtaine d'année sort de la pièce contiguë, un piercing au nez, aucune expression de douleur sur son visage, mais il arbore une rougeur des plus marquée lorsqu'elle me salue d'un signe de tête.

Mon « Hell boy » de service, ça y est je lui ai déjà donné un sobriquet (!), m'invite à le suivre dans une pièce aux néons flashys, aux affiches de concert métal et hardcore décorant l'ensemble du plafond, aux esquisses de tatouage épinglées sur les murs et autres têtes de mort ou insignes de bikers en goguette.

Un fauteuil en cuir à l'allure confortable trône au centre, un modèle identique à celui de ma gynéco (je ne suis pas dépaysée!) agrémenté de magnifiques accoudoirs incurvés pouvant accueillir agréablement les cuisses. J'en frémis à l'idée d'un piercing sur cette partie de mon corps!

-- Vas y mets-toi à l'aise, enlèves ton tee-shirt et installe-toi dans le fauteuil je vais t'expliquer tout ça.

J'entends à peine ses compliments en retirant mon haut et prends place. Un cuir presque chaud accueille mon dos nu, c'est agréable, sa précédente cliente l'a fort bien préparé. J'ai un peu de mal à être à l'aise, l'exposition de mes seins accentue mon stress déjà présent.

Il prend le temps de bien m'expliquer toutes les étapes de la démarche, sentant probablement mon angoisse et m'affirme que je n'ai rien à craindre. Je le sens très pro et ça me rassure. Il me montre les petits anneaux qu'il va me poser, simples et sans apparat.

-- Ceux-ci ne seront que provisoires, le temps que la cicatrisation commence à prendre. Tu repasseras me voir d'ici 3/4 semaines pour poser les définitifs. Tu vas d'ailleurs avoir le choix sur une série de modèles présélectionner. Je te montre ça le temps que l'anesthésiant que je viens de te poser prenne effet.

Je pointe au contact de ses mains froides et m'attends à un commentaire, mais rien même pas un regard, il bosse la!! Je parcours rapidement la feuille où s'affiche une quinzaine de modèles, ils sont tous magnifiques, mais sur cette partie de mon corps, l'idée devait encore mûrir.

Et puis tout s'enchaîne, sa longue pince qui maintient mon téton, son geste sur qui le perce et installe l'anneau. Cela a été beaucoup plus rapide que je l'imaginais et la douleur est vraiment minime, comme celle d'une prise de sang! Quelle chochotte je fais!

Son œuvre achevée il me tend un miroir et le nouveau look de mes tétons m'apparaît, sans dire que je crie ma joie devant autant d'esthétisme, je ne suis pas non plus aussi négative qu'au début. Il faudra voir par la suite!!

-- M'autorises-tu à les prendre en photo? Ils sont magnifiques et auraient place dans ma collection.

-- Je ne préfère pas, même si je sais que c'est anonyme, être exposée ainsi ...

-- Pas de soucis, mais dommage pour mes clients!

Alors que je m'apprête à me lever du fauteuil, il m'arrête et me précise qu'il n'a pas encore fini. Il bascule le fauteuil sans me prévenir et me voilà allongée, il prend mes cuisses et les places dans les accoudoirs. Je me retrouve en quelques secondes les pieds en l'air et la tête à hauteur de sa taille!

J'essaye de retenir tant bien que mal ma jupe qui a tendance à vouloir se faire la malle dans cette position. Je suis un peu surprise et ne vois pas ce qu'il peut faire de plus. Paul ne m'a pas parlé d'un piercing sur mon sexe et à cet endroit il n'en ait pas question de toute façon!!

Mes questions restent de courte durée, à peine le fauteuil en position qu'il sort sa bite et l'approche de ma tête.

-- Il faut que tu t'acquittes du règlement.

-- Mais j'ai pris de quoi payer, laisser moi prendre ma carte. Il est hors de question que je vous suce, pour qui vous prenez-vous, redressez-moi ce fauteuil immédiatement!!! commencé-je dans un début d'esclandre!

-- Nous avons convenu d'un paiement en liquide avec Paul. Il m'a affirmé que tu te débrouillais très bien dans ce domaine et que tu aimais ça en plus!

J'en étais rouge cramoisi de rage et de honte, à l'annonce du nom de Paul je me rends compte que ce n'est pas une lubie du pierceur et que je ne vais pas pouvoir y échapper. Ce salaud me fait passer pour une salope une fois de plus.

Après un moment d'hésitation, je commence à le sucer, un peu violemment, cherchant à le faire gicler au plus vite. Mais il me calme rapidement et me précise que ce n'était pas la peine de m'exciter, il venait de jouir et ce second round serait de toute façon plus long.

Le visage de la jeune femme sortant de la pièce me revient en mémoire, je vois mieux maintenant ce qui a pu provoquer ce ton tomate qu'elle a pris en me croisant. J'ai du mal à retenir ma robe en le suçant.

-- Tu ne te caresses plus quand tu suces?

Une autre claque, Paul lui avait aussi donné la consigne! Je glisse alors ma main dans mon shorty, permettant à ma robe de se retrouver, comme elle le voulait depuis déjà un moment, enroulée sur mes hanches, lui laissant tout loisir de me contempler entièrement. Je sens mon sexe réagir favorablement à cette intrusion, certainement la décompression du stress du piercing, il est de toute façon impensable que je laisse ça transparaître.

Alors que je suis en pleine action, la bouche pleine, m'activant au mieux sur son chibre malgré la position un peu inconfortable, que la cloche de sa porte d'entrée retentit et me laisse à l'arrêt sa queue dans la bouche. Une bouffée de chaleur me traverse dans l'idée d'être découverte dans cette position en train de sucer.

Il s'absente quelques instants le temps de faire patienter ce nouvel arrivant, une simple serviette couvrant sa queue. Il ne tarde pas et je reprends ma pipe bien moins détendue, craintive de voir se pointer le bout dune tête dans l'encadrement de sa porte. Il me récompense finalement d'une bonne dose de foutre dégueu et prend le temps d'un nettoyage en règle de sa queue.

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Le pierceur se dit qu'elle n'avait pas joui, dommage il aurait bien aimé voir son visage prendre du plaisir. Mais il avait noté l'érection de ses seins qui n'était pas uniquement due à leurs nouveaux compagnons. Il avait nettement vu son shorty s'assombrir d'une belle tache de mouille bien luisante au fur et à mesure de sa pipe, Paul avait raison elle aimait vraiment ça! Elle rentrera au moins les cuisses bien humides et excitée.

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En sortant, je croise le regard de sa prochaine cliente, la quarantaine assez mince et déjà bien tatouée, et me sens rougir à mon tour. Je revois la scène de mon arrivée dans le magasin et me retrouve dans la même situation!

Je comprends mieux le simple hochement de tête de la jeune femme répondant à mon bonjour. J'ai le même réflexe à la politesse de cette dame, voulant éviter à tout pris qu'une éventuelle odeur de foutre n'en sorte et laisse deviner ce que je venais de faire!

En fermant la porte j'entends clairement la voix du pierceur annoncer à sa prochaine « cliente », « ma dernière suceuse (en parlant de moi j'imagine), et elle sait y faire, tu vas avoir du boulot », je pique un fard, m'empresse de fermer la porte, rentre la tête dans les épaules et me rends à toute vitesse à l'arrêt de bus.

Le trajet est bien plus mouvementé qu'à l'allée, le bus qui me ramène est bondé, plus aucune place assise disponible. Je sens mes tétons pointer en permanence avec les anneaux et le frottement de mon t-shirt. J'essaie malgré tout de me cacher au mieux des regards de la gent masculine, je croise toute embarrassée le regard d'un papy les yeux rivés, sans aucun scrupule, sur mes nibards.

Quelques embardées du bus m'amènent même à me frotter involontairement à certains. Un en joue tout particulièrement et feignant un déséquilibre occasionné par les à-coups du chauffeur se retrouve la poitrine écrasée contre mes seins! Ce retour est un vrai calvaire!

J'organise ma fin d'après-midi seins à l'air à l'appart, je finis même par me caresser en début de soirée. Paul, malgré mes revendications féministes, m'a interdit le droit à l'orgasme à partir du mardi, cet enfoiré s'imagine comme ça que je serai plus excité le samedi! Il peut rêver! Mais là je l'emmerde, en long, en large et en travers!

Après ce petit plaisir solitaire, je lui envoie finalement la photo de mes seins, regrettant aussitôt de ne pas l'avoir fait patienter plus longtemps.

Acte 2 - La grande bouffe

C'est un samedi un peu particulier qui commence, je viens de passer trois jours avec les seins au garde à vous avec les piercings me laissant chaque soir énervée par cette excitation permanente, j'espère vraiment que cela va se calmer rapidement. J'aurais dû me masturber hier soir pour décompresser, car ce matin je suis tendue en grand, j'ai besoin de me défouler et faire passer cette tension sexuelle sous-jacente! Le petit footing matinal n'y a pas vraiment contribué comme espéré.

Paul m'a demandé pour une fois de venir sans soutif, j'ai opté pour une marinière, petit souvenir d'une virée quimpéroise l'été dernier, un petit chino rose pastel et une paire de sandales en cuir. J'ai évité les espadrilles bretonnes, ouiii je les ai, c'était compris dans le pack pour touriste! Mais pas la coiffe quand même!

Son accueil est chaleureux, mais je le sens pressé, avide de découvrir mes seins. À peine rentrée ...

-- Enlèves ton sweat et montre-moi tes nibards que je puisse admirer le travail de Christian (le pierceur) ... Magnifique, splendide, ils sont ..., voire ..., et plus encore.

Il s'extasie, teste un peu leurs réactions en les frôlant doucement, pince les tétons, les titilles, tire un peu dessus pour vérifier naïvement qu'ils sont bien fixés!

-- Est-ce qu'il t'a présenté les modèles que j'ai sélectionnés pour les décorer?

-- Oui Mr j'ai vu les différents piercings.

-- Tu as choisi?

-- Non pas encore je n'étais pas très concentrée là-dessus, je verrai ça la prochaine fois.

-- Soupèses tes seins un peu pour voir ... oui voilà prends les dans tes mains, tient les fermement, penche-toi légèrement, comme si tu me les offrais ... oui nickel, jambes un peu écartées ... bien ne bouge plus c'est parfait!

Il me plante la, se fait son habituel café et reviens s'asseoir dans le canapé pour le déguster ne quittant plus ma poitrine un seul instant des yeux!

-- Christian m'a précisé qu'il avait vu que tu avais apprécié sa queue! Tu t'es caressé en rentrant chez toi petite cochonne?

Je reste très évasive sur la question, le remerciant pour le mode de règlement de m..., changeant de sujet en le félicitant sur le choix, et la qualité, des piercings proposés.

Mike arrive à la fin de ma demi-heure d'exposition, il peste contre cet imprévu qui lui à fait rater ce superbe spectacle. Il sollicite une seconde représentation, mais Paul, qui a bien noté ma réflexion sur mes bras ankylosés, lui fait remarquer qu'il faut que je sois en forme pour le reste de la journée.

Il va se changer, frustré, se met en caleçon et enfile un grand tablier de cuisine décoré d'un hommage à Babette ... celle qu'on lie, qu'on fouette et qui parfois passe à la casserole! Comme je termine de me déshabiller, Paul me demande si j'aime les voyages et les découvertes culinaires.

-- Oui, mais vous savez que je suis végane, donc j'aime les cuisines adaptées.

-- Nous y avons pensé lorsque nous avons confectionné le petit test, nous allons donc pouvoir mettre tes connaissances à l'épreuve aujourd'hui.

Il fixe deux petits bracelets à mes poignets, il a recyclé de vieux colliers de chat (!), et attache ensuite chacun d'eux à un des piercings bloquant mes mains contre mes seins. Je viens de lui dire que j'avais mal au bras, mais ce n'était pas une excuse pour me les attacher! Il se recule, admire satisfait ...

-- C'est vraiment très pratique ces piercings, dit-il en me soulevant les mains jusqu'à ce que je grimace de douleur par la traction de mes seins.

Il va ensuite décrocher un tableau à chaque extrémité du salon, deux petits anneaux scellés dans le mur apparaissent. Il attache une corde à l'un d'eux puis la passe dans l'autre et me demande de mettre mes pieds de part et d'autre de la corde. Ces deux tableaux positionnés plus bas qu'à l'habitude m'avaient surpris, j'avais supposé un quelconque effet de style et non à cette utilisation détournée!

Il commence à la tendre, cette corde d'à peine deux centimètres de diamètre remonte, me frotte les jambes puis les cuisses. Elle vient, avec l'aide de Mike, prendre place sans aucune gêne entre mes lèvres, les écartant sans vergogne et écrasant mon clito. J'ai le réflexe de vouloir l'arrêter, mais ne fais que tirer sur mon sein, je n'ai pas encore intégré que mes mains sont attachées!

J'essaye de soulager la pression en me mettant sur la pointe des pieds, mais rien n'y fait Paul a parfaitement ajusté la tension, juste ce qu'il faut pour que cela soit supportable et qu'elle reste bien ancrée dans mon sexe. Je lui fais remarquer qu'ainsi attachée j'allai avoir du mal à goûter à un quelconque aliment et à faire son test. En plus avec cette corde dans mon sexe je ne suis pas d'humeur joueuse.

-- Sois imaginative, peut être que ta bouche n'est pas la seule intéressée, me précise-t-il

-- Vous n'envisagez quand même pas ce que je suis en train de soupçonner? Mon sexe est déjà pris avec la corde, arrêtez votre délire.

Pendant que nous échangeons, le décor est en train de prendre forme, Mike s'affaire à garnir de petites assiettes de sauce et de mets de toutes sortes sur une des tables basses, prenant garde à ne pas me dévoiler les contenants. Paul lui dispose deux vasques sur des tabourets de bar aux extrémités de la pièce, il en remplit l'une d'eau, lui ajoute une louche et une rose pour une touche romantique puis me met un bol dans les mains.

Les tapis sont enlevés, le moindre obstacle est écarté faisant place nette sur tout le trajet de cette corde qui traverse le salon à hauteur de chatte. J'ai le champ libre pour jouer ma partition, une mélodie de la corde à nœuds, un vibrato pour une chatte en détresse, un concerto pour clito en goguette. Ce numéro d'équilibriste improvisé ne m'enchante pas du tout.

-- Tu vas aller le vider dans l'autre vasque, ne te perds pas en chemin! me dit-il après avoir rempli le bol à moitié.

Il est temps de vous faire un petit arrêt sur image pour bien vous faire apprécier la scène. Dans ce grand salon d'une dizaine de mètres, je suis inconfortablement installée à cheval sur une corde, un bol dans mes mains attachées à mes seins. A mes côtés une vasque pleine, objet de mon challenge. Au milieu du parcours Mike brandit un imposant pinceau de cuisine tel l'indispensable dernier bouquet de fleurs offert au détour d'un plan cul. Je ne suis pas pressée de découvrir l'utilité de son présent. J'ai passé des débuts d'après-midi installée plus confortablement.

Devant mon inertie Paul me demande si j'ai besoin d'un petit coup de main pour aborder cette ascension. La louche vient de claquer sur ma fesse gauche et me met en route!

J'attaque, encordée, le tire sexe bien ancré, la remontée de cette pente imaginaire. Car la corde est bien droite et fort heureusement pas rugueuse. Après un démarrage un peu délicat, j'arrive aisément à hauteur de Mike. Il me donne un petit coup de pouce, son côté saint-bernard qui ressort probablement, en huilant à l'aide de son pinceau une petite partie de la corde devant moi ... qu'il s'empresse avant que je ne redémarre de saupoudrer de poivre!

La glisse est plus aisée, mais l'effet du poivre ne tarde pas à me chauffer l'entrejambe. En m'approchant du terme de ce voyage, j'aperçois la partie vallonnée du parcours. La corde forme cinq ou six nœuds de la taille d'une balle de golf espacés chacun d'une trentaine de centimètres, je n'ai pas la technique d'Edgar Grospiron pour aborder sereinement ce champ de bosse.

Je les sens passer, s'enfoncer, me pénétrer, apprivoiser mon vagin, je fais une pause à chacune d'elle avant de repartir, car même sur la pointe des pieds j'ai du mal à les quitter. Je ne pensai pas avoir un jour à regretter de ne pas les avoir assez travaillées en cours de danse!

À l'arrivée Paul me libère du bol et le vide dans la vasque, je repars en marche arrière, les mains libres, allégée. Ce retour est un véritable calvaire, malgré l'aide du pinceau et une huile abondante, la corde décalotte mon clito qui frotte en permanence et le met dans un état de surchauffe intenable. Je n'ai pas un clito énorme, mais il est bien développé et surtout toujours prêt à sortir pour s'exprimer, mais ici pour son désagrément!

cinolas
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