Lucie, But Not Lucky (?) Ch. 16

BÊTA PUBLIQUE

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- Non je ne ...

- Ah et dernier détail, elle n'a pas le droit de se servir de ses mains, les vôtres par contre peuvent baguenauder à leur aise, précise-t-il en m'attrapant le bras et en me traînant sous la douche.

- Mais je n'ai jamais rien dit de tel, lui chuchoté-je.

- Messieurs, je me réserve l'honneur du premier service si vous ne voyez pas d'inconvénient, puis joignant le geste à la parole, il déverse le contenu d'un gel douche sur mon corps. Puis à mon oreille, fais leur ce petit plaisir ma salope, je suis sûre que tu en meurs d'envie. Je peux rallumer l'œuf si tu préfères? Et interdis de te toucher évidemment !

Quel salaud, j'enrage de passer pour une salope, cela en est presque humiliant. Après s'être humidifié, il se rapproche de moi et m'incite à venir onduler contre son corps. Je fais de mon mieux, écrase ma poitrine contre son torse, me colle à lui et me dandine langoureusement, frotte ses cuisses et son sexe avec mes fesses ... Après quelques minutes, satisfait de mon travail, il lance à l'assemblée "voilà, messieurs, elle est vous" avant de finir sa douche en solitaire.

Trois d'entre eux viennent vider une autre bouteille de gel et m'en recouvrir le haut du corps en laissant leur main parcourir le moindre centimètre carré. J'ai déconnecté mon esprit pour ne pas rester scotchée comme une potiche stressée par la situation. Pendant l'heure qui suit, je frotte, caresse, badigeonne, cajole, dorlote, enduis les corps de l'ensemble de l'équipe sans relâche. Paul me rappelle à l'ordre parfois lorsque mes mains tentent de prendre le relais pour aller plus vite.

Les gels douche et les mains se succèdent. Certaines n'hésitent pas à conter fleurette à mon clito. Un peu bloquée au début, j'écarte ensuite rapidement les cuisses à chaque nouvel arrivant. Mon sexe, qui n'est pas encore remis des effets de l'œuf, réagit à toute cette testostérone environnante. Au bout d'un moment, c'est même moi qui vais à la recherche de quelques doigts téméraires en leur offrant presque de manière obscène son accès.

Mon envie de jouissance a repris le dessus et m'obsède. Mais aucune de ces mains ne s'y attarde suffisamment pour m'y amener. Cela m'agace, me travaille, m'obnubile tellement qu'une ou deux fois les miennes ont failli craquer et se jeter à l'assaut de mon clito. Au bout d'une demi-heure, ne tenant plus, j'enroule mes jambes autour de la cuisse d'un grand gaillard, y colle mon sexe et, tel un vulgaire toutou en rut, donne des petits coups de bassin pour monter au nirvana. Je suis, malgré tout, obligée de me déchaîner pour arriver à mes fins. Je m'y frotte comme une damnée lorsqu'enfin j'explose serrant à outrance cette cuisse salvatrice !

Je mets un moment avant d'arriver à affronter de nouveau leur regard, toute penaude de mon attitude. Mon orgasme ne les a pas laissés de marbre. Quelques chibres ne peuvent s'empêcher de se mettre au garde-à-vous sans gêne aucune de leur propriétaire. Deux d'entre eux, ayant un peu trop profité de la douceur de mes fesses, se laissent même aller à les décorer de leur foutre. Paul en profite pour remettre mon locataire en action pour me laisser sous tension.

Cet infâme vibro a eu raison une nouvelle fois de moi en toute fin de séance, ravivant les flammes de mes sens au-delà du nécessaire. L'un des joueurs, plus observateur que les autres et comprenant mes besoins, me vient en aide par un doigté agile qui n'a de cesse jusqu'à mon apogée. Je n'ai pas voulu retenir cette seconde envolée, alors que la dernière queue explose sur mon ventre ! Je reste ensuite de longues minutes sous la douche avant de rejoindre Paul sur le banc du vestiaire. Une grande partie des joueurs sont restés pour profiter de mes charmes. Le trophée se trouve juste à mes côtés et je lui fais les yeux doux !

- Je vois que tu ne résistes pas devant les réalisations de Christophe, remarque Paul.

- Oui il a un talent fou je trouve.

- Tu veux la ramener à la maison?

- Vous pensez que c'est possible? Vous n'étiez pas capitaine que je sache.

- Non, mais cela peut se négocier, que pourrais-tu offrir au capitaine en échange?

- Je n'ai pas grand-chose sur le dos, à part mon shorty je ne vois pas, mais il est plein de mouille et donc pas très présentable.

- Tu as peur qu'il découvre son état, ou qu'il se demande comment il en est arrivé là ! rigole-t-il.

- C'est malin

- Par contre s'il accepte nous serons obligés de revenir pour le prochain match pour le remettre en jeu ! Tu risques de devenir une préposée à la glacière pour tout l'été !

Le salaud, un choix à la con encore. Ce dilemme me turlupine, me tarabuste en plein. Notez que je préfère de loin passer mon dimanche à jouer les pom-pom girls que de faire le toutou en balade dans les bois ! Et puis merde, je n'aurai jamais les moyens d'avoir une de ces sculptures chez moi alors ça vaut bien un petit savonnage tous les quinze jours ! Je roule mon shorty en boule et vais le proposer discrètement au capitaine qui accepte volontiers la transaction. Étant l'un des éjaculateurs précoces, il a pleinement apprécié ma présence !

- On rentre, je suis lessivée ! demandé-je à Paul en portant fièrement la chouette si durement gagnée.

- Pas tout de suite, on fait d'abord un saut à l'église, le père Poljack m'a fait part de son inquiétude à ton égard et je lui ai promis que l'on réglerait ça aujourd'hui.

- Le père Poljack ferait bien de s'occuper de ses ouailles plutôt que de ma sauvegarde spirituelle, râlé-je. Il n'a qu'à débaucher les sœurs Maurgane et leur apprendre à jouer de la flûte enchantée si ça le démange tant que ça. Il verra de cette manière si elles sont vraiment dévouées corps et âme au corps du christ ... ou à défaut à celui de l'un de ses représentants.

À peine entrée dans l'église par la petite porte de service que nous tombons sur les deux grenouilles de bénitier, fidèles au poste ! Clara astique les cierges d'un coup de poignet qui ravirait sans peine quelques braquemarts en manque de compagnie, tandis que Cathie joue du plumeau et époussette à tout va tout ce qui lui passe à portée de main. Elles m'accueillent d'un ton sec par un bonjour durement extirpé de leur bec pincé, mais retrouvent vite le sourire en découvrant que Paul me succède. Il joue de ses charmes auprès des deux pimbêches et fait preuve de courtoisie avec quelques bons mots avant de s'enquérir du curé.

Le père est lui aussi à la tâche, en plein travaux de menuiserie avec un banc n'ayant pas supporté lors du dernier office la prise de poids excessive de certains paroissiens. Il se promet de leur en toucher deux mots, tout du moins de mettre quelques lignes là-dessus dans son prochain oratoire. Même s'il n'est pas le mieux placé pour évoquer les pêchés de gourmandise ... faites ce que je dis pas ce que je fais .... une devise qu'il applique quelques fois !

- Comme tu peux le constater Paul, les dons se font plus rares et je dois réparer moi-même aujourd'hui les avatars quotidiens du bâtiment.

- Ne me faites pas verser de larme mon père, la famille Pinõ abonde toujours très largement au denier du culte ! Mais je reconnais bien là tout votre sens de la gestion et des économies.

- Il a des oursins dans les poches en fait ! rigolé-je

Une petite tape discrète arrive sur mes fesses pour me demander d'arrêter de glousser.

- Oui ... bon ... je ne vais pas vous embêter avec mes petits problèmes alors que nous avons tant à faire. Je vois que Lucie a retrouvé la raison, c'est une bonne nouvelle, va m'attendre dans le confessionnal j'ai à parler à Paul.

On m'a un peu forcé la main, mais ça je le garde pour moi en les laissant à leurs cachotteries.

-----

- Dis-moi Paul pourrait-on convenir d'un rendez-vous hebdomadaire pour Lucie pendant ses vacances?

- Pourquoi pas, si vous pensez cela nécessaire, je vous sens un tantinet mordu !

- Oui ... enfin, oui c'est indispensable ... pour son bien-être spirituel. Alors, disons, le lundi ça pourrait convenir? C'est la journée de "repos" des deux sœurs et j'ai un peu de plus de liberté de mouvement !

- Pas possible, nous avons la femme de ménage ce jour-là. Elle œuvre à la fin de ses tâches à parfaire son éducation !

- Dommage, j'aurais bien aimé profiter de sa bouche dans divers endroits de l'église. Qu'est-ce qui t'arrangerait alors?

- Sa semaine va être chargée. Mardi je lui ai prévu un petit passage chez la coiffeuse et ensuite chez le pierceur, ensuite nous avons deux ou trois jours à la ferme. On peut dire samedi? Qu'en-dites vous? Après le marché par exemple, vers 13h, le passage des fidèles est réduit à cette heure?

- Vers midi plutôt, j'enverrai mes cerbères faire mes courses pour la semaine afin d'avoir le champ libre !

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Quelques instants plus tard, la petite trappe du confessionnal s'écarte pour laisser passer la chipolata du saint père. Enfin on est plus ici dans le modèle mini saucisse pour l'apéro ! J'en ai pour preuve que c'est la seule que j'ai réussi à prendre en entier dans ma bouche pour l'instant ! Toujours est-il que je la gobe sans attendre et commence à la sucer. Il me faut une petite quinzaine de minutes pour en venir à bout et je comprends à ce moment-là son impatience de m'entendre en confession, il avait les roubignoles qui débordaient ! Ses bourses, toujours aussi imposantes, m'abreuvent d'une semence abondante, une dose presque hors du commun que j'ai du mal à déglutir !

Peu de temps après notre retour à la maison, en soulageant Paul d'une érection qui commençait à devenir un peu incontrôlable, j'admire la chouette perchée sur l'un des meubles du salon. Je compte bien la conserver tout l'été !

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