Mélodie, Louisiane,1997. Pt. 05-08

Informations sur Récit
Les Malheurs de Mélodie..
11.6k mots
4.58
5.3k
1

Partie 3 de la série de 5 pièces

Actualisé 06/11/2023
Créé 05/07/2022
Partagez cette Récit

Taille de Police

Taille de Police par Défaut

Espacement des Polices

Espacement des Polices par Défaut

Face de Police

Face de Police par Défaut

Thème de Lecture

Thème par Défaut (Blanc)
Tu dois Connectez-Vous ou Inscrivez-Vous pour enregistrer votre personnalisation dans votre profil Literotica.
BÊTA PUBLIQUE

Remarque : Vous pouvez modifier la taille de la police, la police et activer le mode sombre en cliquant sur l'onglet de l'icône "A" dans la boîte d'informations sur l'histoire.

Vous pouvez temporairement revenir à une expérience Classic Literotica® pendant nos tests bêta publics en cours. Veuillez envisager de laisser des commentaires sur les problèmes que vous rencontrez ou de suggérer des améliorations.

Cliquez ici
amdsoo
amdsoo
15 Admirateurs

5. Un mauvais départ

Quand Mélodie se leva, elle constata que Maria dormait dans sa chambre, sur le fauteuil. Elle la réveilla.

« Maria? »

« Oui? Ohhhh » Maria se réveillait lentement.

« Désolé mais hier soir j'avais un peu peur des hommes et donc je suis venue me réfugier dans ta chambre » dit elle

« Peur? pourquoi? »

« De rien, mais trois hommes souls et deux femmes dans une maison... »

Mélodie sembla contente que Maria la prenne pour une femme. A 18 ans et depuis l'aventure avec Matt, elle se sentait bien plus mature.

Maria ne dit rien de plus à Mélodie. Cela ne servirait à rien, et Mélodie était la fille du patron donc elle n'était pas en danger. Certainement moins qu'elle-même.

Mélodie descendit et trouva son beau-père souriant avec une tasse de café.

« Tout est arrange avec ta mère »

« Comment tout? »

« Et bien elle trouve que c'est une excellente idée que tu ailles travailler chez Theo et en plus comme elle n'est pas là, elle préfère presque »

Mélodie protesta mais la décision était prise. Elle devait maintenant préparer une valise. Maria qui était dans la cuisine avec Theo lui lança un regard pour la prévenir du danger mais Mélodie ne comprit pas et remonta dans sa chambre.

Quand elle redescendit une demi-heure plus tard, son père lui dit que Maria était partie avec Theo jusqu' à l'arrêt de bus, et qu'elle l embrassait. Mélodie trouva bizarre que Maria n'ait pas voulu lui dire au revoir.

Sa valise était prête. Ils prirent un petit déjeuner, et vers 10h Theo revint avec la camionnette. Il eut une longue discussion avec son père sous le patio arrière, mais Mélodie ne peut comprendre ce qu'ils se disaient.

Un peu plus tard, elle embrassa son père, et prit le siège du milieu sur la banquette avant, Theo au volant et Gérard sur le siège de droite.

Elle se sentait à la fois triste de quitter la propriété et toute chance de revoir Matt mais elle était aussi contente qu'on la prenne pour une femme, avec des responsabilités. Elle sentit qu'elle avait grandi dans les dernières 72h, qu'est-ce que l'avenir lui réserverait!

La camionnette s'engagea sur le chemin, la maison coloniale disparut lentement dans une épaisse poussière.

Leur destination était à plus de 400 miles, il leur faudrait la journée pour atteindre la ville ou vivait Theo et où il avait son commerce. Mélodie avait mis ses pieds nus sur le tableau de bord, pour être plus confortable. Son jean moulant laissait voir des fesses musclées et ses jambes longues se terminaient par des pieds fins et qui avait été manucuré à la perfection. Cela tranchait avec l'apparence de Gérard qui portait les mêmes habits que la veille. Elle remarqua aussi une tache jaune sur sa chemise, qui n'était pas là la veille. En haut, Mélodie avait mis une chemise imprimée sans manche, pour garder la chaleur tolérable. Elle portait un soutien-gorge, car elle avait remarqué que sa chemise laissait voir ses seins sur les côtes quand elle se penchait.

Mélodie ne se rasait presque pas, elle avait un système pileux peu productif, étant rousse. Elle se rasait les dessous de bras car elle trouvait cela plus propre et sa mère lui avait montré comment faire. Mais son pubis était naturel avec une jolie touffe de part et d'autre de sa fente si étroite. Sa mère, se rasait intégralement, Mélodie l'avait surpris un matin à la sortie de la douche. Elle avait être étonné car cela rendait le sexe de sa mère comme plus « jeune », comme si sa vulve était celle d'une jeune fille de 10 ans.

Perdue dans ses rêveries, la route défilait et les deux hommes ne parlaient pas beaucoup

Vers 20H la nuit était tombée et la camionnette ralentit pour se garer devant un petit restaurant de bord de route. Ils pénétrèrent tous les trois dans le café restaurant, essentiellement des hommes qui venaient finir leur journée dans les champs. Les visages se tournèrent vers Mélodie. Chacun admirant la beauté rousse qui venait d'entrer. Une autre femme, très fardée semblait causer avec d'autres hommes. Mélodie l identifia comme une prostituée et d'un coup se sentit en danger. Elle était la seule fille dans ce bar, et n'avait même pas l'âge légal pour y être.

Ils s'assirent et commandèrent des hamburgers et des frites. Un des hommes connaissait Theo et lui fit signe de venir au bar. Theo se leva et Mélodie le vit discuter. L'homme a la chemise à carreaux, lui tendit quelque chose et Theo vint se rasseoir.

Un peu plus tard, Theo demanda à Mélodie d'aller au toilette car ils allaient repartir, Ils avaient encore deux heures de route à faire. Mélodie chercha la porte des toilettes « femmes » et pénétra dans la pièce. Un des hommes qu'elle avait vus au bar était là devant le miroir.

« Oups pardon » dit-elle, croyant s être trompe de toilette

« Y a pas de mal mademoiselle » dit il

Elle fit marche arrière mais trébucha sur un autre homme qui lui aussi venait de rentrer dans la pièce. Elle reconnut la chemise à carreaux, l'ami de Theo, cela la rassura.

« Pardon j'ai dû me tromper » dit elle

Il la regarda et la gifla violement sans rien dire. Mélodie fut tellement surprise qu'elle faillit tomber. Elle recula. Son visage la brulait intensément. Il ferma la porte derrière lui. L'autre homme, un peu plus gras s'avança.

« Tu vas nous sucer tous les deux, mets-toi à genoux » ordonna-t-il.

« Comment?? quoi?! «

« À genou », et il la bouscula, Mélodie perdit l'équilibre et se trouva sur les fesses. Des larmes coulèrent sur ses joues.

« Theo!! Au secours!! » cria-t-elle.

« Theo t entends mais c'est lui qui nous a dit que tu aimais les bites bien épaisses, on a payé pour toi » dit l'homme a la chemise

« Quoi hein??!! »

Pfsss, une autre claque rencontra sa joue gauche et Mélodie vit les 36 chandelles.

L'homme gras avait baissé son pantalon, il n'avait pas de slip. Il tenait son pénis a la main, en visible érection.

« On va bien se marrer Mark, Prends ça dans ta bouche, petite pute »

Mélodie tenta une dernière fois de mettre son bras en protection, mais l'autre homme lui lança une grande claque sur l'autre joue, elle crut que sa tête allait exploser.

« Ouvre la bouche », Mark avait lui aussi sorti son pénis plein de grosses veines bleues. Il semblait monstrueux et horrible. Elle comprit que ses options étaient limitées. Elle tenta de passer entre les deux hommes, mais renonça quand l'homme a la chemise à carreau lui barra le passage. Ses yeux étaient exorbités et il regardait fixement la poitrine de Mélodie. Elle mit sa main sur ses seins comme pour l'empêcher de les voir. Il fit le geste de la frapper. Elle attrapa alors le pénis de cet homme d'une main tremblante, il poussa un petit soupir de soulagement quand la main de jeune fille serra son membre durci.

« Ouvre la bouche » dit l'autre, menaçant...

Elle ouvrit légèrement la bouche, dévoilant une langue rose et des dents impeccables. Son nez saignait un peu, il attrapa une serviette en papier du distributeur et la nettoya.

Il avança son pénis monstrueux et le glissa avec difficulté dans la bouche de la jeune femme

« Si tu mors je te tue » dit-il calmement

Elle fit de son mieux pour laisser la bite entrer tout en continuant à branler l'autre homme, qui mouillait abondamment.

« Enlève ton chemisier, je veux voir tes seins » dit Mark

Mélodie leva les yeux, et lentement défit les boutons de son chemisier. Quand le dernier bouton fut défait, l'homme écarta les pans de la chemise pour contempler ce corps jeune et pur. Mélodie avait un ventre plat qui dénotait encore plus la forme de ses seins, un vrai délice.

« Enlève ton soutif » dit-il menaçant.

« Ne me frappez pas, je ferais ce que vous voulez » dit-elle en défense.

Elle dégrafa le soutien-gorge et les deux melons de petite taille sortirent de leur coquille. Au milieu de ces toilettes lugubres et peu propres, les seins de Mélodie semblait éclairer la pièce par leur pureté. Les deux hommes attrapèrent chacun un sein, en le malmenant.

« Aie, attention » dit-elle, sans imaginer qu'ils le feraient.

« Tais-toi et continue ce que tu faisais »

Elle prit le pénis dans sa bouche et humectant le gland, le laissa entrer plus profondément dans sa bouche, il semblait plus petit que celui de Matt, mais Matt avait eu la patience et la gentillesse de lui lubrifier la gorge. L'homme enfonça d'un coup son pénis, jusqu' à la glotte, déclenchant le réflexe de vomir mais elle put s'arrêter à temps. Son sexe n'était pas propre et Mélodie eut un haut-le-cœur, la langue de Mélodie entoura sa verge comme un gant serre, elle se dit qu'il valait mieux faire du bon travail, Elle commença à pomper la brute plus rapidement, du liquide épais et pestilentiel coulait dans sa gorge et elle était écœure de sentir ce jus infâme passer dans son estomac. Elle eut envie de vomir a nouveau mais resta concentre sur ce pénis qui allait et venait dans sa bouche.

« Et si on lui ramonait la chatte Denis? »

« Oui bien sûr, elle doit avoir un petit minou bien tendu » répondit Mark.

Mélodie eut un éclair d'effroi dans ses yeux. Mais à cet instant présent, la porte de toilettes s'ouvrit, Mélodie, avec la bite de Mark en bouche et le pénis de Denis en main, put voir du coin de ses yeux, Theo qui entrait.

« Ben alors qu'est-ce que vous foutez? » dit il

« On prend notre temps, tu as reçu ton pognon donc tu attends » dit hargneusement Mark.

« Justement on se disait qu'on lui ferait bien sa petite chatte » dit Denis

« Non les gars, vous avez paye pour une pipe, cette petite est vierge, pas question » dit Theo

« Vierge? wow » dit Mark, qui enfonça sa bite un peu plus profonde dans la gorge de Mélodie qui suffoquait.

« Oui, ce n'est pas pour vous les gars, finissez qu'on se barre, on a de la route »

Mélodie eut comme un soulagement, même si Theo l'avait manifestement vendu à ces hommes, il l'avait sauvé au dernier moment.

« Bon allez Mélodie, utilise ta petite langue rose et fais-lui cracher son foutre » lui dit Denis dévoilant sa bouche édentée, il n'en pouvait plus et brulait lui aussi de lui mettre sa bite gonflée dans sa jolie bouche.

« Mark sentit son foutre monter le long de sa verge, il attrapa la nuque de Mélodie plus fermement et enfourna jusqu'au poil sa bite longue mais étroite, Mélodie sentit le gland pénétrer dans sa trachée, elle ne pouvait plus respirer et sentit la contraction dans la verge de Mark comme une corde qu'on tend et qui vibre, suivit d'un torrent de sperme bouillant lui inonder le conduit. Pas d'autre choix que de le laisser descendre et d'avaler les 6 giclées de foutre successives. Il se retira lentement, sa bite était toujours rigide en lui frottant le palais. Mélodie déglutit le reste de foutre lentement, elle en avait aussi sur les lèvres et un peu lui tomba sur ses petits seins et jusqu' à son ventre. Denis lui frappa doucement les seins, cela ne lui fit pas mal, mais la rappela à son devoir. Elle se tourna vers Denis et engouffra son sexe en un coup. Denis fut surpris, cette bouche si petite et maintenant tant lubrifie venait d'avaler les 16cm de sa bite. Il commença à la bourrer rapidement. Elle sentait les veines autour de ses lèvres bien serrées.

« Je ne veux pas que tu perdes la moindre goutte sinon tu vas te prendre une raclée sur tes petits seins, tu as compris? »

Elle acquiesça d'un mouvement d'œil et serra encore plus ses lèvres. Denis n'allait pas aussi loin que Marc, mais il était plus large et Mélodie sentit sa mâchoire travailler à rester si grande ouverte. Mark lui soupesait les seins avec envie, même s'il en avait fini avec elle, il n'avait que rarement vu des seins aussi beaux, aussi jeunes et qui semblaient pointer vers le ciel, comme pour provoquer les hommes.

« Avec des seins comme ça, tu vas te faire baiser a tous les coins de rues » dit-il.

Denis accéléra sensiblement son rythme, il prit la tête de Mélodie entre ses deux grosses mains, et entreprit de lui défoncer la bouche. Mélodie avait du mal à garder ses lèvres closes, elle prit sa respiration et entreprit de gober complètement le sexe de Denis, Il fut surpris de la profondeur

« Oh la salope, elle me bouffe la bite »

Puis dans un premier soubresaut, il se mis à décharger le contenu de ses bourses dans la bouche haletante de Mélodie. Une fois, deux fois, la bite sortait et ré-rentrait avec force, le jet inondait le palais, la langue de Mélodie, elle attendait qu'il ait termine, gardant ses lèvres serres comme une pince, aucune goute ne tomberait. Puis il retira lentement sa verge. Son sperme était presque comme du yaourt, très épais et gélatineux, il avait dû se retenir plusieurs jours pour cette occasion.

« Nettoies bien ma belle, je veux que tu aies bien tout »

Elle passa sa langue sur le gland gluant, et donc le sperme perlait toujours à l'extrémité. Puis elle déglutit tout en un coup. Son estomac protesta par un rot qui fit rire les trois hommes. Elle était là, à genoux sur les carreaux de cette pièce immonde, les seins à l'air, et venait de vider deux hommes de leur sperme. Comment en était-elle arriver là?

Theo l'aida à se relever, et la poussa vers le lavabo.

« Débarbouilles toi » dit il

Elle regarda le miroir et vit ses seins avec du sperme qui dégoulinait, et sa chemise avec des taches suspectes. Quand elle sortit des toilettes, elle rencontra l'autre femme plus mature du bar, elle la croisa et elles échangèrent un regard bref mais de compassion.

Il lui restait deux heures de voiture, comment allait-elle s'en sortir?

6. Les camionneurs

Le trajet se termina sans encombre malgré les commentaires des hommes dans le camion sur sa prestation dans les toilettes. Mélodie avait mal au cœur d'avoir avale tout ce sperme mais elle put se contenir et finir le trajet.

Ils arrivèrent à la maison tard dans la nuit. Mélodie fut soulage quand Theo lui donna une chambre pour elle seule. Gérard dormait dans la chambre attenante mais elle ne fut pas dérangée.

Elle prit une longue douche chaude, s'assurant auparavant que la porte était bien fermée.

Le lendemain matin, tout semblait comme si rien ne s'était passe, et il n'y eut aucune allusion. Gérard était toujours autant intéressé par son corps, ses jambes qui dépassaient de sa robe légère. Mélodie faisait peu de sport, mais les champs et la ferme lui avaient façonné les muscles étirés de ses longues jambes, et sous sa peau de pèche, le regard des hommes la transperçait.

Vers 9h, ils partirent au commerce de Theo, c'était un établissement de matériaux de constructions, de moyenne importance mais connu dans la région, plusieurs gros trucks étaient garés, pour charger du ciment, sable, et bois de construction. Les hommes, tous des ouvriers de chantiers, ne cachèrent pas leur intérêt pour Mélodie quand elle descendit du camion. Elle regretta d'avoir mis une robe et se jura de mettre un pantalon, malgré la chaleur le lendemain.

Son travail était essentiellement à surveiller le stock de marchandise dans l'entrepôt. Avec son calepin, elle déambulait dans les allées et compter deux fois par jour, l'état de l'approvisionnement.

Elle se demandait toujours si ce qui c'était passe sur la route n'était pas un rêve, ou un cauchemar après tout. Tard dans la nuit, elle se surprit à se caresser en pensant à Matt et a son sexe noir et luisant et qui sentait si bon.

Les jours passèrent et Theo était très occupé avec des livreurs qui étaient très en retard. Un soir elle l entendit des voix d'hommes assez fortes et qui résonnaient. Elle sortit du bureau pour aller voir. Theo était avec 2 autres hommes qui semblaient être en dispute.

« Je ne comprends pas, je suis désolé, mais mon stock est à jour » dit Theo

« En attendant, on a fait 3H de route et on ne peut pas charger, les palettes sont vides. Vous auriez dû nous prévenir » dit l'homme qui était le plus grand et qui avait une voix très rauque.

« Mais elles auraient dû être pleine, le stock est à jour! » Répondit Theo. Mélodie vérifia que son calepin avait les bonnes informations, et en effet les palettes de briques étaient bien pleines. Or elles étaient manifestement vides. Elle ne comprenait pas non plus.

« Je serais livre demain matin faut repasser » proposa Theo

« Et on fait quoi, on dort dans le camion chef? » demanda l'autre homme, plus petit, d'allure mexicaine.

La conversation se conclut et Theo leur offrit ses excuses à nouveau puis retourna dans le bureau avec Mélodie.

« Qu'est-ce que t'as foutu, non de dieu, pas capable de noter les palette vides? » demanda-t-il furieusement.

« Mais si. » répondit Mélodie, très confuse. Il y avait eu un problème mais elle n'arrivait pas à comprendre comment cela s'était passe.

Une heure après, il était 19h, la nuit était tombée et le parking des visiteurs enfin vide, Theo vint la trouver dans le bureau.

« On rentre, ramènes toi! » lui ordonna t il

Mélodie sentit qu'il était dans une fureur noire. Ils traversèrent le parking en direction du truck de Theo.

« J'ai perdu beaucoup d'argent aujourd'hui à cause de toi »

« Mais j'ai bien tout note » se défendit elle

Theo ne dit rien. Mélodie constata que le camion des clients mécontents était toujours sur le parking, ils dormiraient probablement là, plutôt que de retraverser tout l'état.

Theo tendit une enveloppe à Mélodie.

« Il faut que tu donnes ce bon d'achat à Max, le client du truck là-bas, c'est pour demain » dit il

Mélodie étonnée prit l'enveloppe et se dirigea vers le camion américain. C'était un gros camion avec une remorque attachée imposante. La cabine était faiblement éclairée.

Quand elle s'approcha, la portière s'ouvrit subitement, comme si elle était attendue, elle eut ce moment de terreur qui la fit frissonner. Max était debout devant elle, et lui prit l'enveloppe des mains

« Il était temps, on commençait à s'ennuyer » dit il

Mélodie tourna les talons pour revenir vers Theo qui était monte dans le truck, mais qui n'avait pas démarré le moteur

« Attends deux secondes ma belle », dit l'autre homme, qui se tenait dans l'ombre de Max

Mélodie sentit la main de Max lui prendre le bras, pas méchamment, mais avec fermeté.

« Tu vas devoir nous faire oublier notre nuit à attendre notre commande, à cause de toi »

Il la tira vers lui et de l'autre main lui saisit l'un de ses seins, et le pressa vigoureusement. Elle tenta de se débattre, et appela Theo en détresse.

« Theo please help »

Elle entendit avec effroi le truck démarrer et lentement il sortit du parking, Elle était seule avec les deux lascars.

« Marcello, aides moi à la mettre dans la cabine » dit Max

Marcello attrapa la taille de Mélodie qui se débattait, et l entraina vers la cabine. Marcello était très musculeux et Mélodie ne pesait pas bien lourd. Elle sentit qu'elle n'avait aucune chance.

Dans la cabine, il l'a poussé sur le petit lit situe au-dessus des deux sièges.

« Si tu paies ta dette correctement, tu repartiras chez toi en entier, sinon tu pourrais le regretter »

Soumise Mélodie comprit qu'elle ne pourrait pas échapper, la cabine était étroite, et la portière bien gardée. Max remonta lui aussi dans le camion, et ferma la portière fermement. Même ses cris ne seraient pas entendus.

Elle était entre les deux hommes, et déjà il faisait chaud, elle se sentit étouffée, Max lui fit tomber la bretelle de la robe de son côté, et la robe glissa jusqu' à sa taille. Ses petits seins se dressaient sous son soutien-gorge.

« Quelle belle petite pute » Dit Marcello. Il lui prit les deux melons dans ses mains de brute et pressa, jusqu' à ce que Mélodie pleure un peu

« Je vous en prie, je n'y suis pour rien, Theo se trompe, il doit y avoir un malentendu » Dit Mélodie

« Theo s est barre, tu parles d'un malentendu » répondit Max

Il tira d'un coup sec sur son corsage, et ses seins surgirent comme des petits phares blancs dans la cabine sombre.

« Wow regardes moi ça, on a envie de la traire cette truie » et il pinça très fort les deux mamelons de Mélodie, jusqu' au sang ». Des larmes se mirent à couler. Rien n'y ferait, ces deux hommes se vengeraient sur elle, pour une erreur qu'elle n'avait pas pu commettre.

amdsoo
amdsoo
15 Admirateurs