Mélodie, Louisiane,1997. Pt. 05-08

BÊTA PUBLIQUE

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Pendant que Max lui maltraitait ses seins, Marcello avait entrepris de lui retirer sa robe par le bas, dévoilant son petit slip blanc, assorti a son soutien-gorge.

« T inquiètes pas, on a promis à Theo, pas de bite dans ton petit trou de petite pute, tu n'es pas sous pilule et il veut te garder vierge ». A la fois cela rassura Mélodie et cela l inquiéta sur les intentions de Theo, mais comment son beau-père avait-il pu la laisser avec cet homme si ignoble?

Elle sera ses longues jambes pour conserver le peu de dignité qu'il lui restait, mais deux grandes gifles s abattirent sur ses seins et la remmenèrent à la réalité.

« Pas de bite, mais un gros doigt c est pas interdit, hein Max »

« On va se gêner, ouvres tes jambes! » ordonna-t-il. Elle décroisa ses jambes rousses, et laissa Marcella lui passer le doigt sur sa petite vulve, au travers du slip. Ses seins la brulaient énormément, ils étaient rouge vif. Surtout le téton droit, avait été malmené auparavant.

Theo approcha son visage et essaya de l'embrasser mais Mélodie tourna la tête, deux autres gifles tombèrent sur ses petits seins douloureux.

« On te conseille de collaborer, sinon tu vas repartir rouge comme un homard » dit Max

« Je vous en supplie, plus de gifles, cela fait trop mal, mes seins me brulent, je ferais ce que vous voulez, pitié »

Elle ouvrit la boucle et laissa Max lui glisser sa langue. Il devait être fumeur car Mélodie trouva un gout qu'elle ne connaissait, cela sentait la cendre froide. Max tournait sa langue dans sa bouche et Mélodie crut bien faire que de la lui mordre gentiment.

« Oh elle aime ça la petite pute » traduisit Max.

Marcello avait entrepris de lui faire glisser sa culotte jusqu' aux chevilles. Son sexe était bien fermé, la vigueur de la jeunesse lui tenait ses lèvres bien serrées. Le doigt de Marcello commença à dessiner une ligne droite, du foret de ses poils, et descendit pour escalader le mont Clitoris, comme pour tomber dans la vallée de ses lèvres, légèrement entrouvertes. C'était comme si Marcello passait la charrue sur le sexe de Mélodie, les lèvres s entrouvraient et se refermaient, toujours un peu plus, au fur et à mesure. Elle sentit son clitoris se dresser, comme pour protester et réclamer plus d'attention. Max était maintenant sur ses seins, mordillant les tetons meurtris et palpitants.

Contrairement au restaurant, elle était à moitié allongée, et ils avaient une vue directe sur ses seins, et surtout sur son sexe.

Marcello se mit à lui lécher le clitoris plus précisément, sa petite boule se tendit, et Mélodie sentit une chaleur l'envahir. Elle crut qu'elle allait s'évanouir. Marcello dut le sentir car il entrouvrit la fenêtre. Un air plus frais pénétra la cabine, et la réveilla. Elle réalisa qu'elle était avec deux étrangers, deux ou trois fois son âge, et qu'elle était entièrement nue. Un de ses seins était dans la boucle de l'un, et l'autre se chargeait de sa vulve et son clitoris.

Marcello avait de l'expertise, c'était son dada favori, de lécher la chatte de sa femme. Elle avait 45 ans, ménopausée et des seins lourds et distendus, mais sa chatte était restée belle, malgré assauts répétés qu'il avait lancés au cours des 20 ans précédents. La chatte de Mélodie était différente toutefois, comme si les muscles de ses lèvres, et la force de son vagin étaient en tension maximale. Quand il mettait un doigt a sa femme, elle en réclamait deux ou trois, mais pour Mélodie c'est comme s'il devait se battre pour enfoncer son plus petit doigt sur 2cm. Une forteresse.

Dans les 5 minutes qui suivirent, les muscles des lèvres commencèrent à se détendre et dévoilèrent un orifice rose, et parfaitement rond.

« Vraiment dommage qu'on ne puisse pas tremper notre queue là-dedans, un vrai délice » Dit il

Mélodie frissonna à l'idée même, elle était vierge et se donnerait à Matt en premier, et pour cela elle devait d'abord se sortir de cette situation, appeler sa mère, et rentrer à la ferme.

Max, se redressa et baissa son pantalon, son slip cachait maladroitement un sexe en pleine érection.

« Tu sais ce qu'on attend, n'est-ce pas » dit-il. Mélodie acquiesça. Elle se rappelait du restau, et l'espace d'un instant, sentit le gout sirupeux du sperme au fond de sa bouche des deux hommes, elle faillit vomir.

Il baissa son slip, et sortit son sexe et ses grosses bourses poilues. Il avait un sexe de taille moyenne, Mélodie se sentit rassurée. Elle le prit sans sa bouche sans trop d'hésitation, ses seins lui rappelaient à chaque instant qu'il valait mieux obéir. Marcello lui aspirait la chatte, elle sentit que sa langue pénétrait dans son petit trou. Il lui tenait les jambes très écartées, et sa petite chatte était toute tendue et ouverte, elle n'avait pas d'autre choix que de subir l'assaut.

Max lui lançait sa bite entre ses lèvres, elle avait entendu que l'homme aime se sentir à l'étroit dans la bouche de la femme, au risque sinon qu'il veuille chercher l'étroitesse plus profondément. Il avançait et reculait, et elle positionnait sa langue comme un rempart, pour limiter la pénétration et donner la bonne impression. Le gland glissait sur sa langue et par moment elle ne pouvait empêcher qu'il touche le fond de sa gorge, créant un réflexe de vomissement. Marcello avait des deux doigts dans sa chatte et buvait le sirop clair et jeune de la jeune fille.

Leurs mains palpaient inlassablement ses reins, taille et ses seins douloureux, de temps à autre Marcello lui claquer ses fesses, elle ressentit une brulure a la longue et son fessier semblait éclairer toute la cabine.

« Mets-toi a 4 pattes, petite pute » dit Max

Mélodie refusa car elle avait trop peur que l'un d'entre eux oublie la promesse faite à Theo. Une claque lui emporta le sein droit, d'une telle violence qu'elle crut qu'il se détachait.

« Fais ce qu'on te dit »

Elle se retourna, totalement nue, et se mit à 4 pattes, en sanglotant. Dans cette position, elle tournait le dos à Max, mais elle avait le pénis de Marcello, droit comme un I, devant elle. Il lui mit dans la bouche sans un mot, elle entreprit de le branler entre ses joues. Son sexe sentait très fort, comme s'il avait beaucoup transpiré et probablement pas pris de douche depuis 24h, Il démarra les allers et retour mais semblait plus intéresser par le fond de sa gorge. Elle sentit qu'il ne resterait pas longtemps avec son demi sexe dehors.

Max contemplait ce derrière magnifique, la position ne laissait pas de secret et de cache possible pour la jeune fille. Les jambes écartées, le cul en hauteur, ouvrait sur un spectacle d'une chatte ouverte, petite, mais gonflée. Les poils roux avaient été trimées par la jeune fille, mais ils ne cachaient rien de son trou ouvert sur 2cm. L'invitation à la bite, lui monta une érection comme il n'avait pas eu depuis longtemps avec ses petites amies. Depuis son divorce, il baisait un peu ce qu'il trouvait, pas mal de putes, et quelquefois des femmes de son âge, mais généralement il les laissait tomber au bout de quelques jours.

Il écarta les fesses de la fille pour détendre encore sa chatte, et commença à lui lécher le trou du cul.

« Hmmmm non » murmura Mélodie qui sentait la langue sur son cul. Elle n'avait pas pris de douche elle non plus depuis le matin, et elle était allé aux toilettes après le lunch, elle se sentait dégradée par cet homme qui lui léchait son trou du cul.

« T'as bon gout, ton cul sent bon ». Au même moment Marcello se raidit, et lui prit la tête dans ses mains. Mélodie comprit que le moment arrivait. Il enfourna son sexe le plus loin possible, suffoquant Mélodie et lui barrant la trachée. Elle allait vomir mais le contraire se produisit : le sperme de l'homme lui remplit le fond de la bouche, et il ne bougeait plus, seuls quelques spasmes résilients. Il se vida complètement et elle avala en une fois la gelée masculine. Extrêmement salée. Quand il se retira. Il lui fit laver son gland, et sa queue que plus rien ne reste. Elle fit de son mieux. Il la remercia d'une claque sur l'autre sein, horrible. La bouche pleine de foutre, les seins qui la lançaient. Et Max qui introduisait sa langue dans son cul.

Elle ne voyait pas Max mais elle sentit qu'il lui mettait une sorte de graisse sur les fesses, quelques choses de gras.

« Avec ça, ça va rentrer comme dans du beurre » dit.il Mélodie eut un spasme de frayeur Max lui mis deux doigts dans l'anus.

« Tu vas lui faire le cul? » demanda Marcello dont la bite était ramollie après l'effort.

« Juste un peu de gym pour ce trou, Theo n'a pas parlé de celui-là, juste de sa chatte »

Mélodie était maintenue par les deux hommes adultes, deux fois son poids, elle resta en position, et laissa Max lui enfonçait deux puis trois doigts dans le conduit anal. La douleur était insupportable mais petit à petit, Max lui titillait le clitoris, d'une main et appuyait de l'autre sur ses doigts. Elle sentit la dilatation incontrôlée et pas voulu de son anus. Une vraie invitation.

La bite de Marcello se gonflait à nouveau.

« Je vais lui mettre dans le cul, tiens la bien », Marcello lui saisit la taille pour l'empêcher de se retourner.

Max appuya son gland sur l'entrée de l'anus luisant de graisse de Mélodie, et commença à pousser. Le gland ne passait pas, il est turgescent et gonfle, cela ne passait pas. Mélodie pleurait mais son clitoris était tant manipulé qu'elle se savait plus. Ils décidèrent de changer de position.

Ils la retournèrent, cette fois elle était sur le dos, les jambes écartées en direction de Marcello, et presque en dessous de Max, qui était redresse.

« Lèches moi le cul, salope » dit Max et il s'assit sur le visage de Mélodie.

Mélodie reçut dans le visage le poids de l'homme, suant et dégoulinant, elle avait sa bouche devant l'anus de l'homme.

« Allez vas-y petite pute, comme je t'ai fait » dit Max

Elle refusa comme elle put, mais Max lui prit les deux seins méchamment comme des torchons et lui tordit sans management. Elle hurla de mal. Et pour le calmer elle se mit à lui lécher le trou du cul. Il était très poilu, et cela ne sentait pas bon, mais elle n'avait pas de choix. Elle entreprit de bien lui laver son anus avec sa langue. Marcello lui tapait avec sa main sur le clitoris qui était sorti de son capuchon. C'était entre la douleur et le plaisir

Mélodie faisait son possible, avec Max, elle était dégoutée, ce type était répugnant, et il lui tenait un tetons d'une main et il se branlait de l'autre. Il serrait et tournait son téton gauche, elle ne pouvait rien faire que de lécher et lécher cet anus. Et les bourses poilues lui tombaient dessus. A un instant, il se raidit « je vais gicler! » dit-il.

« Ouvres ta bouche! », Mélodie acquiesça et laissa Max mettre son sexe tout rigide sans sa bouche, mais la position à l'envers, il ne pouvait pas aller bien loin dans sa gorge. Il se mit à se branler plus vite, et soudainement elle sentit des giclées de foutre tomber dans sa bouche ouverte.

« Gardes bien la bouche ouverte si tu ne veux pas des claques sur tes nichons tout rouges »

Une, deux, trois puis quatre giclées et sa bouche était remplie. Elle en avait aussi sur les joues.

« Avales maintenant »

Elle déglutit, comme si elle avait trois huitres à avaler, il avait vraiment les bourses pleines. Son cul la brulait des assauts répétés, et ses seins étaient rouges écarlates.

Mélodie était étendue, cela faisait une heure qu'elle était leur sextoy. Elle était nue, et les deux hommes s endormirent. Elle s endormit aussi, épuisée. Quelques heures plus tard, Elle sentit que Max la tripotait, il lui passait la main sur les seins, un peu comme un sculpteur sur son œuvre. Les pointes de ses seins se dressèrent. Ce n'était pas désagréable. Le pénis de Max était en érection à nouveau, il lui mit son sexe dans la main, et elle commença à le branler. Elle ne pouvait pas partir, son cauchemar finirait quand ils seraient tous les deux rassasies. Elle montait et descendait le long de sa hampe. Marcello s'est aussi réveillé, et lui caressait les jambes. L'odeur de foutre la saisit, la cabine sentait la luxure et les jus de 2 hommes et de la demoiselle. Elle saisit le pénis de Marcello et commença à branler activement les deux en cadence.

« C'est bien, bonne petite pute que nous avons »

En quelques minutes l un déversa son jus sur ses jambes, et l'autre lui demande d'ouvrir sa bouche, elle obtempéra immédiatement et reçut l'éjaculation abondante du fond du palais. Elle avala d'un seul coup. Et se pencha d'un côté pour bien laver la bite de Marcello, et puis quand elle eut fini elle fit de même sur le compère.

Toute la nuit, ils la réveillèrent et elle les suça, des fois violement, des fois plus calmement. Elle était collante de foutre, même si généralement ils préféraient se vider les couilles dans sa bouche.

Vers 7h00, un premier camion arriva et c'était leur livraison, ils la firent descendre du camion.

« C'est bien Mélodie, tu as paye ta dette » lui lance Max. Marcello rigolait, la petite était vraiment bandante, c'est un plaisir de faire affaire avec Theo.

Et elle retourna à l'office.

Elle avait sucé deux hommes toute la nuit, dormie nue sans confort, avale 7 ou 8 grosses éjaculations, son cul la brulait du traitement de Max, et ses seins étaient toujours douloureux. Elle rêvait d'une douche...

La journée serait longue...

7. Mr Saint

Quand elle croisa le regard de Theo, elle ne put percevoir la moindre gêne dans ses yeux, c'était comme si la transaction de la nuit précédente s'était refermée. Déstabilisée, elle se dit qu'il ne fallait finalement pas revenir sur ce qui c'était passe, de peur de déclencher une réaction dont elle serait encore la victime. Elle fit comme elle put dans les toilettes femmes pour se débarbouiller, elle avait du sperme séché dans les poils pubiens, et aussi sur ces longues jambes. Elle se brossa les dents avec insistance, comme si elle voulait se désinfecter.

Quand elle retourna au bureau, Theo lui tendit un sachet avec des médicaments.

« Il est temps que tu prennes ces pilules »

« Qu'est-ce que c'est »

« C'est pour la contraception et aussi des vitamines »

Méfiante, Mélodie accepta le sachet et se dit qu'il était en effet judicieux à 18 ans de commencer à prendre la pilule, et éviter l'irréparable. Elle évita les « vitamines », elle prenait déjà son lait tous les matins, et était en parfaite forme.

Plus tard dans l'après-midi elle appela sa mère chez ses cousins, mais elle ne sut comment lui dire ce qui c'était passe, sa mère était toujours bloquée en attendant de voir comment la succession allait se passer. Elle décida de ne rien lui dire.

La journée s étira jusqu' à 18h, les ouvriers étaient partis et le dernier camion était en train de sortir du parking, quand Theo débarqua dans son bureau.

« Prends tes affaires on va aller diner chez un ami, mais avant fais toi belle, je t'ai acheté cette robe, et aussi il faudra que tu mettes ces escarpins ».

« Mais je ne veux pas aller ailleurs qu'à la maison! »

« Ne sois pas bête, tu as eu du plaisir hier, Max m'a dit que tu as été très excitante, et très entreprenante, je pense que tu es faite pour ça, habilles toi sans trainer sinon je t'enferme dans le bureau et je reviens avec quelques mecs qui vont pas te louper » menaça t il

Contrainte, Mélodie se changea, cela faisait du bien de mettre des affaires propres, après tout. La robe est mini, très sexy, et ne cachant pas grande chose de ses jambes, et de son dos qui était ouvert. Les sous-vêtements étaient colores, et aussi minimalistes. Sa petite culotte blanche de la veille était tâchée du sperme de l'un des violeurs, elle la jeta dans la poubelle. Quand elle chaussa les escarpins, elle réalisa qu'elle était devenu une femme sexy, et que peu d'homme serait indiffèrent, a son corps blanc, ses longues jambes galbées, et ses petits seins. Ses longs cheveux même si pas propres complétaient parfaitement l'image de la beauté de Louisiane.

Ils partirent en voiture tous les deux. 45 minutes plus tard, ils arrivèrent aux abords d'un grand manoir, elle ne put voir le nom car ils passèrent trop rapidement devant la grille d'entrée, mais la route en gravier continuait sur quelques centaines de mètres et ils garèrent la voiture devant la maison, imposante et très sombre.

Ils furent accueillis par le maitre d'hôtel, en livrée. Ces gens étaient des notables.

Ils pénétrèrent dans le salon, quatre hommes d'âge mur étaient en discussion, et avec eux deux femmes plus jeunes qu'eux, la trentaine. Theo introduisit Mélodie au maitre de maison, Mr Saint. Gerald Saint. Ils servirent un verre de vin blanc à Mélodie qu'elle engloutit, immédiatement sa tête était plus légère, elle pensa que cela aiderait à survivre la soirée.

Mr Saint demanda à l'une des femmes d'accompagner Mélodie dans une des nombreuses salles de bains à l'étage. La maison était immense, et on aurait un vieil hôtel aménagé en résidence.

Viviane, c'était le nom de son accompagnatrice, lui demanda de retirer ses habits et de prendre une douche.

« Je suis Viviane, je travaille pour Mr Saint, il est très exigeant sur la propreté »

Mélodie se sentit gênée de se déshabiller devant elle. Elle fit glisser sa mini robe et détacha son soutien-gorge et son slip et rapidement fila sous la douche. Elle commençait à redouter ce qu'il allait se passer, quoique c'était assez évident, mais elle n'avait pas le choix. Elle penserait demain comment sortir de ce cauchemar et partir d'ici, loin de Theo.

Quand la douche fut terminée, Viviane l'aida à sécher ses cheveux, et à se rhabiller, elle n'avait pas d'autres habits à lui donner, Cela rassura Mélodie quelques peu, après tout Mr Saint n'allait pas la garder ici et donc cela se terminerait dans la soirée.

Elles redescendirent dans le salon mais les invites s'étaient déplacés dans la dining room. Le diner était servi. Theo était parti, et seuls les 4 hommes et la brunette s'étaient installés autour de la table.

« Ah la jolie Mélodie enfin toute propre » lança l'homme sur la gauche de Gerald. Ils rirent de sa blague.

Viviane se plaqua entre les deux autres hommes, et Mélodie sur la droite de Gerald. Le diner était assez sympathique, mais Mélodie n'avait pas grand-chose à dire, elle n'imaginait pas raconter ses déboires récents a ce type d'audience, à moins que justement c'était pour cela qu'elle avait été invitée. L'homme sur la gauche de Gerald était un grand propriétaire terrien, Mr Lance, les deux autres, Sam et David étaient des amis d'enfance de Mr Saint, un était chirurgien et l'autre avait des magasins à la ville. Tous ces hommes étaient mariés, mais étaient à certain point de leur mariage, ou ils cherchaient un plaisir en dehors de leurs femmes respectives. La conversation était très axée sur les aventures que l'un ou l'autre avait eu récemment.

Vers la fin du repas avant le dessert, Mélodie n'avait plus très faim déjà.

« Ah les femmes nous ont réservé une petite gâterie Messieurs pendant que nous prendrons le dessert » dit Gerald

Mr Saint donna la consigne secrète à Viviane qui fit un signe à Mélodie et lentement se glissa sous la table. Les trois femmes, Marie la Brunette, Viviane la jolie blonde et Mélodie, la plus junior se retrouvèrent sous la table. Les 4 hommes avaient déjà descendu leur pantalon et tenaient leur queue dans leur main, comme pour l'offrir à ces demoiselles. Marie prit la bite de Mr Lance dans sa bouche et de l'autre main branlait David, Viviane s'occupa de Sam, et Mélodie n'eut pas le choix que de s'occuper du patron, Mr Saint lui-même. Dégoutée mais résignée, elle s'appliqua a lui lécher le gland, enroulant sa langue et essayant de faire pénétrer cette queue épaisse dans sa bouche. Il semblait content et sa bite doubla en volume. En quelques minutes, Marie prit la première éjaculation au fond du palais, prenant soin de ne rien laisser tomber et salir le pantalon de l'invite. Puis elle passa à David qu'elle tenait de l'autre main. Viviane faisait des efforts mais ne parvenait pas à avaler complètement la bite de Sam, une bite de 20cm, il lui tenait la tête en essayant de la pousser le plus loin dans sa gorge. Mélodie avait plus de succès, Mr Saint commençait déjà à lâcher des gouttes de pré-sperme sur sa langue. Leur conversation continuait et les trois femmes allaient de leur tête et de leurs lèvres pour les satisfaire. Sam lâcha sa giclée sur le visage de Viviane, et elle s'empressa de le finir proprement. Puis Mr Saint attrapa la nuque de Mélodie, elle comprit qu'il allait décharger sous peu. Elle sentit le gland s'ouvrir et sa bouche se remplit d'un sperme épais, et très abondant. Viviane et Mélodie attendaient Marie qui s'attardait sur David. Viviane la rejoint et elles commencèrent à le sucer à deux langues. Puis David commença à éjaculer et Marie le prit bien profondément dans sa bouche, il finit en 4 ou 5 giclées et elles le sucèrent encore qqn instant.