Parodie : Docteur House

Informations sur Récit
Parodie de la série Dr House.
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Partie 1 de la série de 3 pièces

Actualisé 03/07/2024
Créé 07/05/2023
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Parodie : Docteur House

L'Insatiable Orchidée

L'hôpital de Princeton-Plainsboro se dressait au cœur de la ville, sa silhouette imposante s'élevant vers le ciel tel un sanctuaire de guérison. Les murs en briques rouges, usés par le temps, étaient ornés de grandes fenêtres aux vitres étincelantes. Les couloirs, empreints d'une ambiance feutrée, résonnaient des échos des pas hâtifs des médecins et des murmures des infirmières vaquant à leurs tâches. L'air était imprégné d'une odeur familière, un mélange subtil d'antiseptique et d'espoir. Les salles d'attente, teintées d'une palette de couleurs vives, offraient un refuge temporaire aux patients anxieux, tandis que les salles d'examen étaient remplies d'équipements médicaux scintillants, prêts à relever les défis les plus complexes. L'hôpital de Princeton-Plainsboro était bien plus qu'un simple lieu de soins, c'était le théâtre des miracles et des drames de la vie, où les médecins, tels des héros modernes, luttaient contre la maladie avec détermination et ingéniosité.

Acte 1 :

Dans la chambre d'hôpital, le Dr Foreman, le Dr Cameron et 13 (alias Dr Remy Adlay) se tenaient autour de Mme Fushidarana, une femme d'origine asiatique d'une vingtaine d'années qui incarnait un mystère médical troublant. Son visage témoignait d'une inquiétude profonde, tandis que ses oreilles déversaient un flot sanguinolent, révélant une détresse physique qui déconcertait les médecins. Son corps, tel un ballon prêt à éclater, était marqué par un gonflement anormal. Allongée sur le lit médicalisé, elle se tenait les bras écartés en insultant tous les médecins.

Les regards préoccupés des trois médecins s'échangeaient silencieusement, les pensées tourbillonnant dans leur esprit en quête de réponses. La belle blonde Alisson Cameron regardait l'afro américain au bouc bien taillé à la recherche de réponses. 13, sous sa blouse blanche, portait son éternel jean. Ses yeux verts et profonds observaient le visage de la patiente qui gonflait.

Leur discussion initiale fut brusquement interrompue par une dispute tumultueuse qui émanait du bureau du Dr House, tel un orage grondant dans l'horizon. Les voix colériques s'élevaient, se mêlant au brouhaha de l'hôpital, révélant l'antagonisme bien connu entre le Dr House et le reste du monde.

Le Dr Foreman soupira, partagé entre l'urgence de traiter leur patiente énigmatique et la tentation d'interférer dans le tumulte des bureaux. Il échangea un regard complice avec le Dr Cameron, dont les yeux reflétaient à la fois la détermination et l'inquiétude. À leurs côtés se tenait 13, au regard pénétrant et à l'expression impénétrable, prête à déployer son intelligence aiguisée dans cette enquête médicale complexe.

Ils savaient que malgré les dissensions constantes et les tempêtes qui faisaient rage au sein de l'hôpital, leur mission restait inchangée : sauver des vies. Ainsi, ils reprirent leur focus, leur attention se détachant de la dispute en arrière-plan pour se concentrer sur la patiente devant eux.

Dans son bureau au sein de l'hôpital de Princeton-Plainsboro, le Dr House se tenait face à la redoutable Dr Cuddy, dont le regard perçant trahissait sa détermination à imposer son autorité. Les deux personnalités fortes étaient engagées dans une dispute brûlante, leurs paroles s'entrechoquant telles des épées dans une joute verbale.

- Cuddy, vous ne pouvez pas continuer à m'imposer toutes ces restrictions! Je suis un génie médical, et vous, vous êtes juste une administratrice, dit l'homme en posant sa canne sur son bureau.

- Un génie médical qui pense pouvoir se soustraire aux règles établies pour tout le monde! Vous êtes hors de contrôle, House. Vous ne pouvez pas jouer avec la vie des patients comme s'il s'agissait d'un jeu.

- Je sauve des vies, Cuddy. Je fais ce que personne d'autre ne peut faire. Si je dois contourner les règles pour y parvenir, alors c'est ce que je ferai.

Les deux mains sur ses hanches charnues, Lisa Cuddy se planta devant le diagnosticien.

- Vous êtes insupportable, House. Vous pensez que votre talent vous donne le droit de tout faire. Mais ce n'est pas comme ça que les choses fonctionnent ici.

- Vous ne comprenez pas. La médecine n'est pas une science exacte. Elle est faite de risques, d'intuitions, de choix difficiles. Je ne peux pas être enfermé dans une boîte. Par contre, vous, je vous mettrais bien dans une boîte, ajouta Gregory House en lorgnant le magnifique cul compressé dans la jupe serrée.

- Ce n'est pas une question de boîte, House. C'est une question de responsabilité envers les patients, envers l'hôpital. Vous ne pouvez pas agir comme si vous étiez au-dessus des règles.

Les mots emplis de colère et de frustration résonnaient dans la pièce, laissant entrevoir l'intensité de leur relation complexe. Ils étaient à la fois alliés et adversaires, liés par leur engagement envers la médecine, mais en désaccord perpétuel sur les méthodes et les limites.

Le silence s'installa finalement, laissant la tension flotter dans l'air. Ils se regardèrent intensément, se défiant du regard, chacun campant sur ses positions.

Acte 2 :

Dans la salle d'examens, les Drs Foreman, Cameron et 13 s'activaient autour de Mme Fushidarana qui les insultait toujours, déployant leur expertise médicale pour percer le mystère de ses symptômes énigmatiques. Les machines clignotaient, les aiguilles se mouvaient avec précision, tandis que les médecins échangeaient des regards chargés de concentration. La patiente se débattait et sa blouse se dénoua pour dévoiler des cuisses gonflées et un sexe glabre.

- Nous devons explorer toutes les pistes, procéder à une batterie complète de tests. Rien ne doit nous échapper, lança Dr Foreman en reluquant les fesses de Cameron qui se penchait sur la patiente pour lui remettre sa blouse.

- Absolument. Nous devons trouver la cause de ces symptômes avant qu'ils ne s'aggravent davantage, acquiesçait Alisson Cameron bien gainée dans sa jupe portefeuille.

- Je suis d'accord, ajouta 13. Poursuivons les analyses, les prises de sang, les examens d'imagerie. Nous devons dénicher le moindre indice. Elle n'a que 24 ans!

Malgré tous leurs efforts, les résultats des tests étaient déconcertants. Aucune anomalie évidente ne se révélait, aucune piste diagnostique claire n'émergeait. La frustration commençait à poindre sur les visages des médecins, mais ils restaient résolus à trouver des réponses. C'est alors que le Dr House fit son entrée en boitant, portant sa posture nonchalante et son sarcasme habituel.

- Alors, mesdames, on s'amuse bien sans moi?

- Nous faisons de notre mieux, House, répondit Foreman. Mais nous sommes dans l'impasse.

- Laissez-moi deviner, vous n'avez aucune idée de ce qui se passe. Eh bien, j'ai une proposition à vous faire. J'ai un médicament expérimental en tête qui pourrait nous donner une piste.

- Expérimental? s'insurgea Cameron. Nous n'avons pas les résultats pour justifier un tel traitement.

- Ah, Cameron, toujours dans les limites. Parfois, il faut prendre des risques pour résoudre les énigmes médicales les plus complexes. Et puis, si je peux profiter de l'occasion pour flirter avec vous deux, pourquoi pas?

House examina 13 et Cameron, les deux plus belles médecins de l'hôpital.

13, le Dr Adlay leva un sourcil sarcastique avant de lancer :

- Vos tentatives de flirt sont aussi prévisibles que vos diagnostics, House.

- Au moins, je suis cohérent, dit House, arborant un sourire malicieux en pointant le bout de sa canne vers la petite poitrine de 13.

Les médecins échangèrent un mélange de regards amusés et exaspérés, connaissant bien le caractère excentrique de leur chef. Malgré tout, ils étaient conscients de son génie médical et de la possibilité que ce médicament expérimental puisse offrir une lueur d'espoir. En fin de compte, ils décidèrent de prendre le risque, d'essayer le médicament expérimental dans l'espoir de trouver enfin des réponses pour sauver leur patiente.

Le lendemain matin, dans la chambre de Mme Fushidarana, les Drs 13 et Cameron observaient attentivement la patiente, cherchant tout signe de changement ou de progrès. La lueur douce de la lampe de chevet baignait la pièce d'une ambiance feutrée, tandis que les moniteurs médicaux gardaient un œil vigilant sur les constantes vitales.

- Regarde, lança Cameron à 13. Elle semble différente aujourd'hui, moins agressive. Peut-être que le médicament a enfin fait effet.

- C'est vrai, répondit la magnifique femme au visage énigmatique Son comportement est nettement plus calme, presque apaisé. Il semble y avoir un changement significatif. De plusbtout son corps dégonfle.

Les médecins observèrent Mme Fushidarana avec une curiosité mêlée d'inquiétude alors que son visage affichait désormais une expression sereine. Pourtant, un détail continuait de les préoccuper : sa poitrine, qui gonflait de manière inquiétante, déformant sa silhouette avec une tension palpable.

-Regarde son thorax, insiste Cameron. Il continue de se gonfler. Cela ne peut pas être normal.

13, bisexuelle notoire, dégrafa la blouse de la patiente. Les deux seins gonflaient anormalement. Elle tâta la base puis titilla les mamelons sous le regard de Cameron.

-En effet, cela ne correspond pas à une réponse typique au médicament. Sa poitrine n'était pas comme ça. Elle a pris deux bonnets. Nous devons approfondir notre analyse.

Les médecins s'approchèrent du lit de la patiente, scrutant avec attention les moindres détails. Mme Fushidarana, bien qu'apaisée, semblait inconsciente du changement qui s'opérait en elle. Les mystères médicaux s'épaississaient, et les médecins étaient déterminés à les résoudre.

- Je vais appeler le Dr House, annonça 13. Il faut qu'il examine cette évolution inattendue.

- Bonne idée, répondit la blonde. Nous avons besoin de son expertise pour comprendre ce qui se passe. En attendant, continuons à surveiller attentivement tous les signes vitaux.

Les médecins échangèrent un regard résolu, sachant que l'énigme médicale de Mme Fushidarana n'était pas encore résolue. Elles laissèrent la blouse ouverte pour contrôler les modifications mammaires. Dans cette chambre teintée de mystère, ils se préparaient à faire face à de nouveaux défis, à explorer les recoins les plus obscurs de la médecine afin de trouver une réponse salvatrice.

Dans un restaurant élégant, le Dr Foreman et le Dr Cuddy étaient attablés, partageant un dîner à la lueur tamisée des chandelles. L'atmosphère était teintée d'une tension palpable, une tension qui émanait de leurs frustrations communes envers le Dr House.

- Vous savez, Docteur Cuddy, dit le black, travailler avec House peut être vraiment épuisant. Il agit comme s'il était au-dessus des règles, comme s'il était le seul à savoir comment faire les choses.

- Je vous comprends, Foreman. C'est frustrant de voir quelqu'un d'aussi talentueux gaspiller son potentiel en se comportant comme un rebelle sans cause. Il a besoin d'être remis à sa place.

Cuddy se pencha légèrement en avant pour attraper une serviette. Son légendaire décolleté s'ouvrit sous les yeux ébahis du médecin.

- Je suis d'accord, se reprit Foreman. Nous travaillons dur pour maintenir cet hôpital à flot, et House ne fait qu'ajouter des complications. J'aimerais qu'il se rende compte à quel point son comportement peut être destructeur.

Leurs regards se croisèrent, mélange de complicité et de compréhension mutuelle. La soirée avait réveillé en eux une connexion émotionnelle, une affection partagée par leur engagement commun envers la médecine et leur lutte contre les excès de House.

- Vous savez, Docteur Foreman, malgré tout ça, je ne peux m'empêcher d'admirer votre détermination et votre professionnalisme. Vous êtes un excellent médecin.

Un sourire se dessina sur ses lèvres de l'homme élégamment habillé.

- Merci, Docteur Cuddy. C'est un honneur de travailler à vos côtés. Vous êtes une administratrice formidable et une source d'inspiration pour nous tous.

Un silence complice s'installa entre eux, chargé d'une tension émotionnelle indéniable. Puis, sans un mot, ils s'approchèrent l'un de l'autre, leurs visages se rapprochant lentement. Leurs lèvres se rencontrèrent dans un baiser passionné, scellant ce moment de complicité et de désir partagé.

La soirée se termina avec le doux murmure de promesses silencieuses alors que Foreman reconduisit Cuddy chez elle. Un nouveau chapitre s'ouvrait dans leur relation, rempli d'incertitude mais aussi d'espoir, alors qu'ils s'apprêtaient à affronter les défis professionnels et émotionnels qui les attendaient.

Acte 3 :

13 et Cameron se tenaient devant la porte du domicile de Mme Fushidarana, prêtes à pénétrer dans l'univers intime de la jeune femme de 24 ans à la recherche de réponses. L'excitation de l'enquête médicale se mêlait à une complicité indéniable qui caractérisait leur relation professionnelle.

Dr Adelay, aux cheveux sombres et aux yeux perçants, dégageait une aura mystérieuse qui attirait le regard. Sa démarche assurée et son allure élégante reflétaient sa confiance en tant que médecin accomplie. Son visage était parsemé de légères taches de rousseur, ajoutant une touche de douceur à son apparence séduisante. Dr Cameron, quant à elle, était d'une beauté classique avec ses cheveux blonds et ses yeux d'un bleu étincelant. Son sourire lumineux reflétait sa compassion et sa détermination infatigable à aider les patients. Elle était la voix de la raison et une alliée loyale dans leur quête diagnostique.

Alors qu'elles entraient dans la maison de Mme Fushidarana grâce aux clés que 13 avait volées, un silence complice s'installa entre les deux médecins, une connexion profonde qui leur permettait de se comprendre sans mots. Leur regard se croisait de temps en temps, échangeant des sourires complices, conscients de la confiance mutuelle qui les liait.

Les indices les guidaient vers la salle de bain, où ils découvrirent des champignons suspects qui s'épanouissaient sur les murs. La présence de ces organismes fongiques suggérait une possible contamination qui pouvait expliquer les symptômes inhabituels de Mme Fushidarana.

- Regarde, Cameron, ces champignons sont clairement anormaux. Ils pourraient être à l'origine de l'inflammation et des réactions de notre patiente.

- Je suis d'accord, Remy. La contamination fongique pourrait expliquer le gonflement et les changements de comportement que nous avons observés chez Mme Fushidarana. Cela pourrait être une piste importante.

Leurs regards se croisèrent une fois de plus, une étincelle de compréhension passant entre eux. Ils étaient une équipe soudée, complémentant les compétences de l'autre et partageant une confiance indéfectible.

- Nous devons en informer House. Il doit savoir ce que nous avons découvert.

- Absolument. Revenons à l'hôpital et transmettons toutes nos observations à House. Ensemble, nous trouverons la clé pour aider Mme Fushidarana.

Les deux splendides femmes quittèrent la salle de bain, leur mission commune solidement ancrée dans leur esprit. Une fois de plus, leur complicité médicale se manifestait, prête à affronter les énigmes médicales les plus complexes et à poursuivre leur quête de guérison.

Pendant ce temps, dans le centre d'imagerie médicale, Mme Fushidarana était allongée sur la table d'IRM. Le bruit assourdissant de la machine résonnait dans la pièce, tandis que le Dr House, derrière la vitre, les yeux fixés sur les résultats en cours, observait chaque détail avec une précision implacable.

- Mmm, l'inflammation est toujours présente, et le gonflement de la poitrine s'intensifie. Qu'est-ce qui se passe chez toi, ma chère? se murmurait House en se frottant sa barbe de trois jours.

Tandis que les images se formaient sur l'écran, la silhouette de Mme Fushidarana se dessinait dans une posture des plus suggestives. House ne pouvait s'empêcher de remarquer le comportement onanique de la patiente. House passa la porte vitrée et approcha du tube de l'IRM à l'arrêt.

- Docteur House, vous êtes si charmant. J'ai besoin de votre attention... plus que médicale, souffla Mme Fushidarana d'une voix enjôleuse.

Le Dr House, habitué aux situations délicates, gardait son calme légendaire, bien que l'incongruité de la situation ne lui échappait pas et le fascinait.

- Vous savez, Mme Fushidarana, mon travail consiste principalement à diagnostiquer et traiter les maladies, pas à répondre à des avances. Concentrons-nous sur votre état de santé, voulez-vous?

La patiente, déçue par la réaction du médecin, garda un sourire séducteur, mais ses yeux trahissaient une certaine confusion face à l'absence de réponse escomptée. La petite asiatique à la poitrine exagérément gonflée, tendit son bras et saisit le sexe du médecin à travers le pantalon.

- Vous ne comprenez pas, Docteur House. Je veux être proche de vous. Il y a quelque chose entre nous... Baisez-moi. J'en ai besoin.

La tension palpable entre eux se mêlait aux résultats de l'IRM, donnant à la scène une ambiance singulière, où les frontières entre le professionnel et l'intime semblaient s'estomper. Pendant que la conversation se poursuivait, House notait scrupuleusement les détails, absorbant chaque observation pour tenter de percer le mystère médical qui entourait Mme Fushidarana. Il ne laissait rien passer, même les avances qui semblaient déplacées.

Du bout de sa canne, House souleva la blouse et constata que tout le corps de l'asiatique avait retrouvé son état normal sauf la poitrine qui semblait gorgée de vitalité libidineuse. La patiente dégrafa la fermeture du pantalon et sortit la queue de House. L'handicapé s'approcha de la table de l'IRM et se laissa faire.

Vorace, la jeune femme aux yeux bridés enfonça la verge encore molle dans sa bouche. Sa langue tournait autour de la tige qui gonflait et les joues comprimait le sexe. Aux anges, le médecin palpa les énormes seins et pinça les tétons durs comme des cailloux. Il remarqua que le haut des cuisses étaient humides. Le sexe coulait littéralement.

- Intéressant! nota-t-il.

Une fois la queue bien dure, l'asiatique la dirigea vers son entrejambe. Son regard libidineux encouragea House. Il la prit violemment sur la table de l'IRM. Mme Fushidarana miaulait. La chatte en chaleur se faisait défoncer. House s'agrippait aux hanches menues de la petite asiatique pour garder son équilibre. Les deux énormes seins se balançaient au rythme des secousses.

Un orgasme monta et House scrutait attentivement les réactions de la patiente nymphomane. La jeune asiatique gémissait de plus en plus fort. Elle se prit violemment les seins dans les mains et hurla de plaisir.

House sortit sa queue et éjacula un premier jet sur le pubis de Mme Fushidarana puis un second sur ses seins énormes.

- Très bien, Mme Fushidarana, nous avons maintenant quelques indices supplémentaires. Je vais examiner ces résultats de plus près et vous fournir un plan de traitement. Mais veuillez garder à l'esprit que notre relation reste strictement professionnelle, s'amusa House en notant que le sein gauche dégonfla un peu.

La patiente acquiesça en reprenant sa respiration, mêlant déception et acceptation. Les chemins de la médecine et de l'intimité se séparaient à nouveau, laissant House avec le fardeau de démêler les mystères médicaux qui persistaient autour de Mme Fushidarana.

L'appartement de Lisa Cuddy était une oasis de sophistication et de confort, reflétant parfaitement le style de vie élégant de sa propriétaire. Lorsque Foreman et Cuddy pénétrèrent dans l'espace intime, une ambiance chaleureuse les enveloppa, empreinte d'une subtile touche féminine mêlée à une sobriété professionnelle.

Les murs étaient ornés de tableaux abstraits, apportant une touche artistique et vivante à l'atmosphère. Une légère lueur provenant d'élégantes lampes d'appoint créait une ambiance feutrée, invitant à la détente et au réconfort. Le mobilier était à la fois moderne et confortable, alliant des lignes épurées à des matériaux de qualité. Un canapé en cuir sombre trônait au centre du salon, accompagné de fauteuils moelleux disposés autour d'une table basse en verre.

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