Parodie : Docteur House

BÊTA PUBLIQUE

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Le Dr Foreman et le Dr Cuddy s'installèrent dans le confort du salon, laissant derrière eux les soucis de l'hôpital. Leurs regards échangèrent des promesses silencieuses, leur complicité grandissante se révélant dans chaque geste, chaque sourire. Cuddy ôta sa veste. Son chemisier blanc en lin exposait son soutien-gorge noir. Enfermés dans cet écrin de dentelles, les deux globes semblaient vouloir s'en échapper.

- Docteur Foreman. Éric. Nous sommes tous les deux des adultes. Le fait que je vous invite chez moi à cette heure tardive et que vous acceptiez cette invitation ne laisse guère de doute sur les attentes de chacun.

- J'apprécie votre détermination et votre pragmatisme, Lisa, sourit le beau black.

Fidèle à ses qualités volontariste et énergique, la brune déboutonna son chemisier et libéra ensuite sa poitrine du soutien-gorge. Foreman admira les deux magnifiques seins ronds et bien pleins s'épanouir devant lui. Sûre d'elle, Lisa se redressa et baissa sa jupe étroite qui enveloppait ses hanches et son cul. Debout, en tanga noir, Cuddy toisait avec fierté le médecin devant elle.

- Éric, tu as intérêt à être bon. J'ai une furieuse envie de jouir.

L'homme se leva et déboucla sa ceinture de cuir. Le pantalon au sol, il dégrafa sa chemise mauve. Son torse était musclé et la main manucuré de Cuddy le parcoura avec convoitise. La directrice de l'hôpital se pencha et baissa le caleçon du beau mâle et découvrit une queue circoncise qui bandait. Elle soupesa l'engin d'une main. De l'autre, elle malaxa les testicules velues.

Alors que Foreman tendait ses mains pour saisir les seins, Cuddy l'arrêta :

- Non. Léchez-moi avant.

Elle ôta son tanga noir et découvrit un pubis uniquement marqué d'un liseret de poils courts. Deux lettres rouges étaient tatouées sur l'aine : M.L.

A genoux devant sa patronne, le black plongea entre les cuisses nues. Il enfonça sa bouche et son menton dans la vulve déjà gorgée de cyprine. Sa langue râpeuse agaçait le bouton qui sortait effrontément de son capuchon. Les longs ongles de Lisa Cuddy grattait doucement le crâne chauve du médecin noir.

- Levez-vous, docteur Foreman. Vous pouvez me sucer les seins.

Éric n'avait pas soupçonné le côté domanatrice de sa patronne et cela l'amusait un peu. Il mordilla les tétons pendant qu'il pétrissait les deux globes bien fermes. Cuddy branlait doucement la verge. Avec une lenteur calculée, elle maintenait l'appendice masculin dans une simple érection sans l'exciter trop. Du bout des ongles, elle jouait avec le gland décalotté.

Puis, Lisa Cuddy se mit à quatre pattes sur son canapé en cuir en tendant ses fesses vers l'homme.

- Maintenant docteur Foreman, vous allez me sodomiser bien profondément!

Le médecin n'en revenait pas mais la position et l'aplomb de sa patronne ne souffraient pas de tergiversations. Il posa son gland sur l'oeillet qui lui sembla bien souple. De sa voix rauque, Cuddy l'encouragea à l'enculer. Le black poussa sur ses hanches et doucement son sexe s'enfonça dans l'anus. La brune émit un long râle d'aise et de douleur.

- C'est bien Docteur Foreman. Maintenant défoncez mon cul!

Grégory House se tenait aux côtés de Mme Fushidarana, observant avec satisfaction son état amélioré. Sa poitrine avait enfin dégonflé, témoignant du succès du traitement. La patiente affichait un sourire de soulagement, exprimant sa gratitude envers le médecin qui avait rétabli son bien-être. Toutefois, elle se sentait honteuse de s'être offerte à lui avec autant d'impudeur.

Pendant ce temps, 13 et Cameron revinrent dans la salle de diagnostique, portant avec précaution des échantillons de champignons qu'elles avaient découverts dans la salle de bain de Mme Fushidarana. Leur visage trahissait une certaine inquiétude, comme si quelque chose ne tournait pas rond.

Elles s'approchèrent du Dr House qui était confortablement installé à son bureau en jonglant avec sa canne. Elles présentèrent les échantillons de champignon avec une pointe d'anxiété. House les examina attentivement, son regard analytique se posant sur les spécimens. Soudain, une lueur d'intérêt apparut dans ses yeux et un sourire malin se dessina sur son visage. Dr House, toujours prompt à saisir les opportunités, se délectait de la situation. Il leur administra rapidement le médicament expérimental qui avait fonctionné pour Mme Fushidarana, observant avec amusement leur réaction.

Alors que 13 et Cameron étaient absorbées par leur découverte, elles commencèrent à ressentir une sensation étrange. Leurs poitrines se mirent à gonfler progressivement, un signe alarmant de complication. Prises de court, elles échangèrent des regards inquiets. La silhouette longiligne de 13 se déforma et ses gonflement laissant apparaître les tétons à travers son tee shirt blanc. Cameron sentir ses aréoles s'écarter quand son volume mammaire augmenta.

Les deux femmes sentaient leur comportement changer peu à peu, tandis que leur poitrine continuait de gonfler de manière préoccupante. La tension dans la pièce était palpable, mêlée d'une dose d'excitation teintée d'inconfort. Les deux médecins sous l'influence des spores du champignon, commencèrent à faire des avances audacieuses à House, leurs inhibitions s'estompant progressivement. House, joueur impénitent, ne manqua pas de se délecter de cette situation inattendue, savourant chaque instant avec un mélange d'amusement et de satisfaction.

Le bureau se transforma en un théâtre de désirs et de frissons, tandis que les protagonistes naviguaient dans un territoire inexploré. Le mystère médical avait laissé place à un jeu de désirs déconcertant.

- House, il faut que vous me baisiez, lança Cameron en empoignant ses propres seins.

Son regard bleu plein d'ardeur fixait l'entre-jambe de l'homme toujours installé à son bureau. Remy Adlay vint se frotter à sa consoeur. Ses deux globes la gênaient. Elle les frottait sur le dos de Cameron qui se penchait vers House.

- Je veux bien vous soulager, Cameron. Mais avant répondez aux avances de 13. Déshabillez-la.

Complètement envahie de désirs, la blonde se retourna et embrassa la lesbienne. Les deux grosses poitrines s'écrasèrent l'une contre l'autre. Un peu trop rapidement au goût de House qui assistait à ce joli spectacle, les deux magnifiques femmes se retrouvèrent complètement nues. Aucune pilosité sur le long corps de 13. Un ticket blond sur le pubis de sa consoeur.

Elles s'embrassèrent encore un moment en se pelotant avec ardeur. Leurs seins hypertrophiés semblaient irréels comme les héroïnes des mangas hentai. House sortit sa verge et se masturba tranquillement un air malicieux au coin des lèvres. Les longues jambes des deux femmes avec leur chute de rein vertigineuse, la sveltesse de leur taille et de leur ventre, l'opulence saisissante des quatre seins s'offrait au regard libidineux de House.

Complètement soumises à l'ardent besoin de sexe et de stupre, les deux collègues se doigtaient mutuellement. Les bruits de mouille résonnaient dans le bureau et l'état d'excitation venait à son comble.

- Eh! lança House qui ne voulait qu'elles jouissent rapidement de peur de ne pas avoir son salaire. Allongez-vous sur mon bureau, les jambes écartées et bien relevées.

Elles obéirent en constatant l'érection de leur patron qui se déplaça devant elle à l'aide de sa canne. Il pénétra tout d'abord Cameron pour qui, il avait un petit béguin. Le sexe trempé accueillit sa verge dure. Pendant qu'il la besognait, il doigtait 13. Cette dernière se pinçait les tétons et les tirait douloureusement vers le plafond.

Puis House changea de partenaire et s'enfonça dans le sexe glabre de la bisexuelle tandis qui enfonça le manche de sa canne dans la vulve de Cameron qui gémit bruyamment. La canne et sa verge perforaient au même rythme. Les deux femmes grognaient de plus en plus fort. C'est alors que House boita en arrière pour éloigner la jouissance qui allait advenir.

- Mettez-vous sur le ventre, les filles!

Deux magnifiques culs fermes et charnus s'exposèrent à la perversité de House. Il enfonça sa canne dans le vagin de 13 tandis qu'il pénétra à nouveau Cameron. Les quatre énormes seins s'écrasaient sur le bureau en verre. Les deux femmes gémissaient à nouveau de plus en plus fort.

- Petite inspection colorectale mesdames, lança House tout guilleret.

Il enfonça le pommeau de sa canne dans l'anus de 13 qui hurla. Les bras en croix sur le plateau du bureau, la bisexuelle se mit à pleurer de douleur. Puis, House appuya violemment son gland sur la rondelle de Cameron qui souffla très fort pendant qu'elle se dilatait. Quand l'anus céda et que le cylindre de chair entra, la jeune femme hurla également.

- Voilà comment le docteur House soigne ses patientes! lança-t-il goguenard. Maintenant mesdames, allongez-vous tête-bêche sur le bureau et faites-vous jouir.

13 et Cameron, en un magnifique 69, s'installèrent pour une cavalcade de léchage et doigtage. C'est la bisexuelle qui fit jouir sa partenaire la première. Cameron jouit tellement fort qu'elle faillit lâcher 13 qui se frotta elle-même la vulve sur le visage de la blonde. Elle éclata également dans un orgasme bruyant.

House plaça les deux femmes côte à côte, à genoux sur le sol en face du bureau. Cameron prit la verge dans sa bouche tandis que 13 léchait les testicules venues. Aux anges, le diagnosticien admirait les deux femelles avides de sa queue. Il constata que les poitrines dégonflaient déjà.

- Allez les filles dépêchez-vous de me vider.

13 prit l'initiative et avala la verge. Elle l'enfonça jusqu'au fond de sa gorge et, comme pour branler le gland dans l'espace resserré du pharynx, elle fit buter le sexe au fond de sa gorge à s'en faire vomir. Cameron malaxait les testicules et quand House se raidit, près à jouir, la blonde poussa un peu sa collègue. Les deux collaboratrices, dans un mouvement coordonné, accueillir avec des cris de joie, la semence épaisse qui macula leur énorme poitrine qui dégonflait.

Acte 4 :

Quelques jours plus tard, un soir où la neige tombait sur le parking de l'hôpital, alors que House boitait avec sa canne vers sa moto, 13 et Cameron lui barrèrent le chemin. Emmitouflées dans des parka épaisses, elles le fixèrent :

- Nous ne savons pas ce qui s'est passé l'autre jour, mais nous le vivons très mal.

- Mais moi non plus, cria House faussement offusqué.

- Vous ne savez pas ce qui a déclenché ce comportement et le gonflement de nos... poitrine, insista la blonde en tapant des pieds sur le sol pour se réchauffer.

- Non Cameron. La patiente a dû nous inoculer un curieux virus. Et je dois dire que je ne suis pas fière de ce que nous avons fait, mentit-il.

Les deux femmes laissèrent passer leur patron qui monta sur sa moto. A l'intérieur de son blouson de cuir, House gardait précieusement l'échantillon des champignons prélevé chez Mme Fushidarana dans une éprouvette.

FIN

(musique : Teardrop de Massive Attack)

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2 Commentaires
trouchardtrouchardil y a 10 mois

Je confirme le commentaire d'Aurailiens. Très bonne parodie. Merci.

AurailiensAurailiensil y a 10 mois

Bel exercice ! Très réussi

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