Plaisirs d'Inès - 03 (Adultère)

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Après le dîner, Alex la fait mettre nue sur le lit, puis lui caresse la chatte avec beaucoup de doigté. Rien d'exceptionnel, se dit Inès. Elle est un peu plus surprise lorsqu'il fait couler à cet endroit beaucoup de lubrifiant. Elle comprend lorsqu'il pose à côté d'elle un gros gode noir qui ressemble à si méprendre au sexe qu'elle a sucé au 'glory-hole'. Il est aussi long et à peine moins épais. Ce n'est pas ce que j'attendais, mais ça ne devrait pas être mal, se dit-elle.

Alex commence à pousser le gode en elle. Le gros gland factice force un peu les lèvres vers l'intérieur malgré le lubrifiant. Un peu plus de pression et ça passe d'un coup avec un 'pop' qu'accompagne un petit cri d'Inès. Alex pousse encore plus jusqu'à ce qu'Inès dise :

« Là, oui, je le sens bien au fond ! Ah ! Je suis toute remplie. »

Alors Alex fait coulisser l'engin, changeant parfois de rythme et de longueur de déplacement. Il le fait par moments ressortir complètement pour l'enfoncer de nouveau d'un coup. Inès y prend de plus en plus de plaisir. Ce n'est pas ce qu'elle voulait, mais c'est bien mieux qu'un coït avec son mari. Elle lui dit alors :

« C'est peut-être ce que j'aurais ressenti au sex-shop avec le noir, mais ce sexe en caoutchouc est tout de même un peu moins gros, me semble-t-il. »

« Mais non, il est plus gros », rétorque Alex.

« Ça n'est pas possible », rétorque sa femme.

« Tu vas voir, ma chérie. C'est un gode gonflable ! », la contredit Alex.

Trois coups sur la poire de gonflage l'amènent tout de suite à une épaisseur équivalente.

« Tu vois, avec le noir, ça donnerait ça ! », lui dit son mari qui fait coulisser le gode gonflé.

Elle manque de dire à son mari que c'est meilleur que ce qu'elle vient de connaître au 'glory-hole', mais elle s'arrête dans sa phrase en se rendant compte de la gaffe qu'elle allait faire.

« Je pense que tu peux supporter beaucoup plus gros », lui dit Alex.

Inès pense que non, mais ne répond pas car elle a trop envie d'essayer. Alors Alex presse un grand nombre de fois sur la poire sans tenir compte des « arrête, arrête ! » de sa femme. Elle se sent gonflée comme en atteste son ventre ballonné. Cela n'empêche pas son mari de faire ressortir le gode complètement pour l'enfoncer de nouveau, avec beaucoup de difficultés car son extrémité ressemble maintenant plus à un ballon qu'à un sexe. Lorsqu'il est bien en elle, plaqué au fond, son mari dit à Inès :

« Ma chérie, je vais encore gonfler, peu à peu, et je m'arrêterai quand tu me le diras, mais essaie de tenir le plus longtemps possible. »

Inès acquiesce d'un « oui » à peine audible.

Les petits 'pschitt' commencent, lentement, espacés de plusieurs secondes. Chacun s'accompagne d'un petit cri d'Inès, dont le front est maintenant trempé de sueur. Pour elle, ça n'a jamais été si bon ni si angoissant. Lorsqu'elle crie d'arrêter, elle sent un liquide gicler de l'extrémité du gode, noyant le fond de son vagin.

« Qu'est-ce que c'est? », commence-t-elle à hurler alors qu'elle ne peut rien dire de plus, un orgasme diabolique la traversant, dans la crainte qu'Alex n'y ait mis son sperme, alors qu'elle ne veut surtout pas qu'il l'engrosse.

« Mais c'est du lait que j'ai mis dans le réservoir, ma chérie », la rassure son mari.

« C'était bon, n'est-ce pas? », ajoute-il.

« Oh, oui ! Tu as toujours de bonnes idées », répond-elle.

Après cela, Inès se sent épuisée mais n'arrive pas à trouver le sommeil. C'était si bon avec ce gros gode noir ! Mais elle se dit aussi que c'est toujours meilleur avec le vrai qu'avec le factice. Cela aurait été encore meilleur avec le grand noir du 'glory-hole', se dit-elle. Elle va y retourner demain, c'est certain. Elle en profitera bien mais elle s'arrêtera avant l'éjaculation. Sa décision est prise et elle peut maintenant s'endormir. Alex ne connaît pas le décision de sa femme, mais il espère qu'elle retournera là-bas. C'est bien pour ça qu'il a tout manigancé. Il s'endort avec cet espoir.

Le lendemain, dès son réveil, Inès pense à son projet pour l'après-midi, mais elle s'inquiète d'un coup. C'est aujourd'hui samedi et son mari sera donc à la maison. C'est raté ! Elle en avait tellement envie ! Inès sent que sa chatte est un peu plus humide que d'habitude, sans raison apparente, puis, après une sensation particulière qu'elle connaît bien, elle comprend que son ovulation vient de se produire. Ce contre-temps du samedi va m'éviter de faire une grosse bêtise, se dit-elle. La raison prime sur sa frustration.

En venant prendre son petit déjeuner, Inès trouve son mari déjà attablé. Elle s'étonne de cette célérité un samedi et encore plus de le voir en costume. Alex lui explique alors qu'il doit passer toute la journée et peut-être même le week-end à son bureau pour régler un problème urgent qui vient de lui être signalé. Inès fait mine de le plaindre alors qu'elle se sent la plus heureuse des femmes. Ses bonnes résolutions viennent de s'évaporer à l'instant !

En début d'après-midi, Alex se rend au sex-shop dès l'ouverture. Avec le patron du lieu, toutes les vérifications de l'installation sont faites. Celui-ci rajoute une caméra dans leur local pour qu'ils soient tous deux filmés également, à la demande d'Alex, qui souhaite pouvoir faire un petit montage qui surprendra sa femme. Alex s'est installé dans un fauteuil face à l'écran de contrôle, bien dans son rôle de voyeur.

Inès arrive peu de temps après, dans une boutique déserte. Le patron l'accueille et lui attribue la cabine spécialement équipée. Sur l'écran, Alex voit sa femme retirer l'imperméable sous lequel elle est intégralement nue. Cette salope est magnifique, se dit-il. Inès regarde d'abord une vidéo montrant une jeune femme qui vient consulter une sexologue. Elle lui avoue qu'elle voudrait être mère sans s'embarrasser d'un mari. La professionnelle lui demande si elle préfère une fécondation artificielle ou naturelle et la jeune femme choisit la seconde possibilité. La scène suivante la montre sur une table gynécologique, pénétrée et fécondée par de nombreux hommes de toutes races qui se succèdent. Inès, qui n'avait pas besoin de ça pour être excitée, se fourrage le vagin sans ménagement. Alex, d'abord surpris du choix du film, se dit que sa femme est en plein dans son fantasme de grossesse et que tout peut arriver aujourd'hui.

Le patron du lieu, toujours prêt à profiter des situations qui se présentent, n'hésite pas à mettre son gros sexe dans un trou de la cloison qui fait face à Inès. La vidéo terminée, celle-ci est parfaitement consciente de ce que l'homme espère, mais elle n'a pas l'intention de se faire prendre. La pénétration est réservée à ce grand noir qu'elle attend. Ce n'est pas une raison de refuser un peu de plaisir à cet homme. L'éducation d'Inès la pousse à toujours rendre service, aussi va-t-elle prendre ce sexe en bouche. En s'approchant, elle remarque que ce gros sexe ne lui paraît pas inconnu. C'est celui qu'elle a sucé la veille avant de repartir. Inès, ayant vu que la boutique était déserte à son arrivée, se dit qu'il s'agit certainement du patron du sex-shop, mais elle va tout de même faire une fellation à ce gros cochon. Elle y met beaucoup d'application et s'étonne que l'homme se retire avant l'éjaculation.

Son sexe est vite remplacé dans le trou par une petite bite toute fine. C'est la copie conforme de celle de son mari, mais Inès se dit que ce ne peut être lui. Elle a même honte d'avoir pensé ça, alors que son pauvre mari est consigné dans son bureau pendant ce week-end. Là encore, après la fellation appliquée qu'elle offre, ce petit sexe se retire avant l'éjaculation.

Qu'ont-ils tous aujourd'hui? Suce-t-elle si mal qu'elle ne peut les faire jouir? Inès n'a pas la réponse, mais ce n'est pas grave car elle n'est pas venue pour ça.

Lorsque, enfin, un grand mandrin noir sort du trou, Inès, heureuse, le fait bien vite bander avec de douces caresses de sa main puis de sa langue. Elle fait l'effort de le prendre presque complètement en bouche. La position, avec cette cloison qui la bloque, empêche d'aller très loin. Le gland ne peut s'enfoncer dans la gorge d'Inès, malgré les efforts de celle-ci pour y arriver. Elle presse pourtant jusqu'à l'étouffement pour montrer à son partenaire du jour qu'elle est prête à tout pour lui. Elle ne sait pas qu'elle a deux voyeurs, assis côte à côte, qui profitent du spectacle en se masturbant, attendant avec impatience les choses sérieuses.

Lorsqu'elle se retourne pour pousser son fessier vers la cloison qui les sépare, Inès sait que c'est le moment qu'elle attendait. D'une main, elle place le gland au contact des lèvres de sa chatte et le frotte à ce endroit, puis elle pousse en arrière, d'un coup. Inès n'a pas voulu d'une lente progression. Elle se veut défoncée. Son cri montre qu'elle vient d'y arriver et que son vagin est complètement rempli, plus que rempli, distendu.

Elle se rend compte que sa chatte est ruinée pour son mari, dont elle ne sentira jamais plus la petite bite sur ses parois internes. C'est bien plus que tromper mon mari, se dit-elle et cela l'excite encore plus. Alors, elle se met à coulisser sur ce membre, à s'empaler avec force, en donnant des coups. Pour que son mari ne sente plus jamais rien, il faut qu'elle soit complètement défoncée par cette grosse pine. Inès se dit alors qu'elle va priver son mari pendant très longtemps, lui refusant toute pénétration, avant de le lui permettre, une fois ... et, là, il ne sentira rien ... vraiment rien. Quel pouvoir elle aura sur lui !

De l'autre côté de la cloison, l'homme pousse en avant, de plus en plus violemment. A chaque fois, Inès se synchronise avec lui pour aller à sa rencontre. Le choc du gland au fond du vagin est violent. Inès a même l'impression qu'il lui retourne le col de l'utérus. Lorsqu'elle ressent cela, elle arrête ses mouvements pour maintenir la pression. C'est dans un tel instant que l'homme annonce qu'il va jouir. Inès sait qu'elle doit lui dire de se retirer pour qu'elle le finisse avec sa bouche. Elle ne doit pas se faire mettre enceinte !

Comment se fait-il qu'elle n'arrive pas à dire le moindre mot? C'est cet orgasme qui arrive à l'instant qui l'en empêche. Sa jouissance monte encore plus lorsqu'elle sent les interminables giclées de sperme qui lui inondent le vagin.

Quand l'homme se retire, Inès se retourne et se redresse pour attraper ce grand sexe qui lui a fait tant de bien. Elle le caresse de sa main et s'étonne de voir qu'il n'a quasiment pas débandé. Elle regarde aussi de petites coulées de sperme qui s'échappent de sa chatte et s'étonne qu'il y en ait si peu. Elle comprend que toute la semence du noir a fait son chemin en elle. Elle vient de se faire engrosser, c'est certain.

Inès devrait être inquiète voire angoissée, mais elle est encore dans le plaisir qui l'a envahie. Elle se sent heureuse d'avoir commis l'adultère, d'avoir fait ça sans que son mari le sache. Elle se dit que, engrossée par un autre homme, c'est encore plus humiliant pour son mari. Elle a atteint l'adultère idéal. Pourtant, il lui semble qu'il manque quelque chose : elle s'est faite pendre par un sexe et non par un homme, quelqu'un qui lui aurait fait l'amour et pour lequel elle aurait eu quelques sentiments. Lorsqu'elle avait croisé ce grand noir, il y a quelques jours, Inès avait ressenti une certaine attirance qui n'était peut-être pas seulement physique.

Il faut qu'elle aille plus loin, aussi dit-elle :

« Viens me rejoindre dans la cabine. Je déverrouille la porte. Viens ... »

Lorsque l'homme arrive et se met nu immédiatement, Inès ne peut qu'être en admiration devant un corps magnifique, musclé comme celui d'un athlète. Alors qu'il la regarde avec un désir bien visible, Inès le voit comme un modèle parfait pour un sculpteur. Jamais elle ne pourra rencontrer un plus bel homme, se dit-elle. Elle se jette dans ses bras qui la soulèvent comme si elle ne pesait rien. Pas un mot n'est échangé. Ce serait inutile, tant c'est la symbiose, la fusion de deux corps qui s'impose. L'homme la fait descendre lentement, jusqu'à ce que le gland de l'énorme membre soit au contact des lèvres vulvaires. Il la maintient là, tout à la force de ses bras. Les pieds d'Inès ne touchent pas le sol. Il se contente de l'embrasser, la fouillant doucement de sa langue.

Inès est subjuguée. Elle se sait déjà amoureuse de ce si bel homme, dont elle ne connaît même pas le prénom, mais peu importe, c'est lui, c'est l'amant dont elle a rêvé. Lorsqu'il la laisse descendre lentement pour s'empaler jusqu'au fond sur son énorme sexe, Inès ne sent pas la douleur de cette dilatation hors norme. En fait, elle la sent bien mais la subit avec envie, sachant qu'un plaisir extraordinaire va bien vite la remplacer.

Puis, l'homme la soulève et la fait descendre, très lentement et tout en force. Il se sert d'Inès comme il le ferait d'une poupée gonflable. Il cherche son plaisir, son seul plaisir et pourtant Inès adore cette façon de la prendre. Elle se veut, à cet instant, soumise à cet homme, dont la beauté athlétique l'excuse de tout.

Tout à coup, les mains de l'homme ne la soulèvent plus. Inès se sent glisser entre ses doigts. Tout son poids repose sur ce seul sexe qui est en elle. Si elle n'était pas si excitée, ce ne serait que douleur, mais c'est tout le contraire, comme en témoigne la jouissance qui l'envahit. Le grand noir, qui a déjà joui en elle par le glory-hole, sait bien qu'il a tous les droits, alors il ne prévient pas Inès de sa jouissance imminente et éjacule dans ce vagin qui lui appartient.

L'homme ne reste qu'un instant près d'Inès, prenant à peine le temps d'un mouvement de tendresse et d'un long baiser. Il se rhabille déjà et, avant de partir, dépose un petit papier à côté des vêtements d'Inès, qui y trouve écrit 'Moussa' et numéro de portable. Inès, qui se sentait devenir amoureuse, est déçue de cette fin trop expéditive. En s'habillant, elle prend cependant le papier qui lui donne l'espoir de revoir ce bel homme.

Pendant son trajet de retour chez elle, Inès ne sait que penser. Est-elle amoureuse de cet homme ou est-ce seulement le plaisir que lui apporte cet énorme sexe qui l'attire vers lui? A-t-elle une chance de ne pas s'être faite engrosser? Elle a vraiment trompé son mari comme elle le souhaitait, mais n'est-elle pas allée beaucoup trop loin, emportée par son excitation? N'est-elle pas sur une pente qui pourrait détruire son mariage et cette vie facile que lui offre son mari?

Inès se dit qu'elle voudrait revenir en arrière et profiter des plaisirs risqués, mais sans aller si loin. Ce n'est pas possible, à moins que? C'est alors qu'elle pense à la pilule du lendemain. C'est ça la solution.

-------- à suivre --------

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  • COMMENTAIRES
Anonymous
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5 Commentaires
AnonymousAnonymeil y a 3 mois

Magnifique, j'aimerais avoir une femme qui me fasse cocu comme ça, je me suis branlé 3 fois,.

MulierscriptorMulierscriptoril y a 3 mois

Inès me semble vite tomber amoureuse quand même ! Il lui en faut peu (ou juste beaucoup question taille) pour être satisfaite et séduite.

J’aime vos textes mais celui-ci m’a semblé un peu plan-plan pour un tel couple !

Caresses et soumission

MS

AurailiensAurailiensil y a 3 mois

Je partage l'avis de Moiaunaturelle... chapitre lu avec plaisir mais moins d'excitation

MoiaunaturelleMoiaunaturelleil y a 3 mois

J'ai moins accroché sur ce chapitre mais cela reste quand même excitant.

Assas78Assas78il y a 3 mois

Excellent et très excitant.

J'attends avec impatience la suite.

Un cocu à petite bite avec une femme gourmande pour les plus de 20 cms, .... ça me rappelle quelqu'un

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