Plaisirs d'Inès - 04 (Ses Vingt Ans)

Informations sur Récit
Une soirée érotique inoublible pour les vingt ans d'Inès.
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Partie 4 de la série de 5 pièces

Actualisé 03/24/2024
Créé 01/27/2024
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Plaisirs d'Inès - 4 (ses vingt ans)

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Ce texte étant une fiction, les scènes décrites sont le fruit de l'imagination. Toute ressemblance avec des personnes existantes serait purement fortuite. Les personnages présentés sont tous majeurs.

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Inès vient de rentrer chez elle après son escapade au sex-shop où elle a profité du glory-hole. Elle y était allée seule, sans en parler à son vieux mari voyeur. C'était sa façon de ressentir son pouvoir en le trompant vraiment. Elle ne pouvait pas se douter qu'Alex était là, dans le bureau du patron du sex-shop, en train de profiter de son spectacle et même de la filmer.

Dès son retour, elle se trouve seule, car son mari lui a dit qu'il serait absent tout le week-end, retenu à son bureau pour une affaire urgente. Comment aurait-elle pu savoir qu'il était simplement accaparé par le montage de la vidéo prise au sex-shop? Elle ne peut que plaindre ce mari si gentil qui se tue au travail pour elle. Inès s'en veut même d'avoir pu se sentir un instant amoureuse de ce grand noir qui lui a fait l'amour au sex-shop. Il est vrai que le coup de foudre existe, se dit-elle, mais comment a-t-elle pu tomber ainsi amoureuse d'un homme dont elle ne connaît que le numéro de téléphone? Inès se dit que cet amant d'un jour l'a quittée sans même un moment de tendresse et qu'il ne cherchait que son plaisir. Elle s'est laissée envahir au sens propre comme au figuré par cet énorme sexe qui lui a fait tant de bien. Et cet homme était si beau, si athlétique ! Inès se cherche toutes les excuses possibles. Évidemment, elle va l'oublier. Cependant, elle craint qu'il lui ait laissé un souvenir bien physique, en la prenant deux fois le jour de son ovulation.

Elle prendra la pilule du lendemain, mais elle se sent trop fatiguée pour aller jusqu'à la pharmacie du village, qui est probablement déjà fermée. Ce sera la première chose à faire demain, se dit-elle.

Dès son réveil, Inès est prise d'angoisse en s'apercevant que c'est dimanche et que la pharmacie est donc fermée. Elle sait évidemment que cette pilule, pour avoir toute son efficacité doit être prise sans tarder. N'ayant jamais passé son permis de conduire, aller à la pharmacie de garde dans une autre commune est mission impossible. Appeler le chauffeur de son mari pour l'y emmener ne serait pas très discret. Inès ira lundi matin en espérant que la pilule jouera encore son rôle.

Le lendemain matin, Inès s'est vite habillée et s'apprête à aller à pharmacie dès l'ouverture, lorsque son mari arrive et l'embrasse passionnément. Plutôt que de répondre à son baiser, Inès se dérobe en disant :

« Excuse moi, je suis pressée. J'ai une course à faire », ce qui fait réagir son mari :

« Ah, non ! J'ai passé tout le week-end loin de toi. Ta course pourra attendre. J'ai trop envie de toi ! »

Inès, incapable d'expliquer l'urgence de sa sortie, se laisse entraîner vers le canapé. Son mari l'embrasse de nouveau, tout en la déshabillant. Il la veut nue devant lui. Alex porte toujours son costume de ville et Inès trouve leur contraste excitant. Son mari la fait asseoir à côté de lui sur le canapé. Inès sent les mains de son mari flatter les courbes des son corps, caresser ses seins, en pincer les pointes, puis glisser entre ses cuisses pour atteindre son clitoris si sensible et enfin pousser deux doigts dans son vagin déjà trempé. L'inquiétude de tarder encore à prendre la pilule du lendemain limite l'excitation d'Inès. Elle ne doit pas s'attarder, aussi ouvre-t-elle la braguette du pantalon de son mari pour en extraire un petit sexe fin mais déjà bien bandé. Une branlette rapide devrait faire jouir rapidement cet éjaculateur précoce, se dit Inès, qui s'active tout de suite. La main d'Alex vient alors bloquer la sienne.

« Attend un peu », lui dit son mari, « j'ai quelque chose à te montrer. »

Sur le grand écran de télévision devant eux apparaît une vidéo qui montre Inès au sex-shop, s'empalant sur cet énorme sexe noir qui sort du glory-hole. Inès est si surprise qu'elle reste d'abord muette avant de murmurer :

« Mais... comment est-ce possible? »

Alors que son mari ne daigne pas répondre mais continue de caresser sa femme, fouillant son sexe de ses doigts, apparaît une scène montrant le patron du sex-shop et Alex se masturbant tous deux, les yeux rivés sur un écran qui la montre dans ses ébats au glory-hole. C'est trop pour Inès, très énervée, qui entame une discussion tendue avec son mari :

- Inès : « Je te croyais au bureau... et tu étais là, à m'espionner ! »

- Alex : « Mais tu y étais allée en cachette, alors que nous ne devions tout partager ! »

- Inès : « Comment as-tu pu savoir? »

- Alex : « Euh ... »

- Inès : « Oh ... c'est peut-être toi qui a tout manigancé ... depuis le début ... en trouvant mon journal intime ..., n'est-ce pas, gros cochon? »

- Alex : « Peut-être bien, ma chérie. »

- Inès : « J'y pense maintenant ... ce travail urgent que tu m'as donné, c'était bidon ! C'était pour me faire repousser mon retour au sex-shop jusqu'au jour de mon ovulation. Tu voulais vraiment me faire mettre enceinte ! »

- Alex : « On peut dire ça. C'était tellement excitant. Pour un cocu volontaire, c'est le summum de voir sa femme enceinte d'un autre homme. Mais, ne t'inquiète pas, je ferai face à toutes mes obligations de père. »

- Inès : « En plus tu savais que c'était avec un noir ! Imagines-tu ton humiliation à la naissance? »

- Alex : « C'est ça qui est encore plus excitant, ma chérie. »

- Inès : « Mais ... je ne vais pas te donner ce plaisir. »

Pendant leur conversation, le film a continué de se dérouler et tous deux ne l'ont pas quitté des yeux. L'excitation a tempéré leurs échanges, qui auraient pu être plus houleux. Les doigts d'Inès ont remplacés ceux de son mari dans sa chatte, alors que celui-ci se branle lentement pour faire durer encore longtemps son plaisir.

Les dernières images de la vidéo montrent un gros plan du vagin d'Inès d'où le sperme dégouline, alors que le gros sexe noir se retire par le trou de la cloison. Puisqu'ils ont filmé jusque là, ils ont probablement continué, se dit Inès, inquiète. Effectivement, la scène suivante la montre accueillant le grand noir dans la cabine. Le plaisir qu'elle prend paraît évident, mais il n'y a pas que cela. Son attitude amoureuse est tout aussi visible. Elle n'a pas seulement trompé son mari, ce qui n'est que du sexe, pense Inès. Même si son coup de foudre est maintenant effacé dans son esprit, Inès se dit que son mari a la preuve qu'elle l'a trahi en ayant des sentiments pour ce bel homme noir. Il lui faut impérativement minimiser ce qui n'a été qu'une dérive d'un instant :

« C'était sur le moment, dans la fièvre de l'excitation », explique Inès, « L'homme était si beau et il m'avait si bien baisée ! Mais, c'est toi que j'aime, toi seul. D'ailleurs, il n'est pas question que je garde son cadeau. »

« Comme tu voudras », lui répond Alex, « et je t'excuse, évidemment, mon amour. »

Inès se rhabille alors très vite et part à la pharmacie pour acheter la fameuse pilule dont tout dépend maintenant.

Après deux semaines d'angoisse, Inès constate que la pilule a bien fait son effet malgré le retard de sa prise. Le soir même, elle en informe son mari dès son retour du bureau. Elle vient de prendre des décisions importantes qu'elle s'empresse de lui dire :

« Voilà, après tous ces errements, j'ai décidé de redevenir la femme honnête, fidèle, aimante, que j'aurais dû toujours être. Je ne veux plus mettre notre couple en danger. Je sais tout ce que je te dois dans cette vie dorée que tu m'offres. Excuse-moi de... »

Alex l'interrompt en disant :

« Tu n'as pas à t'excuser. C'est moi qui t'ai poussée dans cette voie ... et j'y ai pris beaucoup de plaisir. »

Le ton de ces derniers mots montre bien qu'Alex regrette que sa femme ne continue plus à rechercher des aventures excitantes auxquelles il a plus que pris goût. Inès l'a bien senti, aussi cherche-t-elle à le rassurer en disant :

« Ne t'inquiète pas. Je vais bien m'occuper de toi, mon chéri. »

En fait, comme la pénétration trop brève par le petit sexe de son mari ne la satisfait pas, Inès se contente, dans les jours qui suivent, de lui faire une branlette rapide, qui lui englue vite les doigts. Pour tenir sa promesse, Inès 's'occupe' de son mari chaque jour et même plutôt deux fois qu'une. C'est un peu son purgatoire pour redevenir une femme fidèle. Lorsque son mari ne se contente plus de ce traitement, elle le laisse la pénétrer et même jouir en elle dans les périodes sans risque, alors qu'elle lui impose le préservatif à d'autres moments. Inès a bien pensé à la reprise d'une contraception, mais elle n'a pas pu s'y résoudre, sans savoir bien pourquoi.

Au fil des jours et même des mois, la frustration sexuelle d'Inès ne fait que croître. La vie lui paraît fade, maintenant, malgré les nombreuse sorties que propose son mari. Que ce soit théâtre, concert ou grand restaurant, rien n'y fait.

Quand son mari est au travail, elle recherche sur Internet des vidéos pornographiques qu'elle regarde en se caressant. Puisqu'elle s'est interdit l'accès aux autres hommes, elle s'intéresse aux films qui montrent des femmes se faisant du bien elle-mêmes. Les pénétrations avec les objets les plus imposants l'excitent. Elle finit par utiliser son gros gode gonflable en regardant de tels films. Inès appuie frénétiquement sur la poire de gonflage comme pour prouver qu'elle peut faire mieux que la femme qu'elle voit sur l'écran.

Lorsqu'elle se prépare dans la salle de bain, Inès ne peut qu'y rechercher des accessoires pour se donner du plaisir. Sa brosse à cheveux, cylindrique, excite son clitoris de ses piquants si agressifs. Bien vite, il lui en faut plus et elle n'hésite par à introduire la brosse dans son vagin. Lorsqu'elle la fait coulisser en elle, le frottement devient vite brûlure. La douleur serait-elle son châtiment? Non, car douleur et plaisir sont indissociables. Elle va même jusqu'à s'acheter un balai de toilette qui ne servira qu'à ce seul usage.

Le soir, dans le lit conjugal, après avoir donné du plaisir à son gentil mari, Inès tarde à trouver le sommeil. Il lui faut se caresser alors qu'Alex dort à côté d'elle. Inès commence par titiller son clitoris puis pousse ses doigts en elle. Souvent, il lui en faut plus pour atteindre le plaisir. Elle prend des pinces à linge qu'elle avait placées dans le tiroir de sa table de nuit et les fixe sur ses tétons et sur les lèvres de sa chatte. A l'excitation qu'elle y trouve s'ajoute celle de la peur d'être découverte par son mari, d'autant plus qu'elle a du mal à retenir ses soupirs de plaisir. De soir en soir, toutes les idées perverses l'envahissent et elle utilise tous ses 'jouets' qu'elle cache sous le bord de son lit. Elle s'essaie dans ces conditions au gode gonflable avec la crainte que les 'pschitt, pschitt' ne réveillent son mari.

Les pénétrations décevantes de son mari ne l'empêchent pas de ressentir ce besoin de gros sexes en elle. Il y a aussi le risque qui lui manque.

Un soir, alors qu'elle vient de se faire prendre par son mari pendant une période dangereuse, Inès ne peut s'empêcher de prendre en main la capote usagée. Le sperme qu'elle contient l'attire. Alors, elle ose retourner ce préservatif et le vider sur son clitoris. Son index caresse à cet endroit, s'engluant de ce lubrifiant naturel. Elle va même jusqu'à pousser son doigt un peu plus bas, entre ses lèvres vulvaires, tout en se disant qu'elle est folle de faire ça. Un violent orgasme, associé à ce risque, l'envahit et l'arrête heureusement dans sa progression perverse. Son mari, à demi réveillé par le cri de sa femme, l'interroge, ne recevant comme explication qu'un mauvais rêve.

Alex a bien vu, au fil des jours, la tristesse de sa femme.

Un soir, alors qu'ils prennent une boisson dans le salon après leur dîner, Alex entoure Inès de ses bras et lui dit :

« Je te sens malheureuse. Dis-moi ce qui te manque. »

« Oh, rien », lui répond sa femme, « tu fais tout ce que tu peux pour me rendre heureuse. »

« Mais ça ne te suffit pas, il te manque quelque chose. Je te sens frustrée, ma chérie », insiste Alex.

« Non, non ... », poursuit Inès, qui se met alors à pleurer.

« Tu vas sécher ces larmes, ma chérie, et nous allons trouver ce qui ne va pas, en en parlant très librement, sans tabou », propose Alex.

C'est lui qui amorce leurs échanges :

- Alex : « Je vois bien que je n'arrive pas à te satisfaire sexuellement, tu ne peux le nier. »

- Inès : « Ton sexe n'est pas vraiment petit, mais c'est vrai que je ne le sens pas bien en moi ... et puis ... tu éjacules si vite que je n'arrive pas à atteindre la jouissance. C'est ... c'est ... frustrant. Je sais que tu n'y peux rien. Ce n'est pas de ta faute, mais ... »

- Alex : « Il te faut plus gros et ... plus endurant, n'est-ce pas? »

- Inès : « Oui, c'est ça. J'ai utilisé le gode gonflable que tu m'as offert, mais ... c'est très ... ou plutôt ... trop ... différent d'un vrai. »

- Alex : « Ma chérie, tu as essayé de revenir au comportement traditionnel d'une femme dans un couple et j'apprécie ton effort. Je n'ai pas ta jeunesse et, de plus, mes possibilités ne sont pas au mieux sur le plan sexuel. Je crois que tu devrais rechercher de nouveau des aventures. »

- Inès : « Mais ce serait encore te tromper. »

- Alex : « Si je peux te voir ou t'écouter tout me raconter, sans rien me cacher, ce ne sera pas me tromper. Je serai de nouveau ton cocu voyeur et cela suffira à ma jouissance. Tu n'auras même plus besoin de m'offrir ces pénétrations qui ne te donnent aucun plaisir. »

- Inès : « Cela ne te manquera pas? Je te ferai juste une petite branlette de temps en temps. C'est cela qui te suffira? »

- Alex : « Même moins, ma chérie. Je me contenterai de ma main quand je te regarderai ou lorsque tu me raconteras. »

- Inès : « Tu es vraiment un adorable mari ... Je devrais plutôt dire un adorable ... cocu. Tu penses vraiment que je pourrais recommencer ... comme avant? »

- Alex : « Pas comme avant, mais mieux qu'avant, ma chérie. D'ailleurs, comme ce sera bientôt ton anniversaire, j'aimerais t'offrir une soirée de plaisir inoubliable. Vingt ans, ça se fête ! Alors j'ai besoin de connaître tout ce qui te fait envie, pour que je puisse préparer au mieux cette soirée.»

- Inès : « J'aime bien m'exhiber, tu le sais, surtout devant de nombreux hommes, comme lorsque je m'étais montrée dans la voiture, sur un parking. T'en souviens-tu? »

- Alex : « Comment pourrais-je l'oublier? »

- Inès : « Comme j'ai un peu honte de moi, je préfère que l'on ne puisse pas me reconnaître. Mes voyeurs sont bien des inconnus, alors pourquoi pas moi? »

- Alex : « Quel genre d'homme t'attire, ma chérie? »

- Inès : « Je les aime beaux, athlétiques et ... bien montés ... »

- Alex : « Tu veux des grosses bites, je le sais, mais es-tu regardante sur la couleur? »

- Inès : « Devine ! »

- Alex : « Si ils sont bien montés, il suffit qu'ils soient des Apollons, c'est cela?

- Inès : « C'est mon choix évidemment ... mais ... »

- Alex : « Que veut dire ton 'mais', coquine? »

- Inès : « Certains peuvent avoir un physique ... disons ... moins attirant. Ce n'est pas mon choix, mais cela peut être très excitant, surtout ... si je ne peux pas m'y soustraire. »

- Alex : « D'autres choses t'excitent? »

- Inès : « J'ai honte de te le dire, mais je suis attirée par le sperme. »

- Alex : « Et pourquoi donc? »

- Inès : « Leur sperme, c'est ... c'est une ... semence ... dangereuse. Le risque est excitant ! Crois-tu que je pourrais reprendre mes ... relations ... sans contraception? »

- Alex : « Ce sera ton choix, ma petite cochonne. »

- Inès : « Le risque est d'autant plus excitant qu'il est fort, mais je me sens honteuse d'avoir ces envies. Je me sentirais mieux si cela m'était imposé. Je serais ainsi une victime ... consentante. »

- Alex : « Merci d'avoir été si franche. Je vais préparer une soirée d'anniversaire pour tes vingt ans dont tu te souviendras. Fais-moi confiance, ma petite salope. »

Dans les jours qui suivent, Alex passe tout son temps libre à organiser cette soirée qu'il veut parfaite pour sa femme, qu'il souhaite encore plus libérée qu'auparavant. Il vient de louer une ancienne demeure de qualité, dont le séjour est immense. Alex a imaginé une installation diabolique. Les éclairages sur tout le pourtour seront très faibles et tamisés. Là se trouveront les hommes prévus pour honorer sa femme, qui ne pourra qu'en distinguer des ombres ou silhouettes inquiétantes. Au centre, où se trouvera la proie convoitée, une forte et froide lumière blanche, venant d'un projecteur au plafond, attirera les regards vers un rond hyper éclairé. Là se trouvera une table gynécologique, propice à toutes les exhibitions comme à toutes les pénétrations. Des liens de cuir forceront à l'obéissance et à la soumission espérées. Évidemment, pour garder le souvenir de cette mémorable soirée, plusieurs caméras viseront le centre de la pièce. L'une sera même fixée à la table pour une vue en gros plan de l'entre-jambes.

Alex a pris contact, via des sites de rencontre, à des hommes dont il a pu voir des photos intimes. Il a sélectionné ceux dont le sexe est imposant, très gros ou plus fin mais très long. Il a voulu une variété d'ethnies. Il a retenu de très beaux hommes, sans s'interdire d'autres profils moins attirants. Il a expliqué à tous ce qu'il attendait d'eux, leur laissant une quasi totale liberté à condition qu'ils n'éjaculent qu'à l'endroit souhaité.

Sur les sites spécialisés, Alex a surtout trouvé des hommes assez présentables, contrastant assez peu avec les Apollons sélectionnés. Imaginant que sa femme serait excitée par une différence plus affirmée, Alex a dû cette fois chercher directement dans la vraie vie, s'aventurant dans des endroits peu recommandables comme des squats ou autres lieux de clochardise, jusqu'à trouver enfin la perle rare.

Aujourd'hui, ce sont les vingt ans d'Inès. Son mari l'a invitée dans un grand restaurant avant la soirée qu'il lui a préparée. Ne pas savoir ce qui l'attend excite et inquiète Inès. Elle s'est faite belle pour ce mari qui se dévoue pour elle. Sa petite robe noire montre un décolleté plongeant en pointe très profondément. Un soutien-gorge avec un 'push' spécial resserre les seins et met en évidence un sillon très excitant. Pensant que la main de son mari serait peut-être peu sage, elle a choisi de ne pas mettre de culotte sous la robe très courte. Effectivement, leur position en angle permet à son mari de caresser la cuisse d'Inès pendant tout le repas, s'aventurant par moment jusqu'à une chatte déjà bien humide.

Alex a demandé une interruption du service juste avant le dessert. Ce moment lui permet de donner un cadeau à son épouse, qui découvre dans le paquet un collier de cuir noir. Il ressemblerait à celui d'un chien si ce n'étaient les petits diamants fixés au milieu et qui écrivent clairement 'hot wife'. Inès embrasse fougueusement son mari pour le remercier de ce présent si bien choisi. L'inscription confirme ce qu'elle souhaite être de nouveau et la forme du collier tempère son implication en montrant qu'elle est certainement soumise contre sa volonté. Cette ambiguïté est parfaite.

Arrive enfin le gâteau d'anniversaire avec ses vingt bougies. Inès s'étonne de voir leur forme et dit :

« Alex, regarde ces bougies, elles sont bizarres : on dirait des santons, mais ... ils n'ont pas de vêtements ... ils sont nus ... »

Son mari, qui a fait réaliser spécialement ces bougies, lui donne l'explication :

« Ce sont les hommes qui t'attendent ce soir. »

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