Plaisirs d'Inès - 04 (Ses Vingt Ans)

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Restant un moment interdite, Inès finit par dire :

« Mais, là, ils sont vingt ! Seront-ils ...? »

« Bien sûr, ma chérie », répond Alex, « Tu auras vingt hommes, ce soir, pour tes vingt ans. C'est normal ! Je les ai choisis pour toi. »

Inès laisse seulement échapper un « Oh ! » sur un ton qui ne permet pas de savoir s'il est d'excitation ou de crainte. Elle souffle alors ses bougies avant de les enlever une à une pour les placer dans sa bourse, comme un précieux souvenir.

Après le gâteau, le couple se fait servir des digestifs qui devraient les décontracter pour la suite de cette soirée. C'est alors sur le ton de la confidence qu'ils échangent quelques propos intimes :

- Inès : « Tu sais certainement que je suis au milieu de mon cycle. Je crois que mon ovulation est arrivée hier soir. J'étais très mouillée où tu sais et j'ai ressenti quelque chose en moi. Beaucoup de femme sentent assez bien ce changement intime. »

- Alex : « Oui ... et alors? »

- Inès : « C'est que, avec autant d'hommes, les risques vont être énormes. Ce n'est pas une certitude, mais ... »

- Alex : « Cela en sera encore plus excitant, ma chérie. »

- Inès : « J'imagine que tu as dû choisir des hommes avec un sexe imposant, n'est-ce pas? »

- Alex : « Oui, pour certains. C'était pour être sûr qu'ils te feront atteindre l'orgasme. »

- Inès : « Tu sais que la jouissance d'une femme augmente le risque de fécondation. Y as-tu pensé? »

- Alex : « Évidemment, mais ce risque accru augmentera ton plaisir. »

- Inès : « Avec ce danger si important, j'espère que tu n'as choisi que des blancs ! »

- Alex : « Non ! Cela aurait perdu tout son charme, ma chérie. »

- Inès : « Tu es vraiment un cocu pervers ! »

- Alex : « C'est certain, d'autant plus que, cette fois, tu n'auras pas droit à un plan B. »

- Inès : « Tu sais que je pourrais me refuser ! »

- Alex : « Ça te sera impossible ... et je sais que tu n'en auras pas envie. Je te connais bien, ma cochonne. »

- Inès : « S'il arrive malheur, ce sera ta faute, mais emmène-moi maintenant. J'ai trop envie de cette soirée ! »

De retour chez eux, Alex entraîne sa femme dans leur chambre et lui demande de se mettre nue. Sur le lit se trouvent les seuls vêtements qu'elle portera : une longue cape noire et un loup vénitien.

Lorsqu'ils arrivent à destination, Inès s'étonne de la grandeur de la salle dans laquelle ils entrent. Alex la débarrasse de sa cape. Inès ressent le frisson de sa nudité lorsqu'elle découvre des silhouettes à peine visibles avec le très faible éclairage tamisé du pourtour. Elle est heureuse de sentir qu'elle reste inconnue grâce à son masque. Son mari a bien tenu compte de son désir d'anonymat, pense-t-elle.

Aucune lumière n'éclaire le centre de la pièce vers lequel son mari la guide. Elle finit par rencontrer ce qui doit être une table. Elle s'y couche à la demande d'Alex qui l'aide. Inès ne voit rien. Elle sent seulement les mains de son mari saisir ses pieds et les soulever pour les placer dans des supports. Inès se rend compte alors qu'elle est dans la position que lui fait prendre sa gynécologue. Elle comprend comment elle va être exposée. Cela l'inquiète mais l'excite encore plus. Jamais elle n'aura été aussi exhibée, se dit-elle.

Puis elle sent une main de son mari tirer la sienne en arrière. Un lien de cuir la fixe au lit. Son autre main subit le même sort. Puis ce sont ses pieds qui sont ainsi attachés sur les supports. Inès sait qu'elle va subir. Elle ne pourra pas dire qu'elle s'est offerte. Ses envies indécentes seront ainsi masquées par une domination factice. Inès se sent déchargée du poids de sa responsabilité et en même temps autorisée ainsi à tous les plaisirs interdits.

Un éclair de lumière blanche éblouit Inès. Elle se retrouve au centre d'un rond hyper-lumineux. Il y a même au plafond une grande glace qui lui permet de se voir entièrement. Puis elle remarque, un peu plus loin, un scialytique qui éclaire son entre-jambes et en montre l'image grossie. Elle détecte également ces caméras qui vont immortaliser cette soirée exceptionnelle. Les silhouettes qui restent dans l'ombre ne se sont pas approchées, mais Inès, s'habituant aux faibles lumières du pourtour, devine que ces hommes sont nus.

Seul son mari est habillé, en costume de soirée. Il est là, début, tout près, entre les jambes de sa femme, sa petite bite sortie, toute dure. Va-t-il la prendre le premier? C'est ce qu'elle se demande en espérant que non. Elle aurait l'impression qu'il lui vole quelque chose de cette soirée où il ne devrait être que le mari cocu. Elle sent un gland déjà bien mouillé se frotter sur ses lèvres vulvaires qui le sont autant. Elle craint la pénétration, mais son mari se recule de quelques centimètres et se branle en regardant sa femme offerte. Il dit alors d'une voix forte :

« Allez, venez, dans l'ordre dont nous sommes convenus. Elle est à vous ! »

Alors qu'un premier homme s'approche, Alex vient se placer à côté de sa femme, dont il caresse un sein d'une main, alors qu'il continue de se branler de l'autre. Sa main sur la poitrine de sa femme doit lui faire comprendre qu'il l'aime, qu'il est heureux de cette domination qu'elle lui laisse exercer. Il sait qu'il n'est pas le maître. C'est elle qui l'a autorisé à aller dans cette voie, qu'elle a elle-même indirectement suggérée en exprimant ses envies. C'est elle qui a souhaité ces plaisirs interdits sans avoir à en assumer la décision, avec cette complexité de l'esprit féminin qui en fait tout le charme.

Le premier homme qui s'approche est à peine plus âgé qu'Inès. Le corps de ce blond, proche de la perfection, fait penser à une statue grecque. Il ne peut que plaire à Inès. Le sexe de l'homme est de taille moyenne. Alex lui a donné la première place, pensant que sa femme appréciera un bel homme pour une pénétration sans excès, alors que son excitation n'est pas encore au plus haut. Le jeune homme s'agenouille devant Inès, dont il lèche la chatte avec beaucoup de douceur, titillant le clitoris du bout de sa langue, qui finit par passer entre les lèvres. Le vagin, excité par ces caresses intimes si bien faites coule dans la bouche de son partenaire.

Puis celui-ci se redresse, se place près du buste pour flatter un sein. Deux mains différentes malaxent la poitrine d'Inès, qui se sent impudique d'être livrée ainsi à deux hommes. Son jeune partenaire se penche alors pour l'embrasser. Les langues se mêlent et Inès reconnaît bien en bouche la senteur de sa chatte. C'est un peu comme lorsqu'elle suce ses doigts après des caresses intimes solitaires, mais c'est encore mieux. Dans le mouvement, Inès a senti la pression du sexe de l'homme sur sa main droite. Elle aimerait caresser ce membre, mais son lien de cuir l'en empêche. Alors Alex, toujours attentif, libère la main de sa femme, qui peut alors récompenser cet homme qui lui fait tant de bien.

Le beau blond vient se placer entre les cuisses d'Inès. Il frotte son gland sur les lèvres de la chatte. Inès s'attend à une pénétration, mais le jeune homme parait si excité par la vue de ce vagin ouvert d'une façon si obscène qu'il ne peut s'empêcher de se masturber, à quelques centimètres de sa cible, sans la quitter un instant des yeux. Et l'inévitable arrive : de grands jets de sperme viennent arroser la chatte. Beaucoup se perd dans les poils pubiens, mais quelques flocons blancs atterrissent dans l'ouverture.

Grâce aux miroirs judicieusement placés, Inès n'a rien perdu du spectacle qui l'a énormément excitée. Cependant, elle n'a pu atteindre l'orgasme. Alex se dit que le suivant risque bien de pousser en elle la semence du premier.

Le jeune blond laisse la place à un homme mûr qui n'y va pas par quatre chemins. Sans se préoccuper du plaisir d'Inès, il positionne d'emblée son sexe sur l'entrée accueillante et y enfonce un membre assez gros mais très court, poussant à l'intérieur le sperme qui engluait l'ouverture du vagin. L'homme entame des vas et viens rapides, tout en force. Il ne cherche que son plaisir, c'est évident. Il s'est abstenu des préliminaires et ne s'occupe pas plus de caresser sa partenaire pendant le coït. L'excitation d'Inès ne monte que du fait de la pensée qui la traverse : cet homme la prend comme il le ferait avec une putain travaillant à l'abatage.

Alex sait que l'homme, à cette cadence, ne va pas tarder à jouir. Il se demande si ce sexe court va pouvoir arroser le fond du vagin de sa femme. Au moment de l'éjaculation en elle, Inès, encore une fois, n'atteint pas l'orgasme. Alex pense à cet instant que, dans ces circonstances, le risque de fécondation n'est pas au plus haut.

Le suivant est un homme couleur d'ébène, très grand et athlétique. Inès le trouve magnifique. Il vient à côté d'elle pour se faire caresser, alors qu'il fait rouler un téton entre deux doigts, d'abord légèrement puis de façon plus appuyée. La main d'Inès ne peut se refermer complètement sur ce membre d'un diamètre hors norme. La longueur du sexe est aussi exceptionnelle. Inès se dit que son mari a bien choisi, mais elle n'est pas certaine de pouvoir accueillir en elle un monstre pareil. Elle ne peut résister à l'envie de sucer le gros gland qu'elle ne peut prendre en bouche.

Lorsque le grand noir se place entre les jambes d'Inès, il lui faut tirer de ses deux mains les lèvres vulvaires pour permettre à son gros sexe de bien s'appliquer. Un brusque mouvement en avant fait crier Inès de surprise, mais la sensation est inouïe. Le gland est passé d'un coup. Les mouvements lents que l'homme imprime permettent à Inès de s'habituer à une dilatation jamais connue auparavant. Elle se sent douloureusement défoncée. Elle devrait lui demander d'arrêter, mais seuls des « oui, oui » sortent de sa bouche. Inès sent maintenant le gland presser sur le col de son utérus, où il reste plaqué un moment. Puis les mouvements amples reprennent, le sexe butant au fond à chaque fois un peu plus fortement. Au lieu de s'en inquiéter, Inès se met à crier :

« Plus fort ! Plus fort ! Vas-y, défonce-moi ! »

Le coït se poursuit avec force si longtemps que le corps de l'homme est couvert de sueur. Sentir les gouttes tomber sur elle excite Inès qui trouve son assaillant magnifique. Cela fait une demi-heure que son partenaire la lime sans arriver à la jouissance. Inès, elle, enchaîne les orgasmes. Alors, Alex se penche vers elle pour lui murmurer à l'oreille :

« Tu sais que la jouissance d'une femme fait dilater le col de l'utérus pour faciliter la fécondation. Ton partenaire va bientôt jouir et il va y avoir un joli mélange de semences en toi. Je ne sait pas si c'est vrai, mais il paraît que les spermatozoïdes des noirs prennent facilement le pas sur les autres. »

En entendant cela, Inès rentre dans un orgasme foudroyant, car, au même instant, elle se sent remplie par le sperme qui jaillit en elle. Les giclées se répètent presque sans fin, faisant à chaque fois redémarrer l'orgasme féminin. Inès n'aurait jamais cru ça possible.

Lorsque l'homme se retire, Inès dit à son mari :

« Merci, mon amour, mais laisse-moi me reposer un moment avant la suite. »

Puis elle ajoute tout bas :

« Dans neuf mois, tu seras peut-être un père très surpris ! »

Après un court repos, la fête se poursuit. Ce sont deux asiatiques dans la trentaine qui se présentent. Ce sont des jumeaux qui, bien naturellement, veulent se partager cette femme. L'un se fait sucer pendant que l'autre pénètre Inès. Les sexes identiques sont longs et fins mais durs comme du bambou. A la première pénétration, Inès sent à peine le contact du sexe dans son vagin si dilaté par son précédent partenaire. Bien vite les sensations reviennent. La chatte d'Inès n'a pas retrouvé sa forme initiale, mais le coït est si rapide que le frottement donne une impression de brûlure, inquiétante mais délicieuse. Elle n'a jamais été baisée à une telle cadence. Cela lui paraît un rythme quasi animal.

Les deux frères échangent leurs places très souvent. Inès a toujours un sexe frénétiquement agité en elle et un autre en bouche pour le nettoyer de ses senteurs féminines. Lorsque l'un éjacule dans son vagin, l'autre le repousse pour prendre sa place et y jouir instantanément à son tour. Puis les deux hommes se présentent ensemble devant le visage d'Inès, qui s'acquitte de son travail de nettoyage sur les deux sexes en bouche en même temps. Elle est alors surprise de sentir deux gicles de foutre parfaitement synchronisées arroser sa gorge. Inès se met immédiatement à jouir en manquant de s'étouffer.

Puis les pénétrations s'enchaînent dans une noria infernale. Des blancs de tous âges et quelques asiatiques viennent baiser Inès qui jouit souvent. Il y a même encore un noir dont le sexe est moins impressionnant que le premier, mais qu'il sait bien utiliser avec une endurance exceptionnelle provoquant des orgasmes multiples d'Inès. Au dixième homme, Alex s'aperçoit que le sperme déborde du vagin trop rempli de sa femme, qui l'a vu aussi grâce aux miroirs. Alex modifie alors le réglage de la table gynécologique pour en incliner la tête ver le bas, puis dit à sa femme :

« Il serait dommage de perdre toute cette semence, ma chérie. Ils l'ont tous donnée pour toi. »

Pour la seconde moitié de l'assistance, Alex a choisi des hommes assez âgés, moins virils, c'est certain, mais qui ont appris à prendre leur temps pour bien caresser une femme. C'est ce dont Inès a besoin après la fougue des dix premiers. Avec chacun d'eux, la jouissance est là, moins violente mais appréciée par une femme qui aime que l'on prenne soin d'elle. Ils déchargent tous dans le vagin d'Inès, comme il convient.

Pour le vingtième et dernier partenaire de sa femme, Alex a voulu l'exception. Il a longtemps hésité, craignant d'aller trop loin, avant de se décider. Il a choisi un clochard, d'un âge indéfinissable. Lorsque l'homme s'est présenté, nu, l'odeur spéciale a poussé Alex à lui proposer une douche. Le clochard l'a refusée, prétextant qu'il n'avait pas l'habitude. Le sexe qu'il arbore à demi bandé est très court mais énorme. Son diamètre dépasse celui d'une canette. Dans cette dimension, le premier noir est battu. L'homme s'approche de la tête de la femme offerte. Il a l'intention de se faire sucer. Repoussée par la vue et surtout par l'odeur, Inès détourne la tête. Elle entendant alors son mari lui dire à l'oreille :

« Ma chérie, tu vas le vexer. Il faut le faire. »

« Oh, non ! Oh, non ! », murmure-t-elle.

Alex lui prend la tête entre se mains et la guide vers le membre. Le bout du sexe non circoncis est posé contre les lèvres. L'homme s'impatiente en disant :

« Mieux que ça, ma mignonne ! »

« Tu devrais faire coulisser la peau du prépuce, ma chérie », suggère Alex, « C'est ce qu'il attend. »

Soumise, Inès s'exécute de sa main libre. Le gland découvert paraît alors plus sale que le sexe lui-même. Le voir si gros fait penser à Inès que le prendre en bouche est impossible, ce qui la rassure un peu, aussi dit-elle :

« C'est trop gros. Je ne peux pas ! »

« Oui, mais tu peux y faire passer le bout de ta langue, ma jolie », corrige le clochard.

Alors Inès, retenant ses hauts le cœur, passe sa langue sur le bout, ce qui lui vaut un encouragement de l'homme :

« Oui, là, mais passe aussi sous la collerette. Ça fait du bien par là. »

Inès sait qu'elle ne pourra y échapper aussi se lance-t-elle. L'endroit, souvent caché sous le prépuce, n'a sûrement pas vu un gant de toilette depuis longtemps. Le goût, sur la langue d'Inès, est

insupportable. Pourtant elle continue de faire le tour de cet endroit avec application, alors que sa chatte se mouille d'excitation. Inès s'en veut de réagir ainsi. Je suis vraiment la pire des salopes, se dit-elle, ce qui augmente encore son excitation. En même temps, elle branle ce gros membre qui devient vite dur comme du bois.

L'homme vient se placer entre les jambes d'Inès et presse l'énorme gland sur l'ouverture du vagin, qui ne peut l'accueillir. Ce n'est qu'en s'aidant de ses doigts qu'il arrive à écarter les lèvres et à s'introduire à moitié. Alex entend sa femme murmurer :

« Je n'ai jamais été aussi écartée. Je ne vais pas pouvoir ... c'est trop ... trop ... »

Inès ne peut finir sa phrase que déjà un cri lui échappe. L'énorme mandrin vient d'entrer complètement en elle. Dès que l'homme amorce un premier mouvement de coït, Inès s'insurge :

« Non, non ! Arrêtez ! Ça n'est pas possible. Ne bougez plus ! »

« Mais il faut bien que j'arrive à jouir ! »

« Retirez-vous », intervient Alex qui craint avoir été trop loin cette fois avec ce choix monstrueux.

Le clochard n'obéit pas mais ne bouge plus, ne sachant quoi faire. Alex, qui veut se faire pardonner, se penche sur sa femme et l'embrasse à pleine bouche. Inès est heureuse qu'il fasse ça, qu'il ose partager avec elle le mauvais goût qu'elle a en bouche depuis ses jeux de langue imposés. C'est pendant ce moment de communion avec son mari pervers qu'Inès sent un gros doigt calleux se poser sur son anus puis entrer dans son fondement. Le clochard essaie de se faire jouir en caressant son membre à travers la fine peau qui sépare les deux orifices. A cet endroit, l'homme pistonne avec son doigt comme il aurait voulu le faire avec son sexe juste à côté. Ce mouvement fait bander encore plus l'énorme sexe qui dilate le vagin d'Inès au-delà du supportable. Celle-ci devrait crier sa désapprobation, mais le ramonage rapide de son fondement lui fait atteindre un orgasme incontrôlable, qui, comme une réaction en chaîne, fait jouir le clochard.

Lorsqu'elle sent les giclées de sperme dans son vagin déjà bien rempli, Inès, qui jusque là espérait éviter d'être mise enceinte, se met à souhaiter l'avoir été lors des premiers rapports. Cela lui éviterait le risque d'être fécondée par un tel individu. Elle se demande comment elle a pu jouir à l'instant dans de telles circonstances. Inès sent bien le sexe débander lentement dans son vagin, puis l'homme, satisfait, se retire et quitte la pièce.

Le clochard parti, Alex se place entre les jambes de sa femme. Inès voit bien que le regard de son mari est rivé sur sa chatte dégoulinante, alors qu'il se branle comme un fou, tant il est excité, avant d'arroser de son sperme le ventre de sa femme. Alors, toute honte oubliée, Inès sent son corps se mettre à vibrer et un fort orgasme très cérébral la traverse.

Alex fait signe à tous les hommes de partir et remet tout en ordre, pendant que sa femme s'enferme sous la douche.

Dès leur retour au domicile, Inès, épuisée se couche et s'endort instantanément sans un mot pour son mari, tant elle est épuisée.

Le lendemain, à son réveil, Inès embrasse son mari avec passion, puis lui dit :

« Merci. C'était vraiment un merveilleux anniversaire. Je n'avais jamais joui comme ça auparavant. »

Après une courte hésitation, elle ajoute :

« J'ai honte de ce que j'ai fait et j'ai peur des conséquences. Ne devrais-je pas prendre une pilule du lendemain? »

« C'est hors de question, ma chérie ! », répond Alex, « C'est moi qui ai tout organisé et qui t'ai poussée, alors ne te reproche rien. »

Inès tente encore de faire changer d'avis son mari, en disant :

« Si je me retrouve enceinte, on ne saura pas de qui. Peut-être sera-t-il évident pour tout le monde que tu n'est pas le père mais un mari cocu? Es-tu prêt à vivre ça? »

La réponse d'Alex est sans appel :

« Pose ta main sur mon sexe et tu auras ma réponse. »

« Oh, mais ça t'excite, mon cochon », s'exclame alors Inès.

------- à suivre ------

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