Professeures Bizutées - 1/8

BÊTA PUBLIQUE

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/JULIE /FRANCOIS professeur de latin

La journée se passa sans un seul SMS de chantage. Il ne manquait plus qu'elle fût punie alors qu'elle n'avait même pas déposé plainte! Le professeur de latin lui téléphona le soir même. Il était à l'évidence euphorique.

- Allo, Julie... C'est François... Comment vas-tu... Tu as aimé ma queue entre tes mains? La prochaine fois, ce sera entre tes lèvres... ou entre tes fesses!

- Fous-moi la paix. Il n'y aura pas de prochaine fois et sois content que je ne dépose pas une plainte contre toi pour viol!

- Ah ouais! Tu sais avant de menacer, tu ferais mieux de ne pas laisser trainer des photos de toi en train de te faire allègrement défoncer dans une voiture! J'aime bien tes photos. T'es une vraie blonde ma salope.

- Co... comment? Mais de quoi parles-tu? Quelles photos?

Elle commençait à comprendre et à craindre.

- Quelqu'un de bien attentionné m'a envoyé deux belles photos de toi. Je te les montrerai un de ces jours. Tu peux toujours déposer plainte mais alors ne viens pas pleurer si tout le collège connaît tes galipettes. Tu as compris? Que décides-tu?

- Je... je ne déposerai pas plainte, François, mais détruis les photos s'il te plaît.

- Ce n'est pas suffisant. Je veux autre chose. Cherche un peu.

- Je te sucerai, murmura-t-elle

- Je n'ai pas entendu!

- JE TE SUCERAI.

- Parfait, à bientôt poulette.

Elle était effondrée. Elle tombait entre les mains du prof de latin, ce pervers.

Hélas pour elle, ce samedi ne se termina pas sur ce coup de téléphone mais sur un nouveau SMS.

* Encore une faute Julie. Pire, une tentative de nous nuire! C'est très grave.

* Pourtant on t'a laissée tranquille depuis ta dernière punition.

* Tu aurais dû te soumettre au lieu de te rendre à la police.

* Mets-toi cela dans le crâne : nous ne plaisantons jamais avec l'asservissement.

* Ce n'est pas un jeu Julie, c'est ta vie, maintenant et à jamais.

* Nous sommes obligés d'être sévères. Voici ta punition, à la hauteur de ta faute.

* Désormais, Les pantalons ou shorts sont interdits quelque soit le lieu et l'heure.

* Seules des jupes avec tes gilets sont autorisés.

* Jupes droites exclusivement.

* Longueur maximale des jupes : 40 cm depuis la taille.

* Culottes autorisées.

* Signé : Discipline-Team

Passé un temps de stupéfaction, la première chose qu'elle fit fut de vérifier ce que représentaient 40 cm sur une jupe. Fort heureusement, elle descendait un peu plus bas que mi cuisses. Elle ne sélectionna que trois jupes dans sa garde-robe, trois jupes droites, car les autres étaient trop larges. Elle passa une partie de l'après-midi à raccourcir deux jupes à la stricte limite de 40 cm

LUNDI

/JULIE /DISCIPLINE-TEAM

Elle se vêtit d'un gilet beige super tendu, d'une jupe noire conforme, d'une culotte noire et de collants. Peu avant qu'elle ne quitte son appartement, elle frémit au nouveau SMS.

* Julie, le comité de discipline-team s'est réuni pour statuer sur ton cas.

* Compte-tenu de la gravité de ta faute, il a exigé que la punition soit plus sévère.

* Alors voici la sanction :

* En toutes circonstances publiques, porte-jarretelles et bas de soie obligatoires, talons de 10 * cm minimum.

* Photos envoyées à un professeur

* Signé : Discipline-Team

Furieuse tant en raison de l'obligation qu'en raison de l'heure tardive pour la prévenir, elle fouilla quelques placards à la recherche d'un porte-jarretelles. Elle n'en trouva qu'un rouge, plutôt grossier et vulgaire, le cadeau empoisonné de deux de ses copines lors ses 20 ans. Par chance, elles avaient aussi offert des bas de soie noirs à couture. Elle n'avait jamais porté ces sous-vêtements, les trouvant pour le moins grossiers.

Lorsqu'elle arriva au collège, les élèves étaient déjà rentrés en classe et comme tous les jours, le proviseur surveillait les retards. Il remarqua tout de suite qu'elle ne portait pas de pantalons comme à l'accoutumée mais ne put voir la jupe sous le manteau d'hiver.

En ce mois de février, le froid était cruel pour les tétons si peu couverts. En classe, elle fit sensation lorsqu'elle ôta son manteau. Si les lycéens étaient habitués à la poitrine, ils ne l'avaient jamais vue en jupe. Ils eurent loisir d'admirer le galbe des mollets magnifiés par des talons et le début des cuisses. Un sifflement fut sanctionné d'un zéro. Il ne fallait pas qu'elle laisse les gamins prendre le dessus, fût-elle sexy.

La journée se passa avec contrariétés. Tout d'abord, elle comprit vite pourquoi ils avaient exigé des jupes droites. Celles-ci avaient la fâcheuse manie de remonter sur les jambes dès qu'elle s'asseyait. De plus, la seule paire de bas qu'elle avait trouvée chez elle, était pourvue d'une large jarretière. Heureusement qu'elle était protégée par le bureau car assise, il était évident qu'elle portait des bas et non des collants. Et puis, elle s'aperçut que la soie glissait facilement sur la peau, se détachaient, tirait les jarretelles vers le bas. Plusieurs fois, elle dut renouer ses bas et quelques élèves s'en aperçurent.

/JULIE /FRANCOIS Professeur de latin

Au soir, elle alla chercher ses consignes dans son casier de la salle des professeurs. François était déjà là, assis à la grande table centrale. Il y avait aussi deux autres professeurs, maths et français, deux hommes.

- Bonjour Julie, vous êtes charmante aujourd'hui, dit le professeur de latin. C'est nettement mieux que vos frocs dignes de Jeanne d'Arc... Je vous attendais... Venez donc près de moi, j'ai un truc à vous montrer.

- Bonjour messieurs... Je n'ai pas de temps. Je dois partir tout de suite, répondit-elle.

- VENEZ ICI TOUT DE SUITE, lança-t-il de façon ostensiblement autoritaire, fort et certain désormais de son pouvoir.

Elle obéit sous le regard étonné des deux autres. Quand elle fut à un bon mètre de l'homme, elle stoppa et attendit. Mais il ne s'en laissa pas compter. D'une main ferme, il la colla contre lui, à sa gauche. Son ordinateur portable était ouvert devant lui. Sa main gauche glissa immédiatement sous la jupe, la remonta sensiblement pour arriver jusqu'à l'entre-jambe. Bloqué par la culotte, il caressa la peau nue au dessus des bas. Elle frissonna, regarda les professeurs avec la double crainte qu'ils devinent la main entre ses cuisses et que la jupe soit trop remontée.

- Regardez donc ces superbes paysages, impressionnant n'est-ce pas?...

Il lui présentait les cinq photos qu'il avait reçues par internet car les maîtres chanteurs ne s'étaient pas contentés d'en envoyer une seule! Il s'amusa à voix haute à établir un parallèle entre le pseudo paysage et l'entre-jambe.

- Voyez comme ce sol est humide (bien involontairement, elle avait la culotte complètement trempée) ; là cette forêt touffue (il tirait les poils sous la culotte) ; cette vallée plus bas, douce, sans arbre (il caressait les cuisses en leur partie nue).

Il s'attaqua à la culotte et un peu à la fois, en tirant devant, puis en tirant derrière, il la baissait. Lorsqu'elle sentit le vêtement déjà bien descendu sous l'arrondi de ses généreuses fesses, elle se dégagea brusquement.

- Il faut que je parte! Au revoir.

Elle se précipita vers la porte. François n'eut quasiment pas le temps de réagir sauf pour un à demain, Julie.

MARDI

/JULIE

Elle eut le temps d'acheter de la lingerie plus décente, blanche et noire. Elle chercha aussi des bas de soie dont la jarretière serait plus étroite. Elle n'en trouva qu'une sorte, seulement un peu plus étroite, mais avec couture. Elle fit le choix de la vulgarité de la couture contre une jarretière un peu moins visible. Une vendeuse lui rappela qu'à l'époque des bas de soie les vêtements étaient plus longs ce qui expliquait les larges jarretières.

MERCREDI

/JULIE

Son premier cours avait lieu en salle G au rez-de-chaussée pour une classe de seconde. Le bureau était surélevé sur une estrade de bois. Il n'était pas fermé devant. Habituellement, elle ne travaillait pas dans cette salle mais dans une salle du premier étage dont le bureau était fermé et posé à même le sol. C'est la première fois qu'elle y venait. "Il faudra que je demande au proviseur pourquoi je change de salle, pensa-t-elle". Aucun professeur ne voulait travailler à cet endroit dont les fenêtres donnaient directement dans un angle de la cour de récréation.

Elle eut quelques difficultés à obtenir le calme des élèves, d'autant plus que c'était pour eux la première fois qu'ils la voyaient en jupe. Elle commença finalement son cours et se faisant, prit place au bureau. Aux regards brillants des lycéens du premier rang, elle comprit pourquoi on l'avait changée de salle. Ils avaient une vue directe sur les jambes gainées de noir, les cuisses hautement découvertes par la jupe remontée. Elle se tenait de biais pour ne pas laisser l'entre-jambe en face d'eux, mais alors la jarretière des bas n'était plus cachée.

JEUDI

/JULIE /FRANCOIS professeur de latin

François voulut user encore de son pouvoir. Au moment où elle entrait dans la salle des professeurs, il l'appela devant tout le monde présent :

- Julie, aux pieds!

Elle se sauva sans entrer.

VENDREDI

/JULIE

/FRANCOIS professeur de latin

/DORON homme d'entretien

/THOMAS professeur d'histoire

Comme tous les matins de la semaine, Julie se parait d'un porte-jarretelles. Elle en changeait tous les jours même si personne ne le savait, élégance oblige! Elle détestait les bas noirs. Très fins, ils filaient facilement. Mais surtout, sous ses jupes courtes, ils lui donnaient une allure tellement vulgaire. Bien sûr, elle portait toujours ses gilets trop petits.

Elle devait passer de bonne heure pour relever le courrier de son casier puisque la veille, elle s'était enfuie à l'appel de François.

Il faisait froid. Elle se pressa de traverser la cour et entrer. Il n'y avait encore personne, à l'exception d'un homme d'entretien qui passait le balai dans un couloir. Elle l'avait déjà vu. Ils se saluèrent. Elle trouva deux enveloppes dans son casier. Elle ouvrit la première qui émanait du proviseur.

* Mademoiselle,

* Compte-tenu de votre récente arrivée, j'ai décidé de vous attribuer la salle G

* de manière permanente.

* Vous comprenez bien que les anciens enseignants sont prioritaires

* pour le choix de leur lieu de travail. Personne ne voulait de la salle G.

* Cette décision est irrévocable.

* Le proviseur

Travailler dans cette salle était une plaie, elle le savait bien. Une estrade comme s'il fallait effectuer un strip-tease ; pas de protection au dos du bureau qui laissait libre vue aux élèves ; une grande fenêtre pour les spectateurs de la cours. Pas étonnant que personne ne voulait y enseigner. Mais elle n'avait pas le choix, elle devait accepter.

La seconde enveloppe était neutre. Elle ouvrit.

* Julie la pute.

* Je n'aime pas beaucoup que l'on me résiste. Tu ne sembles pas le savoir.

* Désormais, quand je te sifflerai, tu t'approcheras dare-dare.

* Sinon, je balance tes photos à un autre prof.

* A toi de choisir.

* François

Abattue par l'injonction, elle sortit de la salle de professeurs. Elle longea un long couloir, descendit l'escalier, emprunta celui de droite. Elle tomba nez à nez sur François. Il l'attendait en vérité, ayant prévu qu'elle viendrait tôt cherchez ses documents.

- Alors ma belle, tu as choisi?

- Ouais... D'accord, répondit-elle méchamment.

- Rien compris! Oui qui? D'accord quoi?

- Oui François... D'accord je m'approcherai... Ca te suffit comme ça, lança-t-elle en rage.

- Pas du tout et tu changes de ton! Désormais, tu m'appelleras Monsieur François, après tout, je pourrais être ton père, vouvoiement de rigueur. Alors qu'est-ce qu'on dit?

Elle déclara à nouveau son acceptation mais avec un ton nettement moins agressif.

- Oui... oui monsieur François... je m'approcherai.

- Bien, reprit-il, punition pour hier!

En un éclair, avec ses deux mains, il troussa la jupe déjà bien courte jusqu'au dessus des bas.

- Va à ton bureau comme ça. A bientôt.

Elle hésita quelques secondes, ébahie par la situation, mais se pressa vers son bureau car l'heure de l'ouverture approchait. Dès qu'elle eut tourné dans le dernier couloir, elle y vit l'homme d'entretien travailler devant sa salle de classe. Elle se retint de baisser sa jupe et courut jusqu'à sa porte. DORON, c'était le nom de l'homme, releva la tête dès qu'il entendit les talons claquer sur le carrelage. Il ne la baissa plus jusqu'à ce que la fille arrive à ses côté, à la porte. Il avait instantanément attrapé une belle érection en voyant les bas, les jarretelles, la culotte noire. La jupe était remontée jusqu'aux hanches. Julie, rouge de honte, s'excusa et se précipita dans la salle de classe. Elle ferma la porte et s'y adossa pour reprendre sa respiration. C'est alors que derrière la grande fenêtre de la pièce, dans la cours de récréation, elle vit François et un autre professeur s'amuser du spectacle. Elle baissa la jupe immédiatement, inquiète qu'une autre personne fût au courant de sa condition.

Sa première journée dans la salle du rez-de-chaussée se passa relativement bien. Elle s'assit peu souvent compte-tenu de la configuration du bureau. Elle fit semblant de ne pas remarquer les voyeurs qui avaient tendance à s'agglutiner dans la cours devant la vitre pendant les récréations. Elle se demandait sans cesse ce qui allait se passer avec François, il avait clairement marqué sa volonté de la dominer par chantage. Son angoisse augmentait avec l'heure. Il fallait absolument qu'elle passe à son casier avant de partir en week-end. La dernière heure sonna comme la fin d'une embûche et le début d'une autre.

Elle traina de longues minutes avant de rejoindre la salle des professeurs pour que la majorité fût déjà partie. C'était en effet le cas car seul François et son partenaire de la fenêtre étaient encore présents, assis l'un en face de l'autre à la grande table centrale en train de discuter.

- Julie, aux pieds tout de suite!

Elle ne pouvait qu'obéir, meurtrie de se faire héler de la sorte. Elle vint se placer gauche de l'homme sous le regard insistant de l'autre en face. Ils continuèrent leur discussion à propos de l'éducation nationale mais immédiatement, il plongea sa main sous la jupe. Elle était un peu plus étroite que la première qu'il avait connu. Par petits à-coups de poignets, il la remontait. Lorsqu'elle sentit le tissu arriver au dessus des bas mais encore au dessous de la table, elle bloqua le vêtement avec ses mains. François avait accès maintenant à la culotte. Il tirait dessus, devant puis derrière, pour la descendre lentement. A chaque fois qu'il attrapait du tissu, surtout sur les fesses, il forçait la jupe à remonter. Il finit par faire descendre la culotte sous le cul et elle termina sa course à mi-cuisse.

Il retira sa main, la laissa ainsi de longues minutes, toujours debout contre la table, la jupe bien remontée, la culotte à mi-jambe. Il continuait sa discussion avec l'autre professeur qui ne cessait de mater la fille, comme si tout cela était normal. Il consultait les photos de Julie sur son smartphone. Soudain, il décrocha un ordre :

- Julie, sous la table, suce-moi!

Effarée, elle ne put se retenir.

- Tu es malade François! Pour qui me prends-tu? Je veux bien venir à tes côtés si ça te fait plaisir mais c'est tout. Je vais partir de toute façon.

- Reste-là encore un peu... Attends, ordonna-t-il.

Il s'adressa à son compère au nom de Thomas, prof d'histoire.

- Tu l'as reçue?... Très bien... Julie va donc voir ce qu'a reçu Thomas.

Elle hésita mais finit par obéir à l'injonction. Avec la crainte que sa culotte ne tombe définitivement par terre, elle fit le tour de la table. Le professeur constata avec stupéfaction que le slip noir coupait les cuisses ; sur son ordinateur, la photo de sa copulation avec Kevin est affichée en grand!

- NON! François, tu m'avais promis, dit-elle implorante.

- Je ne t'ai rien promis ma poulette. Avec moi, c'est simple : tu obéis et tout va bien ; tu désobéis et tout va mal. A partir de maintenant, c'est pareil avec Thomas! Alors je répète une dernière fois : monsieur François ou monsieur Thomas, vouvoiement de rigueur, obéissance immédiate sinon les photos trouveront d'autres clients. Compris?

- Oui... monsieur... François

- Sous la table! Tu nous suces tous les deux, tu avales tout.

Elle passa sous la table en commençant par Thomas auprès duquel elle se trouvait. Elle dégrafa le pantalon, baissa la fermeture-éclair et sortit le sexe. Il se mit à grandir rapidement et elle l'emboucha avec dégout. L'autre en profita pour regarder sous la table et photographier la scène : la fille à genoux, un cul nu, culotte baissée, queue en bouche. Il prit soin de s'assurer que le visage serait bien visible. Surprise par la lumière du flash, elle comprit que son calvaire ne faisait que commencer. Thomas, évidemment peu habitué à ce genre de situation, s'épancha rapidement et abondamment. Puis ce fut le tour de l'autre. Il puait de la verge, moins longue mais plus grosse. Jusqu'alors, elle n'avait sucé que Kevin, une seule fois, sans plaisir. Pour la troisième pipe de sa vie, elle eut envie de vomir surtout après avoir avalé une nouvelle dose de sperme.

- Tu peux partir maintenant et n'oublie pas nos ordres!

Humiliée, violée, elle se rhabilla au plus vite et partit sous les regards moqueurs des deux hommes.

SAMEDI

/JULIE /DISCIPLINE-TEAM

Il fallait qu'elle nettoie la saleté humaine dont elle était couverte, qu'elle vide ses peurs dans un exercice physique épuisant. Elle décida d'aller à la piscine. L'eau, bien que fraiche, lui fit un bien considérable. Elle s'épuisa pour ne plus penser, pour oublier, pour être libre.

Hélas, de retour chez elle, un SMS annonça la tempête.

* Julie, tu nous as encore déçus!

* Tu devais porter des bas de soie et un porte-jarretelles en toutes circonstances publiques.

* Tu ne comprends pas ce que veut dire : en toutes circonstances publiques?

* Cela signifie : dès qu'il y a quelqu'un d'autre avec toi.

* Nous ne t'empêchons pas d'aller à la piscine mais en tenue!

* Nous sommes encore obligés de te punir, pauvre Julie.

* Désormais, pour t'assoir, tu ne croiseras plus les jambes en public.

* Désormais, pour t'assoir, tu ne serreras plus les genoux en public.

* L'écartement des genoux doit être de la largeur de ta main, soit environ 7 cm.

* L'écartement des pieds sera le même.

* Pendant tes cours, tu te tiendras, à égale durée :

* debout pour montrer tes gros nichons

* assise pour monter tes cuisses.

* Nous sommes désolés de te châtier Julie mais tu commets tant de fautes.

* Signé : Discipline-Team

DIMANCHE

/JULIE /DISCIPLINE-TEAM

Sa sœur Nathalie vint lui rendre visite dans l'après-midi ce qui la réjouit au plus haut point. Elle avait besoin de quelqu'un de confiance car elle ne cessait de penser à ses genoux ouverts en salle de cours. "Forcément les élèves pourront voir, se disait-elle, il faudra que je me tienne de biais, c'est le seul moyen!"

Elle savait maintenant que les mystérieux Discipline-Team n'avaient aucune pitié. Ils avaient envoyé une photo à Nathalie et à François, sans lui laisser la moindre chance de rattraper son erreur. Chaque faute entraînait une punition sans possibilité de retour!

Nathalie était une fille enjouée, cadette de 3 ans. Evidemment, elle interrogea sa sœur sur la photo et, pour toute explication, eut à savoir que sa grande sœur avait hélas fauté une fois et une seule fois avec le beau Kevin.

Elles prirent un café au salon et discutèrent des affaires de famille. Julie serra les genoux car elle supposait que le en public de ses tortionnaires ne s'appliquait pas chez elle. Nathalie l'interpela

- Dis-moi, sœurette, tu mets des bas même chez toi?... Tu t'habilles vraiment court maintenant, tu te rends compte? Des bas de soie en plus. Toi alors! Si les parents savaient ça, ils te banniraient, ma pauvre.