Professeures Bizutées - 1/8

BÊTA PUBLIQUE

Remarque : Vous pouvez modifier la taille de la police, la police et activer le mode sombre en cliquant sur l'onglet de l'icône "A" dans la boîte d'informations sur l'histoire.

Vous pouvez temporairement revenir à une expérience Classic Literotica® pendant nos tests bêta publics en cours. Veuillez envisager de laisser des commentaires sur les problèmes que vous rencontrez ou de suggérer des améliorations.

Cliquez ici

Par réflexe, Julie tira sa jupe, rectifia sa position au plus classique possible. Comment pouvait-elle expliquer sa situation, elle, depuis toujours si prude. Elle ne raconta pas l'horrible chantage dont elle était la victime.

- C'est-à-dire, tenta-t-elle d'expliquer. Je... je trouve ça plus féminin. Des collègues me l'ont dit. Le proviseur aussi... Alors tu comprends, comme je suis nouvelle... Je préfère leur faire plaisir.

Nathalie prit congé, non sans étonnements.

Il était 17h ce dimanche là, lorsque qu'un nouveau SMS arriva.

* Julie, nous pensons que tu adores être punie! Nous sommes tellement surpris que

* nous nous sommes réunis en comité extraordinaire.

* A 11h, nous te donnons l'ordre de ne plus serrer les genoux et à 15h tu désobéis déjà.

Elle dut attendre avant de lire la suite. Elle tremblait. Ses yeux s'embuaient. Elle n'y voyait plus rien.

* Julie, tu aurais dû être professeur de français et pas d'anglais car tu as des lacunes.

* Le comité t'a surnommé : Julie la rebelle. Moi je te nomme : Julie la condamnée.

* Parmi notre cheptel, tu es la seule à commettre autant de fautes.

* En public ça veut dire : quand tu n'es pas seule.

* Toute autre personne fait partie du public : des étrangers, ta sœur, tes parents...

* Tu connais la règle pour les fautes?

* Voici donc l'énoncé de ta punition.

* Pour apprendre à tenir les jambes écartées, désormais, chez toi, tu devras avoir les genoux

* toujours séparés d'au moins 30cm.

* Signé : Discipline-Team

Elle tomba assise sur le canapé, complètement bouleversée. Comment avaient-ils pu savoir qu'elle avait serré les genoux? Avaient-ils mis des caméras dans son appartement? Sa sœur l'avait-elle trahie? Elle ne pouvait même pas répondre au SMS. Elle avait bien essayé déjà mais à chaque tentative, la ligne était annoncée coupée.

En une sorte de contrecoup au message, elle écarta immédiatement ses genoux à angle droit et s'en trouva vulgaire au plus haut niveau. Elle s'affala dans le canapé, les jambes toujours grandes ouvertes. Elle lut et relut maintes fois les derniers SMS. Puis elle entreprit une visite des coins et recoins de son appartement pour y trouver une caméra ou un appareil photo.

Au moment de se lever, elle se demanda si elle devait tenir les jambes ouvertes pour se déplacer. Elle relut encore : avoir les genoux toujours séparés d'au moins 30cm. Le toujours était sans ambiguïté. Elle entreprit sa fouille en marchant jambes ouvertes. Elle s'en trouva tellement ridicule qu'elle sombra à nouveau dans une crise de larmes sans toutefois se resserrer. Ses recherches furent vaines. Pas la moindre trace d'appareil.

La soirée passa ainsi. Elle finit par aller au lit mais eut bien du mal à s'endormir. Elle négligea totalement qu'en dormant, elle serrait les genoux...

LUNDI

/JULIE

Le matin, elle n'avait pas oublié de s'assoir et marcher jambes ouvertes, tant pour se préparer que pour déjeuner. Elle se sentait grotesque. Elle se disait qu'elle était folle de penser qu'ils pouvaient la voir et connaître sa désobéissance. Mais ils avaient été tellement machiavéliques jusqu'alors qu'elle n'osa pas prendre le risque. "Il faut que j'appelle Nathalie, pensait-telle, elle me dira si elle m'a trahie. Mais comment lui demander?".

Lorsqu'elle arriva à la salle de cours, les élèves n'étaient pas encore rentrés. Elle en profita pour prendre ses marques : s'assoir, placer les genoux de biais, vérifier leur écartement. Elle devait savoir faire cela discrètement et rapidement.

Elle passa la première demi-heure debout au grand plaisir des garçons qui espéraient qu'un bouton du gilet lâche tant il était tendu. Il ne faisait pas très chaud, les classes du lundi matin n'étaient pas encore réchauffées, aussi ses gros tétons dardaient incroyablement. Elle les sentait, elle les voyait en baissant les yeux. Mais que faire? De temps en temps, un élève prenait discrètement une photo de la belle. Globalement, la classe était calme, admirative, comme au spectacle.

Elle passa la seconde demi-heure assise. Alors quelques-uns s'interrogèrent. Habituellement, elle croisait les jambes en allongeant le pied de support de sorte qu'ils ne parvenaient pas à voir grand-chose, tout au plus un début de bas. Cette fois, elle s'asseyait presque de profil, ne croisait jamais les jambes, de temps en temps plaçait sa main entre les jambes. Evidemment, ils ne comprenaient pas les raisons de cette nouvelle position mais ils avaient le sentiment que quelque chose de nouveau était arrivé.

Les heures de cours de la journée bénéficièrent du même traitement. Elle ne se rendit pas à la salle des professeurs de peur d'y rencontrer ses deux nouveaux maîtres.

MARDI

/JULIE

/FRANCOIS professeur de latin

/DORON homme d'entretien

/THOMAS professeur d'histoire

Elle n'aimait pas cette journée, la plus chargée. En plus, elle savait que François donnait cours, Thomas aussi.

C'est celui-ci qu'elle rencontra en premier, dans un couloir, à la récréation de 10h30. Il rougit lorsqu'il la croisa et bafouilla un bonjour Julie auquel elle répondit par un bonjour monsieur Thomas. Elle nota son embarras qu'elle mit sur le compte de l'empathie. Un peu rassurée, elle tenta une communication normale, sans oublier le vouvoiement imposé :

- Vous allez bien? Combien de cours donnez-vous aujourd'hui?

Hélas, elle ne savait pas qu'il bandait déjà comme une bête, bien que dérangé par ses propres désirs moralement réprouvables.

- Enlève le bouton du haut, tout de suite.

- Pitié... monsieur Thomas... pas vous... vous... vous êtes marié!

- Tais-toi, obéis!

Résignée, elle ôta le premier bouton du gilet. La masse mammaire s'employa à prendre l'ouverture disponible en ouvrant le col dont les bords s'approchaient dangereusement des mamelons. Maintenant, toute la pression n'était plus tenue que par trois boutons plus bas.

- Retard d'obéissance! Punition! tu resteras comme ça toute la journée.

Elle s'empressa de retourner dans sa classe. Avant que les élèves ne reviennent en cours, elle se reboutonna. Il ne le verra pas, pensa-t-elle.

Lors de son dernier cours, alors qu'elle jetait un œil soucieux par la fenêtre, elle constata que Thomas y fumait une cigarette. Elle tourna sa poitrine vers l'autre côté en espérant qu'il n'avait pas vu le bouton remis.

Le soir, elle ne négligea pas d'avoir les genoux toujours écartés, assise comme debout, sauf pour dormir.

Veuillez évaluer cet récit
L’auteur apprécierait un commentaire de votre part.
  • COMMENTAIRES
Anonymous
Our Comments Policy is available in the Lit FAQ
Publier comme:
9 Commentaires
lisedusudlisedusudil y a plus d’un an

une histoire troublante, j'aime beaucoup!!

AnonymousAnonymeil y a plus d’un an

Bravo !

AnonymousAnonymeil y a plus d’un an

Très bien écrit … excitant au possible, hâte de découvrir la suite !

Merci

AnonymousAnonymeil y a plus d’un an

Un premier épisode excellent. J'attends impatiemment la suite.

Montre plus
Partagez cette Récit

LIRE LA SUITE DE CETTE SÉRIE

Histoires SIMILAIRES

En Bas de La Rue Ch. 01 Deux mères font face à des adolescents.
Les Directives du Directeur Un directeur de lycée soumet deux sœurs: une prof, une élève.
Chute d'une héritière Ch. 01 Madame nous allons vous asservir ici vous n'êtes plus rien.
Gang-bang d'une Femme Riche Une femme riche et mature subit un gang-bang contre son gré.,,
La Belle au Bois Dormant La véritable histoire.
Plus d'histoires