Professeures Bizutées - 6/8

Informations sur Récit
Une année scolaire de quatre professeures bizutées.
5.8k mots
4.7
9.5k
5

Partie 6 de la série de 8 pièces

Actualisé 06/13/2023
Créé 10/01/2022
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Cette histoire est complètement imaginaire, de l'ordre du fantasme. Les personnages sont fictifs et majeurs. Les violences faites aux femmes sont condamnées par l'auteur. Si vous n'aimez pas les situations de contrainte, d'humiliation, voire de viol, ne lisez pas.

QUELQUES PROTAGONISTES

/JULIE (anglais) la blonde

/AMELIE (français) la brune

/ELISABETH (physique) la grande

/JENNIFER (sport) = la rousse

/FRANCOIS professeur de latin

/DORON homme d'entretien

/THOMAS professeur d'histoire

/...

VENDREDI

/JULIE /DISCIPLINE-TEAM

Julie était allongée sur le ventre cette nuit là. Elle détestait cette position, bien plus que l'autre, allongée sur le dos. Elle ne pouvait pas voir ce qui pouvait arriver par la porte. De plus, sur le ventre, elle avait déjà subi deux terribles agressions : sodomisée sauvagement lors de la première, cravachée durement lors de la seconde. La punition, pour sa désobéissance devant ses parents, ne tarda pas à arriver.

Lorsqu'elle ouvrit les yeux, elle ne vit pas l'heure sur le réveil car il était caché par une masse masculine très sombre percée d'une bite bien tendue. L'homme, tout de noir vêtu, cagoule comprise, debout sur le côté du lit, s'astiquait la verge. Alors qu'elle allait crier sa surprise, une main lui ferma la bouche. Une masse s'affala sur son dos. Ils étaient trois.

Julie, nous sommes missionnés pour te punir car il parait que tu as désobéi... Notes que nous, on s'en fout, on veut juste de défoncer l'oignon! Il parait que tu as le trou du cul serré et on adore ça.

La panique envahit la victime à la perspective de subir à nouveau la terrible douleur anale. Elle essaya de se débattre pour échapper au poids qui couvrait son corps mais ce fut peine perdue. Des doigts fouillèrent sa raie et un pal s'y installa. L'horrible poussée commença. Il s'enfonçait par à-coups, peu profonds, diablement douloureux. Il finit par arriver au fond et commença alors un va-et-vient qui s'accrut à chaque mouvement. Elle réussit à crier au travers du bâillon qui lui tenait la bouche. Quand il éjacula, elle crut qu'elle allait s'évanouir mais hélas, son corps ne lui laissa pas d'autre choix que de subir en toute conscience.

Le suivant prit place entre les jambes toujours grandement écartées par les attaches au lit. Il tira vers lui l'arrière-train de Julie qui se trouva quasiment à genoux. A son tour, il la pénétra analement mais cette fois sans aucune précaution, la perforant d'un seul trait de cheval. Il se bougea beaucoup plus rapidement et plus violemment que le premier. L'insupportable douleur s'estompa toutefois et haletante, elle ressentit les giclées de foutre en ses entrailles.

Le dernier prit son temps. Pendant qu'il la labourait les deux autres se masturbaient devant son visage. Elle reçut en même temps trois doses de sperme.

Ils disparurent sans qu'elle eut pu voir un seul visage sous les cagoules noires. Elle se détacha et quitta le lit en sentant le foutre couler sur ses jambes. Elle referma la porte de l'appartement tout en laissant un jour passer comme elle en avait l'ordre. En larmes, elle prit connaissance des ordres écrits déposés sur sa table.

* Julie, tu viens de subir la première partie de ta punition pour ton mauvais comportement devant tes parents. Tu dois comprendre que, pour nous, peu importe qui te rend visite, la seule chose qui compte est ton obéissance.

* A partir de ce jour, tes tenues changent au profit de 3 éléments au maximum : gilet, jupe, souliers. Rien d'autre. Gilets en taille 34, talons de 12 cm minimum et les jupes que tu trouveras dans ta boite aux lettres (Tu dois aller les chercher entièrement nue).

* N'oublie pas tes autres obligations :

** En public, quand tu es assise, tu ne croises pas les jambes.

** En public, quand tu es assise, tes genoux sont écartés de la largeur de ta main.

** Chez toi, tes genoux toujours écartés d'au moins 30cm.

Il était déjà 4h30 du matin lorsqu'elle se décida à aller ouvrir sa boite aux lettres au rez-de-chaussée. A l'écoute du moindre bruit, entièrement nue, elle se pressa dans les escaliers et remonta sans croiser âme qui vive. Elle ouvrit un petit paquet qui contenait deux jupes écossaises hyper larges, une verte et une rouge, mais surtout hyper courtes! Elle n'allait pas tarder à comprendre que, si elle échappait aux bas et jarretelles vulgaires, elle tombait dans la honte de l'extrême mini sans culotte.

SAMEDI

/AMELIE /GABRIEL

Amélie passa un très mauvais week-end. Son mari l'avait vouée à un sort peu enviable et pour le moins risqué.

- Désormais, lui avait-il dit à son retour de classe la veille au soir, désormais, tu obéiras à Nicolas et Louis. Et puis aussi à n'importe qui. Ouais, c'est ça, à n'importe qui!

Elle, pourtant souvent dictatoriale avec lui, n'avait pas osé rétorquer quoi que ce soit. Il faut dire qu'il lui avait donné cette information alors qu'elle venait de traverser la rue entièrement nue au sortir de sa voiture. Dans cette état de faiblesse causé par l'absence de vêtements, elle s'était soumise.

- Interdiction de contester les ordres! Les mecs feront de toi ce qu'ils voudront, quand il le voudront et où ils le voudront. Et puis, je veux aussi que tu sois toujours à poil ici. Tu ne t'habilleras que si on t'en donne l'ordre. C'est compris?

Stupéfaite par cette nouvelle situation, elle fut incapable de se défendre des fautes que lui reprochait encore Gabriel qui voulait accentuer le sentiment de culpabilité d'Amélie.

- Mais... mon chéri... si les voisins viennent... madame DUCHEMIN... et puis...

- Tais-toi! Toujours à poil, j'ai dit. Rien à foutre des voisins. Sers-moi l'apéritif tout de suite et reste à quatre pattes devant mon fauteuil.

LUNDI (2ième semaine /AVRIL)

/JULIE /ELISABETH /AMELIE

Quand Julie se fut vêtue, le miroir lui renvoya une magnifique mais terrible image. La poitrine, comme à l'accoutumée, se tenait tendue sous le trop petit gilet avec les tétons nus qui semblaient vouloir percer la laine. Les jambes, débarrassées des bas, nues elles aussi, étaient allongées par des talons trop hauts pour être décemment portés pendant la journée. Mais le plus impudique était la mini-jupe. Devant, elle arrivait au ras de la moule désormais jamais couverte ; derrière, à cause de la cambrure des reins, c'est à peine si elle couvrait les fesses.

Ce jour-là, Toutes les trois, chacune à une heure différente, se rendirent en salle des professeurs prendre leurs instructions de la semaine. Toutes les trois trouvèrent la même énigme dans leur casier.

* Au vendeur de fumée, si atout tu joues, mot de passe tu auras.

* A journée des enfants, à heure du thé, au couloir de la mort,

* En avantages tu te présenteras.

* A demandeur, mot de passe tu fourniras.

* A erreur, punition, tu subiras.

Le soir même, Elisabeth se retira discrètement dans sa chambre pour téléphoner à Julie. Elle était terriblement inquiète à cause de cet incompréhensible message. Elle n'était pas la seule.

- Moi aussi, j'ai eu le message dans mon casier, je n'y comprends rien non plus, lui annonça Julie. C'est certainement un nouveau jeu vicieux inventé par ces salauds. On dirait qu'ils veulent qu'on obtienne un mot de passe qu'on devra leur donner.

- Oui en effet, leur donner mercredi, le jour de repos des enfants. A l'heure du thé... ce doit être 17h, poursuivit Elisabeth.

- Ce doit être cela madame RAMPLANT. Mais que veut dire la première phrase?

- Je ne sais pas, répondit-elle, la dernière phrase m'inquiète beaucoup! Quelle punition nous réservent-ils? Je vais téléphoner à Amélie. Peut-être a-t-elle reçu le même message, peut-être aura-t-elle une idée? Je vous rappelle tout à l'heure, Julie.

Et Elisabeth de téléphoner à Amélie.

- Bonsoir Amélie, est-ce que je peux vous parler, je ne vous dérange pas?

- Non, vous pouvez, mon mari n'est pas encore rentré. Vous tombez bien d'ailleurs, je voulais vous appeler. Avez-vous eu un papier avec des ordres dans votre casier?

- Oui, Julie aussi. Ce message nous est adressé à toutes trois. Nous pensons que nous devons donner un mot de passe, ce mercredi à 17h.

- D'accord avec vous, dit Amélie. Comme ils parlent de couloir, je suppose que nous devons nous présenter dans le couloir devant la salle des professeurs.

- Quelle bande d'ordures, s'exclama Elisabeth! Même pas dans la salle des profs mais devant, dans le couloir où n'importe qui peut passer!

- Oui et en plus "en avantages". A mon avis, nous devons présenter nos... nos qualités respectives... Vous voyez ce que je veux dire?

- Tout à fait, dit Elisabeth, pour moi, c'est... c'est mon sexe. Ils ont flashé sur... sur les poils. C'est horrible. J'ai du le montrer à des lycéens.

- Oh, je viens de comprendre, s'écria Amélie! Ils veulent que nous montrions nos attributs, nos atouts de femme pour obtenir un mot de passe. C'est cela un atout à jouer.

- Oui, vous avez raison, Amélie! Mais reste à savoir auprès de qui nous aurons un mot de passe.

Finalement, c'est Julie qui trouva le probable détenteur des mots de passe : ce devait être le débit de tabac situé en face du lycée qui répondait bien au critère : vendeur de fumée.

- C'est un sale coup de Thomas, déclara Elisabeth, lui seul est capable de tant de perversion. En plus, il fume. Il a du mijoter ça avec le patron du bar. Nous n'avons pas beaucoup de temps. Il nous faut obtenir les mots de passe demain dans la journée. Mercredi ce sera déjà trop tard si nous nous sommes trompées de lieu! Les filles, je vous propose de passer la première pour vérifier. Je laisserai mon manteau et l'ouvrirai dès que je trouverai le bon interlocuteur.

Elles acquiescèrent trop heureuses de ne pas essuyer les plâtres.

MARDI

/ELISABETH

Dès 7H00, la fière madame RAMPLANT entra dans la salle du bar-tabac. Deux hommes discutaient à une table devant une bière. "Déjà de l'alcool à cette heure matinale" pensa-t-elle. Une dame, la quarantaine, s'approcha de l'étagère des cigarettes.

- Que voulez-vous, demanda-t-elle sans grande amabilité?

- Et bien... un carnet de timbres d'abord et... eh... je dois avoir un... un mot de passe. Est-ce vous qui le donnez?

- Quoi donc, s'exclama la dame, un mot de passe! C'est un jeu, une caméra cachée? C'est quoi cette histoire?

- Oui, c'est cela, c'est un jeu. Avez- vous un mot de passe à me donner?

Pas du tout ma pauvre dame! Attendez, je demande... Messieurs, est-ce vous qui avez un mot de passe à donner à madame?

Ils se regardèrent, surpris, puis le plus jeune déclara :

- Ouais, faut voir, ça se pourrait bien. Quelle approche la dame, on va discuter d'abord.

Elisabeth vint se placer devant eux dos au comptoir.

Quand Thomas le prof d'histoire avait imaginé le jeu avec Xavier, le vacataire en maths, ce dernier lui avait demandé qui du bistrot donnerait un mot de passe et avec quelle explication. L'autre, hilare, avait répondu : "ce qui compte c'est qu'elles montrent, l'une son cul, l'autre sa chatte, la troisième ses nichons. Le mot de passe... on s'en fout!"

Ainsi les bizutes ne savaient pas que les mots de passe n'existaient pas tandis que les bizuteurs ne doutaient pas qu'un quidam profiterait bien de l'occasion.

- Alors, la ptit dame, on veut son mot de passe?

- Oui, s'il vous plaît, répondit-elle.

- D'accord mais... on a le gosier sec, vous comprenez... par ce temps.

- Tenez, répondit-elle en tendant la main, voici vingt euros. Vous pourrez boire plusieurs bières. Quel est le mot de passe?

- Ben, c'est-à-dire... on ne se souvient plus très bien... vingt euros... c'est bien mais c'est peu... C'est pour un jeu le mot de passe?

Elle n'avait pas oublié les indications des bizuteurs : atout à jouer. Prenant son courage à deux mains ainsi que les pans de son manteau, elle présenta sa chatte noire entourée des jarretelles et de la culotte noire juste en dessous, sur les cuisses.

- Oh bordel... La salope... Putain, t'es vachement fournie... Tu dois y tenir à ton mot de passe.

- S'il vous plaît, messieurs, je suis pressée. Quel est le mot de passe?

- Approche, qu'on touche un peu... viens tout près!

Elle obéit alors que, dans son dos, quelqu'un entrait acheter des cigarettes. Des doigts s'insinuèrent dans la foret noire jusqu'à pénétrer dans la grotte cachée, jusqu'à la fouiller brusquement. Cela dura quelques minutes qui parurent interminable à Elisabeth. La patronne du bistrot vint à son aide :

- Ca suffit là-bas. Y a des gamins qui viennent ici. Allez faire ça ailleurs!

- Le mot de passe, vite, implora la victime!

- Mouillée, répondit l'un d'eux, c'est ça, mouillée!

Elle se dégagea de la main enfouie, se couvrit, quitta en vitesse le bistrot sous l'œil colérique de la patronne. Elle avait son mot de passe. Elle était contente car elle éviterait sûrement une punition. Elle avertit aussitôt ses collègues de misère.

Amélie décida de ne pas aller chercher son mot de passe. Elle ne se voyait pas monter son postérieur en relevant son manteau au beau milieu du bistrot. "Passe encore d'ouvrir mon manteau mais le relever quand même pas, pensait-elle. Tant pis, ils me puniront. "

Julie décida d'aller chercher son mot de passe dès le mercredi matin, de bonne heure.

MERCREDI

JULIE /ELISABETH /AMELIE /THOMAS /XAVIER /FRAGOT

Quand Julie arriva au bistrot, la configuration des personnes était différente de celle qu'avait détaillée Elisabeth. Au bar, un jeune homme au lieu d'une femme ; deux tables occupées, chacune par un seul homme. A qui devait-elle s'adresser?

Elle choisit la table de gauche, simplement parce que le type buvait déjà de la bière.

- Bonjour... je... vous... vous avez un mot de passe pour moi?

- Ouais, ouais, répondit-il en levant les yeux sur le manteau fermé de Julie. C'est aussi pour le jeux? Comme votre copine hier?

- En effet. Donnez-moi le mot de passe, s'il vous plaît.

- Pop pop pop pas si vite la belle. Depuis hier, les prix ont monté, tu comprends?

Elle déposa deux billets de vingt euros sur la table.

- Ouais, c'est mieux mais... ta copine elle a payé en nature en plus. Toi aussi tu dois payer en nature. T'es aussi poilue qu'elle? Suis-moi si tu veux ton mot de passe.

Il lui empoigna le bras et l'entraina vers la porte de la cour. Au passage devant l'autre table, il dit à l'homme assis :

- Si tu veux te payer une chaudasse, c'est le moment, viens avec nous.

Ils arrivèrent dans une petite cour extérieure, encombrée de cartons, de cadavres de bouteilles, d'outils. Au bout, une porte devait donner dans la partie privée du bistrot. L'homme ne tarda pas à plaquer le plat des mains de Julie contre un mur, lui pousser le front contre les briques, lui écarter les cheville, lui tirer les pieds en arrière, comme le ferait un flic. Il passa ses mains sous les aisselles pour arriver au seins. Gêné par le gilet, il en attrapa les côtés et tira au point d'arracher tous les boutons. Ses mains se mirent à pétrir la grosse poitrine de Julie. Pendant ce temps, l'autre type s'était glissé accroupi entre le mur et la fille. Comme elle n'avait même pas la protection d'une culotte, il avait entrepris de fourrer ses doigts dans la chatte qui ne tarda pas à mouiller. Julie n'éprouvait aucun plaisir mais ne pouvait contrôler cette réaction physique. Le premier n'y allait pas de main morte! Il malaxait les seins sans ménagement, il tirait les tétons au point de la faire crier. Il la lâcha car il avait besoin de dégrafer et baisser son froc. Dès que ce fut fait, il écarta les fesses de Julie, porta son gland sur le petit trou et poussa. La pauvre, à nouveau, se fit enculer. Quand il fut bien au fond, au mépris des douleurs qu'il causait, il s'activa rudement en reprenant les seins dans ses mains. Comme en même temps l'autre s'était mis à lécher le clitoris, Julie eut un premier orgasme, puis un second quand elle sentit les sursaut spermatiques dans son fondement. Dès que l'enculeur se fut retiré, il se rhabilla pendant que l'autre prenait sa place.

- Le mot de passe... le mot de passe... s'il vous... s'il vous plaît!

- Enculée deux fois, tu diras enculée deux fois comme mot de passe.

En même temps, une deuxième queue pénétrait son anus.

A 16h45, elles s'étaient retrouvées dans une salle inoccupée. Julie, n'avait plus que deux boutons à son gilet qu'elle avait recousus en interclasse ; Les autres s'étaient perdus dans l'arrière-salle du bistrot.

- J'espère que nous ne nous sommes pas trompées, déclara Elisabeth, ni de jour, ni d'heure! "La journée des enfants" c'est forcément le mercredi, "l'heure du thé" c'est 5 heures. Quant au "couloir de la mort", ça ne peut être que le couloir de la salle des profs! Quelle bande de malades. Courage, les filles. Allons-y, il ne faudrait pas être en retard. Vous avez obtenu vos mots de passe, je suppose?

Seule Julie répondit. Elles arrivèrent devant la porte fermée de la salle des profs. Aucune n'osa ouvrir pour vérifier qui s'y trouvait de peur de faillir aux ordres donnés. Elisabeth se plaça la première, face à la porte, la jupe déboutonnée pour exposer sa chatte poilue. Puis Julie prit place, de face aussi, les seins complètement découverts.

- Amélie, ordonna Elisabeth, il va être 17h. Tournez le dos à la porte. Remontez votre manteau ou enlevez-le, mais, je vous en prie, ne trainez pas.

Amélie obéit en remontant son manteau jusqu'aux reins. Elles se turent et l'attente commença. A 17h10 personne ne s'était encore manifesté, pourtant elles entendaient du bruit dans le bureau. La peur et la honte augmentaient. Elles se trouvaient là, quasiment nues, ridicules dans leurs positions. Amélie qui regardait le mur devant son nez se mit à pleurer.

Ce n'est qu'à 17h20 que s'ouvrit la porte de la salle des profs. Sauf Amélie qui ne le vit point, elles furent extrêmement consternées de croiser Monsieur FRAGOT, le représentant des parents d'élèves. Lui fut tellement surpris qu'il ne sut dire un mot clair, il bafouilla, s'étrangla, laissa sa sueur brouiller la vue. C'est Elisabeth, qui avait son fils dans sa classe, qui expliqua.

- Excusez-nous monsieur FRAGOT, nous... nous sommes... nous sommes bizutées. Dans ce lycée, ce sont les professeures qui sont bizutées. Nous avons accepté pour protéger les élèves. Vous comprenez... c'est... c'est pour éviter aux élèves d'être bizutés. Ne nous jugez pas mal, s'il vous plaît. Ne prévenez personne, s'il vous plaît monsieur FRAGOT, c'est suffisamment difficile comme ça. C'est horrible.

Complètement dérouté par la situation, il ne répondit pas, s'épongea le front, sortit son téléphone. Les filles entendirent un déclic et comprirent qu'il venait de photographier la scène. Il partit, sans dire un mot.

C'est alors seulement que Thomas et Xavier arrivèrent, souriants.

- Alors mes belles, on montre ses atouts, on a bien obéi, tonitrua Thomas dans le couloir?.. Ouais, c'est bien... Tu vois Xavier, elles ont compris le message. Trois belles femelles obéissantes. J'bande déjà... Présentez-vous les filles! Toi commence, ordonna-t-il en donnant une claque sévère sur le cul d'Amélie qui fixait toujours le mur.

- Je... je suis bizute Gros Cul... à vos ordres, dit-elle en fondant en larmes.

Suivante!

- Moi, c'est... bizute Gros Nichons... à... à vos ordres, monsieur.

Et toi la grande?

- Je suis bizute Grosse Chatte, dit-elle en le fixant dans les yeux en un défit aussi dangereux qu'inutile.

Manque un bout, la grande!

- ... A vos ordres, cracha-t-elle.

- Tu manques d'humilité Grosse Chatte, ça mérite une punition. Fous-toi à poil, tout de suite, ici, maintenant!

Comme elle hésitait, il hurla son ordre dans le couloir résonnant : à poil! Elle ôta le dernier bouton de la jupe qui tomba à terre, baissa totalement sa culotte, retira son chemisier et son soutien-gorge qui ne faisait que soutenir les seins. Il ne lui restait que son porte-jarretelles, ses bas noirs et ses souliers. Il lui fit signe d'arrêter et demanda son mot de passe :

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