Professeures Bizutées - 6/8

BÊTA PUBLIQUE

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- Mon mot de passe est... Mouillée.

- Et toi Julie, quel est ton mot de passe?

- C'est... Enculée deux fois, dit-elle avec hésitation.

- Ah ouais, tu t'es fait enculer deux fois! Très bien. Toi, Amélie, ton mot de passe?

- Je... je ne l'ai pas eu. Excuse-moi, Thomas.

- Comment ça tu n'as pas ton mot de passe! C'est très grave, ma petite. Tu te rends compte, Xavier, cette jeune bizute n'a pas réussi son gage.

- Et bien, Amélie, sais-tu que par ta faute, tes copines vont être punies, répondit Xavier.

Elisabeth leva des yeux étonnés, faillit contester mais le méchant continua.

- Toi bizute Gros Cul, tu vas te tirer d'ici. Enlève ton manteau, mets le chemisier de RAMPLANT et fous le camp. A cause de toi, les deux autres poufiasses subiront ta punition.

Amélie ne se fit pas prier même si la perspective de sortir seulement vêtue du chemisier n'était pas réjouissante. Elle s'en trouva quand même couverte et après avoir reçu un regard furieux de la grande brune, fila sans demander son reste.

Les deux autres, encore plus inquiètes, furent invitées à entrer dans la salle des professeurs, à s'y mettre à quatre pattes et à attendre que ces messieurs ouvrent une bière et s'en délectent autant qu'au spectacle des deux croupes offertes.

- Julie, sers-toi de ta langue pour nettoyer et humidifier le trou du cul de RAMPLANT. Prépare-la pour qu'on l'encule à fond.

Les deux frémirent, la première écœurée par avance de devoir lécher, la seconde apeurée de subir une sodomie. Car pour toutes les deux, cela était nouveau. Julie vint se placer à quatre pattes derrière Elisabeth et commença sa besogne, avec encore plus de dégout qu'elle ne l'imaginait. A cette heure tardive de la journée, l'endroit poilu n'était guère bien odorant. Thomas profita de la position pour se placer derrière Julie et lui tripota la vulve qui s'humidifia presqu'aussitôt, au grand désespoir de la blonde qui ne parvenait jamais à bloquer ses sécrétions. Elle fut embrochée. Xavier repoussa la bouche de Julie, empoigna les hanches de la brune, posa son gland au bord de l'anus et commença sa poussée dans le fondement. Elle se mit à crier et se débattre mais elle ne pouvait pas résister. Pour la première fois de sa vie, Elisabeth se faisait enculer.

Les hommes éjaculèrent en même temps, se retirèrent sans égards, se servirent à boire pendant que les filles restaient à quatre pattes. Après trente minutes de récupération, ils reprirent leur activité en changeant les filles : Thomas encula Elisabeth, Xavier encula Julie. Elle crièrent leurs douleurs à l'unisson.

- Nous n'avons pas oublié la faute d'Amélie. C'est toi RAMPLANT qui exécutera sa punition. Mets le manteau d'Amélie.

Elle obéit, avec facilité car la ronde Amélie était assez large aux épaules, mais comme elle était nettement plus petite qu'Elisabeth, le manteau s'arrêtait au beau milieu des fesses et au beau milieu de la chatte noire. Julie observa sa copine avec des yeux agrandis. Mais où et quand devrait-elle porter cette abominable tenue?

JEUDI

AMELIE /ROBERT /ADAM /LUCAS

La veille au soir, Amélie était rentrée chez elle soulagée de n'avoir pas été punie pour faute de mot de passe. Comme chaque jour désormais, elle était sortie nue de sa voiture pour entrer chez elle au plus vite.

Ce matin là, elle n'avait pas cours. Aussi s'occupait-elle de sa maison. Elle avait entrepris de laver les sols, ce qu'elle faisait généralement tous les quinze jours. Gabriel son mari était parti bosser.

La sonnette aigüe de l'entrée la fit sursauter et s'inquiéter car elle était complètement nue comme l'exigeaient ses nouvelles règles de vie. Elle attendit un nouvel appel en espérant que la personne abandonne sa demande faute de réponse mais hélas, la sonnette retentit une seconde fois avec insistance, plus longtemps, plus pressante. Elle entrebâilla la porte pour y passer seulement la tête. Adam et Lucas, les deux copains de son mari, se tenaient là, décontractés, mains dans les poches et sourire aux lèvres. Elles les connaissait peu car ils étaient surtout copains de pêche. La perspective de se montrer nue devant eux l'affolait après qu'elle eut déjà à le faire devant Nicolas et Louis qui en avaient allègrement profité.

- Bonjour Amélie, comment vas-tu? Est-ce que ton cher époux Gabriel est là?

- Non, répondit-elle toujours cachée derrière la porte, il est parti à son travail.

- Zut, dit Louis, il devait me donner son nécessaire de pêche. Sais-tu s'il l'a préparé?

- Je ne sais pas. Reviens cet après-midi, il sera là pour te le donner.

- Ben, non, nous allons pêcher ce matin!

- Bon alors attendez là, répondit-elle, je vais voir s'il a sorti ses cannes.

Elle referma la porte sans les faire entrer, pressée de leur donner le matériel et les voir partir. Hélas pour elle, dans la remise, elle ne trouva rien qui ne fut pas rangé. Elle commençait à paniquer. Savaient-ils qu'elle devait toujours être nue chez elle? Avaient-ils été prévenus par Gabriel? Etaient-ils informés de son devoir d'obéissance?

Elle s'en retourna tremblante dans le hall d'entrée. Elle l'entrebâilla la porte une seconde fois pour constater avec effarement que son voisin de la maison d'en face discutait avec Nicolas et Louis.

Robert, tel était son nom, observait le manège de la fille depuis le premier jour où il l'avait vue courir à poil de sa voiture à sa maison. Retraité, il avait eu le temps de la pister tous les matins et tous les soirs pour se palucher aux mamelles et aux fesses tressautant sous les pas pressés. Ce matin-là, il avait tout de suite compris qu'il pourrait tirer un sérieux avantage à la visite des deux hommes en se joignant à eux. Quand il vit que la fille ne montrait que son visage, il comprit qu'elle devait être encore à poil.

- Bonjour mdame Amélie, dit-il. Vous n'avez pas cours ce matin, je ne vous ai pas vue partir?

- Je... je suis désolée, je n'ai rien trouvé, répondit-elle consciente que le voisin savait tout. Revenez cet après-midi, Gabriel sera là. Je suis occupée maintenant.

- Ben non mdame Amélie, rétorqua Robert, je suis certain que ces messieurs sauront choisir les bonnes cannes. Je vais les aider. Laissez-nous entrer.

Robert poussa la porte d'autorité. Tous trois restèrent immobiles et muets en découvrant les rondeurs nues sous une tête qui n'osait pas lever les yeux. Rober les sortit de la stupéfaction.

- Allez cherchez vos cannes, les jeunes, je m'occupe d'Amélie. Ne vous inquiétez pas, j'vais la soigner.

Ils disparurent vers la remise.

- Alors ma belle voisine, on montre son cul à tout le quartier? T'aime ça te promener à poil? Mets-toi à genoux sur le canapé... Ouais... Tes mains sur le dossier, je vais te défoncer la rondelle.

Dès qu'elle fut en position, il baissa son pantalon et son slip, écarta les larges globes du fessier et poussa son membre dans le trou du cul. Le canapé tournait le dos à la porte. Quand les deux autres garçons revinrent de la remise, ils se trouvèrent face à Amélie. Elle n'était pas à la fête. Son visage trahissait la brutalité du voisin. Il faut dire que Robert n'était qu'une brute, vulgaire et crade mais incroyablement monté. Son épouse avait fui ses assauts depuis bien longtemps aussi, la masturbation et les prostituées étaient devenues son lot.

- Eh, les jeunes, elle a un cul bien serré, j'vous le dit. Putain que c'est bon!

- Amélie, demanda Nicolas, que se passe-t-il? Pourquoi t'es à poil? Que se passe-t-il? Gabriel est au courant?

- C'est... c'est... aïe... Gabi, il veut... haaaaaaaa... je dois... obéir... obéir.

- Quoi! tu dois obéir? C'est ça?

- Oui... aïeeeee... pitié.... dois obéir.

- N'avez pas compris les jeunes... Elle doit obéir... Tiens prends ça dans ton cul, lança Robert avec les soubresauts de l'éjaculateur.

La pauvre fille mugit à nouveau, le violeur se retira, le suivant prit sa place.

Ce soir là, Amélie se fit enculer quatre fois car Robert recommença.

La pauvre, chez elle, s'était vue prise dans l'anus par Robert, Nicolas, Louis, Adam et Lucas ; tout cela avec l'accord et même la volonté de son mari Gabriel.

VENDREDI

/JULIE / ELISABETH / THOMAS /XAVIER

Thomas et Xavier regardaient l'entrée du lycée avec leurs paires de jumelle. Le jour se levait lentement. Dès le début des bizutage, ils avaient acheté des jumelles pour venir observer l'arrivée de leurs proies depuis le second étage du bâtiment. Ils adoraient ces horribles situations.

- Elle arrive, dit Thomas, regarde, elle passe la grille d'entrée.

- Ouais... Oh putain... putain, la meuf. Elle a bien obéi.

- Toi, n'arrête pas de sucer, ordonna Thomas à Julie!

La fille était à genoux devant lui, entièrement nue, la bite dans la bouche.

- Elle est encore bien gaulée pour son âge, la mère RAMPLANT, continua Xavier. Géniale l'idée du manteau de la petite grosse. On voit bien sa touffe quand elle marche. Putain, j'adore ça. Regarde, y a des mecs sous le préau... Ouais, ils la sifflent! Putain, la honte qu'elle se paye!

Ça n'était pas peu dire! La malheureuse Elisabeth vivait un des moments les plus atroces de sa vie. Elle gardait la tête droite, le regard fixe, comme si rien ne pouvait l'atteindre. Elle ne broncha pas aux sifflets des garçons du préau. Elle savait bien que ce n'était que le début d'une longue série de huées car elle avait quatre heures de cours à donner.

Julie, qui commençait à avoir très mal aux genoux, se fit emboucher par Xavier.

- Laisse-la moi avait-il demandé à son compère, j'vais cracher tout de suite.

Effectivement, à peine avait-elle ouvert la bouche qu'un jet de foutre arrosait sa gorge. Il lui tint fermement la tête. L'autre continua l'explication.

- C'est génial le manteau court avec des jarretelles noires... D'ici, on ne voit pas son cul, dommage... Je vais l'envoyer voir les trois mecs comme ça, elle nous tournera le dos... Continue à me sucer toi, je sens que ça va revenir.

- Allo... Allo... Bizute Grosse Chatte, c'est Thomas ici... Tu sais que t'es encore bien foutue pour tes 45 ans. Mes copains et moi, on apprécie beaucoup. On a bien vu ta foufoune quand tu es arrivée mais maintenant, on voudrait voir ton cul. Alors, tu vas te présenter tout de suite aux trois mecs sous le préau.

- Mais... mais Thomas, ce sont des élèves... Je ne peux pas...

- Ta gueule! Va te présenter comme une bizute immédiatement. Laisse ton téléphone ouvert que je t'entende.

Le proviseur entra alors dans la salle.

- Bonjour messieurs. Je vois que vous êtes déjà à l'œuvre. Très bien. Oh, mais c'est bizute gros nichons qui aspire ce matin. Dites-moi, Xavier, lorsque vous en aurez fini avec elle, vous me la passerez?

- Prenez-la tout de suite, cher proviseur, prenez-la. Je n'ai pas cours avant une heure, j'ai le temps. Julie, occupe-toi de la bite de monsieur le proviseur.

Et c'est ce qu'elle entreprit sans même avoir besoin de baisser le pantalon de l'homme car il l'avait précédée, tellement pressé de se faire sucer. Lui aussi observa la cour avec ses jumelles.

- Elle n'a pas oublié son panneau. Parfait. Excellente idée, messieurs, que ce panneau dans le dos. Double face en plus.. excellent. Ne trouvez-vous pas qu'il faudrait aussi mettre une pancarte aux autres bizutes?

Julie en eut une soubresaut qu'elle ne put cacher. Le proviseur s'en rendit compte. Il tenait ses jumelles d'une main et de l'autre la tête de la fille. Il poursuivit.

- Je sens qu'elles vont adorer. Celle-ci en frémit déjà...

Elisabeth maudit Amélie car si elle se trouvait dans cette situation monstrueuse, c'est bien parce que la petite brune n'avait pas obtenu son mot de passe. Elle se dirigea vers les trois garçons à sa gauche, le cœur battant follement. Ils furent surpris par le mouvement d'approche. S'il était facile de siffler à distance, la proximité avec une dame qui pouvait être leur mère, les intimidait. Ils se turent lorsqu'elle fut devant eux. Elle se tourna vers le premier, un petit encore boutonneux.

- Eh... Bonjour... Je suis... Je suis la bizute... Grosse Chatte Poilue.

A ce moment là, le proviseur, excité par cette humiliation, cracha son foutre sur le visage de Julie. Quant à Elisabeth, après une bouffée de l'oxygène frais du matin, elle se tourna vers le second puis le troisième pour se présenter de la même façon. Par chance pour elle, les jeunes hommes ne bronchèrent pas, en vérité trop surpris par l'événement. Elle repartit vers les classes et ils admirèrent la moitié de son cul présenté sous le trop court manteau.

Ses trois heures de prestation professorale furent un enfer. Pour la seconde fois, elle devait assurer ses cours la foufoune à l'air.

A la première heure, elle laissa les élèves entrer en restant assise au bureau. Mais, comme elle ne pouvait pas donner son cours cachée, il fallait bien qu'elle se lève et montre sa chatte noire. Elle parvenait alors difficilement à calmer la classe. Lorsqu'elle tournait le dos et montait son bras droit pour écrire au tableau, le chahut recommençait. Elle se rendit compte que quelques uns se masturbaient en se cachant à peine. Autant fatiguée que mortifiée, elle assura sa seconde heure de cours qui fut tout autant chahutée.

La troisième pour la journée fut la plus terrible. Les élèves entraient tandis qu'elle attendait assise à son bureau. Deux élèves, ceux-là même qui l'avaient contrainte à ouvrir les boutons de sa jupe, passèrent dans son dos entre le tableau et sa chaise, et retournèrent le panneau dans son dos pour y lire : "Mon nom de bizute est Grosse Chatte Poilue. Tout lecteur de ce côté peut me bizuter comme il le veut."

- On a lu, mdame, on a lu!

- S'il vous plait, chuchota-t-elle, pas ici, laissez-moi.

Ils rejoignirent leur place, sans répondre, tout souriant. Et le cours se déroula, comme les deux précédents. Elisabeth n'écrivit pas au tableau tant qu'elle n'eut pas réussi à remettre le panneau du côté moins dangereux ainsi formulé : "Je suis la troisième bizute du lycée. J'obéirai à tous mes maîtres d'intégration."

Les minutes s'écoulèrent sans que les deux gamins ne se manifestent. Mais peu avant le gong de fin, l'un d'eux déposa des ordres écrits sur le bureau d'Elisabeth.

* On a lu votre affiche alors obéissez.

* Debout, coudes sur votre bureau, pieds écartées.

* Tout de suite et ne bougez plus.

Non sans étonnement, les élèves virent la fière Elisabeth se lever, se pencher en avant, poser ses coudes sur le bureau, son livre devant elle. Elle poursuivit sa lecture sans plus oser regarder le public. Quand la sonnerie la fit tressauter, les élèves prirent le chemin entre le tableau et le bureau sur lequel Elisabeth avait les seins posés. Allègrement, chacun y alla de son commentaire, de sa claque, voire de ses doigts.

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Anonymous
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6 Commentaires
trouchardtrouchardil y a plus d’un an

De l'imagination sans limite, je suis pressé de lire la suite. Merci.

chdecrivainchdecrivainil y a plus d’un anAuteur

Merci pour les commentaires.

CyrfranCyrfranil y a plus d’un an

Cette série est excellente. L'idée de ne s'occuper que du dressage des professeures est géniale dans le contexte scolaire. On se prend à rêver à nos années lycées...

AnonymousAnonymeil y a plus d’un an

Trop hâte de lire la suite !!!

AnonymousAnonymeil y a plus d’un an

Une belle série, très perverse, très rude.

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