Professeures Bizutées - 7/8

BÊTA PUBLIQUE

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- Ne bougez pas! Vous n'avez pas de culotte en dessous?... Non vous n'en avez pas, ça se voit. Bon, je vais quand même faire quelque chose pour vous.

Elle se mit à espérer sans voir qu'il s'était adossé à son fauteuil, la main sur sa queue sortie du pantalon.

- Il est évident que vous n'avez pas pris l'habitude du bizutage, vous êtes encore en rébellion au lieu d'être en soumission. Ce n'est pas grave, c'est une question d'habitude. Je vais vous entrainer un peu. Commencez donc par humidifier votre minishort.

- Eh... co... comment, je ne comprends pas... humidifier?

- Oui humidifier, laissez un jet d'urine couler entre vos lèvres... j'attends.

Elle ne connaissait évidemment pas cette perversion du proviseur, aucune autre bizute ne s'était vantée de l'avoir déjà subie. Elle n'y arrivait pas tant elle était stupéfaite. Le silence emplit la pièce. Tous deux attendaient.

- Les élèves peuvent aussi vous bizuter?

- Eh... non!... oui... je crois... non c'est interdit... je... je ne sais pas.

- Pas clair tout ça, répondit le proviseur. Il faut que je vous fasse un panneau.

- C'est... c'est quoi, demanda-t-elle?

- Un écriteau, chère Jennifer, un écriteau sur lequel il est écrit... Voyons... pour vous... Côté pile...

* Moi RASPET, je suis la quatrième bizute du lycée. J'obéis à tous mes maîtres d'intégration.

- Ouais, c'est bien ça. Classique.... J'attends, ma salope, je veux voir l'urine teinter ton short... L'autre côté du panneau maintenant...

Jennifer n'y arrivait pas. L'impudence de la situation bloquait ses sécrétions. Elle sentait le proviseur derrière elle, craignait qu'il ne s'approche, l'entendait émettre des hypothèses de mise au ordres plus terrifiantes les unes que les autres. Finalement, il s'arrêta sur cette phrase qu'il énonça à voix haute :

* Si quelqu'un lit ce côté, je dois baisser mon short immédiatement devant lui et ne le remonter que quand j'en ai l'ordre.

- Tu as bien entendu RASPET, bien compris?

Elle le sentit arriver dans son dos, le souffle rapide de l'excitation. Elle vit la cordelette passer dessus sa tête jusqu'au cou et sentit le panneau dans son dos.

- Faisons une répétition RASPET. Si je tourne le panneau, que fais-tu?

Elle hésita, puis mortifiée, dégrafa son short et le baissa sur les cuisses. Il la félicita, non sans ironie et se mit à palper les fesses. Elle sentit la queue du proviseur se frotter contre elle. Brusquement, il la retourna et la força à se mettre à genoux. Elle dut engloutir le pieu jusqu'au fond de la gorge. Il s'activa rapidement et sans qu'elle eut pu se retirer, il cracha sa semence.

- Bizute RASPET, te voilà désormais marquée dans le dos. Remonte ton short et va donner ton premier cours de bizute. Nul doute que tes élèves apprécieront. J'espère pour toi qu'aucun d'eux n'aura l'idée de tourner ton panneau. N'oublie pas bizute : tu ne peux remonter ton short que si et quand tu en as l'ordre! Oh, rien que d'y penser, ça m'fait bander. Fous le camp avant que je t'encule.

Elle se précipita hors le bureau. Elle n'avait pas uriné.

DIMANCHE

ELISABETH RAMPLANT /PROVISEUR

La vision des trois filles accroupies en train de pisser à terre avait excité le proviseur au plus haut point. Pendant les jours qui avaient suivi l'événement, il n'avait toutefois pas osé le renouveler. Il lui restait encore un verni de morale qui avait estimé que c'eut été trop que de réitérer si vite.

Mais en ce dimanche après-midi, devant l'ennui de la télévision, il se disait qu'il était stupide de ne pas profiter au maximum de l'occasion. Plus jamais, il ne trouverait trois foufounes prêtes à se lâcher sur ordre. Aussi, c'est avec une grande excitation qu'il se décida-t-il à agir.

- Allo, répondit une voix masculine à son appel, vous désirez?

- Oui, bonjour cher monsieur, je suis le proviseur du lycée. Excusez-moi de vous déranger un dimanche, je sais que ça ne se fait pas, mais je dois discuter avec votre épouse, c'est important. Pourrais-je lui parler, je vous prie?

- Ne quittez pas, je vais la chercher... Elisa, c'est ainsi qu'il la nommait dans l'intimité, Elisa, ton proviseur veut te parler. Tu prends la communication?

Complètement surprise par cet appel téléphonique du proviseur, chez elle, un dimanche après-midi, elle prit le combiné en tremblant.

- Allo... Monsieur le proviseur? Mais... que... que voulez-vous?

- Bonjour Madame RAMPLANT, excusez-moi de vous déranger, je sais bien qu'il est dimanche mais, voyez-vous, il faut préparer votre cours de demain. Je suppose que vous avez un ordinateur chez vous?

- Eh... oui bien sûr, mais mes cours sont prêts, il n'y a rien à faire.

- Si, si, croyez-moi, il faut y travailler. Allez tout de suite devant votre ordinateur et mettez-le en fonction. Conservez votre téléphone à l'oreille. Où se trouve votre PC?

- Il est dans le bureau. J'y vais. Je préviens mon mari, un instant s'il vous plaît.

Il entendit Elisabeth signaler à son époux qu'elle devait travailler dans le bureau de la maison avec le proviseur puis après quelques bruits de fond de chaise et de clavier, il comprit qu'elle était en place.

- Comment êtes-vous vêtue Elisa? Vous permettez que je vous appelle Elisa? Nous sommes intimes maintenant... depuis que vous vous êtes soulagée devant moi. Quel spectacle! Alors, que portez-vous?

- J'ai un jogging mais vous... vous n'avez pas le droit. Pas ici, pas chez moi, pas devant mon mari!

- Tais-toi donc RAMPLANT. J'ai tous les droits sur la bizute que tu es. Tu préfères peut-être que je raconte à ton bien-aimé l'histoire de tes enfants? Où tes tenues de pute au lycée?... Non?... Alors ferme ta gueule et obéis. Commence par baisser ton froc et ta culotte sur tes chevilles!

- Mais... mais si mon mari vient... pas ça... s'il...

- Ta gueule! ça fait deux fois que tu râles, tu commences à me faire chier!

- Pardon, lança-t-elle aussitôt pour ne pas augmenter le courroux de l'homme. Je... j'ai baissé, c'est fait.

- Prends-toi en photo tout de suite et envoie-moi la photo par mail. J'veux être certain que tu obéis. Exécution!

Elle remonta ses vêtements pour aller chercher son smartphone, vérifia que son mari était devant la télévision, lui signala qu'elle devait effectivement travailler, qu'elle souhaitait ne pas être dérangée. Revenue à sa place, en la tenue requise, elle prit une photo qu'elle envoya au proviseur.

- C'est bien RAMPLANT. Mais tu aurais pu écarter tes fesses pour montrer ta grosse touffe! Aurais-tu oublié ton surnom de bizute? Quel est-il?

- Grosse... Grosse chatte poilue.

- Très bien, alors refais une photo correcte.

Elle obéit et envoya aussitôt une photo avec la crinière noire bien visible.

- C'est mieux, grosse chatte. Maintenant, tu vas humidifier ton siège avec ta pisse et tu m'envoies la photo.

Quelques instants plus tard, elle lui envoya la preuve de ses fesses humides et des gouttes tombées au sol, en implorant qu'il la laisse tranquille. C'est à ce moment que son mari entra dans le bureau. Il fut stupéfait de voir son épouse avec pantalon et culotte sur les chevilles et plus encore, lorsqu'il s'approcha, de voir l'urine couler à terre. Il cria presque, oubliant que le proviseur entendait la conversation.

- Mais que fais-tu donc? Qu'est ce que c'est que cette tenue? Ma parole, tu ne sais plus te contenir! Tu es malade?

- Tais-toi, je t'en prie, tais-toi, supplia-t-elle, j'ai eu une... une incontinence, oui c'est ça, excuse-moi. Je suis au téléphone. Laisse-moi.

Il quitta le bureau en maugréant sa colère, il faut dire que plus conventionnel que lui était impossible à trouver.

- Bien joué RAMPLANT, très bien le coup de l'incontinence! Je te laisse dans ta merde. N'oublie pas ta tenue au lycée. La pauvre Elisabeth se souvint de ses ordres :

* A partir de lundi, au lycée, toutes tes jupes ou robes seront fendues sur le devant, jusqu'à mi-cuisses. Bas et porte-jarretelles obligatoires. Culotte obligatoire mais descendue sous ton gros cul. Soutien-gorge obligatoire mais tes seins sortis au dessus des bonnets. Chemisiers de rigueur, pulls interdits. Manteau bas dès que tu es dans l'enceinte du lycée.

LUNDI (4ième semaine /AVRIL)

JULIE / TROIS...

Julie passa sa journée en devant tenir son gilet fermé avec ses mains. En effet, à 10H, elle avait déjà croisé trois fois le vicieux Thomas et trois fois elle avait du couper un bouton. Au troisième et dernier, il en avait profité pour malaxer la poitrine au beau milieu d'un couloir, en ignorant complètement deux élèves qui observaient la scène. Elle eut mal aux tétons qu'il étira durement.

Le plus difficile pour Julie fut de prononcer trois fois son horrible phrase de mise aux ordres :

- Moi la bizute Julie, je me mets à vos ordres monsieur Thomas, mon maître vénéré.

Ce soir là, à l'heure de se coucher, elle entrouvrit sa porte d'appartement, tel qu'elle en avait l'ordre. Elle s'allongea sur le ventre, attacha ses chevilles aux courtes chaînes des côtés du lit. C'était toujours un exercice de contorsionniste. Elle devait se mettre à genoux sur le lit, attacher une cheville, puis se dresser sur les genoux largement disjoints pour réussir à attacher l'autre cheville. Alors seulement, elle pouvait s'allonger, le ventre remonté par un traversin.

Ce faisant, elle n'entendit pas que l'on poussait grande ouverte la porte de l'appartement. C'est un craquement du parquet qui l'alerta mais hélas trop tard. Quand elle comprit qu'elle avait de la visite, elle sentit une main lui obturer la bouche pour l'empêcher de crier. Elle n'eut même pas le loisir de tenter une négociation car un bâillon de tissu, un mouchoir certainement, lui interdit toute phrase compréhensible. Une main puissante lui colla le cou sur le drap.

- Fouillez l'appart, ordonna un homme qu'elle trouva grand et noir. Il n'était pas masqué, il ne devait donc pas appartenir à Discipline-Team.

Elle entendit un brouhaha de meuble que l'on vide, de verres que l'on casse mais aussi la ceinture du type qui la tenait couchée. En une enjambée, il se trouva derrière, entre les jambes écartées. Deux mains fermes tirèrent les fesses.

- C'est pas tous les jours qu'on rencontre une blonde avec sa porte ouverte et son cul offert. C'est un jeu avec ton copain? Tu laisses ta portes ouverte et il vient t'enculer? On ne va pas l'attendre pour te donner ton compte.

Il cracha dans sa main et humidifia rapidement l'anneau de Julie. Elle ne tenta pas de se défendre, de serrer les fesses. C'était peine perdue, elle le savait. Au contraire, elle se prêta aux mouvements du corps de l'homme. Pour autant, l'anus ne se laissa pas pénétrer si facilement et elle hurla sa douleur dans le bâillon. Il se lâcha après l'avoir bien pistonnée. Un suivant prit la place. Sans ménagement, il accomplit le même acte. C'est le troisième qui fut le plus terrible. Il avait une grosse bite qui lui fit horriblement mal, même après avoir été élargie par les deux autres. Elle eut l'impression d'être ouverte en deux. Il la sodomisa longuement.

Quand ils partirent, sans un mot de pitié, elle s'effondra en larmes, furieuse d'en avoir à nouveau pris plein son cul.

MARDI (4ième semaine /AVRIL)

/JENNIFER RASPET /INCONNUS

Jennifer qui travaillait en temps partagé entre plusieurs lycée retrouva ce mardi le lycée de son bizutage. Elle était terrorisée même si, par chance, ses premiers courts s'étaient déroulés sans drame. Evidemment tous les élèves avaient noté sa tenue déplacée et son panneau dans le dos mais rien de dégradant ne s'était passé.

L'incident survint à l'interclasse de 15h. Après avoir vérifié que tous les élèves avaient bien quitté les vestiaires, elle alla au distributeur de café. La grande machine distribuait aussi des friandises et elle avait pris l'habitude de s'acheter une barre de chocolat chaque jour. Elle sortit des vestiaires pour arriver à la machine installée juste à côté, sous un petit préau. Il n'y avait personne.

Elle sortit sa monnaie de la petite poche du short, inséra une série de pièces dans l'appareil et choisit son produit. Mais il se coinça en descendant les mécaniques si bien qu'elle fut obligée de secouer la machine, taper sur les côtés, s'énerver sans plus prendre garde à son environnement.

C'est alors que deux mains arrivées sans bruit dans son dos lui collèrent la petite poitrine contre la vitre de l'appareil.

- Pas bouger, dit une voix inconnue!

La pression contre ses épaules se relâcha, les mains se retirèrent, on tourna le panneau dans son dos. Elle savait ce qu'il affichait, ce qu'elle devait faire, ce à quoi elle avait échappé jusqu'alors.

* Si quelqu'un lit ce côté, je dois baisser mon short immédiatement devant lui et ne le remonter que si j'en ai l'ordre.

Elle attendit quelques instants que la voix se manifeste mais seuls quelques oiseaux troublèrent le silence. Alors, autant furieuse qu'honteuse, elle baissa son minishort en jean jusqu'en dessous des fesses. Une respiration accélérée se fit entendre. Elle comprit que l'on se masturbait derrière elle. Rapidement quelques jets virent éclabousser son fessier de sportive. Un zip et une boucle de ceinture témoignèrent de la fin de l'acte.

- Pas bouger, reprit la voix. Comptez soixante secondes avant de partir. Commencez.

1... 2... 3... 4...

- Trop vite! Recommencez. Regardez votre montre.

- Je... je peux me rhabiller, osa-t-elle demander?

- Taisez-vous et comptez. Plus fort. Encore plus fort.

Et elle compta soixante en criant presque, sans se retourner. Ce fut affreusement long. Elle finit par arriver au bout et se retourna. Personne. Il n'y avait plus personne. Le porteur de la voix qui venait d'éjaculer sur ses fesses avait disparu sans qu'elle ait pu le voir.

Elle se pressa de rentrer dans les vestiaires, à l'abri. Elle s'essuya avec un mouchoir, remonta son short et repartit à ses cours. Chemin faisant, elle se ravisa pourtant. Elle n'avait pas eu l'ordre de remonter son short, elle devait donc le laisser baissé. "Je ne peux pas aller en cours les fesses nues, pas possible, personne ne m'a vue."

Bien que toujours très gênée même avec son vêtement remonté, elle commença le cours suivant. Un bonne vingtaine d'élèves pour un cours en salle. Chaque élève passait un parcours de gymnastique au sol qu'elle notait. Elle se tenait donc debout le long du parcours, un bloc-notes avec pince posé sur son bras gauche, un stylo en main droite et un sifflet pour lancer les candidats. Méticuleuse et ordonnée, Jennifer utilisait une fiche par élève qu'elle plaçait au dessus du bloc au fur et à mesure de l'examen.

Au quatrième élève, elle retira la fiche mécaniquement du paquet et au moment d'appeler l'examiné, elle y lut cette terrible sentence :

* Vous n'aviez pas ordre de remonter votre short. Pourtant vous vous êtes couverte. C'est une faute grave.

* Soit vous le baissez tout de suite, soit je vous dénonce aux professeurs bizuteurs.

Elle resta immobile, les yeux dans le vague, sans appeler l'élève suivant. Un instant de silence emplit le local comme si tous savaient qu'il allait se passer quelque chose. Elle se décida, le cœur en folie :

- Suivant!

Pendant que l'élève s'élançait, elle baissa son bloc-notes au niveau du bas-ventre. D'une main droite discrète, elle déboutonna son short. En le tirant de droite, de gauche, derrière, devant, en se contorsionnant, elle lui fit descendre la courbe des fesses. Et quelques élèves virent avec une érection croissante le vêtement de jean bleu apparaître sous le bloc-notes. Comme elle se rendit compte que certains voulaient la contourner pour venir voir derrière, elle s'appuya les fesses nues sur la barre horizontale.

Le cours continua ainsi. Elle sentait le short descendre lentement sur ses jambes aussi les écarta-t-elle pour éviter la chute définitive.

- Et mdame, lança un élève, vous perdez votre short!

- Occupez-vous de vos affaires, répondit-elle aussi rouge que honteuse que furieuse.

Heureusement, c'était sa dernière heure. Elle quitta le gymnase après les élèves et une fois hors l'établissement, elle remonta son vêtement.

VENDREDI (4ième semaine /AVRIL)

JULIE /INCONNUS /DORON /FRANCOIS

Depuis la dernière punition administrée par Discipline-Team, elle prenait soin de respecter scrupuleusement les ordres : gilets en taille 34, talons de 12 cm minimum et les deux mini-jupes livrées par Discipline-Team. En outre, en public, elle ne croisait pas les jambes et tenait les genoux écartés de la largeur d'une main. Chez elle, ses genoux étaient toujours ouverts d'au moins 30cm, pour marcher, manger, se laver et dormir.

Maintenant qu'elle ne portait plus de bas, elle vivait un peu mieux ses cours. Elle ne devait plus essayer de cacher ses jarretelles et jarretières. Hélas, sa jupe tellement courte lui laissait peu de mouvements aisés, surtout ne pas tourner rapidement sur elle-même, surtout ne pas courir, encore moins se baisser.

Elle n'avait pas de panonceau dans le dos, comme Elisabeth RAMPLANT et Jennifer RASPET. Aussi, se sentait-elle moins au risque des élèves. Nul ne viendrait lui tourner le panneau et ordonner l'impossible comme c'était arrivé à ses amies. Mais, c'était sans compter sur le vice inhérent à la gente masculine en face d'une proie.

Il était bientôt 15h. "Encore deux heures dans cet enfer et je suis en week-end" pensa-t-elle. Pour autant, la peur ne la quittait pas depuis que ce lundi elle s'était fait sodomiser par trois cambrioleurs. "Ces ordures reviendront certainement."

Elle arracha deux feuilles de papier, écarta les jambes et s'essuya la chatte. Debout, elle tira la chasse d'eau, remis sa jupe en place, uniquement sa jupe car elle n'avait plus droit aux culottes depuis longtemps maintenant.

Elle écouta le silence des toilettes mixtes pour s'assurer que personne n'y était et sortit se laver les mains. Elle en profita pour boire un peu d'eau au robinet. Cela lui permettait d'étancher sa soif en évitant les lieux publics tels que le distributeur de boissons ou le bureau des professeurs. Elle se baissa pour boire directement au robinet mais alors une main puissante lui bloqua la tête dans le lavabo.

- Non, laissez-moi, lâchez moi!

Deux mains s'acharnèrent en silence sur sa jupe qui en deux secondes fut baissée puis complètement retirée. Son gilet fut rapidement remonté dans le dos au dessus de sa tête pour venir s'attacher au robinet, perdant en même temps deux boutons. Le vêtement lui masqua ses agresseurs qui prirent aussitôt la fuite.

Quand elle eut réussi à détacher le gilet et se redresser, elle constata avec effarement qu'ils étaient partis avec la jupe. Elle se retrouvait avec uniquement ses souliers blancs à talons et son top qui n'avait plus qu'un seul bouton, les fesses complètement nues.

Son cœur battait à une vitesse folle! Comment allait-elle faire? Qui avait pris la jupe? Comment la récupérer? Comment en avoir une autre auprès de Discipline-Team qu'elle ne pouvait même pas joindre? Après quelques instants de folie, elle décida d'aller en salle des professeurs quérir un vêtement pour la fin de journée. Elle avait encore deux heures de cours à donner.

Elle entra dans la salle après que trois élèves l'eurent vue cavaler dans le couloir, admirant à son passage les fesses rebondies ballotées par les pas pressés. Il n'y avait personne à son grand soulagement. Elle ouvrit son casier pour prendre son manteau mais resta bouche bée constatant qu'il n'y était plus. Seules quelques bricoles trainaient là.

C'est alors que DORON et Thomas entrèrent, souriant devant le spectacle.

- Quel beau cul que voici, déclara le premier.

- Re...rendez-moi ma jupe, s'il vous plaît! J'ai encore cours. Je vous en prie... Moi la bizute Julie, je me mets à vos ordres monsieur DORON, mon maître vénéré... monsieur François, mon maître vénéré... S'il vous plaît, rendez-moi ma jupe.

Les deux hommes étaient déjà dans une belle érection. Julie tenait son gilet fermé avec sa main droite tandis que sa main gauche cachait sa touffe blonde éparse. DORON fit le tour pour admirer les fesses.