Professeures Bizutées - 7/8

- T'as quelque chose toi François, demanda-t-il? Moi j'ai rien, pas de jupe. J'ai bien peur qu'elle doive faire ses cours comme ça! Oh, ma pauvre Julie! Tu vas être obligée de montrer ton cul à tous les élèves! Y en a qui vont faire dans leur froc, c'est sûr. Même moi, je ne tiens plus!

Il avait sorti sa queue et se masturbait dans le dos de la fille. L'autre en avait fait de même en face d'elle. Ensemble, en même temps, il laissèrent leur foutre éclabousser la victime.

Julie se pressa dans les couloirs pour rejoindre sa classe. Il était déjà 15h15, elle avait un quart d'heure de retard. Il lui était impossible d'arriver avant les élèves et se cacher derrière le bureau. Elle devait entrer les fesses entièrement nues devant toute la classe.

Elle prit un grand bol d'oxygène et ouvrit la porte. Le silence se fit immédiatement lorsque les élèves découvrirent le bas du corps, puis un oouuuuu, long comme le souffle d'une personne multiplié par trente, la cloua sur place avant même qu'elle n'atteigne le bureau. Elle fit face aux voyeurs, retira sa main de devant la chatte, releva la tête. La belle blonde offrait aux regards de fines lèvres à peine cachées par les poils blonds clairsemées. Elle ne vit pas que deux garçons déjà s'épanchèrent dans leur pantalon. Elle déclara :

- Et bien oui, comme vous le voyez, je suis nue! Je n'ai pas le choix. Je suis obligée parce que je suis bizutée. Mesdemoiselles, j'espère que ça ne vous arrivera jamais!

Elle posa son sac sur le bureau et demanda aux élèves de sortir leurs cahiers d'exercices. Elle se retourna pour écrire l'exposé au tableau. Cette fois encore, devant le magnifique cul rebondi de Julie, quelques pantalons connurent l'humidité du sperme.

LUNDI (1ième semaine /MAI)

JULIE -- DISCIPLINE TEAM

Julie passa une bien mauvaise nuit. Des cauchemars hantèrent ses heures de sommeil.

La semaine précédente, elle avait exécuté ses deux heures de cours dans une inconcevable impudeur. Elle n'avait porté que ses souliers et son gilet qu'elle avait dû tenir fermé car il ne lui restait qu'un seul bouton. A l'évidence, les garçons avaient apprécié. Il faut dire que Julie exposait un incroyable cul, rond et rebondi, une œuvre d'art. Un élève avait osé lui demander d'ôter le gilet ; il avait reçu une note de zéro en guise de réponse.

Les cours terminés, elle était retournée en salle de professeurs pour récupérer sa jupe et son manteau. Elle n'y avait pas trouvé la jupe! Il ne lui en restait donc qu'une seule sur les deux jupes données par Discipline-Team.

Il était 7h lorsqu'elle sortit de la douche avec les jambes écartées. Elle avait pris l'habitude de toujours se tenir avec les jambes bien écartées comme elle en avait l'ordre, même sous la douche. Elle trouva un gilet dans son armoire et se mit en quête de la seconde jupette. Après avoir tout fouillé, elle se rendit à l'évidence qu'elle n'avait plus la seconde jupe donnée par Discipline-Team, elle avait purement et simplement disparue. "On me l'a volée, pensa-t-elle, des gens sont entrés ici pour me voler la jupe! Mais quand? Pendant la nuit quand ma porte est ouverte?"

Elle ne put se résoudre à partir et donner ses cours, nue sous son seul manteau comme le vivait Amélie depuis quelques temps déjà. Aussi se décida-t-elle à porter une petite jupe large, un peu plus longue que les deux disparues. Elle estima, à tort, que Discipline-Team ne pouvait pas la sanctionner car elle n'était pas responsable de la perte des jupes et en plus, elle ne pouvait pas les joindre pour en demander de nouvelles.

La journée se passa bien. La soirée se passa bien. Le début de nuit se passa bien.

Mais, à 4h, elle fut réveillé par un corps sur le sien et par une présence qu'elle ne connaissait hélas que trop : un sexe au bord de son anus.

Par petits allers-retours, il jouait à presser l'anneau sans l'ouvrir, juste au point de douleur du tuyau sec. Il murmura à l'oreille de Julie :

- Bonjour poulette. Nous sommes désolés mais il paraît que tu mérites une punition. Il parait que tu adores les punitions tant tu commets des fautes. On nous a dit que ton trou du cul est très sensible et que c'est par là qu'il faut te punir. Alors, ne nous en veux pas mais nous devons obéir aux ordres. Finalement, nous sommes comme toi, nous devons obéir aux ordres.

- Pitié, implora-t-elle le souffle court, pitié. Pas par là, trop mal. Je ne pouvais pas... ne pouvais pas mettre... jupe... aïeeee... volées... mes jupes sont volées... ohhhhhhhh... faut leur dire... pitié.... Ahhhhhhhhhhh.

La queue, jusqu'aux couilles, venait de pénétrer Julie.

- Vois-tu poulette, nous on les connait pas. Ils nous donnent des missions et c'est tout. Tu la sens bien ma bite? C'est vrai que t'es serrée. Putain, c'est bon.

Il s'activa de plus en plus vite, sans ménagement. Cela dura un bon moment avant qu'il ne lâche son foutre. Quand il se retira, elle ne put se dégager, d'abord parce que ses jambes étaient restées liées aux pieds du lit, ensuite parce qu'il lui bloquait les poignets. Un autre prit sa place. Et à son tour s'enfonça.

- Ton trou est un peu graissé, c'est mieux pour toi. Mais ma bite est plus grosse... ça c'est moins bien pour toi.

Elle eut droit à cinq enculades qui, elle le savait, lui feraient mal longtemps. Ils l'abandonnèrent sur le lit, les jambes toujours entravées, le foutre coulant sur ses poils blonds.

Après s'être détachée, lavée, soignée, elle ouvrit la lettre laissée sur la table.

* Julie,

* Nous ne comprenons pas pourquoi tu n'as pas porté les jupes que nous avions choisies pour toi. Avais-tu envie d'une punition?

* Peu importe pour nous, soit tu portes nos jupes, soit tu ne portes rien.

* Prends garde, la prochaine punition sera plus sévère.

* Signé Discipline-Team

La tête lui tournait : elle allait devoir faire cours comme Amélie, c'est-à-dire avec son manteau toujours sur elle.