Professeures Bizutées - 8/8

Informations sur Récit
Une année scolaire de quatre professeures bizutées.
7.2k mots
4.64
9k
3

Partie 8 de la série de 8 pièces

Actualisé 06/13/2023
Créé 10/01/2022
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Cette histoire est complètement imaginaire, de l'ordre du fantasme. Les personnages sont fictifs et majeurs. Les violences faites aux femmes sont condamnées par l'auteur. Si vous n'aimez pas les situations de contrainte, d'humiliation, voire de viol, ne lisez pas.

QUELQUES PROTAGONISTES

/JULIE (anglais) la blonde

/AMELIE (français) la brune

/ELISABETH (physique) la grande

/JENNIFER (sport) = la rousse

/FRANCOIS professeur de latin

/DORON homme d'entretien

/THOMAS professeur d'histoire

/...

Nous arrivons au terme de cette longue histoire. La fin d'année arrive pour les pauvres bizutes. Seront-elles enfin libérées?

MARDI

/FRANCOIS -- DORON

François et DORON discutaient en surveillant les entrées avec leurs jumelles. Depuis le second étage du bâtiment, ils avaient pris cette habitude de vérifier les tenues des bizutes et surtout de vérifier leur taux d'angoisse déjà visible sur les visages dès le matin. Le premier, qui pistait Amélie, dit à son compère :

- Ah, voici Amélie avec son éternel petit manteau. Vous ne croyez pas DORON que les manteaux ne sont plus de saison? Il leur faudrait des imperméables. Ce serait mieux pour elles, elles auraient moins chaud.

- Qu'elles aient chaud ou froid, je n'en moque, répondit DORON. Ce qui compte, c'est qu'elles obéissent et surtout qu'elles montrent leur cul. Mais si elles ont froid, ce sera mieux, leur tétons seront encore plus tendus.

- Ouais, c'est juste, pouffa François! Il leur faut de petits impers bien courts. Vous vous en occupez?

- D'accord, je peux m'en occuper mais je ne connais pas leur taille!

- On s'en fou, répondit François, ce n'est pas notre problème. Vous prenez une taille unique.

MERCREDI

/JULIE /AMELIE /ELISABETH /JENNIFER

/FRANCOIS professeur de latin

/DORON homme d'entretien

/THOMAS professeur d'histoire

/XAVIER vacataire en maths

/LE PROVISEUR

Sur le parking, Julie ouvrit son cartable. Elle était encore seule à cette heure matinale. Elle vérifia ses cours. Elle en profita pour essayer de se calmer. Pour venir au lycée, elle avait fait la route avec pour seuls vêtements, ses souliers, son gilet et son manteau.

Amélie arriva à son tour et se gara tout près.

- Courage ma copine, dit-elle, nous sommes en mai, puis ce sera juin et ce sera fini. Nous pourrons quitter cet enfer. J'ai déjà demandé ma mutation, je ne veux pas revenir ici l'année prochaine. J'ai aussi contacté un avocat pour divorcer. Mon mari est un lâche, il m'a abandonné aux mains de nos tortionnaires.

- Moi, je n'ai pas d'ami, répondit Julie, je suis seule hormis ma sœur et mes parents. Mais je ne peux pas leur parler des nos ennuis, ils deviendraient fous, ils iraient à la police et tout ça se terminerait en un énorme scandale. Je ne veux pas de scandale mais le prix à payer est élevé.

- Mais, demanda Amélie, tu gardes ton manteau pour tes cours?

- C'est-à-dire... je... je n'ai plus de jupes, ils me les ont volées.

- Mais, tu as bien d'autres jupes. Tu peux mettre autre chose.

- Non, répondit sèchement Julie, je ne peux pas. Je ne peux pas t'expliquer mais je ne peux pas mettre autre chose. Ni d'ailleurs d'autres gilets hélas!

Cela clôtura la discussion. Elles entrèrent courageusement dans l'établissement.

L'homme d'entretien du lycée n'avait pas voulu pas négliger sa mission : trouver des imperméables pour les bizutes. Après maintes recherches sur le web, il avait commandé quatre vêtements en vinyle noir, col profond en V, forme trench bien évasée sous la taille. Il n'avait pas voulu prendre une taille unique comme proposé par François. C'eut été trop facile pour les petites, avait-il pensé. Aussi, après avoir consulté les dossiers administratifs des enseignantes, il avait récupéré leurs mensurations et commandé systématiquement une taille en dessous. En plus, il s'était adjoint les services d'une couturière pour ajuster la longueur des impers.

Quand elles arrivèrent au couloir de la salle des professeurs, justement nommé « couloir de la mort » par les bizuteurs, Julie et Amélie aperçurent immédiatement Elisabeth et Jennifer, les mains sur la tête, le nez collé au mur qui faisait face à la porte, entièrement nues.

- Mettez-vous vite comme nous, indiqua l'autoritaire Elisabeth, ce sont nos ordres. Attendre comme ça. Quelle honte! Quelle bande d'ordures!

Sans perdre une seconde, les nouvelles prirent place.

Et l'attente commença. 3 minutes, 5 minutes, 10 minutes constata Amélie en consultant sa montre pour reposer ses bras. Le froid du couloir glaçait les fesses nues, tendait les tétons outre mesure. Dans le silence qu'elles n'osaient pas rompre, des claquements de pas arrivèrent de leur droite. Nulle ne tourna la tête. Était-ce un de leur maîtres, un élève?

Les pas se rapprochèrent jusque dans leur dos. Puis une claque et un "aïee" de surprise de Julie rompit le silence. Puis encore une autre claque. Puis encore et encore. Elle ne virent pas que c'était monsieur FRAGOT, le représentant des parents d'élèves, qui s'en donnait à cœur joie sur les culs alignés. François avait eu l'idée vicieuse d'offrir à FRAGOT ce moment de plaisir, en contrepartie d'appréciations favorables pour eux-mêmes les professeurs bizuteurs.

Il frappait de haut en bas pour les minces fesses de Jennifer ; de bas en haut pour le gros cul d'Amélie et en pleine chair pour les deux autres ; précipitamment ou bien en laissant le silence faire craindre la prochaine attaque. C'est Julie qui craqua par de chaudes larmes. Les trois autres résistèrent.

Le supplice dura un bon moment. Finalement, François sortit de la salle des professeurs pour arrêter le tortionnaire qui déclara :

- Vraiment un grand merci pour ce moment, déclara-t-il, un vrai régal. Mais putain que j'ai mal aux mains! J'adore les fesses de votre prof d'anglais, putain qu'elles sont bonnes! Comptez sur moi pour les appréciations des parents d'élèves. A bientôt cher ami et encore merci.

Stupéfaites qu'elles aient pu être données de la sorte à un parent, elles entrèrent dans le bureau en laissant à terre leurs manteaux. « Vous n'en aurez plus besoin » avait déclaré François.

La première à essayer son imper fut Amélie. En lissant le vêtement dans son dos en un mouvement réflexe très féminin, la petite grosse remarqua immédiatement que son vêtement, déjà court, l'était vraiment derrière. Elle sentit bien qu'il couvrait à peine son postérieur. Elle put fermer les quatre boutons et nouer la ceinture mais c'était vraiment serré.

La seconde choisie fut la grande et mince Jennifer. Son modèle lui collait au corps même si elle manquait de poitrine. Elle se rendit compte que ses jambes nues semblaient démesurées jusqu'aux souliers noirs aux talons de douze centimètres.

Julie prit son tour. Comme l'avait voulu DORON, c'est la grosse poitrine de la fille qui marquait la tenue, d'autant plus qu'elle avait dû ôter son gilet au grand plaisir des bizuteurs. La malheureuse se dit que Discipline-Team ne la punirait pas dans la mesure où elle se trouvait encore plus humiliée sans gilet. Les deux globes blancs évasaient le V profond du col. Elle eut des difficultés à croiser les pans de tissu pour nouer les boutons. En outre, la ceinture vint naturellement élargir le bas en serrant le ventre.

Enfin, ce fut le tour de la fière Elisabeth. Pour elle, DORON avait travaillé au millimètre. Il avait demandé à sa couturière d'allonger un peu le dos mais de régler le devant exactement à ses mesures. Le résultat était étonnant. Boutons fermée et ceinture serrée, l'imperméable arrivait exactement au milieu de sa touffe noire, ni complètement au dessus, ni complètement au dessous. « Quel coup génial » pensa-t-il.

Les filles durent se promener autour de la table pour que François, DORON et Xavier jugent du résultat. Ils y allèrent de leurs commentaires salaces et de leurs félicitations au grand couturier créateur de l'infamie. François reprit la direction des opérations.

- Les filles, voici désormais vos tenues au lycée, depuis l'entrée jusque la sortie. Attention, ça veut dire que vous devez arriver en tenue sur le parking et quitter le parking en tenue. Je ne peux pas être plus clair! Toi RAMPLANT, tu dois garder des bas noirs et tes porte-jarretelles, ça fait plus pute. Toi Julie, plus de gilet, faut que tes nichons se baladent. Toi la grande sauterelle rousse, fini les shorts et chemisiers, à poils sous ton imper. Reste mon gros cul d'Amélie. Pas de changement pour lui, il est déjà habitué.

Les hommes applaudirent la tirade du chef qui poursuivit.

- Notre ami DORON a parfaitement accompli sa mission. Quant à toi, Thomas, dis-nous ce que tu as prévu. Ensuite notre proviseur nous rejoindra pour sa partie car il est en réunion en ce moment.

Elisabeth eut un frisson d'horreur. La tenue ne leur suffirait donc pas!

- Et bien, voyez-vous messieurs, j'avais ordonné à Julie de couper un bouton de son gilet à chaque rencontre. Mais elle a connu des difficultés, des oublis, voire même des désobéissances. C'est inadmissible. J'ai donc pris la décision de la punir mais aussi ses collègues par solidarité.

D'un claquement de doigts, il fit venir Julie devant lui. Il commença par ôter la ceinture de l'imper et la poser sur une table. Puis, avec ses petits ciseaux de couture, il enleva les quatre boutons du vêtement. Naturellement, les pans s'ouvrirent sur la magnifique poitrine de la fille. Ensuite, il appela Jennifer dont le vêtement subit le même sort. Amélie s'approcha sans même qu'il ait besoin de l'appeler, elle avait abandonné toute résistance et elle était plus habituée à la complète nudité que ses collègues. Vint le tour d'Elisabeth qui osa rompre le silence des femmes :

- Vous êtes infâmes!

Les boutons sautent néanmoins.

- Voila votre nouvelle tenue mesdames. Comme je suis gentil, je vous accorde le droit de les tenir fermées mais uniquement avec vos mains ou bras, plus de ceinture, plus de boutons!

Quand le proviseur entra, il découvrit quatre beautés au garde-à-vous, tête basse, seins et sexe bien visibles entre les côtés des imperméables.

- Excellent! Vraiment excellent! Je pense que nos chers étudiants vont adorer plus encore venir en classe. Je ne vais plus remettre de panneau au cou, imaginez qu'un parent d'élèves tombe là-dessus? Ca ferait scandale. Ce n'est pas impossible, la fin d'année approche et on va les voir venir s'inquiéter pour leur progéniture.

LA FIN D'ANNEE

/JULIE /AMELIE /ELISABETH /JENNIFER

La dernière période de l'année scolaire fut une horreur pour les filles, un festival d'exhibition aux grands plaisirs de leurs collègues et élèves.

Comment maintenir fermé un imperméable trop petit, sans boutons ni ceinture? Comment écrire au tableau sans montrer son cul avec un vêtement au ras des fesses?

LA FETE DE FIN D'ANNEE

JULIE /AMELIE /JENNIFER /ELISABETH

/FRANCOIS /DORON /THOMAS /XAVIER /LE PROVISEUR

/LES ELEVES

Une note de service avait été déposée dans les casiers des professeurs, de tous les professeurs, bizutes ou pas.

* Mes chers collègues,

* Nous approchons de la fin d'une année riche en émotions lors de laquelle certains et certaines d'entre vous ont notoirement pu développer leurs compétences.

* Comme il ne saurait être de réussites qui se clôturassent sans fête, moi, proviseur de notre cher lycée, j'ai décidé d'organiser une cérémonie interne de remise des diplômes.

* Les professeures Julie, Amélie, Jennifer et Elisabeth, en raison de leur investissement remarquable pour la réussite de notre établissement et désormais pleinement des nôtres, seront chargées de remettre les certificats aux élèves ainsi que leurs récompenses.

* Les élèves et vous aussi mes chers collègues êtes convoqués pour 10h dans la salle S du rez-de-chaussée.

Les quatre bizutes furent cueillies à froid. Faute d'avoir été informées quelques jours plus tôt, il leur était impossible d'échapper à l'événement. Aucune ne donna de crédit à la directive du proviseur et pendant l'heure qu'elles durent patienter, l'angoisse eut un effet quasiment maladif.

Elles arrivèrent groupée au rendez-vous. Le proviseur faisait la circulation en laissant entrer les élèves dans la grande salle ainsi que les professeurs. Quant à elles quatre, il les poussa dans une autre petite pièce en face. Sur une table, elles trouvèrent quatre boites à chaussures fermées scotchées.

- Ce sont les récompenses pour nos meilleurs. Vous n'ouvrez pas maintenant, ordonna-t-il. Je préfère vous laisser la surprise de savoir quels sont les meilleurs élèves.

Quand le proviseur entra dans la grande salle S, le silence se fit très rapidement car le public était impatient de savoir quelles seraient les récompenses. Des bruits courraient mais, même les professeurs bizuteurs désormais bien repérés par les élèves, n'en disaient mot hormis quelques « Vous verrez, jeune homme, vous verrez bien ».

- Messieurs, lança le proviseur à voix forte, voici le traditionnel jour de remise des prix. Je tiens à vous féliciter, vous tous qui passez en classe supérieure ; à vous encourager vous tous qui devez redoubler.

Il poursuivit par un discours assez ennuyant sur l'histoire de l'établissement, les vertus de l'enseignement, les difficultés budgétaires et autres sujets dont les élèves n'avaient que faire. Ils attendaient avidement la suite. Le patron y arriva enfin.

- Cette année, j'ai décidé que nos professeures bizutes remettraient elles-mêmes les lots aux meilleurs d'entre vous.

/JENNIFER RASPET

Un hourra général se fit entendre jusque dans la petite pièce voisine. Les quatre victimes se regardèrent avec une anxiété redoublée vite interrompue par l'arrivée de FRANCOIS.

- RASPET, c'est toi qui passe la première. Prends ta boite et suis-moi.

Blanche comme la boite, Jennifer entra dans l'arène sous un nouvel hourra général. Elle rejoignit le proviseur en passant par l'allée centrale.

Elle arriva à l'estrade où étaient alignés les autres professeurs, debout, presqu'au garde-à-vous. A l'évidence, ils n'étaient pas fiers et avaient tendance à garder tête basse sauf évidemment les bizuteurs : FRANCOIS professeur de latin, DORON homme d'entretien, THOMAS professeur d'histoire, Xavier le vacataire. Le maître des lieux annonça :

- Le meilleur élève en sports, classe terminale est... Jack MERSHALCHK. Où est-il?... Approchez jeune homme et prenez donc le cadeau que vous fait votre professeure.

Un peu gêné, l'athlétique garçon rejoignit les enseignants et prit la boite des mains de Jennifer. Dans le silence général, il la posa sur le bureau, retira les scotchs et ouvrit. Un large sourire illumina son visage. Il retira d'abord une feuille A4 pliée en deux. Il lut à voix haute :

* Le jury a le plaisir de décerner le premier prix de gymnastique à Monsieur Jack MERSHALCHK. Il lui adresse toutes ses félicitations.

* En récompense de son excellent travail, l'élève pourra disposer de sa professeure comme il le voudra pendant toute cette journée. Tout lui est autorisé, rien ne lui est interdit mais tout doit se passer dans le cadre de la salle des sports.

Un hurlant « A poils » se fit entendre. L'élève leva un bras pour faire patienter le public. Il replongea son nez dans la boite et en sortit lentement une chaîne métallique blanche. Un « ouah » progressif accompagna son mouvement et se termina par un « hourra » lorsque le bout de la chaine laissa apparaitre un collier en métal blanc lui aussi. Alors, calmement, il s'approcha de la professeure, en fit le tour dans un silence qui se généralisa. Dès qu'il fut dans son dos, il tira l'imperméable jamais noué et le laissa tomber au sol. La chatte épilée de la rousse Jennifer et ses petits seins s'offrirent à tout le public.

Il entreprit de placer le collier au cou de Jennifer puis fier comme un paon l'emmena au bout de la salle en la tirant par la chaine. Pendant son passage dans l'allée du milieu, la fille reçut nombre de claques sur le cul.

Il resta debout au fond de la salle, curieux de voir la suite, laissant faire deux garçons venus derrière Jennifer pour la tripoter.

/JULIE

Julie entra avec sa boite sous le bras. Elle n'en menait pas large entièrement à poil sous son court imper. Elle sortit la fiche de la boite. Elle se racla la gorge et commença à lire :

* Le jury a le plaisir de décerner le premier prix d'anglais à Monsieur Mohamed RAMSA. Il lui adresse toutes ses félicitations.

* En récompense de son excellent travail, l'élève pourra disposer de sa professeure comme il le voudra pendant une cette journée.

Une série de retentissants « Allah Akbar » accompagnèrent un élève qui, depuis le côté gauche de la salle, rejoignit l'estrade. Le sieur RAMSA arrivait dans l'arène . Elle dut encore se racler la gorge pour oser dire la suite devant lui :

* Il lui est interdit de posséder ou faire posséder son professeur par la chatte. Seuls sa bouche et son... cul sont autorisés.

Julie avait pris cher! Un jour aux mains des arabes du bahut. Mentalement, elle essaya de les dénombrer mais en vain, son cerveau réagissait au vicieux garçon qui lui fit répéter cette phase à trois reprises, à voix de plus en plus forte. Puis, en prenant Julie par les épaules, il la présenta dos au public. En quelques mouvement, l'imper se trouva au sol à côté de celui de Jennifer. Les élèves marquèrent un houuu à la découverte du beau cul offert. Ils purent constater que RAMSA tripotait les gros seins de Julie et lorsqu'il l'obligea à faire face, ils constatèrent que les bouts avaient pris une ampleur étonnante.

Elle se vit mettre le même collier métallique que sa consœur puis embouchée d'un court gode en plastic noir de 5 centimètres de diamètre. L'élève lui mit la main au cul et poussa un doigt sans préavis.

- Avance belle professeure, tu vas bientôt goûter aux bites des arabes.

Ils rejoignirent Jennifer au fond de la salle. Elles étaient maintenant deux, debout juste derrière leurs nouveaux maîtres qui tenaient les laisses métalliques en main, tripotées par quelques élèves dans leur dos.

/AMELIE

Arriva le tour d'Amélie. La petite grosse avait été mise à poil avant même d'entrer dans la salle. Le public applaudit cette initiative.

En levant les yeux, elle put apercevoir ses copines au fond de la salle. Elle nota qu'un groupe d'élèves se trouvait derrière elles. Tremblante mais résignée, elle ouvrit son enveloppe.

* Le jury a le plaisir de décerner le premier prix de français à Monsieur Kevin JANSSENS. Il lui adresse toutes ses félicitations.

* En récompense de son excellent travail, l'élève pourra disposer de sa professeure pendant toute cette journée. Toutefois, seule la bouche de la professeure pourra être utilisée.

Elle trouva elle aussi son collier et sa chaîne que Kevin JANSSENS s'empressa de poser. Tirée par le fier garçon, elle rejoignit ses amies où immédiatement elle fut tripotée par de multiples mains.

/ELISABETH

La professeure de physique fut accueillie par quelques sifflets. Sa légendaire sévérité dans l'établissement avait laissé des traces même si les nombreuses humiliations avaient pu venger les étudiants.

Pour ouvrir son enveloppe, le proviseur exigea qu'elle fût, bien que debout, les jambes très écartées. Son imperméable s'ouvrit entièrement et présenta la grosse touffe noire de l'entre-jambes. Cela ne fit qu'accentuer l'horrible malaise de la professeure.

Elle ouvrit l'enveloppe et aussi de grands yeux à la découverte du texte qu'elle lut à voix haute :

* Le jury a le plaisir de décerner le premier prix de physique à Monsieur Raphaël, le fils de notre proviseur émérite . Il lui adresse toutes ses félicitations.

Elle ne put s'empêcher de tourner son regard vers le patron de l'établissement. Il se frottait les mains, à l'évidence très satisfait de la nomination de son fils.

- Continuez, dit-il, continuez RAMPLANT, lisez plus fort.

* En récompense de son excellent travail, l'élève pourra disposer de sa professeure pendant toute cette journée... au seul lieu... des toilettes.