Professeures Bizutées - 8/8

BÊTA PUBLIQUE

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Elle pensa que comme vilenie on ne pouvait faire mieux. Si le fils avait les mêmes fantasmes que son père, nul doute qu'elle aurait encore à uriner publiquement. Elle rejoignit ses copines après avoir traversé la longue allée centrale, le cou serti du collier d'acier blanc qui tranchait avec la touffe noire présentée car son imperméable avait rejoint les autres.

Les quatre bizutes se trouvaient maintenant alignées derrière leurs maîtres avec une vingtaines de garçons qui s'occupaient de leurs fesses. La journée sera longue, pensaient-elles.

La journée, la dernière de l'année fut effectivement bien longue. Les bizutes subirent mains outrages.

Cette journée en enfer clôtura leur année scolaire.

EPILOGUE

EPILOGUE JENNIFER RASPET

Jennifer accueillit la fin de l'année avec un immense soulagement. Au prix de ses hontes, elle avait pu préserver son amour pour son trop jeune amant. Elle n'avait pas été dénoncée et donc ne risquait rien au plan pénal du détournement de mineur.

Elle passa des vacances idylliques avec son fougueux amoureux. Discrètement, elle avait suivi la famille du gamin sur leur lieu de vacances à la mer. Tout aussi discrètement, ils s'étaient retrouvés tous les jours, tantôt à la plage, tantôt dans les dunes, plus souvent dans les dunes.

Le dernier jour des vacances, alors qu'elle rangeait le petit appartement loué pour l'occasion, elle reçut un appel téléphonique.

- Bonjour Jennifer, c'est Thomas... Oui, Thomas du lycée... Tu te souviens de moi?

Elle eu l'impression que ses cheveux se dressaient sur la tête, son estomac se contracta au point qu'elle dût s'assoir. Elle débita sa défense sur un ton aussi menaçant qu'anxieux.

- C'est fini maintenant, l'école est finie, le bizutage est fini. Fous-moi la paix. J'ai fait tout ce que vous avez voulu, ça suffit. Tu peux me dénoncer si tu veux mais sache que de mon côté, je vous dénoncerai pour attentat à la pudeur et viol. C'est vous qui risquez bien plus que moi.

- Halte au feu, répondit Thomas, il n'est plus question de bizutage, rassure-toi Jennifer. J'ai seulement une proposition à te faire, tu veux bien l'écouter?

- Oui mais vite, je n'ai pas beaucoup de temps.

- Jennifer, tu me manques. Je t'assure, tu me manques. J'ai adoré tes petits nichons de sportive, ton cul bien ferme, tes fesses musclées. Je suis sûr que tu es en manques aussi, en manque d'exhibition, en manque d'ordres, en manque de vulgarités. Ose dire que je me trompe.

Elle ne répondit pas car Thomas avait raison. Depuis la fin du calvaire, elle ne cessait de penser aux misères subies. Même si son jeune amant lui donnait beaucoup de plaisir, elle ressentait une nette insuffisance et n'atteignait l'orgasme qu'au souvenir de ses hontes. Il lui suffisait de se revoir alors qu'elle courait entièrement nue dans les couloirs du lycée pour exploser de plaisir. Cela rendait très fier son jeune copain qui croyait ses compétences à l'origine des éclatements de sa belle.

- Je constate que tu ne réponds pas, Jennifer RASPET, continua Thomas, tu as découvert un autre monde et c'est celui-là qui te fait jouir. Ne me mens pas, je le sais ; ne te mens pas à toi-même.

Au téléphone, il ne put voir l'acquiescement de la fille mais faute de défense, il fut convaincu qu'il avait visé juste.

- Ecoute donc ma proposition. Tu vis ta vie comme tu l'entends, y compris ton métier d'enseignante. Tu ne te donnes à mes perversions qu'une journée par semaine, de 6h du matin à minuit. Une seule journée à ton choix fixée la semaine précédente. Ce jour là et seulement ce jour là, tu obéis à mes ordres, tous mes ordres, qu'ils te plaisent ou non. Prends ton temps pour réfléchir, tu as toute la journée. Voici comment tu me donneras ta réponse.

- Quand Thomas eut raccroché, Jennifer, tourmentée mais cette fois par ses propres démons, termina de ranger et nettoyer l'appartement. Elle devait en rendre les clés pour 11h puis prendre la route pour rentrer chez elle.

Lorsque le représentant de l'agence immobilière se fit ouvrir la porte de l'appartement pour faire l'état des lieux, il se trouva devant une jolie rousse, couverte d'un soutien-gorge blanc et seulement d'un soutien-gorge blanc. La jeune femme avait une main pour cacher son sexe car elle n'avait pas de culotte. Tel avait été le premier ordre de Thomas : "Tu rendras les clés avec seulement un soutien-gorge." Elle invita l'homme à entrer et contrôler l'appartement. Elle le laissa faire sans jamais lui tourner le dos ; il prit son temps en essayant sans cesse de voir ses fesses.

C'est lui qui ferma la porte en la laissant dans le hall, sa valise à la main et toujours dans sa petite tenue.

- Vous êtes naturiste, osa-t-il demander?

- Eh, non. J'ai des ordres.

C'est seulement alors qu'il put admirer le cul de la fille qui s'engageait dans les escaliers en le laissant ébahi.

Il était déjà midi quand, au volant de sa mini, elle longea la voie ferrée à sa gauche tandis qu'à sa droite défilaient les dunes et plus loin la plage. Tous les jours des vacances, elle avait prit cette route pour retrouver son amant mais ce jour là, il ne l'attendait pas. Le soleil chauffait déjà bien fort à l'extérieur pourtant elle avait froid. "Mets ta clim au plus froid, ça fera darder tes tétons", avait-il ordonné.

Elle se gara au petit parking habituel. Retiré de la route d'une vingtaine de mètres, joliment entouré d'arbres, il offrait quatre ou cinq place à l'ombre. A cette heure, deux étaient prises. Comme elle ne vit aucun signe de vie autour, elle sortit de sa mini avec ses clés, son téléphone et son seul foulard en guise de vêtements. C'est ce qu'il avait ordonné.

* Tu rendras à ta dune habituelle, celle où tu baisais avec ton jeunot.

Elle marcha quelques minutes en zigzagant entre les dunes et les buissons, se blessa la plante d'un pied car elle n'avaient pas de chaussures. Arrivée au recoin amoureux de ses vacances, un petit vallon entre deux monticules sableux, elle posa son appareil téléphonique sur un bois mort et enclencha la caméra. Elle avança de quelques pas, se couvrit les yeux avec le foulard et se mit à quatre pattes en présentant son fin et long profil à l'appareil. Elle écarta les genoux et attendit.

* Tu te présenteras comme une chienne, pendant une heure exactement. Je me fous qu'il t'arrive quelque chose ou rien, je veux que tu obéisses. Je vérifierai avec le film de ton téléphone."

Elle attendit. Le soleil brulait son dos et ses fesses nues. Elle perdit rapidement la notion du temps, sauf qu'il paraissait terriblement long. Faute de pouvoir lire l'heure, elle avait programmé l'alarme son téléphone à 60 minutes. En raison de ses yeux masqués, son ouïe était aiguisée. Elle entendait le vent, le roulement de fond de la mer, le bruissement des feuilles. Tous les bruits prenaient des proportions comme ceux de la nuit en foret.

Elle sentit quelque chose de frais frotter l'intérieur de sa cuisse droite, remonter jusqu'au lèvres du pubis et même entre les fesses. Puis plus rien. Un oiseau dut se poser sur son dos car ses griffes lui firent très mal. Elle s'apercevra plus tard qu'il avait sérieusement lacéré la peau fragile.

Puis un courant d'air un peu plus vif bloqua son cœur inquiet. Du sable éclaboussa ses mains et ses jambes. Une première petite claque raisonna sur ses fesses. Elle ne bougea pas comme elle en avait eu l'ordre. Une seconde claque, un peu plus dure, arriva aussitôt. Puis une troisième. Puis, le ou les individus se lâchèrent faute de réactions de la fille et assénèrent plus de cinquante coups sur les fesses tendues de Jennifer. Dès après, des mains empoignèrent ses hanches et un sexe la pénétra doucement. Il s'activa dans le fourreau sensible à ce point qu'elle finit par avoir un orgasme en même temps que le violeur. A peine se fut-il retiré qu'un autre sexe l'encula sans ménagement. Elle n'eut aucun plaisir mais de la douleur. Lorsqu'il se retira, vidé, le téléphone sonna la fin de la récréation.

Elle prit le chemin du retour, toujours entièrement nue. Elle venait de signer son contrat d'aliénation à Thomas.

EPILOGUE Elisabeth RAMPLANT

Elisabeth avait obtenu son changement d'affectation vers un autre lycée. Elle en était soulagée même si elle appréhendait la rentrée. Mais pensait-elle "Ca ne pourra jamais être pire que ce que j'ai vécu." Elle se remettait lentement de ses turpitudes, reprenait confiance en elle, retrouvait sa naturelle assurance. Elle n'était plus tenue à des obligations vestimentaire aussi portait-elle sous-vêtements et collants. Les écarts de ses enfants avaient été corrigés ; elle ne craignait plus aucun chantage. Le classicisme de son mari la rassurait mais l'ennuyait en même temps.

Un jour du mois d'août, alors qu'elle effectuait ses achats en hypermarché, elle croisa le proviseur. Tous deux se figèrent de surprise. Séparés de deux ou trois mètres, sans un mot, ils se fixèrent, se jaugèrent. Elle sentait son cœur prendre un rythme de plus en plus élevé, les images de son récent passé traversaient ses souvenirs.

Arriva alors un étonnant événement qu'Elisabeth ne comprit pas tout de suite. Sans qu'elle y fut obligée, elle sentit l'urine couler doucement dans sa culotte. Elle n'arrivait pas à la retenir, le vêtement se gonfla, puis ses jambes laissèrent couler un filet jusqu'au sol. Rapidement, un flot assez abondant se répandit à ses pieds. Elle vécu alors des sentiments contradictoires : elle eut peur du proviseur et des passants ; elle eut honte mais elle eut aussi du plaisir.

L'incident les laissèrent tous deux sans voix. Il fit demi-tour et partit, elle laissa son caddie sur la flaque d'urine et quitta le magasin sans ses achats. Pour s'assoir dans sa voiture, elle dut mettre nu son bas-ventre pour ne pas mouiller le siège. Chez elle, elle remonta culotte et collants, devenus trempés et froids. Cela ne la gêna pas et elle les conserva longtemps avant de se changer.

Elisabeth fut perturbée par ce phénomène. Comment avait-elle pu se laisser aller ainsi? Pourquoi n'avait-elle pas stoppé l'écoulement urinaire? Pourquoi avait-elle ressenti du plaisir? Etait-elle malade?

Un phénomène identique se produisit quelques jours plus tard. Un soir, son mari rentra du travail dans une grande colère. Très énervé par des problèmes professionnels, il s'en prit à Elisabeth pour du linge pas encore repassé. Antérieurement à son épouvantable années scolaire, elle l'aurait rabroué vertement mais désormais, elle ne savait plus s'opposer. Devant son mari furieux, elle garda le silence, ses pieds s'écartèrent, son regard se fixa dans le vague et l'urine se mit à couler. Comme au magasin, lentement, chaudement, quelques gouttes d'abord puis un flot débordant les sous-vêtements, impossible à arrêter. Il la regarda tout à fait stupéfait, aphone. Il finit pas quitter la pièce avec un méchant

- Tu me nettoieras cette merde. Ma pauvre, il faut que tu te fasses soigner!

Seule, elle pressa une main dans la culotte mouillée et se frotta sauvagement la chatte. Elle eut un orgasme violent presque immédiatement.

Ce jour là, Elisabeth décida de laisser à jamais ses collants dans leur armoire et de ne porter que des bas. Quand son mari s'en rendit compte, elle argua de son problème urinaire, du risque d'incontinence imprévue, expliqua que son médecin ne pouvait pas traiter son cas. Il ne demanda guère plus d'explications et continua comme de coutume à l'honorer de temps en temps, sans folie, sans excès, sans risque, sans plaisir pour elle.

En fin d'année, elle avait pris ses marques dans un nouveau lycée. Tout se passait bien. Sa vie était redevenue tranquille, sereine ; sa vie conjugale était redevenue ennuyante. Elle n'eut qu'une seule autre incontinence le jour où un chauffeur l'houspilla pour une priorité qu'elle n'avait pas respectée. Pour ne pas abîmer les sièges, elle avait du sortir de sa voiture en catastrophe et uriner dans la rue. Cette fois là encore, elle eut un orgasme dès qu'elle eut pu se mettre une main dans la culotte trempée. Elle comprit que ses incontrôlables fuites étaient causée par une agression, une contrainte, une peur comme celles qu'elle avait connues l'année précédente.

Un matin, chemin faisant vers son coiffeur, elle entra dans un bistrot. Elle prit place dans un box constitué d'une table et deux banquettes qui se faisaient face. Elle commanda un café et un cognac. Elle but ce dernier en une seule gorgée et en redemanda immédiatement un second qu'elle avala aussi rapidement sous l'œil surpris du barman. L'alcool auquel elle n'était pas habitué, lui donna le courage et l'inconséquence dont elle avait besoin. Elle se rendit aux toilettes, sortit son téléphone de son sac à main, composa un numéro :

- Allo? Bonjour, je suis Elisabeth RAMPLANT. Je suppose que vous vous souvenez de moi. J'ai quelque chose à vous dire, avez-vous quelques instants?

- Bien sûr, je vous écoute.

- Je... je voudrais redevenir votre... je voudrais me mettre à vos ordres... Moi, Elisabeth Grosse... Chatte... Je me mets à vos ordres, monsieur. Vous pouvez faire... faire de moi... ce que vous voulez... Je vous obéirai, quelque soit le jour, l'heure... ou l'ordre.

Ce disant, la peur arriva aussi vite que les mots. Devant le lavabo des toilettes, elle écarta les jambes.

- Etes-vous sûre de vous Elisabeth RAMPLANT?

- Oui... oui monsieur, je suis... sûre.

- Alors écoute bien ceci, Grosse Chatte Poilue. Tu vas commencer par demander une réaffectation dans mon lycée. Plus question de bizutage cette fois mais je te veux à porter de mains tous les jours. Désormais, tu porteras des bas et des grandes culottes bien collées à ta touffe. Je veux que ta culotte soit toujours mouillée de ta pisse.

Le flot commença à s'écouler bruyamment sur le carrelage peu propre des toilettes.

- Quand je dis toujours, ça veut dire du matin au soir, tous les jours, dimanches compris. Tu as bien compris? Demain, dans la matinée, viens chercher la suite de tes ordres à mon bureau.

Elle porta une main dans sa culotte, oubliant complètement qu'elle pourrait être surprise. Un violent orgasme la fit trembler de tout le corps et bredouiller un acquiescement.

Elisabeth RAMPLANT, étourdie de plaisir et d'alcool, reprit sa place à la table du café. Elle dut remonter sa jupe pour éviter qu'elle ne soit tâchée par la culotte détrempée si bien qu'elle offrit à un client la rare vision de jarretelles sur une peau blanche. Elle venait de se donner à nouveau à monsieur le proviseur du lycée, le fanatique de l'ondinisme. Elle savait qu'elle allait subir maintes hontes et cette perspective l'obligea à serrer à nouveau les jambes pour éviter que son plaisir ne s'écoule à terre une fois encore.

EPILOGUE AMELIE

Amélie n'eut guère de repos après la fin des cours. Bien sûr, elle échappait à la nudité au lycée, aux allers-retours entièrement déshabillée depuis sa maison jusqu'à son véhicule mais, même pendant les vacances scolaires, son mari Gabriel avait exigé qu'elle restât toujours à poil chez elle. Nicolas et Louis, les amis de Gabriel, exploitèrent l'occasion. Elle dut les recevoir trois fois courant juillet et céder à leurs débords. De temps à autres, Gabriel jouissait de la soumise mais finalement pas tant que ça et pour le peu qu'il la prenait, elle restait de marbre pour bien lui montrer sa haine. Cette sombre histoire de bizutage avait tué leur couple.

Finalement, seul son voisin d'en face, sut combler le vide existentiel qu'elle ressentait depuis la fin des classes. Pourtant, ce voisin, prénommé Robert, avait tout pour générer du dégout : sale la majeure partie du temps, libidineux, vulgaire. Il était doté d'une impressionnante queue qu'Amélie avait déjà prise dans l'anus, non sans mal.

Le premier dimanche matin d'août, alors que Gabriel venait de partir pour son hebdomadaire parcours de pêche à la ligne, elle reçut un appel téléphonique de son voisin.

- Bonjour, ma pute. Je t'attends chez moi tout de suite. Viens à poils bien sûr.

Elle traversa la rue en courant après avoir vérifié que personne ne s'y trouvait et sonna à la porte du voisin. Il la fit entrer rapidement et avant même qu'elle ne prononça un mot, il l'emboucha d'un bâillon en forme de sexe. Gros et long, il déformait la bouche. Ensuite, il la ceintura d'un large serre-taille de cuir, bouclé dans le dos, muni de poignets sur les côtés. Enfin, elle eut à chausser des escarpins démesurés.

- D'abord, tu m'apportes du café, ma belle et après tu fais le ménage de la cuisine.

- Quand elle apporta la tasse de café, elle trouva Robert affalé dans un vieux fauteuil, la queue entre les mains. Amélie ouvrit des yeux de surprise car elle avait surtout senti l'engin dans son fondement mais ne l'avait pas vraiment vu. Elle comprit alors pourquoi elle avait eu si mal.

- Après ton travail, je te défoncerai le trou du cul, Amélie. Désormais, ce sera comme ça tous les dimanches : des enculades... à sec.

Amélie vint tous les dimanches du mois d'août assurer le ménage et se faire introduire par la queue de Robert. Ensuite, il ordonna qu'elle vienne le samedi ; c'était le jour de la fellation, avait-il déclaré. Elle y prit goût, d'autant plus que Robert pouvait renouveler ses éjaculations plusieurs fois. Vint la journée du mercredi. Il disait : "c'est la journée de repos" et elle se faisait prendre par la chatte à de nombreuses reprises au long des heures de présence et de service.

Avant même la fin du mois, elle demanda à Robert :

- Monsieur Robert, j'ai quelque chose à vous demander... Je voudrais rester avec vous tout le temps, tous les jours, toutes les nuits. Je ne veux plus rentrer chez moi. Vous ferez de moi ce que vous voulez, tout ce que vous voulez, j'obéirai. La seule chose que j'exige est de pouvoir continuer normalement mon métier d'enseignante.

Robert accepta. Amélie retourna une seule fois chez elle chercher son nécessaire de cours, ses bouquins, ses cahiers et tenues. Gabriel reçut une demande de divorce en guise de formule d'adieu. Nicolas et Louis profitèrent encore une fois mais en payant son nouveau maître.

Elle s'engagea dans sa nouvelle vie faite d'une sexualité aussi démesurée que la queue de Robert.

EPILOGUE JULIE

Ils arrivèrent, toujours aussi silencieux, si bien que, comme à chaque fois, c'est le poids d'un corps sur son dos qui la réveilla et c'est le pieu au bord du trou étroit qui l'affola. Elle constata qu'ils étaient trois, un sur son dos et un de chaque côté du lit qui lui tenait les bras. Elle se demanda ce qu'elle avait commis de mal qui justifiait une nouvelle punition.

- Bonjour la blonde, nous sommes contents de retrouver ton beau cul bien serré, mais t'inquiète, on va l'élargir. Bonne nouvelle pour toi, on nous a demandé d'être doux, progressifs, alors, on a bien graissé nos queues.

L'individu la tira en arrière jusqu'à ce qu'elle se trouve à genoux très écartés car ses chevilles étaient encore attachées à chaque bord du lit. Il appuya sur le dos pour la cambrer et commença sa poussée en avant. Bien sûr, la douleur d'écartèlement fut bien présente mais moindre qu'à l'accoutumée et le pal huilé s'enfonça facilement jusqu'au fond. En même temps, une main s'occupa de sa chatte. Il n'avait pas encore éjaculé qu'elle eut un orgasme fulgurant. C'était la première fois qu'on la faisait jouir dans ces circonstances. Quand le violeur lâcha son foutre, elle jouit à nouveau. Les deux autres à leur tour vinrent l'enculer et la faire jouir. Jamais elle n'avait connu tant d'orgasmes. Ils l'abandonnèrent, épuisée sur lit, en sueur, pleine de foutre.

Lorsqu'elle fut en état de se lever, elle trouva une nouvelle lettre de ses maîtres-chanteurs.

* Bonjour Julie,

* Nous sommes venus te dire adieu car désormais, tu es libre.

* Libre de t'habiller comme tu veux, libre de te tenir comme tu veux, libre de toutes les contraintes que nous t'avons imposées. Plus jamais nous n'interviendrons dans ta vie.

* Nous te souhaitons de savoir profiter de ce que tu as vécu.