René et ses Proies 08

Informations sur Récit
Leila découvre que Force est à la Loi !
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Récit n'a pas de balises

Partie 8 de la série de 8 pièces

Actualisé 02/13/2024
Créé 08/25/2022
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Où Leila va apprendre que l'on se doit de respecter des agents des Forces de l'Ordre dans l'exercice de leurs fonctions!

Où Pippa (et donc Kevin) vont apprendre qu'un grand week-end en Normandie offert par Monsieur René peut cacher quelques petites surprises!

(Est-il utile de rappeler ici que cette histoire purement imaginaire, fruit littéraire et fantasmatique, n'encourage aucune des pratiques non pleinement consentantes et consenties?)

MS

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UN COMMISSARIAT TRÈS ACCUEILLANT!

Leila en était réduite à somnoler vaguement sur la banquette en ciment qui lui tuait le dos et meurtrissait ses fesses, se questionnant sans cesse sur le pourquoi de son arrestation.

Elle avait crié, appelé à l'aide, supplié et même insulté les policier qui passaient devant sa cellule. Rien n'y avait fait. Ils étaient tous restés sourds à ses suppliques, la gratifiant au mieux de sourires franchement moqueurs voire dédaigneux quand ils jetaient un oeil dans son réduit. Elle se morfondait entre ses quatre murs depuis plus de vingt-quatre heures au moins, deux jours peut-être, ayant complètement perdu ses points de repères temporels, sans savoir le pourquoi ni le comment de son arrestation.

Ses affaires personnelles confisquées, sans montre, ni bijoux, ni mobile évidemment, ses Nike hors de prix remplacées par des sandales en tissu calamiteuses dignes des hôpitaux pour pauvres qu'elle ne fréquentait jamais. Tout ce qui pouvait ressembler de près ou de loin à une ceinture ou à une chaîne lui avait été enlevé. Ils lui avaient tout juste laissés sa jupe et son chemisier et ses sous-vêtements évidemment après une palpation de son corps plus qu'appuyée.

Pas un mot, pas une explication depuis qu'elle avait été poussée manu militari dans sa cellule malgré ses protestations véhémentes. Des plateaux de bouffes dégueulasses et trop salés s'étaient succédés trois ou quatre fois, des bouteilles d'eaux minérales déjà ouvertes et aux goûts douteux, de plus en plus marqués, n'étanchaient pas sa soif.

Salauds de flics, ils semblaient bien se délecter de sa situation! Quand elle aurait enfin pu contacter l'avocat de sa famille et que ses parents allaient être au courant de sa situation, la bande d'abrutis en uniformes allaient passer un sale quart-d'heure, c'était clair.

Leila se promettait de leur faire payer tout cela. Le temps sans fin perdu dans cette pièce où la lumière ne s'éteignait jamais, les cris et les beuglantes de ses voisins troublant régulièrement un calme inexistant, les plateaux repas infects, les bouteilles d'eaux et tout le reste, ils allaient morfler ces enfoirés.

Son père contacterait évidemment l'ambassade de leur pays d'origine où il avait gardé des contacts haut placés moyennant quelques donations bienvenues. Ces porcs sentiraient passer l'addition quant un Ministre appelerait le Quai d'Orsay pour demander des explications sur son cas. Ils comprendraient alors qu'elle était de la race des seigneurs et pas de celle des esclaves!

Ces pensées vagabondaient dans son esprit comme des nuages de haine portant l'orage de sa revanche future lorsque la porte s'ouvrit sur une femme en uniforme assez rondouillarde, de petite taille et au sourire franchement pervers. Deux autres policier l'accompagnaient et elle leur cria plus qu'elle ne leur demanda en regardant à peine Leila :

- Allez les gars, relevez-moi cette pute! L'heure de la fouille de contrôle avec "Maman Hélène" est arrivée. On ne voudrait pas aller voir le Commissaire avec de vilaines choses en soit quand même!

Un rire malsain sortit simultanément des bouches des deux hommes comme s'ils attendaient ce moment depuis longtemps. Les rêves de revanches de Leila s'évaporèrent immédiatement. Le soupçon de plus en plus vif et tranchant que quelque chose d'anormal se passait lui étreignit son esprit comme deux mains glacées se serrant par surprise autour de sa gorge.

Leila se mit à frissonner. Pour la première fois depuis très longtemps, elle commença à avoir peur et pas qu'un peu.

Quand elle fut saisie rudement par les deux agents et mise debout face à celle qu'elle supposa être "Maman Hélène", elle ne put s'empêcher de voir la langue de la fliquette sortir de sa bouche, caresser ses deux grosses lèvres boudinées et les humecter d'une bonne dose de salive comme si son appétit venait d'être éveillé...

- Allez ma belle! Soit tu te fous à poil volontairement, soit mes deux collègues s'en occupent! Tu as le choix, mais si j'étais toi...

Leila commença à crier :

- Putain, mais c'est quoi ici?! Depuis combien de... Argh!

Sa gorge expulsa un cri qui étouffa dans l'oeuf le reste de ses paroles. Les deux hommes venaient de lui tordre ses bras à lui en faire exploser ses épaules. Cette double douleur était atroce.

Hélène la fixait maintenant tout sourire perdu. Leila ne vit rien arriver, mais une gifle monumentale adressée par la rondouillette la secoua et l'étourdit presque pour le compte. Hélène la regarda ensuite intensément, se rapprocha de son visage et lui murmura doucement :

- Ma belle, je crois que l'on ne s'est pas bien comprises. À partir de maintenant, tu fermes ta gueule et tu obéis! Je t'avais proposé un choix honnête, tu vas prendre ta première leçon. Allez les mecs, foutez-moi cette imbécile à poil et fissa!

Leila se mit de nouveau à crier et essaya de toutes ses forces de se débattre, cela n'arrangea rien. Elle fut projetée contre un mur de la cellule qu'elle heurta avec force. Le choc fut plus que rude et pendant qu'un policier la tenait, l'autre s'attaqua à ses vêtements avec rudesse et précision. Saisi par le col, son chemisier fut arraché sans ménagement et Leila entendit les boutons tomber au sol sous la pression.

Le flic aurait pu détacher son soutien-gorge dans les règles, mais Leila se figea comprenant que la sensation de froid au milieu de son dos était celle d'un couteau qui tranchait la soie.

- Un nouveau trophée pour toi Hélène s'écria son tortionnaire déshabilleur!

L'homme tendit le morceau de tissu à sa collègue féminine qui le porta aussitôt à son visage, respirant très fort dans les deux bonnets encore imprégnés de la chaleur et de l'odeur de Leila.

Le flic passa ensuite ses mains sur les épaules nues de sa prisonnière comme s'il cherchait un vêtement invisible puis il les insinua entre son corps et le mur contre lequel Leila était appuyée. Ce salaud empauma directement ses deux seins et commença à les malaxer rudement.

La chaleur de ses mains contrastait avec la fraicheur du mur et les tétons de Leila se durcirent aussitôt. Les mains raffermirent leur prise, des doigts aguerris pincèrent des mamelons devenus très sensibles avant de les lâcher et de s'orienter subrepticement et doucement sur son ventre puis de disparaître sous sa jupe et de sinsinuer entre ses cuisses.

Le policier se pressa contre son dos, affermit sa prise et la tira vers lui cambrant ses fesses contre son sexe bien dur. Leila sentit une barre droite et tendue marquer sa chair et enfoncer sa culotte dans sa raie. De ses mains, le flic commença alors une suite d'allers et retours à la jonction de ses cuisses et de son sexe, ses grandes lèvres titillées par ses mouvements. Paumes appuyées sur ses cuisses, les deux pouces frottant la zone de son clitoris, le salaud savait y faire et forçait la barrière de soie comme si elle n'existait pas.

Leila ne put s'empêcher de gémir, cet enfoiré était doué et l'avait complètement surprise par ces caresses qu'elle n'attendait pas. Sous ces attouchements, elle n'avait pu s'empêcher de continuer à tendre sa croupe vers l'arrière. À leurs comportements, elle était maintenant convaincu que les deux hommes étaient à deux doigts de la violer sans parler de ce que pourrait lui faire subir la femme qui les accompagnait. Leila enflammée par la situation se demandait même si elle aurait envie de leur résister... En attendant, elle commençait à mouiller et son vagin réclamait son du!

Le flic qui venait de la peloter s'adressa à son collègue :

- Chacun sa partie! J'ai fait le haut et chauffé la bête, Marcel, le bas est pour toi!

- Merci mec, je te revaudrais ça! lui répondit son collègue, lâchant les deux bras de Leila qui furent aussitôt maintenus fermement par l'autre sbire.

Complètement perdue entre sa peur et la violence physique et mentale de ce qui lui arrivait, Leila entendit clairement les deux policiers parler à voix basse dans son dos quasiment contre elle comme s'ils voulaient être certains qu'elle entende bien leurs propos :

- Marcel, je te préviens, c'est une belle salope, je prends les paris! Ses nichons étaient déjà durs quand je les ai touchés. Je suis certain que cette femelle mouille déjà. Vas-y, régale-toi!

L'autre murmura :

- J'y compte bien mon ami, j'y compte bien. Je suis certain qu'elle a une petite chatte bien épilée celle-là. Putain Hélène va bien se régaler avec elle, mais vaut mieux que je tâte la marchandise avant ques ses tunnels ne soient sacrément élargis... Si tu vois ce que je veux dire!

Ils éclatèrent de rire à l'unisson dans son dos, mais la fermèrent dès que leur collègue poussa une gueulante!

- Vous allez vous magner les deux obsédés! Une fois que je l'aurai fouillée et que le Commissaire en aura fini avec elle, vous ferez ce que vous voudrez, mais moi je n'ai pas que ça à faire!

Le second flic tira brusquement et sans avertissement d'un coup sec sur sa jupe mettant au jour une culotte salie par ces heures de détention sans toilette possible.

- Putain la cradoc! Entendit-elle clairement. Il y a une belle trace de pneu là! Hélène, met tes gants, ce n'est pas reluisant au sous-sol! Ah ah ah.

Le policier ponctua sa phrase et ses rires d'un arrachage ferme et définitif de ce qui avait été le tanga en dentelle préféré de Leila. Insinuant lui aussi une main bien rugueuse entre ses cuisses, pressant ses grandes lèvres jusqu'à toucher les petites effectivement humidifiées. Le policier fit deux ou trois légers va et vients qui firent presque fermer les yeux de plaisir à Leila. Elle eut honte.

Oui elle était mouillée et n'y pouvait rien... Elle avait envie de de se faire baiser, salement, vite, tout en hurlant sa haine.

Le policier se releva et lui passa les restes de son tanga sur le visage, sadiquement. Leila sentit clairement les effluves marqués de ses sécrétions, ne voulant pas croire en ce qui allait être la suite logique des événements, mais espérant secrêtement ne pas se tromper.

Les deux homme la saisirent de nouveau et la retournèrent nue et secouée de spasmes face à leur collègue féminine qui était en train d'enfiler des gants. Celle-ci la regardait durement.

- Tu as bien déconné ma belle, mais je vais être magnanime. Je vais te proposer à nouveau deux choix.

La préposé à la fouille de son corps sortit un flacon d'une de ses poches et se mit à le frotter entre ses mains.

- Choix numéro un : Madame fait la rebelle, mes deux collègues la tienne et moi je lui fourre direct mes mains dans sa chatte et dans son cul sans gâcher un gramme de cette crème aux vertus lubrifiantes avérées. Je t'explique pas l'effet que ça fait!

Un lourd silence s'installa, Leila n'osait même pas respirer, tétanisée par la peur. Elle en avait le souffle presque coupé. Ses fantasmes de baises s'évaporèrent sous la menace de ce qui l'attendait.

Hélène reprit la parole :

- Choix numéro deux : tu deviens très sage. Mes deux collègues sortent de cette pièce et NE COLLENT PAS leurs visages d'obsédés à la lucarne (mais vont voir tout cela sur la vidéo dans le bureau du Commissaire -ce qu'elle se garda bien d'avouer à sa victime) et toi tu te laisses fouiller par Maman Hélène, sagement, tranquillement et ma crème miracle devrait rendre les opérations... disons moins... désagréables voire... Je te laisse imaginer là aussi. Bref, tu choisis quoi ma belle?

La voix d'Hélène était soudain devenue presque douce. Leila qui n'était vraiment pas habituée à être une victime, répondit vaincue, presque sanglotante, au bord de la crise de nerfs :

- Solution deux, Madame. Solution deux...

Hélène se rengorgea comme un coq, maître de sa basse-cour, heureuse d'avoir triomphé une fois de plus. Elle gagnait toujours à ce petit jeu. Trop facile. Hommes ou femmes, ils se déballonnaient tous à l'idée de voir ses mains disparaître au plus profond de leur intimité. Trouillards, se dit-elle. Ça frime, ça frime et ça ne résiste pas à la pression. Tous les mêmes. Ça faisait les durs dehors avec les faibles, mais ça s'écrasait mollement devant l'autorité et plus forts qu'eux.

- Bon allez les gars! Merci pour votre aide, mais assez rigolés! Barrez-vous! Madame et moi on a un entretien perso!

Ses deux collègues ronchonnèrent pour la forme, mais une fois la porte fermée, ils partirent au galop rejoindre le Commissaire qui les attendait en bonne compagnie dans son bureau.

Il regardait bien évidemment Hélène et Leila sur le grand écran de son ordi, mais des cheveux blonds apparurent en mouvements entre ses jambes. Un sourire carnassier accueillit ses agents à leur entrée et montrant la tête qui s'agitait sur son entrejambe, il leur déclara :

- Monsieur le jeune révolté, ou devrais-je dire maintenant "MADEMOISELLE l'étudiante contestataire soudainement assagie", vient de décider que sa toute prochaine libération et l'absence de toute trace de ses conneries dans son casier de fils à papa, valait bien un remerciement appuyé envers ce cher Commissaire si compréhensif! C'est-y pas beau les gars???!!!

- Vous en avez du bol chef d'avoir affaire à des prévenus aussi intelligents, ce n'est pas à nous que cela arriverait, ne put s'empêcher de répliquer l'agent le plus âgée, ce bon vieux Marcel, dont les mains aventureuses avaient fait frémir Leila!

Le Commissaire sentit une certaine tristesse dans ces paroles et ne put s'empêcher d'être généreux :

- Oh ne vous inquiétez pas! Je sens qu'une âme aussi attentionnée à la bouche si chaude ne se contentera pas d'une seule liqueur, hein?

Le Commissaire sentit les lèvres en action autour de son membre se contracter sur son sexe et perdre leur rythme. Il saisit les cheveux du blondinet et releva de force la tête de son suceur vers lui. La bouche ouverte, les lèvres ruisselantes de salives, le petit con le regardait avec effarement. Le Commissaire lui parla très lentement et doucement, tordant ses cheveux dans ses mains pour que cette tête si docile ne bouge pas sous sa poigne :

- Tu sais que mes collègues ont de très belles queues et qu'ils vont bien étancher ta soif de sperme! À ta place je serai la plus gentille des suceuses. Et puis n'oublies-pas que si tu n'es pas d'humeur conciliante, l'équipe de nuit ne va pas tarder. Ça serait bête que tu ne puisses pas sortir ce soir et que je sois obligé d'attendre demain matin pour valider ta libération, non?

Le Commissaire laissa passer quelques secondes de silence histoire que "blondinette" comprenne bien ce qu'il venait de lui dire.

- Allez, allez, on oublie que l'on a joué au Blackbloc pour frimer devant ses potes... ET TU ME SUCES COMME UNE PRO QUI A FAIT ÇA TOUTE SA VIE SI TU NE VEUX PAS AVOIR À POMPER TOUT MON COMMISSARIAT!

Il venait de lui hurler ses mots au visage pour que ce futur s'inscrive sans discussion ni révolte dans la petite tête entre ses jambes. Le Commissaire était intérieurement très satisfait de la prestation de son « petit révolutionnaire » et même s'il n'en disait rien, il comptait bien le convoquer régulièrement pour quelques compléments d'enquêtes!

La situation l'excitait particulièrement et il se promettait de lui faire boire son sperme régulièrement avant de s'emparer de ses si jolies petites fesses et d'utiliser son petit trou, sans nul doute très mignon et serré, dans un futur très proche!

Le temps des manifs cagoulées était bien révolu pour ce petit imbécile. La prochaine fois que tu te masqueras le visage, ce sera pour d'autres exercices physiques, tu peux me croire, se dit-il avec délectation avant d'ajouter de sa voix autoritaire :

- Allez au taf et je n'en veux pas une goutte par terre!

Le Commissaire exerça une forte pression sur le crâne et plongea sa queue au plus profond de la bouche qui s'ouvrait à nouveau pour l'accueillir. Le petit con avait compris qu'il avait intérêt à filer droit. Ses deux agents étaient hilares!

- Bon, ben si on part sur d'aussi bonnes bases, nous on dit plus rien hein Marcel!

- Ben non, enchaina le Marcel, aucune raison! Monsieur le Commissaire, vous êtes vraiment un chef super sympa, y-a pas à dire!

Les deux agents firent descendre leur braguettes respectives d'où ils extirpèrent avec quelques difficultés et pour cause, deux grosses queues bien raidies par leur petite séance avec Hélène et Leila. Aussitôt chacun des agents saisit la main à sa portée de la dite «blondinette» et ils la posèrent de concert sur leur membre dressé.

L'étudiant surpris et ayant brièvement perdu tous ses points d'appuis entre les jambes du Commissaire, avec ses mains soudainement sollicitées par d'autres tâches, fut emporté par le poids de sa tête vers l'avant!

N'ayant que sa bouche en train de travailler, il s'enfonça sur la bite qu'il suçait et frola la gorge profonde involontaire.

Le Commissaire émit un grognement approbateur en écarta les bras en souriant :

- Un bon management, ça ne s'apprend pas. Il faut sentir comment motiver ses troupes! Allez les gars, installez-vous confortablement! Notre jeune ami progresse très vite. Vous allez pouvoir étancher sa soif de sperme sous peu et puis le spectacle va commencer!

Sur l'écran, ils observèrent Leila qui venait de poser ses deux mains contre un mur de sa cellule tout en se cambrant. Répondant à des consignes précises, Leila se baissait et ouvrait la voie à Hélène, offrant sans discuter son si beau cul à la policière. Celle-ci sortit un paquet de lingettes de sa poche et entreprit de la nettoyer consciensieusement, mesurant chaque geste entre ses fesses et sur son sexe, passant et repassant de haut en bas, n'oubliant aucun millimètre de sa peau.

Puis, quand Hélène fut satisfaite du résultat, elle versa une belle quantité de son gel sur ses mains qu'elle frotta l'une contre l'autre et commença son grand oeuvre.

La main droite passant entre les cuisses bien ouvertes de Leila, s'infiltra et s'abattit sur le sexe sans défense. La paume de la main enveloppa cette vulve propre et frémissante pendant que la main gauche d'Hélène claquait une fesse de sa prisonnière avant de se glisser dans le sillon de ses fesses.

Un pouce correctement lubrifié commença à masser l'anus de Leila pour l'assouplir et le pénétra très rapidement faisant fi des contractions de sa propriétaire. Le doigt inquisiteur n'alla pas très loin car le premier sphincter de Leila se contracta autour de lui, bloquant logiquement sa progression.

Hélène recourba alors son pouce, palpant l'intérieur de Leila. Ainsi agrippée, elle tira l'anus vers elle sans ménagement, arrachant un cri de douleur à Leila car elle la tenait fermement par cet orifice. Hélène était bien décidée à faire comprendre à ce corps et à sa propriétaire qui commandait en ce bas monde!

Dans le même temps, sa main droite ne restait pas inactive et sa paume avait frotté grandes et petites lèvres avec force pendant que ces doigts s'étaient attardés sur le clitoris de Leila.

Maîtrisée par les caresses et manipulations de ses deux centres de plaisirs qui la torturaient langoureusement, Leila s'abandonnait sans coup férir. À son corps défendant qui ne se défendait plus du tout, ou si peu, Leila sentait peu à peu le plaisir et une forme de jouissance émerger d'entre ses cuisses.

Son anus se décontractait et répondait de moins en moins à sa volonté de résistance. Quant à son vagin, il devenait plus qu'humide. Même appuyée contre ce mur malpropre et malodorant, Leila sentait les effluves de son excitation de plus en plus évidente, trahir ce qu'elle éprouvait réellement.

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