René et ses Proies 08

BÊTA PUBLIQUE

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Hélène qui savait parfaitement ce qu'il se passait, continua ses caresses. Un second doigt pénétra l'anus de Leila et pendant que la mouille du sexe de plus en plus lubrifié envahissait sa main droite. Elle recueillit un peu de cette liqueur qui faciliterait sa tâche et sentant le vagin s'ouvrir de plus en plus elle y entra directement trois doigts qu'elle fit coulisser au même rythme que ceux qui avaient déjà pénétrés l'anus.

Leila poussa un cri animal et brutal, expulsé sans ménagement ni honte par sa gorge. Ce cri, expression pure du désir et de sa soumission, était la preuve évidente de sa complète reddition.

Hélène était vraiment une perfectionniste et cette capitulation sans condition si rapide, ne lui apportait qu'un petit plaisir qui ne la surprenait pas. Elle comptait bien aller plus loin, beaucoup plus! Et prendre tout son temps pour y arriver.

La partie ne faisait que commencer et le Commissaire lâcha sa purée dans la bouche si accueillante qui venait de remplir son office!

- C'est bien, c'est bien, tu es très douée ma petite! Je sens que je vais adorer remplir cette bouche régulièrement! Ah oui, avale tout et savoure. Voilà, aspire bien mon jus petite salope affamée!

Il récompensait volontairement de ses mots le petit gauchiste de mes deux qui devait comprendre où était sa place et son futur.

Celui-ci s'étouffait presque sous l'avalanche de sperme, mais ses mots et le liquide qui envahissait sa bouche ne le laissait pas insensible. Pour être totalement franc, il avait déjà sucé quelque fois le chef de sa cellule de combat, un mec des cités d'origine tunisienne qui ne faisait pas confiance à l'engagement réel d'un petit bourge du 6ème... Rachid, son prénom officiel dans le groupe, avait tenu à ce qu'il lui démontre plusieurs fois son respect de la classe ouvrière, sa bite bien enfoncée sans sa bouche! Et il avait presque regretté la fin de ses « têtes à bites » révolutionnaires lorsque le « chef » avait tenu à tester personnellement la motivation de la jeune et fraiche Émilie pour la cause...

En recevant et en avalant le jus du Commissaire, « Blondinette » s'avoua enfin qu'elke adorait ça!

Ses deux mains fixées sur les bites tendues des deux agents se mirent à coulisser d'elles-mêmes, arrachant des soupirs de contentements à leurs deux propriétaires.

Il allait de lui même plonger sa bouche vers ces deux sexes, c'était évident. Son seul dilemne était de savoir par laquelle de ces deux queues au garde à vous il choisirait de commencer!

***********************************

UN GRAND WEEK-END EN MODE « TROU NORMAND »!

Pippa venait de se réveiller suite au message qui confirmait l'arrivée du TGV en gare et à son Terminus normand. Elle ouvrit les yeux et découvrit son Dom Juan de pacotille perdu dans un magazine culinaire à la mode. Il ne s'intéressait plus à elle et c'était parfait.

Pippa se leva et mis son manteau rangé au-dessus d'elle, rejoignant l'habituelle file des passagers pressés de sortir du wagon comme si un miracle allait leur permettre d'échapper à leur enfermement avant que les portes automatique ne s'ouvrent et ne les libèrent.

Elle nota qu'une femme derrière elle se pressait contre son dos. Elle se retourna comme par hasard et comme si de rien n'était. La cinquantaine, type "active woman", assez grande et la dominant de plusieurs centimètres, elle l'impressionna d'emblée. Sûre de sa force, sa voisine se pencha discrêtement vers son oreille, l'effleura de ses lèvres, la fit frissoner et lui déclara doucement :

- J'adore votre parfum... Et je sais ce que vous êtes! Bravo, c'est très réussi. Prenez ma carte si jamais l'envie d'une rencontre plus approfondie vous saisit dans les prochains jours. J'aime par dessus tout m'occuper des petites choses sensibles dans votre genre, voyez-vous!

Pippa sentit dans sa main droite qu'on lui glissait quelque chose entre les doigts. Elle referma sa main et identifia la forme d'une carte de visite, un objet qu'elle pensait disparu depuis des années... La femme s'était éloignée d'elle à distance réglementaire et lui fit un clin d'oeil charmant. Kevin qui était toujours là, partageant ce corps avec Pippa dorénavant, nota la classe avec laquelle la femme l'avait gentiment dragué comparativement aux tentatives d'approches du gros lourdaud (que Pippa avait presque déjà oublié).

Même si Kevin s'évanouissait de plus en plus quand Pippa était en action, le jeune homme existait toujours. En fonction des moments, Pippa ou Kevin surgissait et prenait les commandes. Les deux personnalités s'étonnaient de cette gymnastique devenue inconsciente, mais apprenaient à vivre ensemble et se surprenaient à presque dialoguer entre eux.

Kevin et Pippa n'étaient qu'un ou qu'une évidemment. Kevin ne savait pas ou ne voulait pas savoir que René et ses amis avaient accouché de Pippa dont le destin était de lui révéler son moi profond. Celui d'un jeune homme transformé qui s'épanouissait et s'ouvrirait encore plus à la vie et au monde en Pippa. Puis, peu à peu, il céderait la place pour disparaître définitivement. Évidemment.

Une fois le TGV à l'arrêt, Pippa récupéra son sac de voyage et franchit les derniers mètres la séparant du hall d'entrée de la gare. À sa grande surprise, un chauffeur en livrée et uniforme grande époque l'attendait. Il portait un écriteau sur lequel était inscrit un "PIPPA" sans ambiguité.

Alors qu'elle s'approchait de lui nonchalament, d'une démarche chaloupée et sensuelle qu'Anna et Martha lui faisaient travailler chaque jour (« Tu dois les faire bander, mais tu ne fais pas la pute » lui avait expliqué Anna) le chauffeur s'adressa ouvertement à elle, sa voix résonnant dans le hall :

- Si Monsieur Kevin veut bien se donner la peine de m'accompagner, sa voiture l'attend!

Cette phrase étourdit Pippa qui fut à deux doigts de trébucher. Les quelques personnes encore présentes regardèrent toutes la "jeune femme" déstabilisée par ces mots.

Certaines avec un franc sourire, d'autres avec un air choqué et consterné. La femme qui lui avait laissé sa carte de visite l'avait devancée dans le hall de quelques mètres, mais elle se retourna soudain, elle aussi ayant entendu l'apostrophe du chauffeur.

Elle fixa Pippa aussitôt pour voir sa réaction. Leurs regards se croisèrent et se verrouillèrent. Devant l'air complètement perturbé de victime publique sans révolte que Pippa affichait, la femme se mit à sourire et eut un rictus satisfait. Son corps fut affecté par un frisson d'origine purement sexuel qu'elle ne dissimula pas et qui donna la chair de poule à Pippa par son intensité évidente.

Ce bref intermède terminé, elle se retourna enfin et quitta les lieux pendant que Pippa presque toujours pétrifiée était le centre d'intérêt moqueur des voyageurs présents.

Le chauffeur venait de saisir ses bagages et lui demanda de l'accompagner. Totalement déboussolée, Pippa se retrouva assise à l'arrière d'une voiture luxueuse qui démarra aussitôt.

Une fois sur la route, le chauffeur s'excusa presque :

- Madame, je suis désolé. J'avais des ordres et je devais vous accueillir ainsi. Comprenez bien que cela n'avait rien de personnel, c'est mon travail d'obéir.

Pippa releva la tête, croisant le regard et les beaux yeux du chauffeur, il fallait le reconnaître. Dans cet instant de faiblesse, Pippa s'éloignait et Kevin les larmes coulant de ses yeux ne put que murmurer :

- Ce n'est pas grave, ce n'est pas grave...

Le trajet ne dura qu'une vingtaine de minutes à moyenne vitesse avant que le véhicule ne s'engage dans un grand parc.

Un imposant portail s'était automatiquement ouvert devant eux. Une allée vivement éclairée dans la nuit les amena après quelques virages vers une impressionnante demeure construite de pierres et de briques.

Un bâtiment massif et rectangulaire de plusieurs dizaines de mètres de long doté de trois étages et de fenêtres à balcons s'ouvrant sur le parc, éclairé par des projecteurs extérieurs, ne pouvait qu'impressionner le nouvel arrivant. Un aspect cossu et imposant, très fin 19ème et Troisième République, s'offrait aux yeux de Pippa qui en resta bouche bée.

Un grand escalier d'une dizaine de marches, lui aussi vivement éclairé, donnait sur une grande terrasse extérieure et sur une porte à double battants ostensiblement gardée par deux personnes de sexes indéterminés. Toutes deux vêtues du même uniforme que son chauffeur, elles attendaient, figées dans une immobilité assez impressionnante.

Pippa réfugiée au fond de sa banquette devinait les formes de grands arbres, sûrement centenaires, dans la pénombre alors que la voiture avançait doucement encore. Ils allaient sans doute s'arrêter devant l'entrée de la batisse après être passés devant un parking rempli de voitures luxeuses. Une collection de modèles que le commun des mortels ne voit que rarement en aussi grand nombre même à proximité immédiate d'un Palace...

À peine furent-ils arrêtés devant l'entrée de la demeure, les deux gardiens immobiles s'animèrent et se précipitèrent vers le véhicule. L'un ouvrit la portière arrière de Pippa, lui permettant d'en sortir, pendant que l'autre s'occupait de son bagages. Le porteur de ses affaires lui déclara :

- Si Monsieur Kevin veut bien me suivre, enfonçant le clou de sa détresse.

Son grand week-end de relaxation partait sur de bien mauvaises bases! Vaincue et dominée par cette demande, Pippa obtempéra et Kevin reprennant le contrôle affaissa ses épaules à nouveau. Il suivi son guide sans discuter, montant lentement les marches de l'escalier jusqu'à ce qu'ils se présentent tous les deux devant l'entrée de la batisse.

Une fois ouverte, la porte donnait sur un autre univers qui laissa Kevin (et Pippa) pétrifiés.

Hommes et femmes nus ou habillés. Certains s'embrassant et se caressant, d'autres se suçant ou se léchant à de multiples endroits de leurs corps. Parfois portant des chaines, des menottes, des masques, ou attachés par des cordes entrelacées, debouts ou promenés en lesses.. Couples en apparence «normaux» ou très étranges, trios incongrus et même un doberman, langue pendante, «collé» aux fesses d'un homme à quatre pattes.

Tout ce petit monde se cotoyant en toute quiétude dans une grande pièce aux lumières tamisées où tout semblait possible... Surtout si le sexe était l'argument central de l'échange.

Un homme semblait se précipiter vers lui, croyait-il, avant d'observer son maquillage forcé et ses longs cheveux habilement noués. Il se présenta avec un grand sourire et lui parla aussitôt :

- Bienvenue, bienvenue Kevin. On m'a beaucoup parlé de vous et de Pippa bien évidemment.

Bienvenue, bienvenue "Au Domaine".

L'homme (?) insista bien sur ces derniers mots avant de poursuivre.

- Vous apprécierez ce lieu et ses résidents, je n'en doute pas! Ici chacun est lui-même et ce qu'il veut être aussi. Vous êtes donc Kevin, mais aussi Pippa et cela ne pose aucun problème à personne "Au Domaine"!

Moi je suis Pierre et parfois Natacha aussi, mais je vous accueille avec un égal et grand plaisir dans tous les cas. Je vais vous mener à votre Suite immédiatement et vous donner le programme de votre soirée.

Après avoir installé Kevin dans des appartements luxueux composés de multiples pièces, Pierre informa son hôte qu'un repas lui serait amené dans les plus brefs délais puis qu'il serait laissé tranquille afin de pouvoir se reposer.

Il serait réveillé à 8h30 le lendemain matin pour ses séances de soins et ses leçons. Le maître des lieux qu'il rencontrerait demain lui demandait expressément d'être vêtu «à la Kevin» quand on viendrait le chercher. Ses affaires personnelles ainsi que d'autres gracieusement fournies étaient déjà rangées dans sa chambre et sa penderie.

Sa Suite était composée d'un large couloir vestibule servant d'entrée. Une fois traversé, il permettait d'accéder à un salon doté d'une moquette moelleuse, d'une épaisseur inconnue pour le petit provincial à peine dégrossi par sa découverte de la grande ville et de l'université.

Tables, canapé en cuir, bureau équipé d'un ordinateur, écran géant, meubles, multiples lumières parfaitement agencées, tout était à sa place et Kevin sut qu'il oserait à peine profiter de ce luxe mis à sa disposition. Pippa hurlait dans sa tête, voulant immédiatement profiter de tout!

Sa visite se poursuivit par la découverte d'une grande chambre dont l'espace central était occupé par un lit parfaitement rond sur lequel il eut quand même envie de se jeter. Une salle de bain dotée de toutes les commodités et surtout d'une baignoire spa à tomber par terre complétait le tableau.

Son hôte l'ayant quitté, une servante au look encore plus ambigüe, mais néanmoins dotée d'une superbe poitrine et vêtue comme une soubrette dont l'oeil acéré de Pippa indiqua à Kévin l'absence de sous-vêtements sous l'uniforme plus que court, lui apporta son repas.

Apaisée et touchée d'être ainsi servie, Pippa réapparut naturellement pour le repas. Elle était persuadée d'avoir aperçu une espèce de boite en métal sous la jupe de la soubrette, mais comment être sur de quelque chose en ces lieux!

La servante ne lui adressa jamais la parole, mais installa assiette, verres et couverts et le servit avec précision et dextérité, restant immobile derrière l'invité et ne bougeant que quand l'assiette était vide.

Pippa ne choisissait rien de ce qui lui était proposé et quand elle essaya d'exprimer la volonté de reprendre d'un plat, cela n'eut absolument aucun effet. Ce fut bien un autre met qui lui fut servi à son grand désespoir...

Le repas n'en restait pas moins excellent et composé d'un assortiments de plats variés, d'une qualité hors des normes accessibles à la majorité de la population.

Savourant chaque bouchée comme si c'était la dernière, repue, n'ayant pas résistée au plaisir de trop manger en finissant toutes les assiettes qui lui avaient été servies, Pippa comblée sous les douceurs offertes à son palais eut fortement envie de se faire jouir.

Une fois que la servante eut tout débarrassé et rangé puis se fut éclipsée, Pippa fonça s'allonger langoureusement sur le lit géant installé au milieu de la chambre. Elle releva sa robe, glissant une main sous sa culotte de soie. Son sexe légèrement humide, dur et tendu attendait ses mains et ne demandait qu'à exploser.

Pippa se dévétit entièrement et offrit sans le savoir son premier spectacle sur grand écran «Au Domaine» en se caressant debout puis en se masturbant sur le lit.

Plusieurs caméras la filmaient, autant de micros retransmettaient ses moindre gémissements. Pippa se fit jouir plusieurs fois, éjaculant d'abondance, léchant et buvant son sperme, comme on le lui avait appris.

Elle suça longtemps aussi un gode de belle taille, trouvé sous un oreillet, lui murmurant des «Monsieur René» plaintifs, avant de le faire pénétrer dans son petit cul qu'elle avait tortillé comme si elle cherchait à aguicher l'instrument de son plaisir!

Épuisée par tant d'efforts, Pippa s'endormit le cul à l'air avec le gode fiché en elle, comme si c'était naturel.

Les enchères montèrent à vitesse Grand V!

Décider de qui serait le premier ou la première à profiter de ses charmes après que sa virginté anale -déjà attribuée- ait été conquise le lendemain, prit une bonne partie de la nuit.

Il s'agissait aussi et surtout de décider des ordres de priorité de chacun dans l'affaire.

Pendant ce temps, La Présidente d'un groupe du CAC40, connue pour ses penchants autoritaires, fut très active et se battit jusqu'au bout de la nuit pour essayer de gagner les honneurs d'un classement élevé. Elle y parvint évidemment.

Elle sonna alors le groom service puis demanda spécifiquement à ce que Natacha qu'elle appréciait particulièrement, vienne immédiatement fêter ça dans ses appartements. Elle lui ordonna de s'enfiler devant elle la bouteille de Dom Pérignon presque terminée qui avait été son précieux carburant.

Se masturbant de la main droite et défonçant Natacha à la bouteille de Champagne de sa main gauche, elle finit par jouir en criant le prénom de Pippa.

Cette nuit fut une des plus excitante et torride que connut le Domaine depuis des années. Certains décidèrent de jouir sans frein, d'autres plus prévoyants, se réservèrent pour le lendemain.

Dans le bureau directorial des lieux, quelqu'un n'avait toujours pas vidé ses bourses de la journée et ne le ferait pas! Son entretien téléphonique, suite à la petite performance de Pippa, était bien plus important!

- Parfait! Tout simplement parfait! Mon ami René, demain quand je vais prendre ta dernière trouvaille et lui éclater son si beau cul, je te jure que tu ne regretteras pas de me l'avoir confié! Promis mon ami, dans trois jours, une affamée de sexe pleinement pervertie, te reviendra!

René sourit et aquiesça, il n'apprenait rien. Depuis les premières minutes passées avec Kevin, il savait intuitivement ce qu'il était et ce qu'il deviendrait!

Suite au prochain épisode!

**********************

Chères toutes et tous,

Je tiens à m'excuser avant toute chose pour votre attente.

J'espère que ces derniers développements vous auront intéressés, excités et rêvons un peu, peut-être que ces mots auront humidifié ou fait bander vos belles intimités.

J'écris pour le plaisir, le vôtre avant tout, le mien un peu.

Oui les aléas de la vie sont compliqués (peu de temps, plus de PC, etc) et imaginer une suite excitante à ces aventures n'est pas une évidence pour moi tant le résultat final m'importe vraiment.

Espérant vous satisfaire

Caresses et Soumission

MS

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4 Commentaires
mecdualmecdualil y a 3 mois

ce serait romantique que Leila est Pippa finissent par se retrouver ... une fois converties en objets sexuels assumés

Yokebed83Yokebed83il y a 3 mois

Un plaisir. Comme toujours !

Bon retour parmi nous !

AnonymousAnonymeil y a 3 mois

Quel plaisir de retrouver cette histoire, et de voir Pippa évoluer.

Pour ce qui est de Leila, je crains fort que son calvaire ne fait que commencer et qu'elle ne quittera ce commissariat que lorsqu'elle aura été complètement brisée et transformée en objet sexuel au service de ses tourmenteurs

OlivX

mecdualmecdualil y a 3 mois

il a fallu être patient ce texte est plus court que les autres, mais très bon et intense. j'adore et vivement la suite

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