Révolte 07: Un An Déjà! La Suite.

La jeune rousse est toujours en train de sucer les autres condamnés. Son visage et ses seins sont couvert de spermes. Sony prévient les autres prisonniers de ne pas toucher Lisa. Il s'approche d'un des gars qui se branle mollement pour rebander. Lisa lui donne son adresse et ses clés. Elle lui explique ensuite quoi aller chercher et où. Il mettra trente minutes pour revenir avec deux sacs de sport rempli de gadget sexuel. Ensuite ils attendent que le gars qui se fait sucer par Ann est fini.

Une fois que l'homme a jouit sur le visage de la jolie rousse, il s'approche d'elle. Ann est toujours à genoux, pleurant de toutes les larmes de son corps. Sony la fait relever. Il lui flatte son cul rebondi. - Pitié... Il ne lui répond pas, se contentant de l'arc-bouter sur un container fermé. Il se plaque contre elle. Totalement vaincu la jeune femme ne tente pas de se débattre. Ni quand il se plaque contre elle, ni quand il place son gland contre l'entrée non visitée de la vulve de la fille. Quand il la pénètre lentement, elle se contente de gémir de douleur. Sony s'arrête quand son gland touche l'hymen intact.

Ann se contente d'attendre qu'il passe à l'acte. Elle est tellement terrorisée qu'elle n'est pas capable de se défendre. Cela arrive des fois. Si la plupart des filles, se battent comme des tigresses pour éviter un viol, certaines se laisse faire, se contentant de subir. Mais les effets du viol ne sont pas moins dévastateurs pour elles, voir encore pire, car en plus de l'horreur de ce qui leur arrive, elles ont l'impression d'avoir été complice.

Sony n'attend pas longtemps. Il s'enfonce dans le sexe de la fille, la faisant crier de douleur. Il ne dure pas longtemps en elle, lui inondant son utérus de sa semence. A peine retirer, un autre la viole. Dès que les trois premier sont passé sur la fille, Sony les envois piller une pharmacie. Ils reviendront une heure plus tard, avec un sac remplie de pilules sexe-dure. A la fin, Ann ne hurle plus, gémissant doucement au rythme de ses viols.

Puis Sony repasse sur la fille. Mais cette fois, son engin ne se place pas contre le sexe, désormais débordant de sperme. Non, il se fiche entre les fesses fantastique de la jeune rousse de dix-huit ans. Il doit forcer de longues minutes pour violer l'anus récalcitrant. Mais quand il y arrive, il est au paradis des violeurs. Jamais il n'a pénétré un orifice aussi étroit. La faute à Ann qui contracte son conduit au maximum de ce qu'elle peut faire. Ne se rendant pas compte que ainsi elle multiplie la douleur de sa sodomie forcée.

Il la défonce puissamment, cherchant à lui faire le plus de mal possible. Ce qu'il arrive parfaitement à faire, il suffit d'entendre les hurlements de la fille pour en avoir la preuve. Il ne tarde pas à jouir abondamment dans les entrailles de Ann. Aussitôt retiré, aussitôt remplacé par un autre prisonnier, qui lui aussi emprunte la même voie.

La suite de la nuit fut un enfer pour Ann, tout outrages furent pratiqué sur la malheureuse. Y compris les doubles ou les triples pénétration. A la fin, elle gisait au sol, les yeux rivé sur le ciel, se contentant de subir ce qu'on lui faisait. Le seul moment dur pour Lisa fut la sodomie que lui infligea Sony, sinon, elle eut trois orgasmes quand il lui baisa la chatte. Et cinq de plus, quand enfilant son énorme gode-ceinture, elle baisa puis sodomisa Ann.

Deux jours plus tard, un petit convoi de véhicules tout-terrains, accompagné de deux camion de transport de troupes, quitte la ville au petit matin. Sony à recruter six ancien prisonniers de plus. Ils sont maintenant quinze hommes, lourdement armés. Ils se sont engagé dans l'unité des « Chasseurs ». Le régiment chargé de pourchassé tout les étrangers se cachant dans le pays. Outre les quinze prisonniers, il y a Lisa et Ann. Une Ann qui se trouve dans un état catatonique. Se laissant baiser à la chaîne, sans faire le moindre geste ou pousser le moindre son.

A la fin de la journée, ils arrivent au milieu du désert. Ils ont roulés tout feux éteints. C'est Lisa qui donne le signal de l'arrêt. - Arrêtons-nous là Sony. Il doit rester un kilomètre, on le fera à pieds, c'est plus sûr. - D'accord. Pas d'alarme ou de guetteurs? - Non, rien. C'est archaïque, cela date des années cinquante. - Comment elles survivent? - Les abri sont auto-suffisant. Tous sont prêt d'une source d'eau douce souterraine. C'est cette source qui fournit l'eau, donc, mais aussi l'électricité. Il y a aussi un petit coin potager pour les légumes et les fruits frais. Pour le reste, c'est des conserves et de la nourriture déshydraté. Suffisamment pour permettre de tenir trente ans à cent personnes. Elles ne sont que vingt dedans. Enfin au dernier comptage. - Qui nous dis que certaines ne sont pas parties? - J'ai fait passer le message qu'à la surface c'est la révolution. Donc j'ai donnée comme consigne que personne ne sortent. - Bonne idée. Le petit groupe décide d'attendre la nuit noire. En attendant ils violent à tour de rôle, ou a plusieurs, un Ann qui ne sort pas de son état catatonique. Ils la laisseront menottés à l'arrière d'un des camions.

La petite trappe est cachée sous une fine couche de sable. Lisa en sort la clé et l'ouvre. Les hommes armés descendent en premier. Lisa et Sony fermant la marche. Certaine de leur cachette et de leur invisibilité, comme le leur à dit Lisa, il n'y a aucun planton pour surveiller l'entrée. Les hommes se dispersent dans le grand abri. Suivant les plans fournis par Lisa.

Rapidement toutes les lesbiennes sont sous contrôles. Et une gigantesque orgies commencent. Les hommes resteront ici une dizaine de jours. Violant chacune des quarante-trois filles se trouvant là, au moins une fois par chacun de ses trous. Ann les y rejoindra, mais, tous l'ayant eut des dizaines de fois elle ne sera que peu violée. Lisa, elle aussi participera aux viols. Se faisant à l'aide de son énorme gode-ceinture toutes les filles par tout leurs orifices.

On revient à la petite fête, Sony conclu son histoire. - J'ai crée avec ces putes, un bordel. J'en ai onze en tout, dans plusieurs villes du pays. Je peux vous assurer que cela me rapporte beaucoup d'argent. - Tu as eus tout les abris? - Non, j'en prends un par mois. Des guetteurs s'assurent que les autres sont toujours habités, et que personne ne fuient. J'en ai pris douze en tout, il m'en reste dix-neuf. - Putain, la chance, les étrangères vierges son quasiment inexistante aujourd'hui. Il nous reste que à attendre la majorité de leurs filles pour avoir de nouvelles pucelles. Sony sourit. Il y a une vingtaine d'hommes assis autour de lui. Il reprend. - Oui, surtout que toutes les lesbiennes qui ont réussit à fuir la révolution, se sont cachées dans ces abris. - Toutes, tu es certain? C'est Lobo qui a posé la question. - Oui, vu que aucune n'a quittée le pays. Tu sais bien que le pays à été entièrement bloqué pendant neuf mois. Je dirais qu'il doit y avoir sept cent filles dans ces dix-neuf abris. - Merde le veinard. D'ailleurs, il y en a un à quelques kilomètres d'ici. J'ai besoin de nouveaux gars pour mon équipe, quinze cela fait peu. Si vous êtes disponible, je suis preneur. Inutile de vous dire que tous furent d'accord. Six mois plus tard, Sony règne sur quinze nouveaux bordel, rajoutant de l'argent à son immense fortune. Tout les abris ont été pris. Et bien entendu toutes leurs occupantes sauvagement violées, encore et encore. D'ailleurs, elles le sont toujours, toutes enceintes, travaillant dans les bordels d'abattage de Sony et Lisa.

Bien que n'ayant pratiquement pas eu de combat, la révolution à fait cent-trente-cinq millions de disparus, tout les étrangers du pays. Ainsi que huit millions de Anglefricaines ayant collaborés avec les pilleurs de leur pays. Bien entendu, la protection de la France et de la Russie, fit que aucune action militaire ne fut tentée contre l'Anglefrique. Il n'y eus pas plus de procès d'ailleurs. La loi interdisant de commercer avec tout pays les attaquants en justice fit taire le monde entier.

Bien entendu, des familles tentèrent bien de monter des associations ou voulurent intenter des procès. La raison d'état de leur pays respectif les fit rapidement taire. Ceux qui persistaient, étaient alors arrêtés et envoyer vers l'Anglefrique. Environs un million d'étrangers supplémentaires vinrent ainsi gonfler les prisons du pays. Puis rapidement, en moins de six mois, on passa à autre chose. Une autre affaire, qui fit oublier de tous le sort des dizaines millions de disparus d'Anglefrique.

Le tourisme sexuel devint la première ressources, hors matières premières de ce pays africain. Des pervers de toutes sortes venaient exprès pour violer cette manne de jeune femmes non-consentantes. Plus de cent millions de visiteurs par an, en firent la première destination touristique du monde. Surclassant la France.

Bien entendu, il y a eut des millions d'autres histoires que celles que je vous aient raconté. D'autres viendront en leur temps. Je travaille pour le gouvernement. Tout ce que vous avez lu est réel. Ce sont des témoignages de témoins ou de participants à cette révolution. Dites-vous que ce qu'il c'est passé ailleurs est bien pire, ici, vous n'avez lui que les plus publiables. Ce recueil connaît un franc succés en Anglefrique et un peu partout dans le monde. A bientôt pour de nouveaux témoignages qui j'espère vous plairont autant que ceci.