SAP&cie 01

BÊTA PUBLIQUE

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Elle pouvait comprendre que certains lui en veuillent, inconsciemment, de sa bonne santé. Comment trouver la vie belle quand elle offrait autant de contraintes et si peu d'autonomie. Alors que d'autres, comme elle, jouissaient pleinement des plaisirs de la vie. Elle s'était alors préparée à ne pas être acceuillie à bras ouverts. En tout cas, dans un premier temps, mais elle se sentait capable de renverser la tendance grâce à son enthousiasme et son sourire.

Cependant, durant sa première heure de travail ce matin là, face à cet homme rude et froid, tous ses efforts pour engager la conversation étaient restés vains. Elle s'était sentie tellement impuissante, complètement désemparée, ne sachant quoi faire pour changer l'atmosphère glaciale qui régnait. Intérieurement, elle en avait été vraiment bouleversée. Elle ne pensait pas qu'elle échouerait dès sa première intervention. Elle se sentait glisser dans les abîmes de la dépression, car c'était comme échouer à aider son propre père. Elle n'avait comme arme que sa jovialité, sa bonne humeur, son charme et surtout son sourire habituellement rayonnant mais désespérément inefficace au moment où elle comptait le plus sur lui afin de lutter contre la morosité de cet homme. À ce moment elle ignorait qu'elle possédait bien plus ...

Dans la salle d'attente, tout à coup, toujours plongée dans ses souvenirs, une scène spécifique de ce matin là surgit dans sa tête. Elle se revit chez son cher usager, son débardeur collé à ses seins trempé d'eau savonneuse, sur la dernière marche de l'escabeau de M.Schmidt, cinquante trois ans qui, elle le savait aujourd'hui, n'avait pas manqué une miette du spectacle que lui avait involontairement offert la superbe jeune femme au corps de rêve, ce 10 juillet, le jour où elle était intervenue chez lui.

En effet, après une heure d'une séance de repassage horrible, sans qu'il lui ai adressé le moindre mot, il lui demanda sèchement de nettoyer les vitres des trois velux de sa grande chambre. Ils étaient placés très en hauteur et ils étaient déjà très propres mais elle accepta volontiers.

- Bien sûr M.Schmidt, lui répondit Lucie avec un sourire éclatant, trop contente de faire autre chose que repasser et qu'il lui adresse la parole, je suis là pour ça, mais je ne suis pas assez grande comme vous pouvez le voir. Comment vais-je faire pour les atteindre? lui demanda-t-elle en levant les bras pour illustrer ses propos.

Il lui avait alors expliqué, sur un ton monocorde, le visage dur, l'endroit où se trouvait l'escabeau. Malgré tout, Lucie continuait à arborer un jolie sourire et s'exécuta avec entrain. Plus la personne se montrait rude, plus elle se sentait dans l'obligation de transmettre sa bonne humeur. Elle se souvint qu'à ce moment elle lui aurait même fait un numéro de clown, de claquettes ou de jonglage si cela avait pu lui arracher un sourire.

Une fois le seau rempli d'eau, à laquelle elle avait ajouté un soi disant savon spécial, apparemment fabrication maison, elle avait commencé à escalader le grand escabeau. Après avoir atteint les deux dernières des sept marches, l'homme sévère avait positionné son fauteuil roulant juste en dessous de Lucie. Elle s'était dit, à ce moment, qu'il était heureux qu'elle n'ai pas décidé de se mettre en jupette aujourd'hui, mais pensa aussitôt, de façon coquine, que peut être, cela aurait effacé la mauvaise humeur qu'elle lisait depuis son arrivée sur le visage de son cher usager.

Ce matin là, elle avait choisi soigneusement ses vêtements, un débardeur blanc et un très confortable legging, rose bonbon, pour être à l'aise dans ses mouvements, mais le sachant trop flashy et moulant, épousant beaucoup trop sa raie des fesses à son goût surtout qu'elle ne mettait rien dessous car cela se voyait trop, elle avait choisi de mettre un pull long et ample pour cacher ses formes. Elle avait choisi de porter, au dessus de son débardeur, le seul long pull qu'elle possédait car il cachait entièrement son joli fessier.

Cependant, ce vêtement était un peu épais pour une journée d'été, même tôt le matin et surtout, elle ne se doutait pas qu'il ferait si chaud chez ce monsieur. C'est compréhensible pourtant se dit-elle, ne bougeant pas beaucoup dans son fauteuil et n'ayant pas vraiment de kilo à donner, c'est pas étonnant que M.Schmidt soit frileux le matin, le pauvre, c'est pour ça qu'il a mis son chauffage d'appoint. Et puis, après une heure de repassage, c'est normal que, moi, je sois en chaleur.

Mais il faisait une telle chaleur qu'elle commençait à se sentir mal. Alors, juste avant de s'affairer sur les velux, sentant qu'elle serait bientôt inondée de sueurs et craignant d'émettre une odeur de transpiration, elle lui demanda gentiment l'autorisation de se mettre à l'aise.

- Dites-moi M.Schmidt, commença timidement Lucie en choisissant soigneusement ses mots, avant de faire les velux, auriez-vous l'amabilité de bien vouloir me donner l'autorisation d'ôter mon gros pull? elle s'expliqua de suite en voyant se froncer les sourcils de son interlocuteur devant cette phrase alambiquée, vous comprenez, il fait très chaud chez vous mais c'est vraiment agréable j'adore la chaleur, s'empressa-t-elle d'ajouter pour ne pas le contrarier et qu'il ne prenne sa remarque comme un reproche, mais ce serait vraiment gentil de votre part si vous me laissiez me mettre à l'aise.

Comme il arborait toujours un visage perplexe, elle continua avec un sourire qu'elle voulut avenant :

- Je ne pensais pas avoir la chance de me mettre au service d'une personne aimant autant que moi la chaleur, c'est pourquoi j'ai choisi de porter ce gros pull. Mais je vous en serais vraiment reconnaissante si vous m'autorisez à me déshabiller. Je risque de tourner de l'oeil sans ça, ajouta-t-elle pensant que son dernier argument allait faire mouche.

Elle vanta son amabilité et sa compréhension lorsqu'il accéda à sa requête d'un hochement de tête accompagné d'un grognement. Elle enleva alors son pull sous les yeux de l'homme qui fronça encore un peu plus les sourcils. Elle ne savait pas si il appréciait ce qu'il voyait ou si il était agacé par sa demande audacieuse. À choisir, elle fut surprise de se voir préférer la première option. Une chose est sûre, bien assis dans son fauteuil, il ne la lâcha pas des yeux.

En dessous du pull, elle portait un épais débardeur blanc serré à col haut qui s'arrêtait deux centimètres en dessous de sa belle poitrine bien ronde laissant son piercing au nombril et son ventre plat bien en vue. Elle savait aussi que son haut avait tendance à remonter de ces deux centimètres quand elle levait les bras. Et pour nettoyer les vitres des velux, ses bras allaient être tendus au maximum vers le haut. Elle n'avait pas prévu d'enlever son pull. Quand elle commença, elle se sentit à la limite de dévoiler la base de ses seins.

- Oh la la, je suis tout juste assez grande pour nettoyer vos velux ... dit-elle sur la pointe des pieds, les bras tendus en haut de l'escabeau mais rassurée de sentir son haut s'arrêter de monter juste avant qu'elle n'exhibe ses beaux nichons.

Elle baissa alors les yeux pour observer la réaction du propriétaire des lieux et fut tout à coup stupéfaite.

En effet, en regardant vers M.Schmidt, elle eut l'agréable surprise de constater que l'expression jusqu'à maintenant tellement austère de son visage, faisait tout à coup place à quelque chose de tout autre. Car en suivant son regard, elle comprit que son très confortable legging rose bonbon taille basse qu'elle savait hyper moulant, épousant ses fines jambes, ses fesses et son entrejambe à la perfection, jusque là cachés par son long pull, avait attiré son attention et avait fait monter en lui une excitation bestiale, s'exprimant par un sourire en coin pervers. Un comportement primair qui apparemment l'obligea à lui tourner autour, la contemplant sous tous les angles.

Néanmoins, elle sentit un gros malaise lorsque, quand elle croisait son regard, elle le surprenait en train d'étudier son corps aussi assidûment. Elle regretta amèrement la gêne qu'occasionnait chez lui ses oeillades car il commençait de nouveau à froncer les sourcils et à se détourner d'elle en se renfrognant lorsqu'elle le surprenait en train de la regarder. Elle ne sut pas comment faire pour rétablir cette ambiance moins tendue qu'elle avait entr'aperçue et qu'elle désirait tellement rétablir et surtout qu'elle se pensait incapable d'obtenir il y a encore quelques secondes. C'était inespéré pour elle. Car après un très court laps temps de réflexion, elle se rendit compte qu'elle voulait, plus que tout, effacer l'homme froid qui l'avait accueillie et préférait voir celui qui s'intéressait à elle, même si c'était d'un intérêt malsain qu'elle exécrait pourtant au plus haut point.

Comme précédemment, elle choisit ses mots pour remédier à la situation et lui dit :

- Vous êtes vraiment super M.Schmidt, je vous vois m'observer attentivement et guetter mes moindres gestes, vous avez peur que je tombe c'est ça? Parce que je vous ai dit que je ne me sentais pas bien à cause de la chaleur? Vous êtes vraiment trop mignon de prendre soin de moi comme ça! s'exclama-t-elle d'une voix enjouée. Vous avez raison à cent pour cent, je compte sur vous pour me surveiller. Et d'encore plus près si vous le jugez bon. On ne sait jamais. Et j'espère que si je tombe ce sera sur vos genoux, dit-elle toujours avec un grand sourire.

Cette réflexion eut l'effet espéré par Lucie car M.Schmidt ne se gêna plus. Après ça, il dévora littéralement des yeux les formes de la bonne petite jeune femme, se plaçant tantôt derrière pour baver sur son fessier bien moulé, tantôt devant pour définir la forme de sa fente. Il pouvait aussi espérer voir la base de ses seins. Mais cet espoir fut vain.

Dès lors, elle évita soigneusement de regarder en direction de M.Schmidt, ne voulant pas subir une nouvelle fois la tension que son regard aurait pu produire. Pour cela, elle se concentra uniquement sur ses gestes, laissant le loisir total à son cher usager de cartographier chaque recoin du bas de son corps. Ce qu'il ne manqua pas de faire en augmentant très largement l'échelle sur ses zones les plus intimes.

Lucie nettoya ainsi le premier velux, le coeur léger, fière d'avoir détourné l'atmosphère glaciale, même si c'était pour le remplacer par un comportement baveux.

Une fois finit son premier velux, cinq minutes après, elle descendit, déplaça l'escabeau et s'attaqua au second. Cependant, le lavage du second velux étant bien entamé, de nombreuses gouttes d'eaux savonneuses étaient tombées et continuèrent inévitablement à tomber sur son débardeur blanc. Mais cela n'inquièta pas outre mesure Lucie et pour cause.

La vendeuse du magasin chic, dans lequel elle l'avait acheté, lui avait certifié qu'il avait été confectionné avec un tissu spécial traité chimiquement, une formule brevetée qui garantissait l'opacité du vêtement même trempé mouillé. Lucie avait alors fait elle même l'expérience, l'avait enfilé après l'avoir mouillé entièrement, parce qu'elle n'était pas si naïve quant à l'argumentation des vendeurs, elle savait que l'eau sur un tissu blanc le rendait totalement transparent. C'est pourquoi, elle avait fait ce test avec de l'eau clair et avait été très satisfaite de constater que l'épaisseur et la qualité de son vêtement faisaient en sorte que l'on pouvait certes deviner complètement la forme de sa poitrine mais pas plus. Ainsi, elle portait assez souvent ce débardeur et toujours sans soutien gorges puisqu'il était trop moulant et de toute façon, ses jeunes seins étaient bien ronds et fermes.

Néanmoins, ce jour là, Lucie n'eut jamais conscience que l'eau qu'elle avait utilisée n'était pas totalement pure, elle y avait ajouté le savon maison de M.Schmidt et cela avait complètement changé la donne. Durant son intervention, elle n'eut à aucun moment le réflexe de jeter un oeil à sa poitrine, tellement elle était sûre d'elle. Elle savait qu'elle dévoilait ses formes mais pas plus.

Ce qui suivit, aurait pourtant dû lui mettre la puce à l'oreille quant à la véritable exposition qu'elle offrait de ses seins car, lorsqu'elle s'apprêta à escalader les premières marches pour accéder au dernier velux, après avoir fini le second, toujours sous les yeux ébahis de son surveillant, la sonnette retentit et elle entendit la porte s'ouvrir.

Quelques secondes après, deux hommes d'âge mûr, ridés, mal rasés, l'un petit gros bedonnant et chauve, l'autre grand, cheveux gris et amaigri, firent leur entrée dans la chambre arborant des sourires vicieux et des regards lubriques qui s'agrandirent lorsqu'ils posèrent les yeux sur la splendeur qui était au service de leur ami.

M.Schmidt déclara alors en montrant son portable :

- J'ai demandé à deux vieux amis et voisins, les cousins Mengin, Dédé et Phiphi de venir me seconder pour vous surveiller. L'escabeau doit être très glissant désormais avec toutes ces gouttes d'eaux savonneuses qui ont chu, j'ai peur pour votre sécurité, et malheureusement, je doute pouvoir anticiper une possible chute, j'ai donc jugé bon et décidé qu'il fallait veiller sur vous "d'encore plus près" comme vous l'avez vous-même suggéré, expliqua-t-il jouant intelligemment le jeu de la jeune femme, tandis que les deux hommes crevant de faim la dévoraient des yeux en bavant comme des porcs.

C'était la phrase la plus longue qu'il avait jusque là adressé à son auxiliaire. Lucie fut décontenancée par la tournure des évènements. Une partie d'elle tira la sonnette d'alarme mais l'autre trouva uniquement de la bienveillance dans son argument et le trouva totalement recevable puisque que c'était celui là même qu'elle avait utilisé pour détendre l'atmosphère.

Elle se reprit, car tout son être refusa catégoriquement de perdre son acquis chèrement gagné et ce pourquoi elle avait voulu faire ce métier. Elle rejetta formellement le moindre risque de faire réapparaître un M.Schmidt cinglant et aigri. Refouler ses amis comme des malpropres risquait évidemment de lui déplaire fortement. De plus, c'était lui son cher usager et c'était lui qui devait être satisfait d'elle.

Alors que les deux vieux mâles approchaient d'elle, un par sa gauche l'autre par la droite, elle choisit donc de faire abstraction des deux hommes qu'elle trouva tout simplement laid, qui étaient véritablement répugnant et réagit en disant :

- Oh c'est tellement prévenant de votre part mon cher M.Schmidt, s'exclama Lucie, jouant de nouveau la carte de la fille enjouée. Vous savez, c'est mon premier jour au SAP et vous êtes mon premier usager, je ne pensais pas que je rencontrerais une personne si préoccupée de ma sécurité. J'étais déjà chanceuse d'avoir un ange gardien aussi dévoué pour m'observer à la loupe, me voilà encadrée par deux autres, continua-t-elle en voyant les deux hommes s'avancer encore et se poster de chaque côté d'elle. J'espère qu'ils vont être aussi attentifs que vous.

- Oh que oui, nous allons être des anges dévoués et très consciencieux dans notre tâche de garde du corps, dit le gras Dédé d'une voix grave, en prenant le poignet de Lucie et en commençant à lever le bras de la jeune femme afin de la mater en la scrutant attentivement de haut en bas et jetant des coups d'oeil derrière.

De l'autre côté, Phiphi, imita la manoeuvre de Dédé la reluquant sans gêne également.

Lucie, malgré ses propos enjoués et l'expression de son jolie visage qu'elle voulait engageant, fut mortifiée par l'agissement des deux hommes dont les expressions pervers de leur visage étaient terrifiantes, et desquels il émanait une odeur de renfermé. Prise de dégoût, la tête de Dédé d'un côté, ronde avec un horrible nez de cochon, des oreilles décollées, un gras double menton et un postillon blanc se formant au coin des lèvres, la tête de Phiphi de l'autre, ovale allongée, un nez pointu d'où sortait des poils comme sur le haut de son torse et ses doigts, les dents jaunes pourries, elle commença à résister à leur manoeuvres. Mais en tournant la tête, elle vit que son M.Schmidt souriait et souriait de plus en plus à mesure que ses deux acolytes lui levaient les bras pour la mater sans aucune gêne, exposant maintenant en totalité le haut de son corps. Ainsi, Lucie se détendit petit à petit comme s'imprégnant du nouvel état d'esprit de la personne la plus importante pour elle en ce moment, son M.Schmidt, comme si c'était le sourire de son père qu'elle voyait.

Ainsi, toujours sous l'emprise de son empathie envers lui, elle sourit en retour pour finalement se laisser docilement faire, négligeant la présence des deux pervers baveux à ses côtés et surprise par l'effet positif que la vue de sa parfaite plastique avait encore une fois engendré chez son cher usager. Elle vit même avec bonheur les yeux du propriétaire des lieux briller. Le cerveau de la belle était focalisé sur le sourire et les yeux de son usager négligeant les deux pervers qui visitaient son dos, ses reins et le haut de ses fesses avec leur autre main. Elle ne se doutait pas que c'était sa poitrine nue sous le débardeur entièrement mouillé, collant et dorénavant transparent, qui émerveillait M.Schmidt et qu'il pouvait apprécier sans détournement. Mais sans que Lucie ne se douta de sa réelle offrande, bien au contraire, que c'est épatant ce que la simple vue de mon corps pourtant couvert semble produire chez lui. Quel contraste! C'est tellement génial, le jeux en vaut vraiment la chandelle.

M.Schmidt souria encore plus et elle souria également lorsqu'il ordonna en levant son smartphone dernier cri :

- Ne bougeait plus.

Il prit de nombreux clichés. Le corps de la jeune femme était totalement offert à l'objectif.

Intérieurement, Lucie fut désorientée. Même si elle était heureuse qu'il s'intéresse à elle, c'était la première fois qu'elle voyait des hommes démontrer autant d'intérêts et surtout aussi peu dissimulés envers ses atouts physique. Elle eut l'impression d'être une pièce de viande au milieu de loups affamés. C'était terrifiant.

Le deuxième visiteur justifia de nouveau leur présence en disant :

- Ouais Roro nous a dit que l'on avait l'occasion de faire une bonne action et on peut dire que t'es une très bonne action ma poulette, dit l'autre en riant. Allez, sourit ma bonne action, le petit oiseau va sortir, dit-il en riant de plus belle puis sortit la langue tout en fixant avec des yeux ronds sa poitrine pour la photo.

M.Schmidt, alias Roro, éclata de rire. Cela surprit tellement Lucie, qu'elle en oublia la situation dégradante dans laquelle elle se trouvait, les mains baladeuses ainsi que les propos équivoques et ria à son tour, prise par la "gaieté" des trois hommes, hihi l'ambiance est tellement plus jovial, que c'est agréable de voir ce pauvre homme rire, la présence de ses amis est finalement bienvenue, je suis finalement heureuse qu'ils soient là!

Pourtant, elle avait conscience que ses vêtements parfaitement moulants ne laissaient guère de place à l'imagination, mais elle s'en fichait complètement, tellement elle se sentait épanouie et joyeuse. Elle sentait son débardeur se coller littéralement à ses tétons qui commençaient à se dresser comme jamais auparavant sous l'effet du froid et de l'excitation joyeuse, mais ce n'était pas grave, ce n'était qu'un détail, elle ne s'inquiétait pas pour ça, car elle était rassurée que cela ne se voient pas, se basant sur le test qu'elle avait réalisé mais dans des conditions qu'elle ignorait obsolètes.

Ahlala et dire qu'avant je détestais qu'on me regarde ainsi, mais finalement, ce n'est pas si terrible, il leur en faut bien peu pour être heureux. Ils me font finalement rire avec leur sale gueule, leurs propos et leurs comportements caricaturaux de protecteurs pervers.

Évidemment, la réalité était tout autre, ce n'était aucunement des caricatures de pervers, ils l'étaient vraiment, et la vision qu'elle offrait aux trois hommes de ses petits tétons durcis était totale. La moue approbatrice que M.Schmidt arborait en regardant les photos ne laissait aucun doute sur leur réussite et laissait Lucie heureuse que cela lui plaise.