A la merci d'un sexagénaire (2)

BÊTA PUBLIQUE

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« Mon garçon m'a raconté que Charles a commencé par lui demander de se laisser déshabiller. »

« Il s'est laissé déshabiller? »

« Claude m'a dit qu'il avait refusé mais que Charles avait insisté en lui disant qu'il ne le regretterait pas. Il semble que Charles ait passé une main sur la braguette du pantalon de Claude en lui disant qu'il lui ferait ce qu'il a déjà fait à d'autres garçons au séminaire de Trois-Rivières. »

« Claude a-t-il accepté? »

« Il s'est laissé convaincre. »

« Qu'est-ce que Claude t'a dit que Charles lui avait fait? »

« Claude m'a dit que Charles lui avait baissé son pantalon avant de le faire asseoir sur son lit pour lui enlever ses souliers et lui retirer son pantalon. »

« Qu'est-ce que Claude t'a dit que Charles lui avait fait ensuite? »

« Il m'a dit que Charles l'avait fait coucher sur le dos sur son lit, qu'il lui avait retiré son caleçon. Il s'était ensuite assis sur le bord du lit et avait commencé à faire aller et venir l'intérieur d'une main contre son membre. Bien sur que mon garçon a aimé ça. »

« Il s'est laissé faire? »

« Bien sur qu'il s'est laissé faire d'autant plus que son pénis avait commencé à bander. Charles l'a ensuite masturbé avant d'introduire son pénis dans sa bouche pour lui faire une fellation. Claude a éjaculé dans sa bouche. Charles a conservé son sperme dans sa bouche jusqu'à ce qu'il lui ait écarté les fesses. Il a alors laissé couler le sperme sur son sphincter et sur son propre pénis afin de la lubrifier pour l'introduire plus facilement dans les entrailles de mon fils. Il semble que mon fils ait hurlé de douleur mais que Charles n'ait pas tenu compte de la douleur qu'il infligeait à son cousin et qu'il s'est projeté d'un seul coup au fonds des entrailles de mon fils. »

« Je n'en croyais pas mes oreilles : ou bien Claude avait menti à ses parents ce que nous avions fait ou bien c'était son père qui mentait pour pouvoir me piéger et abuser de moi. »

J'entends alors ma mère dire à son frère :

« Quelle punition veux-tu que nous imposons à Charles pour sa conduite ignoble? »

« Je veux que ce soit moi qui le punisse. »

« Quelle punition veux-tu lui donner? »

« Je veux lui faire la même chose qu'il a fait subir à mon fils. »

« Maurice, tu ne veux tout de même pas sodomiser notre fils? »

« Oui, je veux le sodomiser. Si vous ne voulez pas me le livrer pas, je vais dévoiler à toute la parenté ce que votre garçon a fait subir à mon fils en plus de dire pourquoi votre fils s'est fait expulser du séminaire de Trois-Rivières. »« Maurice, je me doutais que tu étais porté vers les jeunes garçons mais jamais je pensais que tu étais perverti à un point tel que tu voudrais t'en prendre à mon fils. »

« Je vous laisse choix : vous me permettez de punir votre fils ou je déclare tout ce qu'il a fait à tout le monde. »

« Quand veux-tu punir notre fils? »

« Dimanche prochain, je vais venir le chercher. Je veux que vous lui disiez de venir avec moi et de m'obéir. »

« Où vas-tu l'amener? »

« Je vais l'amener dans un endroit où personne ne pourra nous déranger. »

« A quelle heure vas-tu venir? »

« Je vais venir à onze heures. »

« Tu n'auras qu'à sonner. Charles sera là. Nous lui aurons dit d'aller avec toi et de t'obéir. »

« Vous ne serez pas là? »

« Nous n'y serons pas. »

« Parfait! »

J'entends les pas de mon oncle qui s'approche de la porte de la maison. J'entends la porte s'ouvrir puis se fermer. Mon oncle a quitté la maison.

Mes parents sont sans doute assommés par ce qui vient de se passer. Il n'y a pas un seul bruit dans la maison.

Je monte l'escalier le plus délicatement possible et je me dirige dans la salle de jeux. Elle est attenante à ma chambre à coucher. Je prends un livre et je me laisse choir dans un fauteuil en attente de la réaction de mes parents qui ne devraient pas tarder à me donner signe de vie.

Au bout de quelques minutes, j'entends un bruit de pas : ils semblent se diriger vers l'escalier qui donne à ma chambre. J'entends quelqu'un monter. Le bruit des pas s'approche. Ma mère entre dans la salle de jeux : elle vient s'asseoir dans un fauteuil situé à coté de celui où je suis assis. Je feins de lire et de n'avoir rien entendu de ce qui vient de se passer.

Ma mère ne dit pas un mot : le silence est lourd.

Au bout de quelques secondes qui me paraissent des minutes, ma mère de dit :

« Ton père et moi venons d'avoir la visite de ton oncle Maurice. Il est venu nous dire que tu avais eu des relations sexuelles avec ton cousin Claude. »

« C'est vrai que j'ai eu une relation sexuelle avec lui pendant les vacances de Noël, la journée que vous êtes allés à Québec. »

« Maurice nous a dit que c'était toi qui le lui avais proposé? »

« C'est faux : Claude est venu me voir lors de la journée en question et c'est lui qui m'a proposé d'avoir une relation sexuelle avec lui. »

« Tu as accepté? »

« Oui, j'ai accepté et c'est lui qui m'a demandé de monter dans ma chambre. »

« Peut importe que ce toi ou lui, le fait est que tu as eu une relation homosexuelle avec ton cousin. Quand tu t'es fait expulser du séminaire de Trois-Rivières, nous t'avions dit que nous te pardonnions les gestes que tu avais posés avec d'autre garçons du séminaire mais que si tu recommençais une seule autre fois, nous ne te le pardonnerais pas et que tu devrais assumé les conséquences conséquentes à ton vice. »

« Je sais maman, mais je n'ai pas pu décliner l'invitation de Claude et j'ai succombé à la tentation. »

« Suite aux gestes dépravés que vous avez accomplis, ton cousin Claude a eu une infection rectale qui a du être traité par un médecin. Ton oncle Maurice a donc décidé de venger son fils en nous forçant à te livrer à lui pour qu'il te fasse subir ce que tu as fais subir à son fils sous peine de tout déclarer ce que tu as fait à toute la parenté. »

« Je te jure, maman, que ce n'est pas moi qui l'ai pénétré. C'est lui qui s'est empalé sur mon pénis et qui se l'ai enfoncé au fonds de ses entrailles. »

« Peut importe que ce soit lui ou toi, le mal est fait et tu dois payer pour ton infamie. »

« Quand mon oncle Maurice doit-il venir me chercher pour me faire subir ce qu'il prétend que j'ai fait subir à son fils? »

« Il va venir te chercher demain, à onze heures. Ton père et moi, nous ne serons pas à la maison. Nous allons quitter la maison à neuf heures trente pour la messe de dix heures et nous ne reviendrons pas avant onze heures trente. Pendant la messe nous allons prier pour toi. Quand ton oncle va sonner, je te demande de lui ouvrir, de le suivre sans opposer de résistance et d'accepter de te soumettre à tout ce qu'il va te demander de faire ou de subir. »

« Maman, tu n'es pas capable, au moins, de m'éviter de me faire sodomiser par ton propre frère? »

« Non, Charles! L'ultimatum de ton oncle est sans appel. »

« Je vais donc me soumettre à votre décision et je vous promets que je n'offrirai aucune résistance à cet oncle incestueux et que j'accepterai de me soumettre à toutes les horreurs qu'il voudra bien me faire subir. »

Ma mère, sans m'adresser aucune autre parole, se lève de son fauteuil et quitte la salle de jeux.

Je l'entends descendre l'escalier et fermer la porte qui se trouve au bas.

Je n'ai pas descends de la salle de jeux pour souper, ni même de restant de la journée, et je vais me coucher très tôt.

Le lendemain, j'attends que mes parents soient partis pour descendre et passer à la salle de toilette.

Je prends une douche très chaude et je me lave les cheveux.

Après m'être essuyé, je remonte dans ma chambre pour m'habiller.

Je mets des sous-vêtements propres bleus foncés, des bas bleus, des pantalons gris, des souliers noirs, une chemise blanche, une cravate bleue et un veston bleu marin.

A onze heures moins dix, je m'assieds dans le salon en attendant que mon oncle arrive.

A onze heures exactement, le carillon de la porte avant sonne. J'ouvre la porte : mon oncle Maurice est là.

« Tu m'accompagnes? »

Je ne dis pas un mot : je ferme la porte de la maison et je le suis vers son auto.

J'e monte dans l'auto et je ferme la porte.

Mon oncle fait le tour de l'auto et vient prendre place du coté du chauffeur.

L'auto démarre et nous partons.

Nous quittons la ville :

« Où allons-nous? »

« Dans le bout de St Eulalie. »

« C'est là que......? »

« C'est là que tu vas payer pour ce que tu as fait à mon fils Claude. »

« Je sais, mon oncle, que tu ne me croiras pas, mais je vais te le dire quand même : Oui, nous avons eu une relation homosexuelle ensemble mais ce n'est pas moi qui l'ai sodomisé. Claude s'est lui-même empalé sur mon pénis. »

« Ce n'est pas qui est responsable de quoi qui m'importe, mais le résultat. »

Nous sommes partis depuis une quinzaine de minutes lorsque mon oncle me tend un bandeau noir et me demande de le passer sur mes yeux et de l'attacher derrière ma tête.

J'acquiesce à sa demande : je ne vois plus rien.

Au bout de quelques minutes je sens que nous quittons la route principale pour tourner à droite et prendre une route de moins bonne qualité. Encore quelques minutes et nous tournons encore à droite mais cette fois nous à très basse vitesse sur un chemin raboteux et qui me semble en gravier.

Quelques minutes plus tard, l'auto s'arrête.

Mon oncle me dit :

« Tu peux enlever ton bandeau. »

J'enlève mon bandeau : nous sommes devant une bâtisse qui semble avoir déjà été un petit motel. Il n'y a pas d'enseigne. L'auto est arrêtée devant ce qui avait dû avoir été l'office.

« C'est quoi, cette bâtisse? »

« C'était un petit motel dont le propriétaire a fait faillite. Il a été acheté avec l'argent de quelques hommes comme moi et nous l'avons fait transporter ici pour nos besoins. Comme tu peux le constater, cette construction n'est connue que par notre groupe d'hommes et est donc à l'abri de toute intervention extérieure inopinée. »

Mon oncle me dit alors :

« Maintenant que tu es rassuré, sors de l'auto. »

J'étais bien loin d'être rassuré, au contraire, je réalisais à quel point j'étais seul et à ma merci de mon oncle et probablement de ses acolytes.

Je sors de l'auto.

Il en fait de même.

« Diriges-toi vers la porte de l'office! »

Je me dirige vers l'endroit demandé.

Mon oncle me suit

« Ouvre la porte et entre. »

Je m'exécute et je me dirige vers le comptoir. »

Un homme se présente derrière ce dernier.

« Bonjour Monsieur Faucher! »

« Bonjour Léon! »

« La chambre numéro sept? »

« Maurice, elle est à votre disposition! »

L'homme derrière le comptoir semble une connaissance complaisante de mon oncle.

Il prend une clé et la tend à mon oncle.

Ce dernier prend la clé en disant :

« Léon, un peu plus tard, si tu es disponible, j'aurai probablement besoin de tes services. »

« Vous me connaissez, Monsieur Faucher, vous n'aurez qu'à décrocher le téléphone et je serai dans votre chambre en moins de vingt secondes. »

Cette remarque du Monsieur qui semble être le propriétaire de l'endroit me laisse supposer que je devrai probablement subir les assauts de mon oncle et de son comparse.

De toute façon, je n'ai pas le choix : je devrai me plier à toutes leurs exigences.

Mon oncle me prend par l'avant bras et me force à l'accompagner.

Nous arrivons à la chambre sept.

Mon oncle prend la clé et débarre la porte : il me pousse dans la chambre.

Le mobilier de la chambre se limite à un lit double sur structure de métal, une table de nuit sur laquelle est déposé un téléphone et un petit bocal, un bureau à deux rangées de tiroirs et une chaise a barreaux.

Comme toute literie, il n'y a qu'un matelas sans aucun drap et deux oreillers sans taie.

Un tuyau blanc en forme d'ovale orne autant la tête que le pied de lit. Le tuyau et maintenu en place par d'autres tuyaux blancs qui soutiennent le tuyau ovale au châssis du lit.

« Tournes-toi face à moi. »

Je m'exécute.

« Déshabilles-toi et mets ton linge sur le bureau. »

« Je déboutonne mon veston, je le retire de sur mes épaules et je le dépose sur le bureau.

Je dénoue le nœud de ma cravate, je la fais glisser de sous le collet de ma chemise et je la pose sur mon veston

« Continues à te déshabiller. »

Je déboutonne alors les boutons du devant de ma chemise puis ceux des poignets et je l'enlève. Je pose ma chemise avec mes autres vêtements sur le bureau.

Je fais toujours face à mon oncle : je suis maintenant torse nu.

Mon oncle me dit :

« Lèves tes bras au-dessus de ta tête. »

Je m'exécute.

Mon oncle s'approche de moi et il passe ses mains sous mes aisselles.

« C'est parfait, tes aisselles sont très douces et sans aucun poil. »

Il porte ses doigts à son nez et les sent :

« Tes aisselles sont très propres : il n'y a aucune odeur de transpiration. Tu vas maintenant enlever tes souliers et tu vas baisser ton pantalon et le retirer. »

J'obtempère aux demandes de mon oncle : j'enlève mes souliers puis, je baisse mon pantalon et je le retire de mes pieds.

Comme tout vêtement, je ne porte plus que mon caleçon et mes bas.

Le fait de devoir me dévêtir devant un adulte qui en plus est mon oncle m'excite sexuellement. Mon caleçon ne peut dissimuler le résultat de cette excitation. Les yeux de mon oncle sont rivés sur mon pénis en érection qui est toujours faussement dissimulé à l'intérieur de mon caleçon.

« Tu n'es qu'un sale pervers qui est excité à l'idée de ce qui t'attend. »

« Oui, mon oncle! Je sais que ton comparse et toi allez me faire souffrir. Ça m'excite. »

Mon oncle s'approche de moi : il touche d'une main le devant de mon caleçon pour constater mon degré d'excitation.

Je ferme les yeux et je me laisse toucher.

Tout en passant de bas en haut une main sur le devant de mon caleçon, mon oncle me dit :

« Tu as déjà eu des relations sexuelles avec un homme? »

« Oui, une fois! »

« Avec plusieurs hommes à la fois? »

« Jamais, mais je crois que ça va m'arriver aujourd'hui. »

« Tu as déjà fait une fellation complète à un homme? »

« Oui! »

« Tu as déjà avalé le sperme d'un homme? »

« Oui, j'ai déjà avalé le sperme d'un homme. J'ai aussi déjà avalé le sperme de ton fils et sans doute qu'aujourd'hui, je vais devoir avaler le tien et probablement aussi celui de ton comparse. »

Mon caleçon à peine à contenir mon membre qui est en pleine érection et que mon oncle ne cesse de masturber par-dessus la mince étoffe de linge.

« Es-tu sur le point d'éjaculer? »

« Non! »

« Si je continue à te masturber comme je le fais présentement, vas-tu éjaculer? »

« L'homme avec qui j'ai eu une relation sexuelle à Trois-Rivières m'a appris à contrôler les muscles du bas de mon ventre et de mon pénis afin de retarder le plus possible mon éjaculation. »

« Cet homme t'a appris à supporter la douleur? »

« Oui! »

« Même une douleur vive? »

« Même une douleur vive. »

Mon oncle empoigne mon pénis par-dessus mon caleçon et il me tire vers le lit.

« Enlèves ton caleçon. »

Je baisse mon caleçon et je le laisse choir par terre. Mon pénis est bandé et il se tient à l'horizontal.

« S'il savait ce qu'il l'attend, il débanderait vite! »

« Je ne pense pas, mon oncle! »

« Assis-toi sur le bord du lit et retires tes bas.

J'obéis à mon oncle.

« Couches-toi sur le lit, sur le ventre. Ça va te faire débander! »

Je me couche sur le lit.

« Places tes bras de chaque coté de ta tête et fait glisser ton corps sur le matelas de sorte que tes pieds passent à travers les barreaux du pied du lit tandis que mains empoignent les barreaux de la tête du lit. »

Je me couche dans la position demandée.

« Maintenant, regardes-moi. »

Je tourne la tête en sa direction.

Mon oncle dénoue la boucle de sa ceinture. Il tire sur la boucle, il fait glisser sa ceinture de ses ganses et la prend par la boucle dans sa main droite.

« Tu m'as dit que tu pouvais supporter la douleur, même une douleur vive? »

« Oui, mon oncle! »

« Je vais te fouetter le dos, les fesses et le dessous des pieds : cinq coups de ceinture sur le dos, cinq sur les fesses et cinq sur chacun du dessous de tes pieds. Tu es prêt à endurer ça? »

« Oui, mon oncle! »

« Je dois t'attacher? »

« Non, mon oncle : je vais me laisser fouetter sans faire aucun geste pour tenter d'éviter les coups de ceinture. »

Mon oncle se place vis à vis mon dos : il lève son bras droit :

« Tu es prêt? »

« Oui, mon oncle! »

Mon oncle baisse rapidement son bras droit.

Le bout de la ceinture atteint le centre de mes omoplates.

Le coup me fait mal, mais la douleur est supportable.

« Comptes les coups! »

« Un. »

Le second coup atteint mon omoplate droite; il est un peu plus violent.

« Deux »

Puis mon omoplate gauche, avec encore plus de violence. Je place mon visage face à l'oreiller pour étouffer ma plainte.

« Haaaa! Trois »

Puis mon omoplate droite, avec la même violence..

« Haaaaaa! Quatre »

Finalement le centre de mes omoplates avec une violence extrême.

« Haaaaaaaaaa! Cinq »

« Tu veux que je te laisse récupérer un peu? »

« Non, mon oncle : continues! »

Les cinq coups suivants atteignent mes fesses.

Même si les coups de ceinture sont donnés avec force, la douleur est plus facilement supportable.

« Maintenant, c'est au tour de tes pieds. A cet endroit, même si les coups laissent des traces, elles ne sont pas visibles. Je vais frapper de dessous de tes pieds avec la boucle de ma ceinture. Je te les attache après les barreaux du pied de lit? »

« Oui, mon oncle, attaches-moi les pieds. Je ne veux pas te décevoir en tentant de bouger mes pieds pour éviter les coups. »

J'entends mon oncle se déplacer vers le fond de la pièce. C'est là qu'est le bureau. Je l'entends ouvrir un tiroir puis le refermer. Il revient vers le lit avec des cordes. Il me place le dessous des pieds de sorte que la boucle de la ceinture puisse les atteindre de plein fouet et il me les attache après les barreaux du pied du lit.

Je ne peux plus faire le moindre geste pour que le dessous de mes pieds puissent se soustraire au moindre coup.

Je me replace le visage dans le creux de l'oreiller pour tenter d'étouffer le plus possible les cris de douleur que je ne pourrai sûrement pas m'empêcher d'émettre.

« Je te frappe! »

J'agrippe mes mains aux barreaux de la tête du lit

Le premier coup atteint violemment l'arche de mon pied droit.

La douleur est vive mais supportable:

Le second coup atteint encore plus violemment l'arche de mon pied gauche.

Cette fois, je ne peux m'empêcher d'émettre un cri de douleur :

« Hhhhhhhhaaaaaaaaiiiiiiieeeeeee! »

Le troisième coup atteint moins violemment l'os de mon talon gauche : il est moins douloureux. Je peux l'endurer la douleur sans aucune plainte.

Le quatrième coup atteint violemment le dessous des orteils de mon pied gauche.

La douleur est vive à un point tel que mon corps se soulève du matelas et que mon cri aurait été entendu de l'extérieur de la chambre si ce n'avait été que l'oreiller ne l'étouffe.

« Hhhhaaaiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiieeeeeeeeeeeeeeeeee! »

La sueur perle de partout sur mon corps.

Je resserre mon emprise sur les barreaux de la tête du lit

Le cinquième coup atteint aussi violemment le dessous des orteils de mon pied droit.

Mon corps se soulève à nouveau du matelas et la sueur ruisselle de partout sur mon corps.

Le cri de douleur que j'émets fend l'air :

« Hhhhhhhhhaaaaaaaaaaaaiiiiiiiiiiiiiiiieeeeeeeeeeee! »

Je m'affale sur le lit et je demeure le visage dans l'oreille sans faire le moindre geste.

Mon oncle a compris que pour le moment, il devait me laisser récupérer avant de passer à une autre partie de mon corps.

Il me détache les pieds et il passe à la salle de toilette d'où il rapporte une serviette et la dépose à coté de moi :

« Essuies ton corps. »

Je récupère encore pendant quelques secondes puis, je me lève de sur le matelas et je m'assis sur le bord du lit.