A la merci d'un sexagénaire (2)

BÊTA PUBLIQUE

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Je prends la serviette dans ma main droite et je m'essuie le thorax, les bras, les aisselles, les cotés et finalement le ventre.

Mon oncle s'est assis à coté de moi : il remarque que mon pénis est toujours en pleine érection.

« Il n'y a rien pour te faire débander? »

« Surtout pas la douleur, quelle que soit son intensité! »

« On verra bien! »

Mon oncle prend la serviette que je tiens toujours dans ma main droite et il m'essuie les épaules et le dos.

« As-tu assez récupéré pour passer à l'étape suivante? »

« Oui! »

« Remets tes bas. »

Je m'exécute.

« Maintenant, lèves-toi. »

Je me lève.

Mon oncle me prend par le bras gauche et il m'amène vers le bureau.

« Places-toi debout au bout du bureau. »

Je m'exécute.

« Pose ton pénis sur le dessus du bureau. »

Je me place en position demandée : mon pénis est bien à plat contre le dessus du bureau.

Mon oncle se penche et ramasse un de mes souliers qui est sur le sol. Il le place sur le bureau de façon à ce qu'il puisse le prendre par le devant.

Mon oncle prend maintenant ma cravate :

« Place tes mains derrière ton dos. »

J'obéis à sa demande.

Mon oncle prend ma cravate et il m'attache les poignets.

Maintenant, il me pousse vers le bureau de sorte que le devant de mes cuisses soit appuyées contre le coté du bureau.

Il prend ensuite la chaise et la place derrière mes jambes de sorte que si la douleur causée par ce qu'il s'apprête à me faire subir est forte au point que je m'affaisse, cette chaise va limiter ma chute.

Mon soulier est sur le dessus du bureau, De sa main droite, mon oncle le prend fermement par le devant et il se place pour que le talon du soulier soit à quelques pouces au-dessus du gland de mon pénis.

Je sais ce qui m'attend.

Mon oncle me dit :

« Je vais te frapper violemment le gland de ton pénis avec le talon de ton soulier : ça va te faire très mal. »

« Je vais être capable de le supporter. »

« Colle tes jambes contre le bureau. »

Je m'exécute.

Mon oncle place alors fermement sa main gauche sur mon pénis de sorte que seul le gland soit dégagé.

« Prends une profonde respiration. »

Je prends une profonde respiration et je la garde.

Mon oncle abaisse lentement le talon du soulier au-dessus de mon gland puis le relève de quelques pouces avant de le rabaisser violemment.

Le talon de mon soulier frappe violemment à plat, le dessus du gland de mon pénis.

Je ressens aussitôt une douleur atroce.

« Hhhhhaaaaaaaaaa! »

Des larmes perlent au coin des mes yeux et coulent sur mes joues. Mes genoux ont de la peine à supporter le poids de mon corps. Je réussis tout de même à me ressaisir et à demeurer debout.

« Tu veux t'asseoir quelques secondes pour récupérer? »

« Non, je suis prêt à endurer la suite. »

« Ça va te faire encore plus mal. »

« Je m'en doute! Tu vas me frapper sur le bout du gland? »

« Je vais te frapper le méat du gland mais cette fois ce ne sera pas avec le plat du talon de ton soulier mais avec la lame que forme le point de jonction entre le plat et le coté du talon. »

« Je ne me suis jamais fait faire ce genre de supplice. Si ma punition doit passer par une telle torture, je suis prêt à en accepter la sentence.

« Tu es prêt? »

« Je suis prêt! »

Mon oncle agrippe fermement mon pénis entre le pouce et l'index de sa main gauche et le fixe solidement au-dessus du bureau.

Il modifie la prise qu'il avait sur le devant du soulier en changeant l'angle avec lequel il va frapper le méat de mon gland.

Le talon du soulier forme maintenant à angle de 45 degrés entre le dessous du talon et le coté de ce dernier.

Mon oncle abaisse lentement le soulier pour s'assurer que le point d'impact sera directement sur le méat du gland.

Il remonte le soulier de quelques pouces et le rabat avec violence sur mon méat.

« Hhhhhhaaaaaaaaaiiiiiiiieeeeeeeee! »

La douleur est si vive que mes jambes ne peuvent plus me supporter. Je m'affale dans la chaise qui avait été placé derrière moi en perdant connaissance.

Quand je commence tranquillement à reprendre connaissance, je constate que je suis couché sur le ventre en travers du lit.

J'ai les jambes écartées et les chevilles attachés aux barreaux de la tête et du pied de lit.

Mes mains sont toujours attachées derrière mon dos.

Le gland de mon pénis me fait toujours extrêmement mal mais il est toujours en érection.

Pour tenter de contrer la douleur, j'essaie de faire glisser mon pénis d'avant à derrière contre le matelas.

J'entends mon oncle parlé à un autre homme. Je suppose que se doit être l'homme qui était à l'office.

Je tourne légèrement la tête et je les vois : ils sont debout au pied du lit, avec comme vêtement que leur caleçon.

Ils me regardent

Mon oncle dit :

« Regardes-le : il vient à peine de reprendre connaissance et il est déjà à se masturber. Il en veut demande encore : il va être servi. »

« Ton neveu me semble très vicieux : je dirais même qu'il a une forte tendance au sadomasochisme. »

« Tu le crois sadomasochiste? »

« Avec les marques laissées par ce que tu lui as fait sur le gland et la douleur qu'il doit encore endurer, le fait que malgré tout il soit à se masturber semble confirmer ce que je pense de lui. »

Mon oncle s'approche de moi et me dit :

« Tu as entendu ce que Léon m'a dit à ton sujet? »

Tout en continuant à me masturber je lui dis :

« Oui, j'ai compris! »

« Penses-tu que Léon à raison? »

J'hésite avant de répondre à mon oncle :

« Il a raison! »

« Tu veux que nous te fassions encore souffrir? »

« Oui je veux que vous me fassiez encore souffrir, mais je vous en supplie, sans me mutiler. »

Mon oncle rétorque à Léon :

« Je n'aurais jamais pensé avoir un neveu qui soit corrompu à ce point. »

« Pourquoi n'en profiterions-nous pas? »

« Bien sur que nous allons en profiter. »

Mon oncle s'adresse à moi :

« Mets-toi à genoux! »

Avec les mains attachées derrière le dois, j'ai de la peine à me mettre à genoux.

Léon vient se placer derrière moi pendant que mon oncle retire son caleçon, qu'il s'assoit sur le matelas et qu'il se laisse glisser jusqu'à ce qu'il soit à mes cotés.

Mon oncle me dit :

« Laisses-toi aller par en arrière. Léon va te soutenir. »

Je n'ai pas le temps de me laisse aller que Léon me prend par les épaules et me tire légèrement vers lui. Il m'appuie le dos contre son torse.

Une fois que je suis appuyée contre le torse de Léon, mon oncle passe une main sous mon pénis et la referme autour.

« Léon va te jouer dans le cul pendant que je vais te masturber jusqu'à ce que tu éjacules dans le petit bocal qui se trouve à coté du téléphone. »

« Pourquoi c'est Léon qui va m'enculer au lieu de toi et pourquoi me faire éjaculer dans un petit bocal? »

« Parce que je veux que tu souffres le plus possible. Léon possède un pénis beaucoup plus gros et beaucoup plus long que le mien. Ta sodomisation va donc être beaucoup plus douloureuse avec Léon qu'avec moi. Pourquoi te faire éjaculer dans un petit bocal? Parce que Léon va se servir de ton sperme comme lubrifiant. »

Sans autre préambule, mon oncle commence à ma masturber très lentement pendant que je sens que mes fesses se font écarter et qu'un doigt commence à tournailler contre la rosasse de mon sphincter.

Je ferme les yeux pour mieux ressentir la jouissance que les gestes de ces deux hommes commencent à me procurer.

Je force mon bassin vers l'avant tandis que j'appuie mon dos plus fermement contre le torse de Léon.

Je sens maintenant qu'un doigt se pose directement sur la rosasse de mon sphincter et en force l'entrée. Je n'oppose aucune résistance. Je sens le doigt pénétrer de plus en plus profondément dans mes entrailles.

« Ça me fait mal! »

« La douleur que tu ressens présentement n'est rien à coté de celle que tu vas ressentir quand Léon va t'enculer. »

Je sens que le doigt de Léon est rendu le plus loin qu'il puisse aller au fond de mes entrailles. Il pousse quand même son doigt le plus profondément possible.

La douleur que je ressens dans mes entrailles est en partie compensée par le bien-être que mon oncle me procure en me masturbant.

Je ressens soudain une sensation comme si Léon voulait retirer son doigt de mes entrailles. Son doigt doit être retiré de moitié quand, d'un mouvement d'une extrême violence, il le propulse au fond de mes entrailles.

« Hhhhhaaaaaaaaaa! »

Tous les muscles de mon corps se cabrent sous la douleur.

Le gland de mon pénis se gorge de sang.

Alors que mon oncle me masturbe de plus en plus rapidement, Léon fait aller et venir son doigt à un rythme accéléré à l'intérieur de mes entrailles.

La douleur s'est transformée en un bien-être insoupçonné.

Je sens que je vais bientôt éjaculer : mon oncle le constate aussi.

Il fait un signe à Léon.

Ce dernier, tout en continuant à faire aller un doigt à l'intérieur de mes entrailles, il passe un bras autour de ma poitrine pour s'assurer que je ne m'affaisse sur le lit.

Mon oncle, tout en continuant à me masturber, il saisit le petit bocal et il l'approche du méat de mon pénis.

Je donne un violent coup de rein vers l'avant :

« Je viiiiieeeeennnnnssssss! »

Mon oncle dirige l'ouverture du bocal au bout de mon méat : mon sperme gicle à l'intérieur.

Mon oncle presse mon pénis afin que tout le sperme soit évacué dans le bocal.

Il redépose le bocal sur la table de nuit.

« Maintenant, c'est à ton tour de nous faire jouir tous les deux. »

Léon, tout en maintenant son doigt dans mes entrailles, il baisse le bras qu'il avait passé autour de ma poitrine pour qu'il soit à la hauteur de mon bassin.

« Tout en demeurant à genoux, tu vas te pencher par en avant. »

« Voulez-vous me détacher les poignets? »

Mon oncle me détache les poignets.

« Merci! »

« Maintenant, penches-toi par en avant. »

Je m'exécute : je me penche vers l'avant jusqu'à ce mon front touche au matelas.

Dans cette position, je ne peux absolument rien voir de ce que Léon se propose de me faire subir.

Je sens que son doigt se retire de mes entrailles.

Je sens maintenant qu'il m'écarte les fesses.

« Maurice, prends le bocal de sperme et verse le dans le cul entre ouvert de ce jeune homme pendant que j'enlève mon caleçon. »

J'entends mon oncle se déplacer puis, je sens un liquide visqueux couler entre mes fesses.

Je sens quelque chose de gros se glisser entre mes fesses écartées. Je devine que Léon lubrifie son pénis dans mon sperme.

« Tu me laisses l'enculer au complet avant de te positionner pour te faire sucer. »

« Tu veux que je le tienne pour ne pas qu'il puisse bouger? »

« Si tu veux! »

Je sens que mon oncle embarque sur le lit : il appuie ses genoux contre mes épaules, colle son ventre contre mon dos et passe ses bras autour de mes hanches.

Je ne peux absolument faire aucun mouvement vers l'avant.

Léon demande à mon oncle :

« Tu y es? »

« Oui, vas-y! »

Je sens quelque chose de très gros effleurer la rosasse de mon sphincter et se positionner en plein centre.

Je suppose que c'est le pénis de Léon.

Je commence à sentir une pression.

La pression se fait de plus en plus forte et de plus en plus persistante.

Les chairs de mon anus doivent se distendre puisque je sens que la chose commence à forcer l'entrée de mon anus.

Mes chairs se dilatent de plus en plus.

Je commence à ressentir de la douleur.

Plus la pression s'intensifie, plus la douleur augmente.

« Arrêtez, c'est beaucoup trop gros : vous allez déchirer mes chairs. »

Mon oncle resserre son emprise.

« Prends une profonde respiration et tient là. »

Je m'exécute.

Je sens un violent coup de reins

Le gland du pénis de Léon force la barrière de mon sphincter.

« Aaaaaaaaaiiiiiiiiiieeeeeeeeeeeeeeee! »

Je sens que son gland est dans mon cul.

« Jeune homme, le pire est fait. Respires normalement. »

Je sens que le pénis se fraie un chemin de plus en plus profondément à l'intérieur de mes entrailles.

Je crois que son pénis est entièrement dans mes entrailles quand Léon me dit :

« Reprends une autre grande respiration et garde là parce que ça va te faire très mal. »

Je reprends une autre profonde respiration et je la tiens

« Maurice, tu peux le lâcher! »

Mon oncle me libère de son emprise et je sens qu'il débarque du lit.

D'un autre violent coup de reins, Charles se propulse contre moi : cette fois, son pénis s'enfonce au complet au plus profond de mes entrailles.

« Hhhhhhhhaaaaaaaaaaaaaaaaaahhhhhhhhhhhh! »

Je m'affale sur le lit : Léon est couché par-dessus moi.

Pendant quelques instants, il reste immobile.

La douleur s'amenuise dans mes entrailles.

Puis s'aidant de ses mains placées de chaque coté de moi, Léon se soulève légèrement de sur mon corps et il se retire quelque peu de mes entrailles.

Tout en me soulevant ma tête qui repose sur le matelas, Léon demande à mon oncle de se coucher sur le dos sur le lit de sorte que son sexe soit à la portée de ma bouche.

Mon oncle s'exécute : il se couche de sorte que ma bouche soit au-dessus de son sexe et que je n'aie pas d'autre choix que de le recevoir dans la bouche au moment où je vais devoir à nouveau pencher mon corps vers l'avant.

Léon propulse violemment à nouveau son membre au fonds de mes entrailles.

Le bien-être que je commençais à éprouver fait place à une autre douleur très vive.

Je ne peux m'empêcher d'ouvrir la bouche pour laisser échapper un nouveau cri de douleur :

« Hhhhhhhaaaaaaaaaaahhhhhhhh! »

Au moment où j'ouvre la bouche pour me plaindre, mon oncle profite de cet instant pour introduire son pénis dans ma bouche et pour passer ses mains derrière ma tête de sorte qu'il me soit impossible de me dégager de son emprise.

À nouveau, Léon demeure immobile dans mes entrailles sans bouger.

Une seconde fois, la douleur s'amenuise.

Mon oncle m'ordonne alors :

« Passes ta langue sur mon pénis et suces-le »

Je passe une main autour de sa colonne de chair et je commence à la lécher au même moment que Léon commence à faire aller et venir lentement son pénis à l'intérieur de mes entrailles.

La douleur fait maintenant place à une jouissance de plus en plus grande avec l'accélération des mouvements de va et vient de son pénis dans mes entrailles.

Je sens que la respiration de Léon commence à se saccader de plus en plus au fur et à mesure de la rapidité de ses mouvements.

Il en est de même de mon oncle qui réagit de plus en plus aux contacts de ma langue et de la succion de ma bouche sur son membre.

Simultanément à des spasmes qui font soulever du matelas le bassin de mon oncle à plusieurs reprises laissant présager une éjaculation imminente, Léon, suite à quelques autres rapides mouvements de va et vient à l'intérieur de mes intestins, s'affale lourdement sur mon corps. Je sens un liquide chaud se répandre à l'intérieur de mes entrailles.

Léon éjacule dans mes entrailles en même temps que mon oncle éjacule au fonds de ma gorge.

J'ai de la peine à avaler le sperme de mon oncle à cause du poids de Léon sur mon dos.

Au bout d'un moment, ce dernier se soulève de sur mon dos et se retire de mes entrailles.

Mon oncle Maurice retire son pénis de ma bouche : il se glisse sur le matelas et débarque du lit.

Charles me tend un linge propre et me dit :

« Passes à la salle de toilette : nettoies tes fesses et le sperme qui sort de ta raie. Ensuite, reviens dans la chambre et rhabilles-toi. »

Je fais ce que me demande Charles et je reviens dans la chambre.

Mon oncle et son comparse sont rhabillés : ils m'attendent.

Sans les regarder, je reprends mon linge et je me rhabille.

Mon oncle s'adresse alors à moi :

« Charles, je ne pensais jamais que tu nous ferais passer de si bons moments. Nous l'avons grandement apprécié et pour te prouver notre gratitude, je vais dire à tes parents que rien n'était vrai de ce que mon fils m'a dit. Ça devrait rétablir les liens avec tes parents. Si jamais tu désires participer à une autre de nos rencontres, laisses-le moi savoir et je me ferai un plaisir de te présenter à d'autres membres de notre confrérie. »

Mon oncle me raccompagne à la maison et confirme à mes parents que son fils lui a menti et que c'est bien son fils qui à demander à Charles d'avoir une relation sexuelle avec lui et que c'est lui-même qui s'est empalé sur le pénis de Charles.

Mes parents ont semblé soulager des explications de mon oncle mais ne m'ont tout de même pas pardonné d'avoir eu cette autre relation homosexuelle avec mon cousin.

Mon oncle ne m'a jamais plus demandé de le réaccompagné à Ste Eulalie.

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