Bourgeoises Rééduquées : Partie 12

Informations sur Récit
Didier découvre une facette inconnue de Charlotte
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Partie 12 de la série de 12 pièces

Actualisé 06/13/2023
Créé 06/13/2020
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Cette histoire est le fruit d'une collaboration épistolaire avec Trouchard. Chaque personnage raconte son point de vue, de ce fait certaines peuvent être répétées selon le ressenti de chaque personnage.

Ce chapitre clôture les aventures de notre belle bourgeoise rousse avec son voisin ... mais qui sait?

****************************************************************************************

Week-end à Deauville

Didier

En sortant de la douche, je souris de contentement. Je me suis bien amusé ce soir. J'aime humilier ces bourgeoises. Elles sont magnifiques et prêtes à tout pour me satisfaire. Je crois qu'avec Natacha, je vais pouvoir aller loin dans la perversion. Elle a du potentiel, je crois que c'est elle qui animera notre prochaine soirée de poker.

La soumission de Charlotte est totale. Elle doit croire qu'elle va subir une tournante dans de vieux baraquements sur un chantier, mais elle ne s'est pas rebellée. Elle s'est juste contentée de pleurer. Je vais la laisser mariner et lui jouer un petit tour. De plus, elle est vraiment magnifique quand elle a peur.

Le vendredi matin, je rejoins mon ami Pierre dans son bureau personnel à sa banque. Après l'accolade de rigueur, je lui dis la raison de ma visite.

— Je voudrais que tu analyses les documents comptables de la société de Charlotte. J'ai récupéré ses codes d'accès aux serveurs. Tiens!

— Ok, je vais tout d'abord bloquer tout accès. Comme ça j'aurai une image figée des comptes. Tu veux un café?

— Pourquoi pas?

Pierre appuie sur un interphone et dit :

— Odile, vous pouvez nous amener deux cafés s'il vous plaît?

— Oui Monsieur! Répond une voix dans l'appareil.

Peu de temps après, entre dans le bureau la secrétaire particulière de mon ami. La cinquantaine, lunettes sur le nez, chignon parfait, tailleur-jupe qui ne laisse rien deviner de son corps, elle dépose un plateau avec les cafés sur le bureau de Pierre.

— Merci Odile! Dit celui-ci.

Elle ne dit rien et sort du bureau.

— Tu ne t'es jamais demandé ce qui se trouve sous ces vêtements austères? Je pourrais t'aider! Dis-je malicieusement.

— Ah non! Pas touche! C'est la meilleure secrétaire que je n'ai jamais eu. C'est une perle au travail. Je sais que tu es joueur, mais s'il te plaît n'y touche pas, elle m'est trop utile! Me répond-il d'un air suppliant.

J'éclate de rire et bientôt il me rejoint. Bon, je ne pourrai pas m'amuser avec sa secrétaire. Je reviens alors à ce qui m'a fait venir.

— Alors tu vois quelque chose?

— Attends! Oh ça y est, c'est très bien caché. Dans les écritures fournisseurs, il y a des achats, mais bizarrement tous les paiements partent sur un compte.

— Quel compte? Tu peux savoir qui est le bénéficiaire?

— Oui cinq secondes... Ah voilà... Il s'agit d'une certaine Adeline BOUDU. Tu connais?

— Oui, c'est la secrétaire de Charlotte...

— Eh bien je peux te dire que ta belle rousse se fait bien voler par son employé. Et il ne s'agit pas de dix sous. Elle doit bien vivre la secrétaire.

— Je n'aime pas les voleurs... ou les voleuses. Tu peux m'imprimer des preuves? Et tu pourrais te rendre disponible lundi matin?

— Pas de problème!

Je me lève pour partir. Mais, la main sur la poignée de sa porte, je me tourne et je dis :

— Tu es bien sûr pour ta secrétaire.

Il me regarde d'un air mauvais avant de sourire et me répondre :

— Oui j'en suis sûr, vieux vicieux! Va-t'en et je t'interdis de lui sourire en sortant!

Je sors de la banque pour rentrer chez moi, les preuves des vols d'Adeline dans ma poche.

Avant de monter dans mon appartement, je m'arrête chez Albert pour lui parler.

— Bonjour Albert.

— Bonjour Monsieur Didier! Merci pour hier soir!

— De rien, je voulais tester cette brave Madame de Villaret. J'ai deux trois choses à te de-mander Albert. Tout d'abord, je voudrais que tu lui donnes cette enveloppe ce soir quand elle rentrera. Ensuite, demain matin, si je ne me trompe pas, sa mère devrait arriver. Je veux que tu l'interceptes et lui dise que je veux la voir. Tu l'accompagneras chez moi. Enfin j'aimerais que toi et ton cousin vous occupiez de Madame Rivière, dimanche. Appelle ton cousin, il te dira que faire.

— Bien Monsieur Didier, toujours content de pouvoir vous aider.

Je lui souris avant de rentrer chez moi. Je passe une soirée au calme, sachant que le lendemain va être bien chargé.

Le matin je me lève tôt, déjeune et guette à la fenêtre l'arrivée de la mère de Charlotte. Je la vois bientôt interceptée par Albert. Ils entrent tous les deux dans l'immeuble et cinq minutes plus tard j'entends frapper à ma porte.

— Entrez! Crié-je.

La porte s'ouvre et Madame de Cuise pénètre dans mon appartement, suivi d'Albert. Je décide d'oublier les civilités d'usage et de me montrer vulgaire. Je dis directement :

— Alors, grosse salope, tu reviens pour te faire ramoner? Tu as aimé ça hein?

Elle est surprise de mes paroles. Elle regarde Albert qui a tout entendu bien sûr et elle rougit. Puis elle se reprend et me répond :

— Euhhhh.... Mais.... Mais je ne vous permets pas Monsieur!

La bourgeoise commence à monter sur ses grands chevaux, telle mère, telle fille, fières et arrogantes, mais si faciles à dresser.

— Tu la fermes tout de suite! Tu ne te rappelles pas les couinements que tu poussais l'autre jour sur mon canapé?

Elle baisse la tête et rougit, elle est gênée que je parle comme ça devant un étranger, et en plus un concierge noir. Albert regarde la scène avec un grand sourire. Je pousse plus loin l'humiliation.

— Qu'est-ce qui te gêne? Qu'à presque soixante ans, tu te sois faite baiser comme une pute et que tu en aies redemandé encore et encore? Tu es une vieille salope non?

Je l'entends murmurer doucement un non. Avec autorité, j'ordonne :

— Lève la tête! Regarde-moi!

Elle m'obéit de suite. Je la regarde dans les yeux et lui dit :

— Ose dire que tu n'es pas une salope, que tu n'as pas envie d'une bonne bite dans ton ventre! Je t'écoute...

— Oui... non... S'il vous plaît Monsieur Didier, pas devant cet homme...

— Pourquoi pas? Tu es une salope donc tu n'as pas le choix. Je veux voir tes gros nichons, IMMÉDIATEMENT!

Elle hésite, mais quand elle voit mon visage se fermer, elle commence à déboutonner son chemisier. Elle porte un soutien-gorge aussi sexy que l'autre jour. Elle va chercher ses seins pour les sortir du sous-vêtement. Elle se retrouve la poitrine à l'air, le visage rouge écarlate.

Je m'approche d'elle et prend ses seins dans mes mains. Je les tripote et les malaxe, puis tire sur les tétons. J'apostrophe alors Albert :

— Tu as vu cette poitrine Albert? Pour une vieille, elle a de jolies mamelles tu crois pas. Elles ne tombent pas et restent bien tonique. Viens toucher!

Je vois que Madame de Cuise est effarée, un homme de couleur noir va la toucher. C'est impensable pour elle. Mais au lieu de se rebeller elle ferme les yeux quand Albert pose ses mains sur sa poitrine pour en tester l'élasticité. Je dis :

— Tu vas t'y habituer salope! Je veux que désormais tu m'obéisses et fassent tout ce que je veux. Et je te promets qu'en récompense tu auras ce que tu désires le plus, être baisée. D'accord Madame de Cuise?

Je vois qu'elle réfléchit, mais il semble que notre palpation de sa poitrine est accéléré sa respiration. Je parierai qu'elle commence à mouiller sa culotte.

— Oui... répond-elle dans un souffle.

— Comment? Je n'ai pas entendu!

— Oui Monsieur Didier, je vous obéirai.

— Très bien. Donc, je vais t'expliquer les règles dans l'immeuble lorsque tu rendras visite à ta fille. Je t'interdis de porter une culotte pendant tout ton séjour. Si je veux te baiser dans l'escalier, je dois pouvoir le faire rapidement. Compris?

— Oui Monsieur Didier.

— Bien alors enlève ta culotte! Et donne-là à Albert! Maintenant c'est lui qui la gardera. Quand tu arriveras, tu la lui donneras dans sa loge et tu la récupéreras quand tu partiras. Bien sûr, il faudra le rémunérer pour ça, tu verras ça avec lui.

Elle est rouge pivoine. Mais malgré qu'elle soit honteuse et très gênée, elle soulève sa jupe et descend rapidement sa petite culotte. Elle la donne à Albert qui affiche un sourire de vainqueur.

— Dis-moi Albert, tu peux peut-être montrer à Madame de Cuise ce que tu as à lui offrir?

Le concierge ne se fait pas prier, il recule un peu et défait sa braguette. Puis il sort son engin déjà semi-dur. Je regarde attentivement la mère de Charlotte. Ses yeux sont prêts à sortir des orbites. Tout d'abord elle n'a jamais dû voir une bite de noir et encore moins une bite de cette grosseur. Sans s'en rendre compte, elle passe sa langue sur ses lèvres. Je vois l'envie dans ses yeux. Alors je ne perds pas de temps :

— Penche-toi et suce-le vieille salope!

Je n'ai pas besoin de répéter, elle obéit instantanément. Elle se penche et agrippe des deux mains le serpent noir. Elle le caresse lentement. On dirait qu'elle a de l'or dans les mains. Avec la langue elle lèche le sexe sur toute sa longueur avant de poser ses lèvres sur le gland. Puis elle essaie d'engouffrer l'engin. Elle a du mal, mais elle est expérimentée. Bientôt elle suce la queue d'Albert avec la même motivation qu'un enfant sur un bâtonnet de glace.

Je passe derrière et remonte sa jupe. Son cul bien blanc avec un peu de cellulite est devant mes yeux. Je passe ma main sur son entrejambe. Immédiatement sans rien lui avoir demandé, elle écarte les jambes. Sa chatte est luisante de mouille. Je sors ma bite et sans avertissement je la plonge sans sa grotte humide. Je baise la vieille femme avec entrain et la fait gémir sur la queue du concierge sénégalais. Il ne faut pas longtemps avant que je la fasse jouir. Elle pousse des petits cris étouffés.

Peu après je me libère dans son vagin. Je me retire et vais m'asseoir sur le canapé. Je re-garde attentivement le couple noir et blanc. La mère de Charlotte met toute son expérience dans la fellation qu'elle offre à Albert. La bite de l'homme est maintenant complètement dressée. Le con-cierge décide alors d'arrêter la vieille femme. Il la prend par la main et l'amène près d'une chaise sur laquelle il s'assoit.

Lentement il fait descendre sa partenaire sur sa queue raide. Madame de Cuise gémit d'extase en s'empalant sur la bite noire. Albert lui tient les fesses et la guide. Il amorce un mouve-ment de haut en bas que la femme s'empresse de suivre. Les gémissements emplissent mon salon. La mère de Charlotte va encore avoir plusieurs orgasmes avant que Albert gémisse bruyamment et éjacule dans le vagin accueillant. Il va lentement laisser tomber la femme par terre avant de se le-ver, ranger sa bite et me dire :

— Merci Monsieur Didier. A votre service!

Il s'en va, laissant la vieille femme allongée sur mon parquet dans un océan de plaisir. Il lui faudra bien une demi-heure pour se relever lentement. Elle me voit dans mon canapé, un sourire de contentement sur le visage. Alors elle rougit en se rappelant ce qu'elle vient de faire. Pour augmenter son humiliation, je lui montre la flaque d'un mélange de sperme et jus féminin sur mon parquet en disant :

— Et qui va me nettoyer ça?

Elle est gênée. Elle me demande alors :

— Puis-je utiliser votre salle de bain Monsieur Didier?

Je fais oui de la tête. Je la vois partir et revenir avec du papier toilette. A quatre pattes elle essuie le sol. Je dis :

— J'aurais dû te faire lécher!

Je la vois frissonner d'horreur. Elle s'applique et repart dans la salle de bain. Quand elle revient cette fois-ci, elle s'est recoiffée et rhabillée convenablement. Elle est redevenue la mamie austère et bourgeoise. Personne ne peut s'imaginer qu'elle ne porte pas de culotte.

— Puis-je partir Monsieur Didier?

— Bien sûr salope! A la prochaine fois!

Elle sursaute au mot "salope", mais ne répond rien et quitte mon appartement rapide-ment.

Je me lève du canapé et je vais prendre une douche. Puis je me prépare pour l'expédition du week-end. Je suis impatient de m'amuser de la détresse de Charlotte.

A 14h00 pile, elle frappe à ma porte. Je lui ouvre et la fait entrer. Elle fait très femme d'affaire dans son tailleur. Je lui touche les fesses pour vérifier si elle a mis le gode. Elle n'a pas oublié non plus le petit pendentif. Par contre elle fait la tête.

— Bonjour petite chienne, je vois que tu t'es bien habillée, les Roumains vont adorer se taper une bourgeoise. Je me demande si je te laisse le plug, car de toute façon je pense que ton petit trou vierge y passera aussi.

Elle éclate alors en sanglots. Je ne réagis pas. Elle se jette à mes genoux et me supplie.

— S'il vous plaît Monsieur Didier, pas ça? Je ferai tout ce que vous voudrez mais pas les Roumains, je ne pourrais pas. S'il vous plaît!

— Euhhh... Je te rappelle que l'autre jour tu m'as dit que tu le ferais si je te le demandais!

— Excusez-moi Monsieur Didier, je suis désolé, mais je ne pensais pas ce que je disais.

— Je devrais donc te punir pour ça!

-- Punissez-moi, mais pitié ne m'emmenez pas sur le chantier!

— Que les choses soient claires : Non seulement tu seras punie, mais tu m'obéiras. Je me suis engagé, donc tu vas passer le week-end à assouvir le besoin d'une trentaine d'ouvriers. Et arrête de chialer, ça m'agace. On y va, il y a de la route.

Elle renifle puis se mouche. Je vois de la tristesse sur son visage. Elle est complètement abattue. Dans la voiture, alors que nous roulons, elle baisse la tête et essaie tant bien que mal de ne pas pleurer. Je vois quand même les larmes rouler le long de sa joue. Au bout d'une heure de route, la tension et les pleurs ont raison d'elle, elle s'endort.

Elle se réveille quand je gare ma voiture et coupe le moteur. Elle tourne la tête dans tous les sens pour voir où nous sommes. Je vois de la surprise et de l'étonnement quand elle constate que nous sommes dans un grand parc avec une grande bâtisse. Il s'agit d'un hôtel de luxe. Avant qu'elle ne parle, je dis :

— J'ai changé d'avis! Nous allons passer un week-end à Deauville!

Je la vois réfléchir. Il faut un petit moment pour qu'elle comprenne qu'elle a évité le chantier. Alors elle entoure ses bras autour de mon cou et pose sa tête sur mon torse en disant :

— Oh merci Monsieur Didier... merci beaucoup...

— Allons-y, suis-moi!

Nous sortons de la voiture. Je tends mes clés au voiturier et je me dirige vers l'entrée de l'hôtel, suivi de près par Charlotte. Le portier me salue et nous tient la porte. A la réception, on me sourit et on me tend une carte en me disant :

— Bonjour Monsieur, votre suite est prête. Tout a été fait selon votre désir. Bon séjour Monsieur.

Charlotte ouvre de grands yeux. Elle semble étonnée que je sois aussi connu. Nous prenons l'ascenseur et le liftier nous amène à l'étage sans rien dire. J'ouvre la porte de la suite et laisse passer Charlotte. Là aussi, le luxe la laisse bouche bée. Pourtant, elle a quand même eu l'habitude de vivre dans une certaine richesse.

— Je te laisse dix minutes pour te rafraîchir. Ensuite je t'expliquerai le déroulement du week-end! La salle de bain est là-bas.

Charlotte disparaît et revient dix minutes plus tard. Je suis assis sur le canapé et dis immédiatement :

— En position!

Sans hésitation, elle se déshabille puis se place devant moi, jambes légèrement écartées, mains sur la tête.

— Tous les ans, ici, au casino de Deauville se déroule une soirée privée avec les plus grosses fortunes de France et le reste de noblesse française. Il s'agit d'une soirée où beaucoup de contacts et d'affaires se font. Accessoirement aussi, il se négocie beaucoup de mariages. Je suis célibataire et une bonne proie pour certaines familles. Par mon statut, je suis obligé d'assister à cette soirée. Donc les années précédentes, pour ne pas être importuné, je me faisais toujours accompagner par des putes de luxe. Cette année, ça sera toi. Tu n'es pas vraiment une pute de luxe, mais tu feras l'affaire.

Je la vois grimacer. Je ne sais pas si c'est le fait de remplacer une pute ou que je la traite comme un simple objet. Mais je continue :

— Je pense que tu sais te tenir en société. Ton arrogance et ta fierté devrait tenir toute prétendante à l'écart. Mais attention, je ne tolérerai aucun faux pas. Tu as déjà gagné une puni-tion, il ne faudrait pas qu'elle s'alourdisse. M'as-tu compris?

— Oui Monsieur Didier!

Je la vois relever le menton, comme pour dire "je ne vous décevrais pas".

— Bon donc le programme : nous allons sortir en ville, je veux que nous allions dans un magasin de sous-vêtements, je veux toujours te voir sexy. Ensuite nous irons dans un autre, mais surprise. Puis nous finirons par le coiffeur. Je te veux la plus belle. Ensuite soirée au casino. Demain nous irons aux courses, Philippe fait courir des chevaux.

Je la vois sourire, elle doit être contente du programme. Je lui demande alors de tendre la main. Je sors un objet de ma poche et le pose dans sa paume. Il s'agit d'une sorte d'œuf Kinder, mais tout noir brillant avec une sorte de petit fil. Elle regarde cet objet avec curiosité, se demandant sûrement ce que c'est. Puis elle sursaute, quand l'œuf se met à vibrer. Elle me regarde alors avec de grands yeux.

— Je crois que tu as compris ce que c'était. Ça va compléter ta tenue pour le week-end. J'ai la télécommande dans la poche, je pense qu'on va bien s'amuser. Tu le mets?

Je ne sais pas ce qu'elle pense. Mais elle prend l'œuf, écarte les jambes puis les lèvres de sa chatte et introduit l'objet dans son sexe. Je vois l'humidité de son entrejambe et j'en déduis qu'elle est déjà excitée. L'objet pénètre son intimité sans problème et bientôt il ne sort de sa chatte que le petit fil noir. J'appuie sur le bouton dans ma poche.

— OOOOHHHHHHH... gémit Charlotte en réunissant ses genoux et en les pliant.

J'arrête l'œuf avant qu'elle ne s'écroule sur le sol et je souris alors qu'elle me regarde avec des yeux à demi fâchés.

— Bon habille-toi! Nous avons des courses à faire!

Elle m'obéit et nous nous retrouvons bientôt à arpenter le trottoir pour rejoindre les boutiques. La première est une boutique de lingerie de luxe. Je suis accueilli par une vendeuse :

— Bonjour Monsieur, Bonjour madame. Nous avons préparé un grand choix pour madame comme vous nous avez demandés.

— Merci! Charlotte, tu vas accompagner Mademoiselle et essayer ce qu'elle te propose-ra. Je vais aller m'asseoir là-bas et tu viendras me montrer chaque essayage pour que je décide.

Elle regarde l'endroit où je serais assis. Il s'agit d'un fauteuil contre la vitrine du magasin. Un air effaré s'affiche sur son visage. Elle comprend qu'à chaque fois qu'elle viendra me montrer la lingerie, elle sera bien visible de la rue. Elle hésite, croise mon regard, baisse la tête et suit la vendeuse. Alors qu'elle s'éloigne, j'appuie un petit coup sur la télécommande dans ma poche. Je la vois sursauter. Elle tourne la tête vers moi avec un regard noir. Je souris. Elle repart. J'aime ce regard qui me dit qu'elle garde quand même un peu de résistance.

Cinq minutes plus tard, je le vois apparaître avec un ensemble en dentelle rouge. Elle hé-site avant d'avancer vers moi, puis relève la tête et me rejoint. Elle tourne sur elle-même puis prend la pose comme un vrai mannequin. Elle regarde l'extérieur de la boutique, mais ne voit pas les gens qui s'arrête étonnés. J'appuie encore sur le bouton. Elle est décontenancée et pousse un petit gémissement. Mais elle se reprend très vite en me jetant le regard que l'on jette aux enfants pour qu'ils arrêtent de faire des bêtises. Je souris et lui fais signe alors qu'elle peut repartir.

Elle va essayer beaucoup de lingerie et prendre de plus en plus d'assurance. Ne commencerait-elle pas à être un peu exhibitionniste?

Une demi-heure plus tard, les essayages sont finis. Mon choix est fait et je garde une dizaine d'ensembles qui vont à merveille à Charlotte. Pendant que celle-ci s'habille, je paie et de-mande qu'on livre le tout à l'hôtel.

Verdu
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