Bourgeoises Rééduquées : Partie 12

BÊTA PUBLIQUE

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Je pousse un petit cri en me pliant sur ma chaise.

— Vous allez bien Madame? me demande mon vieux voisin.

— Oui ça va, juste un petit vertige! Lui dis-je le souffle court.

Je m'excuse auprès de lui pour me rendre aux toilettes pour me rafraîchir. Alors que j'allais entre dans les toilettes des femmes, Monsieur Didier m'attrape par le bras et me fait entrer dans une cabine chez les hommes.

— Je sais que tu viens de jouir, mais je ne t'avais pas donné la permission. Encore une punition!

Je ne suis pas en état de lui répondre, essayant de récupérer de ma jouissance. Il ne me laisse pas le temps et je sens sa main venir jouer avec mon clitoris. En plus, il a remis l'œuf en route. Je ne résiste pas et une nouvelle fois, un orgasme fulgurant me traverse. Heureusement qu'il me retient sinon je me serai effondrée sur le carrelage. Je reprends lentement ma respiration.

Il me fait comprendre de m'agenouiller et je le vois sortir son sexe. Je sais ce qu'il attend de moi et sans hésiter je le prends dans ma bouche. Il n'a pas dû chercher à se retenir, car je sens rapidement son foutre remplir ma bouche. J'avale et je lui souris avant de lui montrer que j'ai bien tout avalé.

Dès le départ de Monsieur Didier, je me précipite chez les femmes pour me rincer la bouche et me rafraîchir le visage. Quelques minutes plus tard, je reprends ma place, souriant à mes voisins, à côté du vieil aristocrate.

Après le repas, nous restons au casino où nous dépensons quelques jetons à la roulette avant de rejoindre notre suite.

Dans la salle de bain en me voyant nue, je sais comment je vais remercier Monsieur Didier pour cette magnifique journée.

Je rentre dans la chambre et je m'agenouille devant lui.

— Monsieur Didier, je voudrais vous offrir mon cul. Ce n'est pas pour éviter de porter le plug, je le porterai tant que vous voudrez. Je veux juste vous faire plaisir Monsieur, lui dis-je.

— De toute façon, je n'ai pas le courage de te punir ce soir, nous verrons une autre fois. J'accepte ton offre.

Je suis soulagée, il accepte ma demande sans rechigner. Je m'installe à quatre pattes sur le lit et je lui présente mes fesses. Il me retire lentement le plug. Je me cambre un peu plus et je sens son gland forcer sur mon anneau. Je grimace, je gémis un peu. Je m'attendais à avoir plus mal mais Monsieur Didier entre doucement. Je ferme les yeux, je souffle. Il est enfin au fond de mon cul. Je le sens aller et venir en même temps que les vibrations de l'œuf repartent.

Je me lâche complètement et des ondes de plaisirs de plus en plus violentes me traversent. Je pousse un cri comme jamais je n'en ai poussé au moment où je jouis pour la troisième fois de la soirée. Monsieur Didier explose en même temps que moi.

Je m'effondre sur le lit. Je sens Monsieur Didier me retirer l'œuf de mon sexe puis il se rend dans la salle de bain pendant que je récupère.

A son retour, je vais prendre une douche et quand je reviens Monsieur Didier est allongé, endormi peut-être. Je l'embrasse au coin des lèvres et je m'endors ma tête sur son torse.

Au matin, je me réveille dans la même position. Un bras de Monsieur Didier dans mon dos, sa main posée sur mes fesses. Je me sens bien. Je remue un peu, je le perçois remuer. Je me souviens du réveil chez Alain et je sais qu'il avait apprécié.

Sans hésiter, je descends ma bouche vers son sexe et je m'applique à lui faire la meilleure fellation que je puisse lui offrir. Je prends sa queue en bouche et je commence à sucer, à l'aspirer. Je le prends le plus profondément possible. Sa main sur ma tête me fait comprendre qu'il apprécie. Il me plaque fermement la tête et il jouit dans ma bouche.

J'avale et me redresse dans le lit en lui souriant.

— Bonjour Monsieur Didier!

— Bonjour petite chienne!

Il attrape le téléphone et demande qu'un petit déjeuner nous soit servi dans la chambre. Quelques minutes plus tard, le service d'étage frappe à la porte.

— Va ouvrir... nue!

Je le regarde, apeurée, mais je ne veux pas lui déplaire. J'hésite en regardant vers mon peignoir.

— J'ai dit nue...

— Oui Monsieur Didier!

Rouge de honte, je me lève et je vais ouvrir la porte. Le garçon d'étage me regarde à peine, il semble blasé et il entre déposer le plateau. Je voudrais disparaître dans un trou de souris.

— Tu vois, ce n'est pas si compliqué que cela! me dit-il après le départ du jeune homme.

— Oui Monsieur Didier mais ce n'est pas facile, comprenez-moi!

Il me sourit et attrape un croissant et commence à manger.

— Nous irons déjeuner au restaurant de l'hippodrome, Philippe doit déjà être là-bas. Il a engagé trois pur-sang de son haras dans les différentes courses, dont la plus prestigieuse de la journée.

— Oui Monsieur mais, il me manque un accessoire pour un après-midi aux courses... Un chapeau!

Je vois bien que ma proposition surprend Monsieur Didier. Il éclate de rire avant de me dire.

— Oui, nous irons voir ce que nous pourrons trouver...

Je suis contente et à mon tour, je prends un croissant que je mange avant de finir mon café.

Quand nous avons déjeuné, nous nous rendons ensemble dans la salle de bain, où nous prenons une douche ensemble. Je m'applique à savonner Monsieur Didier, dont le sexe ne tarde pas à réagir. Il me plaque alors contre le carrelage de la douche et je sens son sexe devant mon anus. D'une poussée franche, il entre en moi. Je ne retiens pas un cri de douleur et de surprise puis il commence ses aller et retour. Ma poitrine est écrasée contre la vitre de la douche et il me sou-lève du sol à chaque poussée. Je gémis. Il finit par jouir dans mon cul avant de se retirer.

Il me faut quelques instants pour récupérer. Je n'ai pas joui et je sais qu'il n'a pas cherché à me faire jouir. Mais je suis contente qu'il se soit servi de moi pour trouver son plaisir. Je le nettoie à nouveau puis me rince bien à mon tour et nous sortons de la douche.

Je finis de me préparer sans oublier de remettre mon plug dans mon cul. Ignorant ce que je dois faire de l'œuf, je le laisse dans la salle de bain. Quand je reviens dans la chambre, je dé-couvre avec surprise un petit chapeau parfaitement coordonnée avec ma tenue. Je l'enfile et ajuste la voilette. Monsieur Didier me sourit. Nous sommes prêts à partir pour l'hippodrome.

Un bagagiste vient prendre nos affaires et le voiturier nous approche la voiture.

A l'hippodrome, nous nous rendons dans la zone réservée aux professionnels. Nous apercevons Philippe en train de discuter avec différentes personnes, peut-être les jockeys de l'après-midi. A côté de lui, je reconnais Agnès, la jeune femme qui l'avait accompagné chez Alain. Elle semble plus à l'aise ici que là-bas. Elle regarde dans notre direction et je la vois blêmir. Je re-garde Monsieur Didier qui me sourit. Je comprends aussitôt qu'il s'est passé quelque chose entre ce deux-là.

Philippe nous aperçoit et nous fait signe d'approcher. Il nous présente rapidement à son jockey et à son entraîneur puis il nous propose de nous rendre au restaurant. Il ne faut pas manger trop tard si nous ne voulons pas manquer la première course dans laquelle un de ses chevaux est engagée.

— Si vous voulez parier, je vous conseille mon cheval dans la troisième course, j'ai vu qui seront ses concurrents, et je vous assure qu'il a toutes ses chances même si les pronostiqueurs ne le classent pas parmi les favoris.

— Je vais y réfléchir, dit Monsieur Didier.

— Et toi, Charlotte? me demande-t-il ensuite.

— Oh moi! Les courses de chevaux ce n'est pas mon truc. J'ai fait quelques concours de saut d'obstacle étant plus jeune. Un de mes oncles possédait aussi un haras et je montais une de ses juments. Mais cela remonte à de nombreuses années.

Je vois le visage d'Agnès s'éclairer.

— Je monte aussi de temps en temps, me dit-elle alors que nous entrons dans le restaurant.

Nous trouvons une place près de la verrière qui donne sur les pistes et les serveurs nous apporte les menus.

Je vois bien qu'Agnès regarde Monsieur Didier avec inquiétude. Si je trouve le moment d'être seule avec, je tenterai d'en connaître la raison.

Cette opportunité se produit quand dans les tribunes, Monsieur Didier et Philippe sont interpellés par un homme qui semblent bien les connaître. Ils s'excusent avant de le rejoindre.

Je regarde alors Agnès.

— Dis-moi! J'ai bien vu comment tu regardes Monsieur Didier, tu as succombé à son charme aussi, n'est-ce pas?

— Succombée, c'est vite dit! Disons que c'est lui qui m'a attrapée...

— Comment cela? Explique!

Elle me raconte alors que le week-end précédent. Le samedi matin, elle devait faire les comptes du haras de Philippe. Mais comme il était tôt, elle avait sorti une des juments de son box pour aller faire une petite ballade. Et, elle a été surprise par Monsieur Didier.

Il lui a promis de ne rien dire à Philippe si elle acceptait de faire ce qu'il voulait. Affolée, elle n'a pas pu lui dire non.

Elle s'est rapidement retrouvé nue à quatre pattes dans un box, baisée et sodomisée par Monsieur Didier.

Au moment du repas qu'ils prenaient tous les trois, Monsieur Didier a sorti la culotte de sa poche et l'a posée sur la table. Il a expliqué ce qu'il avait vu le matin. Philippe a souri et sans élever la voix, il lui a promis de la garder, si elle acceptait de faire tout ce qu'il lui demandera.

Elle n'a pas hésité longtemps, car elle sait qu'elle ne trouvera pas un emploi dans un haras si on apprend qu'elle sort discrètement les chevaux pour les monter. Et, même si elle est son employée, elle est amoureuse de lui, tout comme je suis amoureuse de Monsieur Didier.

Elle ne veut pas le quitter, je le sens et je suis sûre qu'elle aurait accepté ses demandes même si elle n'avait pas été prise en faute.

Les deux hommes reviennent juste avant le départ de la troisième course et c'est peut-être la course la plus stressante à laquelle j'ai eu l'occasion d'assister. Monsieur Didier a parié une forte somme d'argent sur le cheval de son ami et le suspens dure tout au long de ce tour d'hippodrome. Inconsciemment, j'ai attrapé le bras de mon amant et je lui ai enfoncé mes ongles dans la peau jusqu'à la victoire finale de notre favori. Il me regarde et il me gratifie d'un long baiser. Si nous n'étions pas été en public, je me serais agenouillée pour le sucer.

A l'issue de la dernière course dans laquelle Philippe a engagé une jeune pouliche prometteuse qui l'a aussi gratifié d'une victoire, nous prenons congés de Philippe et Agnès. Je laisse mon téléphone à Agnès en lui faisant promettre de m'appeler quand elle en aura envie.

Epuisée par tant d'émotion, je m'endors dans la voiture et je ne me réveille que lorsque Monsieur Didier se gare dans le parking de l'immeuble. Lorsque nous passons devant la loge, Albert nous gratifie d'un sourire énigmatique.

Quand l'ascenseur s'arrête à mon étage, je gratifie Monsieur Didier d'une longue fellation avant de rejoindre mes enfants.

— François a appelé, il y a une demi-heure pour dire qu'il était bien installé. Il était déçu que tu ne sois pas là, mais il a dit qu'il te rappellerait demain soir, me dit ma mère.

Je fais des câlins à mes enfants, en réalisant que pas un instant pendant le week-end, je n'avais pensé à mon mari.

******

Didier

Le lendemain je réalise avec inquiétude que je commence à éprouver de sentiments pour ma voisine, je rends visite à mon ami Pierre, je lui parle de ce week-end et à la fin de notre discussion autour d'un verre, je finis par lui dire :

— Je me pose des questions, il faut que je réfléchisse au calme. Donc je pars sur mon île, je ne sais pas quand je reviendrai. De toute façon les copains et toi, vous savez comment me joindre.

— D'accord Didier! N'oublie pas que nous sommes là si besoin.

Je lui souris et nous nous étreignons avant de partir chacun de notre côté.

Chez moi, je fais ma valise rapidement et repars tout aussi rapidement. Alors que je sors de l'ascenseur pour rejoindre ma voiture que j'ai garée dans la rue, je vois Charlotte et ses deux enfants entrer dans l'immeuble. Quand elle me voit, un grand sourire s'affiche sur son visage. Mais je passe à côté d'elle sans rien dire. Ses enfants me disent "Bonjour Monsieur", mais je ne réponds pas. Le sourire de Charlotte s'efface et son visage reflète la tristesse.

Arrivé dans la rue, je ne peux pas m'empêcher de faire rapidement demi-tour et m'approche de la belle rousse. Je lui chuchote alors :

— Tu me dois une punition. Je reviendrai.

Je lui fais un petit baiser sur la joue et je repars, avec encore plus de questions dans ma tête.

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  • COMMENTAIRES
Anonymous
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10 Commentaires
AnonymousAnonymeil y a 3 mois

Histoire banale et répétitive sans intérêts. Trop de copier coller use le lecteur.

Le adeptes de la sucette vont aimer.

AnonymousAnonymeil y a 7 mois

Bonjour Verdu.pouvez vous faire une suite à cette histoire...

AnonymousAnonymeil y a 11 mois

Bientôt une suite ? Cela serait palpitant...

AnonymousAnonymeil y a 12 mois

A quand la suite ????

c'est trop bien

AnonymousAnonymeil y a environ 1 an

Bonjour Verdu. Il y a longtemps que vous n'avez pas réalisé une suite à cette histoire... Pourquoi ce silence ? Espérant vous lire bientôt...

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