Brian est en Irak Ch. 02

BÊTA PUBLIQUE

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Les choses ne tardèrent pas à s'emballer au son de la cloche, j'enlevais mon soutien-gorge..

Ils étaient beaucoup à me toucher alors qu'ils m'entouraient, ils en profitèrent tous pour peloter mes nibards et étirer mes mamelons.

Beaucoup de photos devaient les représenter m'empaumant les nichons ou titillant mes tétons.

Lorsque la cloche résonna de nouveau, ils me remirent sur mes pieds et deux hommes se chargèrent de m'ôter ma petite culotte.

Ils se postèrent de chaque coté de moi, le reste de la bande prit cliché sur cliché alors qu'ils roulaient ma petite culotte sur mes cuisses.

Les photos devenaient de plus en plus pornographiques maintenant, ils me positionnèrent allongée sur le dos, je dus écarter mes cuisses en grand et d'ouvrire ma foufoune pour le plaisir de leurs yeux.

Ils prirent beaucoup de photos avec des doigts fourrés dans mon intimité.

Puis je dus me mettre à quatre pattes et cambrer les fesses tandis que je les écartais à deux mains alors qu'ils s'installaient avec leurs appareils photos et leurs caméras dans mon dos.

Je dus rester de longs moments dans cette position infamante alors que de rudes mains exploraient mes charmes offerts à leur convoitise.

C'était horrible, de ma vie je ne m'étais jamais sentie aussi dégradée! .....

Et le pire advint lorsqu'ils commencèrent à plaisanter à plaisanter des suintements de cyprine qui s'écoulaient de ma chatte, traduisant mon émoi.

Les 20 dernières minutes me semblèrent durer des heures.

En fin de séance, des hommes, à la demande de la foule des amateurs, posèrent avec moi, simulant des rapports sexuels alors que les spectateurs riaient de mes émois en me traitant des noms les plus vulgaires.

Mon corps entier était exposé, photographié et manipulé par des étrangers, le tout étant d'ailleurs filmé en détail.

La dernière cloche sonna enfin, et les amateurs de mes charmes remisèrent appareils photos et caméras, le colosse noir revint alors que Tom et Steve me relevaient.

Le gigantesque noir discutait avec la foule des amateurs qui venaient de passer une heure pleine à photographier mes charmes, il m'attrapa alors et me jeta rudement sur le lit dans le coin le plus éloigné de la salle.

Avant que je réalise quoi que ce soit, deux des hommes grimpèrent sur le lit et se débarrassèrent de leurs caleçons, les flashs crépitaient.

L'un d'entre eux s'installa derrière moi malgré mes cris il bourra sa grosse bite dans ma petite chatte en me tenant aux hanches et il commença à me labourer avec violence.

L'autre se posta face à moi et enfourna sa grosse mentule dans ma bouche.

Les spectateurs étaient ravis, ils tournaient autour de nous prenant des centaines de clichés de mon asservissement, sous tous les angles

Au début je me débattais, mais cela ne troubla pas mes deux violeurs.

Celui qui ma baisait en bouche éjacula le premier, il se retira une fois qu'il m'eut empli la bouche de sa chaude semence et me tint la tête en l'air en me tirant les cheveux en arrière afin que chacun puisse photographier ma bouche pleine de sperme.

Puis il baissa son regard sur moi et commanda cruellement :

- "Avale tout salope, allez ma petite pute savoure mon foutre, tu vas te régaler! ...."

Je pleurais à chaudes larmes, personne dans l'assistance ne se souciait de mes pleurs.

Pas un de ces salauds ne me montra une once de sympathie.

Ils savaient tous que j'étais ici contre ma volonté, Tom les en avait informé au tout début de la séance, je suppose que le fait que je puisse leur refuser quoi que ce soit ne les avait même pas effleurés! .....

Lorsque celui qui me baisait se vida les couilles dans ma foufoune, ils me laissèrent tranquilles et descendirent du lit.

Je cachais mon visage dans mes mains et je pleurais, je pensais que mon épreuve était terminée.

Je suis une vraie blonde en fait! .....

Le lit bougea à nouveau et deux nouveaux amateurs me rejoignirent au centre du lit.

Les caméras tournaient toujours, ils reprirent là où les autres m'avaient abandonné.

Puis ce fut au tour de deux autres, et deux autres.....

Je ne crois qu'ils me possédèrent tous, certains ne faisaient que prendre des photos, mais la plupart me sautèrent dans ce lit pouilleux.

Lorsque les consommateurs en eurent finis avec moi, Rory me rejoignit et prit quelques images de mon corps couvert de foutre.

Une fois la foule sortie de la pièce, le colosse noir revint, descendit son pantalon et son caleçon, je m'agenouillais et enfournais servilement son épaisse bite à pleine bouche.

Il me baisa en bouche violemment pendant plusieurs minutes alors que Rory prenait de nouveaux clichés de ma dégradation, puis il me fit lever et me pencha sur le lit, et enfouit sa grosse bite dans ma chatte détrempée, douloureuse.

Il avait, et de loin la plus grosse boite que j'avais du endurer cet après-midi, il me faisait vraiment mal.

Je criais tandis qu'il se servait de sa bite comme d'une arme qui me pourfendait au plus profond de mon corps, et lorsqu'enfin il cracha son venin, il me fit remettre à genoux et je dus nettoyer méticuleusement sa grosse bite avec ma langue.

Il en finit rapidement et me laissa me relever, puis il me saisit par le bras et me traîna dans la salle de bain et me poussa dans une cabine de douche.

Je ne sais pas pourquoi il se montrait aussi violent, on aurait dit qu'il me punissait d'être leur victime.

Il tendit la main et ouvrit en grand le robinet, un jet d'eau froide jaillit du pommeau, je hurlais et cherchais à fuir à quatre pattes, il se contenta de sourire et me retint sous la douche, j'étais couverte du sperme qu'une douzaine d'hommes avait éjaculé sur mon corps.

Finalement l'eau se réchauffa et je cessais de me débattre.

Je restais sous le jet jambes grandes écartées, des torrents de foutre s'écoulaient de mon corps et de ma foufoune se perdant dans le siphon.

Le colosse noir me regardait amusé, il dit soudain :

- "Je pourrais me faire pas mal de fric en vendant ton petit cul! .... Je vais en parler avec ton petit ami afin qu'il te ramène ici assez souvent! ...."

Je grognais de désespoir à l'idée de devoir recommencer de telles séances de pose, il vit mon anxiété se peindre sur mon visage et me confirma :

- "J'en serai d'autant plus heureux que tu as l'air de détester celà... Certaines idées me viennent à l'esprit.....

Je pourrais mettre en place des séances spéciales avec toi! ..... Mes clients avaient l'air ravi de ta prestation! ...."

Finalement lorsque je fus lavée de toute trace, il ferma le robinet et me tira à l'extérieur, trempée de la tête aux pieds.

Tom et ses amis m'attendaient dans la pièce de devant, entourés par une bonne masse de consommateurs enthousiastes.

Tom me tendit la chemise que je portais en arrivant, je l'enfilais avec reconnaissance.

Elle fut immédiatement trempée, mes nibards et ma chatoune étaient tout aussi visibles que si j'étais nue.

Les potes de Tom en avaient marre, le colosse noir tendit une liasse de billets à Tom et le remercia :

- "Une bonne prestation pour une première séance..... Ramène là rapidement...... On pourra se faire pas mal de fric avec son cul! ...."

Ils me tirèrent à l'extérieur et on se tint quelques minutes devant la voiture.

Ils décidèrent enfin de quitter les lieux, et d'aller vider une bière dans un bar tout proche.

On marcha jusqu'au bar en question, fendant la foule des promeneurs. Un géant noir me regarda attentivement vêtue de ma chemise trempée et me sourit en hochant la tête.

Nous sommes entrés et nous nous sommes assis, je n'avais pas réalisé que nous étions dans une boite à strip-tease.

Cependant les photos qui ornaient le hall d'entrée auraient du m'alerter, de même que la tenue des serveuses qui ne portaient que des petites culotte noires.

Je ne le compris qu'alors que retentissait une musique lascive une jeune femme débarqua sur la scène et se mit à danser uniquement vêtue d'un bikini microscopique et de jarretières

De toute manière elle ne le garda pas très longtemps. Une paire de minutes plus tard elle dansait entièrement nue, les regards concupiscents que lui jetaient les consommateurs me rendaient malade et cette façon qu'ils avaient de s'approcher de la scène pour glisser des billets de banque dans ses jarretières, frôlant à chaque fois ses appâts, s'attardant quelques instants sur sa chatte.

Elle arborait un sourire figé, j'avais l'impression qu'elle était à peine consciente de ses actes.

Je ne veux pas dire par-là qu'elle semblait droguée, bien qu'elle puisse l'être, je pensais simplement qu'elle dansait machinalement en pensant aux traites pour payer sa voiture et à d'autres choses du même tonneau.

Elle ne semblait pas aimer son boulot, les spectateurs semblaient s'en foutre totalement, ils voulaient seulement la voir évoluer nue, qu'elle en soit contente ou non leur importait peu.

Mes accompagnateurs sirotèrent leurs canettes de bière, j'avalais la mienne cherchant désespérément à estomper le goût du sperme qui imprégnait mes lèvres, ma bouche et ma gorge.

Nombreuses étaient les bites qui s'étaient engouffrées dans mon arrière-gorge, ma gorge était si douloureuse que j'avais du mal à m'exprimer clairement.

Ce n'était pas u grand problème en fait, je n'avais rien à dire à mes voisins, ça n'aurait fait que les amuser, de ce fait je n'avais aucune raison de leur adresser la parole.

Lorsque j'eus fini ma bière, Tom se leva et alla m'en chercher une autre.

Je la sirotais plus lentement, ils avaient leurs yeux braqués sur moi, ils parlaient entre eux à voix basse.

La musique était trop forte pour tenir une discussion élaborée.

Je finis ma bière et restais assise attendant de voir comment ils avaient décidé de m'humilier cette fois-ci.

Ils vidèrent aussi leurs verres et Tom commanda une nouvelle tournée, il paya avec l'argent obtenu en vendant mes charmes aux clients de la salle de pose.

A la fin de la séance de strip-tease, la musique baissa et les conversations purent reprendre autour de la table.

Tom me demanda si j'avais aimé poser pour ces vicelards, je lui retournais un regard haineux.

Il rit aux éclats et poursuivit :

- "J'ai drogué ton second verre de bière, la dose n'est pas aussi forte que la nuit dernière, ainsi tu n'oublieras rien cette fois! .... Ca va juste te désinhiber, cependant cette drogue a un effet cumulatif, c'est pourquoi je dois me montrer prudent quant aux doses que tu absorbes... Je ne voudrai pas que le désir te tenaille à chaque instant, faisant de toi la pire des traînées en manque de sexe, au contraire, je veux que tu détestes chaque instant que tu vas vivre...... Si tu te mettais à aimer ce qu'on te fait faire, cela perdrait beaucoup de son intérêt... J'ai programmé une nouvelle expérience et je veux que tu paraisses éveillée, consentante et participante sur le film que l'on va tourner, juste au cas où on déciderait d'en voyer la cassette à ton mari la-bas en Irak... Cela le distrairait sûrement, un bon fil porno à se mettre sous la dent! ....."

Je sentais que déjà la drogue agissait, elle se répandait dans tout mon corps, mes tétons durcissaient, ma chatte s'humidifiait, je sentais les envies de lucre monter en moi.

Je lui demandais :

- "De quoi s'agit-il? ..... Quelle sorte de drogue m'as-tu fait prendre? ....."

Il me sourit et rétorqua :

- "Rien que tu puisses trouver en pharmacie, c'est un cocktail de différents produits, d"herbes et d'hormones mâles qui se combinent pour donner un très puissant aphrodisiaque doublé d'un désinhibant de poids..... Si je double la dose tu te retrouveras dans le même état que la nuit dernière... Tu te comporteras comme une nymphomane prête à tout pour se faire baiser dans toutes les positions et les combinaisons possibles, en solo, par deux, par trois, et même plus! ...... Mais tu aurais tout oublié le lendemain! ...... Avec une dose simple, tu vas juste devenir assez chaude pour ne pouvoir dire non à personne, même si tu le voulais, mais comme tu ne le voudras pas! ...... Si je te faisais prendre cette drogue sur une longue période de temps, cela finirait par avoir un effet permanent... Je ne le désira pas pour l'instant! ..... Je veux que tu haïsses chaque instant que tu vas vivre! ..... Et maintenant vide ton verre..... Il est temps de quitter le bar! .... Tu sens l'effet de la drogue monter en toi, n'est ce pas? ...."

C'était vrai, de toute ma vie je n'avais jamais eu autant me faire emplir par une grosse bite! ....

Sauf la nuit dernière, à en juger la cassette que j'avais visionné ce matin même! ..... Bien que je ne me rappelle de rien.

Cependant cette fois j'étais pleinement conscience de la situation, mon humiliation montait au même rythme que mon envie de me faire ramoner! ....

J'avalais ma bière ma bière et nous sommes partis.

Nous n'avalons pas monté dans la voiture, ils m'emmenèrent vers un bâtiment proche qui avait pour tout signe extérieur une enseigne néon sur la porte indiquant : "Ouvert".

Nous pénétrâmes à l'intérieur, sur la porte suivante une pancarte indiquait que seuls les majeurs pouvaient entrer si la nudité ne les effrayait pas.

Nous passâmes cette nouvelle porte et je me retrouvais dans une salle dont je n'aurai jamais imaginé l'existence.

Je savais que cela existait, j'en avais déjà vaguement entendu parler, on aurait pu désigner cet endroit sous le nom de paradis du sexe pour adultes.

Partout où se portaient mes yeux ce n'était que posters de femmes entièrement nues dans les poses les plus obscènes que l'on puisse concevoir.

Le long des murs se trouvaient des étagères pleines de gadgets sexuels de toutes sortes.

Je voyais un tas de choses dont j'ignorais même l'existence et l'utilité, hormis le fait qu'indéniablement il s'agissait de dispositifs sexuels.

On y trouvait des films pornos, des livres, des magazines, j'étais si choquée par ce spectacle que je n'avais pas encore remarqué la mine des hommes.

Ils étaient une douzaine environ, de toutes couleurs et de tous âges.

Ils semblaient tous chercher des articles à acheter, et en fait c'est ce qu'ils faisaient jusqu'à mon arrivée.

Et maintenant ils me lorgnaient tous avec concupiscence dans ma petite chemise ouverte sur mes nibards.

Ils me reluquaient des pieds à la tête alors que mes maîtres me faisaient faire le tour de la boutique reluquant les posters cloués aux murs.

Ils prenaient grand plaisir à me désigner des images de femmes se faisant baiser par des groupes d'hommes ou d'autres ligotées étroitement et fouettées.

Ils me montrèrent plusieurs magazines de femmes baisant avec des femmes et me demandèrent si j'avais déjà goûté au minou d'une autre femme.

Bien entendu, je n'avais jamais fait cela et je me pressais de le leur répondre.

Tom me montra un film concernant une femme se faisant partouser par 25 colosses noirs, et commenta :

- "Je parie que tu pourrais facilement battre ce record! ...."

Je frissonnais de révulsion, mes mes tétons étaient raides comme la justice et ma chatoune traversée par des ondes d'excitation, et si j'avais eu l'occasion à cet instant même de me faire sauter, cela aurait été avec joie.

La drogue m'excitait tant que je devais me forcer pour ne pas empoigner ma foufoune à pleines mains! .....

Je sentais que je devais me branler rapidement pour calmer mes envies grandissantes.

Il m'entraîna vers les étagères couvertes de fringues

C'était le genre de tenues que les maris offrent à leurs femmes pour la saint Valentin.

Le typique fantasme masculin. La plupart éteint transparents, ils inspectèrent les tenues et en saisirent quelques-unes unes.

Tom appela l'employé qui se tenait derrière le comptoir il lui demanda s'il était d'accord pour que j'essaie quelques articles.

- "C'est d'accord, mais les petites culottes essayées seront considérées comme vendues! ...."

Tom attrapa ma chemise et me la fit passer au-dessus de la tête. Puis il me tendit un minuscule cache sexe avec quelque chose d'inscrit sur le triangle de dessus couvrant le pubis.

Je lui fus tout d'abord reconnaissante de me donner de quoi couvrir mon sexe, jusqu'au moment ou je lus l'inscription, il était marqué : "baisez-moi bien! ..."

Les hommes qui m'entouraient éclatèrent de rire, il était évident qu'ils approuvaient cette sentence.

Tom m'abandonna porteuse du léger sous-vêtement, se dirigea à nouveau vers les étagères et revint avec ce qui de prime abord me parut être un pagne.

Il était formé d'une bande élastique, l'avant et à l'arrière étaient constitués de morceaux de tissu transparents.

Il existait un intervalle d'au moins 10 centimètres entre chaque pan sur les hanches.

Les pans de tissu me couvraient tout juste le pubis et les fesses, tout au moins tant que je restais immobile.

Les commentaires des spectateurs fleurissaient et certains d'entre eux demandaient combien je réclamais pour me faire sauter.

La drogue avait plein effet maintenant et j'étais folle d'envie d'être possédée par de grosses bites.

J'avais besoin de sentir une épaisse mentule enfouie dans mon intimité.

Si on ne me baisait pas rapidement j'allais être obligée de me branler devant tous ces hommes, et j'étais suffisamment lucide pour que cette solution me désespère.

Tom m'entraîna loin du comptoir, mais comme nous passions devant les gadgets sexuels accrochés au mur il stoppa, tendit la main et saisit une paire de laisses de cuir avec une chaînette d'une trentaine de centimètres et un collier clouté de cuir noir.

Nous gagnâmes la caisse et Tom paya les achats avec mes gains antérieurs, puis il posa le collier autour de mon cou et y accrocha la laisse, la chaîne courant dans mon dos.

Ils m'emmenèrent alors vers une porte dans le mur du fond qui donnait sur une salle de la taille de mon salon.

Le centre de la pièce était vide mais le long des murs se trouvaient de vieux lits de camps souillés et quelques chaises branlantes.

La différence majeure entre cette pièce et ma salle de séjour c'est qu'on y trouvait un grand écran qui projetait un film. Je connaissais pas le titre de ce film, je voyais seulement une grosse bite noire qui labourait sauvagement une chatte blonde fort large, on ne voyait que les organes génitaux des protagonistes en gros plans.

Les sons de couple baisant à couilles rabattues m'emplissaient les oreilles excitant mes sens, la drogue absorbée faisait que je désespérais maintenant de me faire baiser rapidement.

Je n'avais pourtant pas à me tracasser, c'est bien pour ça que j'avais été menée dans cette salle.

Tom me passa dessus le premier.

Il repoussa ma courte brassière au-dessus de ma tête la laissant retomber dans mon dos puis pendre sur mes poignets.

Puis il me força à m'agenouiller dans une mare de foutre qui couvrait le sol.

Il enfouit de force sa grosse mentule dans ma bouche s'enfonçant dans mon arrière gorge à grands renforts de violents coups de boutoirs.

Les hommes qui se trouvaient déjà dans la salle lors de notre arrivée et ceux qui nous avaient suivis se rassemblèrent autour de nous, ils ignoraient tous le film maintenant, ils avaient les yeux rivés sur Tom qui me baisait en bouche, cela dura quelques minutes avant qu'il ne se retire, me penche vers l'avant se poste dans mon dos, et investisse ma petite chatte.

Dès que je sentis son chibre s'engouffrer dans ma foufoune embrasée, je hurlais l'encourageant de vive voix à me posséder sauvagement.

Il rit à pleines dents m'appellant sa petite pute et il se mit à me ramoner frénétiquement alors que Rory prenait sa place et enfournait sa bite démesurée dans ma bouche accueillante.

Tom et ses 4 copains me baisèrent chacun leur tour avant de me repasser au reste des amateurs, Rory filmait de plus belle alors qu'ils se mettaient en ligne pour disposer de l'un de mes trois orifices.

Je n'ai aucune idée du temps que dura cette séance, mais ma gorge et ma chatte étaient douloureux et pourtant j'aurai voulu que cela continue éternellement.

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