Brian est en Irak Ch. 02

BÊTA PUBLIQUE

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Quelques-uns uns m'enculèrent, mais même cela me faisait jouir.

Tout au début, alors que Tom et ses 4 potes venaient de me sauter, il y avait à peu prêt une douzaine d'amateurs dans la pièce.

Je m'étais déjà fait sauter par une douzaine d'hommes au club photo, cependant cela ne me suffisait pas, droguée comme je l'étais j'aurai encore voulu d'autres bites dans mes trois trous échauffés.

Nous sommes restés là pendant des heures, des clients venus de l'extérieur nous rejoignirent.

Je ne saurai dire combien hommes ont abusé de mes charmes cet après-midi, j'avais avalé une dose phénoménale de sperme alors qu'ils s'étaient succédés dans ma bouche et ma gorge.

Le foutre qu'ils m'avaient injecté dans la chatoune et le trou du cul ruisselait le long de mes jambes.

Beaucoup d'entre eux, sur le point de jouir se retiraient du trou dont ils se servaient pour éjaculer à longs jets crémeux sur mon corps, de ce fait, au bout d'un moment ils ne voulurent plus me toucher tant j'étais couverte de leur grasse semence, j'en avais partout, sur le visage, les seins, les cuisses, les cheveux! ......

Je ne sais pas si l'effet des drogues avait diminué ou si tout simplement j'avais eu mon compte de grosses bites, mais le temps qu'ils me disent de quitter la pièce, je ne ressentais plus l'impérieux besoin de me faire sauter.

Mon corps entier était douloureux, je demeurais nue étendue sur le sol, j'étais si couverte de foutre que personne ne me touchait plus.

Tom m'entraîna dans les toilettes pour hommes, les hommes qui s'y trouvaient explosèrent de rire à ma vue, je pensais avoir touché le fond, une fois de plus je me trompais dramatiquement.

Tom m'ordonna de m'allonger dans le grand bassin d'aluminium qui servait d'urinoir, il mesurait environ deux mètres de long, un ruisselet coulait au centre, il puait la pisse, c'était réellement répugnant.

Je levais les yeux sur Tom, secouais la tête et fis un pas en arrière, je réalisais alors que je n'avais nulle endroit où me réfugier.

Mes mains étaient attachées dans mon dos, je ne pourrai même pas ouvrir la porte des toilettes.

Tom se fâcha alors :

- "Je t'ai prévenue de ne pas me décevoir salope! ..... Je ne te répéterai pas mon ordre! ...... Si je dois t'allonger moi-même dans le bassin, dis le tout de suite, mais tu le regretteras amèrement! ......"

Je pleurais à chaudes larmes à cet instant, je pleurais tant que je ne pouvais voir que Rory filmait attentivement la scène.

Je m'approchais lentement du bassin, levais une jambe et posais le pied dans l'eau froide, puis je tentais de me résoudre à lui complaire en dépit de mes hauts le cœur.

Finalement je m'allongeais dans le bassin.

Une fois que je fus allongée, les spectateurs s'approchèrent de l'urinoir et pissèrent en chœur sur mes appâts, chassant l'épaisse couche de foutre qui amidonnait mes cheveux, mon visage, mes nibards, mon entrecuisse et mes cuisses! .....

Ce faisant, ils accompagnaient leurs gestes d'horribles propos licencieux, certains allèrent même jusqu'à cracher sur mon corps pantelant.

Je ne pouvais que sangloter misérablement.

Ils ne me laissèrent tranquilles qu'après un très long moment, ils défilaient pour me pisser dessus puis reculaient pour regarder d'autres amateurs les imiter.

Le foutre qui me couvrait initialement avait disparu, mais cette fois j'étais couverte de pisse.

Je ne parvenais pas à croire qu'il pourrait m'emmener ailleurs dans cet état.

Lorsqu'ils en eurent finis, Tom offrit une pipe à celui qui m'aiderait à me relever.

Il n'y eut pas de volontaire, aussi Tom m'ordonna-t-il de me relever toute seule.

Je parvins avec de grosses difficultés à m'agenouiller ce qui me permit de m'extraire de l'ignoble urinoir.

Je m'effondrais sur le sol, Tom m'intima de rester là où je me trouvais.

Il sortit et revint quelques minutes plus tard et m'ordonna de le suivre.

Je traversais une porte et me retrouvais dans l'arrière cour, il ouvrit alors un robinet et m'arrosa avec un jet d'eau froide.

Il le pinçait pour m'asperger de gouttes d'eau puis introduisit le bout du tuyau dans mes orifices, ils explosèrent de rire à la vue du flot de foutre qui s'écoula de ma chatte et de mon trou du cul! .....

Lorsqu'il en eut terminé, il ne restait plus de foutre que dans mes cheveux, mais pour le reste j'étais aussi propre que si je sortais d'une bonne douche bien chaude.

Il s'arrêta dans le magasin et m'acheta une nouvelle brassière, mais il ne me la donna pas.

Il posa sa chemise sur mes épaules et la boutonna juste suffisamment pour que je ne la perde pas.

Puis nous retournâmes à la voiture.

Les gars assis sur le siège arrière n'étaient plus aussi impatient de me faire asseoir entre eux, personne ne me tourmenta alors que nous regagnions le bercail de Tom.

Une fois à demeure, sur le parking, mon apparence attira l'attention des chalands qui se promenaient dans le parking.

Je me rendis tout droit dans la salle de bain, Tom me poussa sous la douche et ouvrit le robinet d'eau.

L'eau s'écoula d'abord froide, mais je n'avais plus la force de me rebeller, j'étais brisée.

Il me fit tourner sur moi-même et déboucla mes menottes, puis jeta ma brassière souillée au sol, il m'intima alors de nettoyer mon corps ainsi que la brassière et les menottes.

Puis il m'abandonna sous la douche.

J'appuyais ma tête contre la paroi de la douche et me mit à pleurer hystériquement pendant un long moment avant de me savonner des pieds à la tête et de me rincer à grande eau.

Je remarquai qu'en dépit des flots de foutre qui s'étaient écoulés de mon corps alors qu'on me douchait au tuyau une bonne heure plus tôt, il en s'échappait encore plus de ma chatte et de mon trou du cul douloureux.

Je frémis de révulsion à la pensée du nombre de bites qui s'étaient vidées dans ma chatte et mon trou du cul au cours de cette horrible journée, je n'avais absolument aucune idée de leur nombre, tout ce que je savais c'est qu'il y avait une bonne cinquantaine d'hommes qui m'avaient sautée dans les deux locaux où ils m'avaient prostituée.

Hier encore je n'avais appartenu qu'à deux hommes et maintenant, bien que cela paraisse incroyable, une bonne cinquantaine d'hommes avait profité de mes charmes les plus intimes.

J'étais courbaturée, j'avais mal dans tout mon corps, et je savais que ce n'était pas fini pour autant.

L'eau coulait à nouveau froide lorsque je sortis de la douche pour me sécher. Je me brossais les dents avec les doigts et de la pâte dentifrice appartenant visiblement à Tom, ce n'est qu'après avoir insisté à trois reprises que je parvins à estomper le goût de foutre qui imprégnait ma bouche, bien que je ne sois pas parvenu, avec mes seuls doigts à curer tous les recoins de ma bouche et l'entrée de ma gorge.

Finalement je tordais la brassière qui jonchait le sol de la douche et je le pendais avec les menottes au rideau de douche avant de sortir de la salle de bain.

Je réintégrais discrètement le salon où seuls Tom et Rory m'attendaient.

J'espérais bien ne pas revoir les deux autres, mais indiscutablement Tom et Rory étaient les pires de la bande.

Tom me jeta un regard égrillard alors que je pénétrais dans la pièce et commenta ironiquement :

- "Bordel ma chérie, je commençais à craindre que tu te sois noyée! ....."

Je ne répondais pas, ce n'était pas nécessaire.

Je me tenais au centre de la pièce, immobile attendant ses ordres.

Il m'a jeté un oeil puis m'a ordonné :

- "Viens t'asseoir à coté de moi, on va regarder un film....."

Je m'assis entre Rory et lui sur le canapé et ils mirent en route le lecteur de DVD.

Je ne fus pas autrement surprise en me voyant sur l'écran posant pour une foule de spectateurs, ils avaient enregistré beaucoup de rushs et Tom m'avait promis que j'aurai une bonne copie du montage définitif, plus tard.

Je me regardais poser avec de moins en moins de vêtements jusqu'à ce que je fus nue puis baisée par un ou deux hommes à la fois sur le lit et enfin lorsque je terminais la séance en appartenant au noir propriétaire des lieux.

C'était dégueulasse, mais moins que la suite cependant.

Je vis la différence dès que nous nous rendîmes au sex-shop.

Je voyais bien que j'sois droguée.

Je n'étais pas dans le cirage comme la veille au soir, mais la vue de la cassette me permettait de comprendre ce qui s'était passé.

Une fois de plus je participais activement à ma débauche, du début à la fin.

Je vis à que l'on m'embrochait, à nouveau, à deux à la fois, la plupart de ces hommes étaient laids et vieux, de toutes races et de tous types.

Il ne s'agissait en aucun cas de faire l'amour, mais bel et bien de se faire baiser à couilles rabattues, ils auraient tout aussi bien se servir d'une poupée gonflable.

Leur but principal semblait plus de m'humilier que de jouir de mes charmes.

Je cherchais à me couvrir les yeux lorsqu'ils me prirent couverte de sperme dans les toilettes pour hommes, ce spectacle me révulsait, ils m'ordonnèrent de regarder le film en dépit de mon dégoût patent.

Je dus me revoir m'allongeant dans le bassin servant d'urinoir puis ces hommes me pissant dessus pour débarrasser mon corps de l'épaisse couche de foutre qui le recouvrait. Je les voyais viser mon visage et ma chevelure alors que les uns après les autres ils se vidaient la vessie sur mon corps pantelant, se retirant ensuite pour regarder les suivants les imiter tout en se moquant de moi et en commentant le spectacle en termes salaces.

D'autres dirigeaient les jets de pisse sur son visage et ses organes génitaux, ils étaient toujours au moins une demi-douzaine à me pisser dessus de concert. Tout le revenait alors qu'ils m'obligeaient à visionner ce spectacle immonde.

Puis le spectacle se terminait sur l'ultime humiliation lorsque je me traînais hors de l'urinoir et sortais pour être nettoyée au robinet d'arrosage.

Lorsque le DVD se termina, Tom et Rory se levèrent en chœur et descendirent pantalons et caleçons, je dus les sucer tous deux en même temps.

Je me mettais à genoux et me postais entre les cuisses de Tom, il sourit et me dit :

- "Tu m'as vraiment épatée aujourd'hui! .... Je crois que tu vas parvenir à me vider les couilles si tu y mets tout ton cœur! .... Allez à toi! ...."

Mes mâchoires étaient douloureuses, j'étais crevée, mais je savais que si je protestais, il me le ferait amèrement regretter.

Je forçais mes lèvres à s'ouvrir et glissais son épaisse bite dans ma bouche l'enfournant jusqu'aux couilles! ....

Il soupira et reprit :

- "Bon Dieu ce que tu suces bien! ..... C'est excellent ma chérie! ..... Suce-moi bien..... Tu vas avoir ta dose de protéines! ...."

Je le travaillais de tout mon cœur, de toute mon habileté fraîchement apprise, oeuvrant des lèvres et de la langue, tout en lui caressant les boules de mes doigts agiles, après un long moment je le sentis enfin se tendre dans ma bouche, j'enfouissais mon visage dans ses poils pubiens tandis qu'il projetait de lourds jets crémeux de foutre chaud au fin fond de ma gorge.

Lorsqu'il me repoussa, je pris place entre les cuisses de Rory, j'en aurai pleuré.

Sa bite était en semi-érection, et j'étais épuisée! .....

J'entrepris de lui embrasser et lécher les burnes, sa queue commença à grossir et à se déployer.

Lorsqu'enfin il fut assez bandé, je l'embouchais servilement luttant pour l'accueillir dans mon arrière gorge.

Si l'on excepte la bite du colosse noir propriétaire du salon de photos sa queue était la plus grosse bite de toutes celles des violeurs qui m'avaient possédée à ce jour.

Il m'était très difficile de l'introduire dans mon arrière-gorge, j'étais véritablement bâillonnée, c'était extrêmement pénible.

Je m'occupais de sa queue avec autant de cœur que de celle de Tom, alors que je le suçais docilement, il tendit la main et attrapa mes nichons qu'il serra très fort.

Je gémissais de douleur, il se retourna sur Tom et lui concéda :

- "J'adore la manière dont sa gorge vibre lorsqu'on la torture un peu! ..... C'est très jouissif! ...."

Cela le réjouissait peut-être, mais cela n'empêcha pas mon épreuve de durer très longtemps.

Lorsque je les eus tous deux fait jouir une dernière fois, ils m'autorisèrent à enfiler la tenue que m'avait achetée Tom et de rentrer chez moi.

Je devais revenir le lendemain matin à 10 heures.

J'enfilais rapidement l'espèce de pagne et la seconde brassière qu'avait acheté Tom au sex-shop. Je jetais un oeil sur ma tenue et vit une inscription inscrite sur le pagne, il était écrite en larges lettres noires : "Otez moi!."

J'enfilais mes sandalettes et attrapais mon sac à main.

Tom m'ordonna de revenir dans la même tenue le lendemain matin.

Je me ruais au dehors avant qu'ils ne changent d'idée, je me dirigeais vers la piscine pour récupérer le short et la brassière, mais je vis qu'un tas de monde se tenait autour de la piscine et je me refusais à me confronter à ces gens dévêtue d'une façon aussi provocante! .....

3 novembre 2007

Coulybaca

Avec l'aimable autorisation de l'auteur :

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1 Commentaires
AnonymousAnonymeil y a plus de 16 ans
eh

trop violent , la scene aver la drogue etait la seul qui etait bon, mais meme ca j'aime pas trop

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