Changements de vie pour Jessica 20

BÊTA PUBLIQUE

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Putain, j'aime qu'ils me portent attention. Ça m'excite et ça me distrait de toute pensée liée à mon travail. De toute façon, la discussion m'ennuie même si elle porte sur mon travail et ma carrière. Je me sens plus apte à être jolie et plaire aux hommes qu'à concocter une stratégie pour le futur de notre cabinet.

Après presque deux jours d'abstinence, je veux une bite. Je veux la sentir en moi, je veux la sucer. Je veux être remplie. Je veux rejoindre Daniel et être sa soumise pour le reste de la nuit plutôt que de discuter de sujets ennuyeux avec mes deux collègues qui le sont tout autant.

Avant le plat principal, je reçois un SMS inattendu :

« SLP? Oute? Bsin béz? Dan di dispo »

Je ne reconnais pas le numéro et je ne comprends pas non plus le message. Je réponds donc pour demander qui me l'envoie et comment il a obtenu mon numéro.

« Tu es stupide ou quoi? Où es-tu salope? Besoin de baiser! Daniel m'a dit que tu étais disponible sur un simple appel! Lucio. »

Mon Dieu, c'est Lucio, le colocataire de Daniel. Mon homme a dû donner mon numéro de portable à ses potes. Y'a-t-il vraiment écrit « besoin de baiser » et « disponible sur appel »? Merde, Daniel tient sa promesse de me transformer en pute de gang.

C'est vraiment avilissant. Je suis assise à un important dîner d'affaires primordial pour l'avenir de notre cabinet de conseil et je reçois un appel d'un membre d'un gang latino pour baiser.

Cependant, mes priorités sont claires. Cette réunion est cruciale pour ma carrière et ma réputation dans l'entreprise. Pourquoi alors j'envoie un texto à Lucio en lui donnant le nom et l'adresse du restaurant? C'est arrivé comme ça et je n'ai pas le temps d'y réfléchir, car O'BANNON veut mon point de vue sur certains sujets.

RING!

Environ quinze minutes plus tard, je reçois un appel sur mon smartphone.

- Nous sommes dehors salope et nous t'attendons. Amène ton cul! Dit Lucio dans le téléphone après que j'ai décroché.

Il ne dit rien d'autre et raccroche, me laissant complètement abasourdie. Je ne peux sérieusement pas lui obéir. Je ne peux pas sortir du restaurant maintenant, pas avec tous ces sujets importants, pas avec ma carrière en jeu!

Cependant, plus mon esprit proteste, plus la chaleur se répand dans mon entrejambe. Retrouver les membres du gang de Daniel sera sûrement plus amusant que ce dîner d'affaires ennuyeux. Et puis quel choix ai-je vraiment? Je suis la pute des 3LGZ » après tout. Mon tatouage de bronzage le dit non? Je dois être disponible pour tous les membres du gang.

Quelle situation! Je suis prise entre le marteau et l'enclume. Le dîner et la rencontre du gang sont deux choses importantes. Le premier pour ma position en tant que directrice d'entreprise, et la seconde pour mon rôle de pute de gang. Autant la partie rationnelle de mon esprit me demande de rester à table que mon côté soumis m'encourage à sortir pour voir Lucio.

J'envoie discrètement au latino un SMS pour qu'il me rappelle. Je veux simuler un appel téléphonique de clients. Lorsque je reprends mon smartphone en train de sonner, j'informe mes collègues qu'il s'agit de M. MOORE qui veut sûrement reparler du projet. Je laisse O'BANNON et ORTEGA croire qu'il y a encore une chance d'obtenir l'aval pour le projet, je m'excuse et je me lève. Putain, mon cœur bat à tout rompre.

C'est vraiment imprudent! Et c'est vicieux! C'est irresponsable et tellement excitant!

Je vais sortir d'un restaurant chic et haut de gamme en laissant mon patron et mon rival discuter pour aller baiser des jeunes membres d'un gang latino. Ça ressemble plus à de la fiction qu'à la réalité.

En parlant au client imaginaire dans mon téléphone, je me dirige vers les toilettes pour femmes situées sur le côté droit. A gauche se trouve les cuisines et au bout du couloir il y a une porte qui permet de sortir.

En chemin, je regarde autour de moi pour voir si quelqu'un fait attention à moi. Un serveur sort de la cuisine et manque me heurter. Quand il s'éloigne, la route est libre et je m'approche rapidement de la porte. Heureusement elle n'est pas verrouillée.

Je sors rapidement et je ferme la porte avant de jeter un coup d'œil aux alentours. Je suis dans une petite ruelle qui débouche sur une avenue à trois voies. Cette ruelle est bordée de bennes à ordures et de poubelles. Ça contraste fortement avec le restaurant chic. Il est évident que presque personne ne met les pieds ici, surtout pas les clients. Tout au plus, ce sont les employés qui sortent rapidement les poubelles.

Près de la porte est garé un vieux véhicule « lowrider » avec le capot face à l'avenue. Trois types sont appuyés contre le coffre de la voiture en fumant. L'un d'eux est le locataire musclé de Daniel, Lucio. Il porte un pantalon kaki taille basse, un tee-shirt blanc et une chemise à carreaux avec seulement le bouton du haut fermé. A côté de lui se trouve Chico, le gars dans la quarantaine qui travaille au restaurant de tacos. Il porte un pantalon baggy noir et un maillot de football blanc. Le troisième latino semble être près de la trentaine. Il arbore un bandana autour du front, un pantalon kaki et une chemise blanche qui lui colle à la peau. Malgré la ruelle faiblement éclairée, je suis sûre de ne l'avoir jamais vu.

Dès que Chico me voit, il jette sa cigarette et s'approche de moi. Je n'aime pas la tournure que prennent les évènements. Après tout, Chico est un ex-détenu avec une apparence méchante, de gros tatouages et de l'encre sur les doigts. Il est le membre le plus effrayant du gang des « LGZ » que j'ai rencontré à ce jour. J'avais espéré ne plus avoir à le croiser. Pourtant je ne peux que pousser un petit « ah » avant qu'il ne pose sa main sur mon cul et qu'il commence à pétrir mes fesses à travers le tissu gris.

- Hé mes frères, cette pute s'est bien habillée! Maintenant les putes de gang ont leur propre style pour afficher leurs gros nichons et leur gros cul! Dit-il aux deux autres.

Je jette mes cheveux châtains avec leurs nouveaux reflets dorés en arrière. Malgré ses propos grossiers, j'ai l'impression qu'il loue mes efforts.

- Paco ici ne croit pas qu'une femme d'affaires soit notre pute de gang. Montre-lui que nous ne mentons pas, salope! Dit Chico.

Son ordre me fait regarder la ruelle de haut en bas. Il n'y a personne d'autre et la vue depuis la rue principale est bloquée par des bennes à ordures. c'est bien!

Pourtant il m'est difficile de comprendre que j'en suis arrivée là. Je suis sur le point de me déshabiller dans une ruelle publique. Quelle honte! Comme c'est dégradant! Pourtant la seule présence de ces voyous grossiers me pousse dans la soumission, surtout après deux jours sans qu'un dominant ne me contrôle. Mon Dieu, comme je désire ce genre de domination!

En balançant mes hanches je me dirige vers Paco. Il n'est pas aussi musclé que les deux autres latinos, mais il est vraiment grand et bien bâti. Il donne l'impression d'être un géant silencieux à côté de ses deux acolytes bavards.

Debout devant lui, je me tourne et je secoue mon cul bombé sous la jupe crayon grise moulante aux rayures latérales noires. Soudainement je suis aveuglée par de la lumière! Une voiture arrive vers la ruelle.

Je me fige dans ma position!

La voiture s'approche de l'entrée de la rue. Je suis sur le point d'entrer dans le faisceau des phares. Les passagers du véhicule vont voir une femme d'affaires entourée d'une bande de latinos.

Toutefois, la voiture tourne subitement à droite et continue sa route. Nous n'avons pas été vus. En poussant un soupir, je regarde Lucio et Chico. Malgré cette interruption, ils n'ont pas l'intention de me laisser m'en aller. Je suis la pute du gang « LGZ » et ils ont fait du chemin pour en faire bon usage. Ils ne repartiront pas sans rien.

Je ne peux pas non plus prolonger l'inévitable trop longtemps. Ce faux appel simulé me fait gagner du temps, mais je ne peux pas laisser O'BANNON et ORTEGA attendre indéfiniment sans rendre mon comportement suspect.

Donc je commence à défaire les boutons de mon blazer gris. Puis soigneusement je le place sur la banquette arrière de la voiture des trois gars pour ne pas le salir. J'attrape ensuite mon haut et je le lève, présentant ainsi mon ventre plat.

En balançant mes hanches, je continue à présenter mes atours. Je leur montre la nouvelle chaîne de taille avec la lettre B orné de strass qui monte haut sur mes hanches ainsi que mon anneau de nombril avec le cœur et le mot « Missy » et le tatouage en faux bronzage « LGZ » avec la couronne de vajazzling .

Paco s'exclame avec surprise :

- Putain les gars, personne ne m'a dit que notre pute de gang était une poupée avec du style. Vous vous êtes foutu de moi mes frères. Ce n'est pas une femme d'affaires. Peut-être qu'elle se prend pour une directrice quand elle ne prend pas les appels en tant que réceptionniste. Ah ah ah!

Merde, ce membre du gang ne me connaît pas, mais il ne me croit pas une seconde. Il ne me prend pas pour une directrice de société, mais pour une vulgaire réceptionniste au mieux. Mes sentiments sont mitigés. D'une part je suis profondément indignée, mais d'un autre côté, je suis ravie de son approbation de mon apparence de poupée glamour.

Le souvenir d'ORTEGA me faisant jouer le rôle d'une secrétaire pendant une heure me revient en tête. Même si je repousse cette pensée, ce rappel donne une décharge à ma chatte.

- Je suis une salope de directrice! Dis-je impulsivement à Paco en passant l'ongle long de mon index le long de sa poitrine.

Puis j'ajoute :

- Je suis intelligente et élégante tu sais!

Bon sang, pourquoi avais-je parlé? L'avais-je marmonné ou avais-je vraiment envie de le clamer? En fait je voulais dire que j'étais une femme d'affaires sophistiquée, mais j'ai obtenu l'effet contraire.

L'expression « salope de directrice » était tout simplement entrée dans ma tête et je l'avais laissée échapper. En voilà d'une réponse réfléchie! Mais tout en parlant, je me suis souvenu de la présentation du projet la veille. J'étais élégante c'est sûr, mais j'étais loin d'être intelligente.

- Hé hé! Salope de directrice, si ce n'est pas un contradiction! Tu aurais du choisir un « S » sur ta chaîne pour salope! Dit Chico.

Non non! En fait j'ai choisi la lettre pour représenter le « BRATZ » de « Miss BRATZ », car le « Missy » pend déjà à mon nombril. Pourtant je ne suis pas en désaccord avec le latino. Après tout je me suis moi-même traitée de salope non?

- Yo! Je ne vois pas de directrice ou de pute de gang en ce moment! Réagit Paco pour me donner un ordre indirect.

Bon sang, je veux prouver que je suis les deux et démontrer mes compétences, même si la pute prend le dessus en ce moment. Je réalise où se trouve ma priorité.

Glissant mes bras hors de mon haut, je tire l'ourlet vers le bas jusqu'à ce que mon haut repose juste au-dessus de mes tétons dressés. Puis d'un coup sec je laisse mes mamelons sortir l'un après l'autre.

Dès que mes gros nichons sont libres, Paco tend la main pour les saisir. Mais j'échappe à son emprise en me retournant. Puis je baisse soigneusement mon haut sur mes hanches, je ne veux pas que ces voyous le déchirent. Du coup je lui présente mon gros fessier.

Penchée sur le coffre de la voiture, je fais glisser mes mains manucurées le long des bandes latérales noires. Saisissant l'ourlet de ma jupe grise, je le remonte lentement. Tout d'abord c'est la bordure de mes bas noirs qui apparaît. Puis ce sont les courbes de mon derrière que l'on peut voir. Finalement, mon cul se retrouve pleinement exposé.

Toutefois mes actions sexy ont une autre conséquence inattendue. Pendant que Paco me regarde, Lucio s'approche du côté conducteur de la voiture. Il actionne un interrupteur et enclenche le système hydraulique qui fait sauter le véhicule « lowrider ». Les roues avant rebondissent de haut en bas sur un rythme lent.

- Putain les gars, regardez comment ma voiture réagit à ce gros cul! S'exclame joyeusement Lucio.

- Quelle salope! Regardez cette pute de gang! Répond Chico avec un rire vicieux.

- Allez salope, une pute de gang doit savoir faire bouger une lowrider! Montre-nous ce que tu sais faire!

Je ne sais pas vraiment ce que je suis censée faire, alors je me retourne et je commence à faire tourner mes hanches. Même si je fais de mon mieux pour bouger mon cul comme des danseuses professionnelles que je vois habituellement dans des clips, je dois être plus comique que sexy. Je n'ai jamais dansé comme ça auparavant. Mais au moins ça fait rebondir mes gros seins sur ma poitrine. Et je vois que ça enchante les gars.

- Maintenant, applaudis comme une bonne pute! Ordonne Chico.

Encore une fois je ne comprends pas ce qu'il veut dire, alors je commence simplement à frapper dans mes mains en rythme avec le mouvement de la voiture.

CLAC!

L'ex-détenu vient de me donner une grosse gifle qui instantanément me brûle la joue droite.

- Putain de salope! Tu crois que tu portes toutes cette ferraille pour rien? Gronde le latino visiblement déçu par mon manque de compréhension.

- Applaudis avec tes bijoux salope! Ajoute-t-il.

Frottant ma joue brûlante avec ma main droite, je voudrais lui lancer un regard méchant. Mais je n'ose pas regarder ce membre de gang brutal dans les yeux.

Applaudir avec mes accessoires? C'est tellement stupide! Pourtant j'ai acheté ces bijoux pour les montrer et attirer l'attention des hommes non? C'est peut-être la meilleure façon.

Écartant mes jambes, je m'accroupis légèrement et je commence à bouger mon cul dans de larges mouvements circulaires. La lettre B commence à se balancer de gauche à droite. Balançant ma tête sur un rythme imaginaire avec un mouvement exagéré, mes boucles d'oreille en argent se balancent alors d'avant en arrière. En accélérant, je prends le rythme de la voiture qui rebondit sur ses roues. Finalement l'anneau de mon nombril avec le « Missy » commence à se balancer également.

Faire bouger mes bijoux me donne l'impression d'être fabriquée, comme un mannequin humain décoré et présenté en vitrine. Merde, l'idée d'être un simple mannequin pour afficher les bijoux est une déchéance de plus pour moi.

Tout cela est bien beau, ou plutôt idiot et absurde, mais rien ne clique encore. Que puis-je faire d'autre? J'ai toujours mes bracelets non? En écartant les bras, je commence à secouer les poignets en rythme ce qui fait que tous les bracelets s'écrasent les uns contre les autres en produisant un faible cliquetis.

CLING! CLING!

- Je n'entends rien salope! Allez, fais du bruit! Gronde Lucio en mettant sa main derrière son oreille pour accentuer son ordre.

- Une salope de directrice? Cette idiote n'arrive même pas à faire du bruit avec son corps couvert de quincaillerie. N'importe quelle réceptionniste y arriverait! Dit Chico avec mépris.

Putain, ces latinos grossiers ne croient pas que je sois une femme d'affaires. Je voudrais protester, mais ils se contenteront de me rire au nez. Debout dans une ruelle sale, les seins à l'air et mes hanches se balançant à côté d'un lowrider sautillant, je ne suis pas dans la meilleure position pour me vanter de mes diplômes de toute façon. Et puis, je ne suis pas là pour me vanter. Je suis ici pour faire du bruit avec mes bijoux pour le plus grand plaisir des membres du gang.

Il faut que je fasse frapper la lettre B contre l'anneau avec « MISSY » sur mon nombril. Comment puis-je faire ça? Pour l'instant les deux bijoux ne font que se balancer. Il faut que je fasse autrement.

Je me redresse, puis je me penche en arrière avec les jambes écartées et je commence à pousser mes hanches à chaque fois que la voiture rebondit. La lettre B cesse de se balancer et commence à monter et descendre. Mais ça ne suffit pas pour le moment à le faire heurter l'anneau de nombril.

Je suis désespérée. De plus en plus fort, je pousse mon cul en arrière jusqu'à ce qu'il touche la voiture quand elle est au plus bas. Et je pousse mon entrejambe en avant à chaque fois que l'avant du véhicule saute.

En arrière! En avant! En arrière! En avant!

Plus rapide! Plus fort! Plus rapide! Plus fort!

J'effectue pratiquement une danse du ventre rapide, brassant l'air de plus en plus vite jusqu'à ce que la lettre B et le cœur avec « Missy » rebondissent sauvagement. Mais il n'y a pas que mes bijoux qui se balancent violemment. Mes gros seins tremblent si fort qu'ils donnent l'impression de s'envoler de ma poitrine d'une seconde à l'autre.

CLING! CLING!

La lettre B et le coeur marqué « Missy » cognent l'un contre l'autre. Ça fonctionne!

CLING! CLING!

Les membres du gang « LGZ » me laissent continuer encore et encore. Je remue et fais cliqueter mes bijoux en rythme avec le mouvement de la voiture jusqu'à ce que je me fatigue. Finalement Lucio coupe le circuit hydraulique.

- Hé bien, il en a fallu du temps pour que cette pute comprenne. Stupide salope! Fait-il remarquer.

- Cette chatte n'apprend pas rapidement n'est-ce pas? Ça suffit les préliminaires, au travail! Glousse Chico en réponse.

Il attrape alors mes cheveux châtains aux reflets dorés et il me pousse en avant jusqu'à ce que mon corps soit penché sur la voiture. La main sur mon dos, il presse fermement mes seins sur le métal pendant qu'il retrousse rapidement ma jupe au-dessus de mes fesses.

CLAC! CLAC!

Chico met deux grandes claques sur mes jolies fesses. Ma peau rougit instantanément.

- Hé les gars! Pensez-vous pouvoir faire trembler son cul autant que ses seins il y a un moment? Dit le latino pour défier ses potes.

Tout en s'écartant, il garde sa main sur mon dos pour me tenir en place. Je ne veux pas que ces salauds giflent mon cul jusqu'à ce qu'il tremble, mais je peux à peine bouger. Tout ce que j'arrive à faire c'est d'agripper les côtés de la voiture avec mes mains et mes doigts aux ongles longs et de me préparer.

CLAC! CLAC!

CLAC! CLAC!

Chacun des deux autres gars frappent mon cul de bas en haut pour faire trembler mes fesses aussi sauvagement que mes seins avaient rebondis auparavant. Je me mords les lèvres et j'agrippe la voiture. Je fais de mon mieux pour rester calme. Après tout nous sommes dans une ruelle publique. Finalement Chico s'exclame :

- Voyons si ses trous sont prêts! Cette salope doit mouiller pour nous. c'est à ça que sert une pute de gang non?

Putain, ce latino intimidant vient juste de dire clairement que je ne suis que de la viande à baiser pour lui est ses copains. Toutefois l'idée d'être une simple poupée de chiffon qui n'a pas d'opinion personnelle et qui n'a rien le droit de dire m'excite énormément. C'est à ça que sert une pute. Je pense qu'il a raison sur ce point.

En un clin d'œil, Chico a sorti sa bite de son pantalon kaki et il la positionne sur ma chatte.

- Non Monsieur! Dis-je en remuant les hanches.

- Ma chatte est pour mon homme seulement. S'il vous plaît, enculez-moi. Votre pute est là pour être sodomisée. Ajouté-je rapidement.

Mes paroles arrêtent Chico dans son élan. Du moins pour un instant. Il semble se demander quoi faire.

- Non! c'est peut-être valable pour les gamins à ton travail. Mais pas pour les potes de Daniel! Répond Chico pour me faire comprendre qu'il se fout de mes protestations.

Mais il suggère alors :

- Je dis ça, mais... Tu veux que ton cul soit rempli? Alors montre-nous qu'il est plus serré que ta chatte! Ok?

Je ne comprends pas vraiment de quoi il parle. Cependant, tout est mieux que de simplement les laisser me baiser. Au moins, j'ai essayé de résister et de suivre les règles de Daniel.

Brusquement, Chico attrape ma chevelure châtaine et me traîne à l'avant de la voiture décapotable. Je ne peux rien faire d'autre que le suivre pliée en deux. Il ouvre la portière du conducteur et il me jette sur le siège.

- Allez grosse pute, prouve-nous que ta chatte est bien mouillée et étirée!

Je regarde par-dessus mon épaule ce voyou. Ma bouche s'est ouverte sous la surprise. Que veut-il que je fasse? Que je m'empale sur le levier de vitesse? Il n'est pas sérieux!