Changements de vie pour Jessica 20

BÊTA PUBLIQUE

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CLAC! CLAC!

Deux autres coups sur mon cul déjà bien rouge m'indiquent qu'il faut que j'obéisse. Il ne plaisante pas. S'il doit se contenter de baiser mon cul, il veut que ma chatte reçoive un autre type d'entraînement.

Pour éviter d'autres claques sur mes fesses brûlantes, je me précipite et j'inspecte le levier de vitesse. Comme le reste de la voiture, il est personnalisé avec un pommeau sur mesure. C'est une boule marquée 8. Avec ses six centimètres de circonférence il a la taille originale d'une boule de billard. C'est assez gros pour ma chatte.

- Je ne vois toujours pas la pute de gang! Dit Lucio en me voyant hésiter.

Titillée par cette remarque, je me souviens que Matt a mis tout son poing dans ma chatte. Si ça avait marché, ça ira à nouveau. Je peux prendre cette boule.

J'essaie de me clamer et j'écarte les jambes. Je place chacun de mes genoux sur les sièges. Avec le toit ouvert, je peux m'agenouiller sur les sièges et tenir ma chatte juste au-dessus du levier de vitesse avec la boule de billard. En descendant, j'écarte les lèvres de ma chatte avec l'index et le majeur de ma main gauche. En passant l'index de ma main droite à travers ma fente évasée, je remarque que ma chatte est bien humide.

Ce n'est pas une surprise non? Le traitement brutal que m'imposent ces membres de gang grossiers en tant que pute de leur gang m'entraîne dans un monde de soumission et me rend excitée et chaude.

Lentement j'abaisse mon entrejambe jusqu'à ce que la chair de ma chatte touche la boule. C'est si froid! Des deux mains j'attrape les lèvres de ma chatte et je les écarte. Puis j'appuie ma fente contre la boule de billard. Je fais glisser ma chatte de haut en bas afin de la rendre lisse et bien lubrifiée par mon jus.

Pendant ce temps, les trois latinos encerclent la voiture. Chico se place du côté conducteur et ses deux potes du côté passager. Il tend la main et commence à me pincer le mamelon gauche. Prenant exemple sur lui, Lucio attrape mon téton droit et le pince lui aussi.

Les deux hommes serrent de plus en plus fort jusqu'à ce que je gémisse. Ils tirent mes mamelons vers le bas pour essayer de me faire descendre dur le pommeau de vitesse. Il est temps pour moi de remplir ma chatte. Prenant une profonde inspiration, je baisse mon entrejambe sur le levier de vitesse.

Mon corps descend, ma chatte s'étire. La boule est grosse, mais pas autant que le poing de Matt. Avec un plop, le pommeau glisse en moi. Je suis empalée sur un levier de vitesse, qui peut le croire?

La boule de billard dure et froide remplit vraiment ma chatte. Mais les latinos n'en ont rien à foutre que je m'habitue ou non à la taille de l'objet. Ils se mettent à tirer mes tétons vers le haut.

Et ils continuent jusqu'à ce que je gémisse à nouveau. Ils atteignent leur objectif alors que je me lève et que la boule de billard sort presque de ma chatte.

En haut! En bas!

- Aaaaahhhh!

En haut! En bas!

- Ooooowwwww!

Les gars se moquent de mes plaintes, même si elles deviennent plus bruyantes à chaque traction. Ils me pincent si fort que ça me fait vraiment mal. Pourtant, je ressens des picotements sur ma peau et mon jus de chatte commence à couler le long du levier de vitesse.

- Allez, chevauche-le salope! Chevauche-le comme une grosse bite! Dit soudainement Chico.

- AIEEEEE! Crié-je une seconde plus tard.

Ce salaud vient d'actionner l'interrupteur hydraulique pour faire lever l'avant de la voiture. Je perds l'équilibre.

-OUILLLLLE! Crié-je en encore plus fort quand Chico et Lucio me retiennent en pinçant mes tétons plus rudement.

Mes pauvres mamelons! J'ai l'impression qu'ils sont pris dans un étau! Entre deux membres des « LGZ, mon corps est tenu droit avec une main sur chaque téton et une autre main sur chaque hanche. Ils réussissent à maintenir le pommeau du levier de vitesse profondément enfoncé dans ma chatte.

Heureusement pour moi, Chico a réglé la pompe hydraulique à faible puissance si bien que la voiture ne saute que légèrement. Pourtant c'est suffisant pour me faire rebondir sur le levier de vitesse comme sur un taureau mécanique.

Je me tiens accrochée aux dossiers des sièges auto avec mes mains aux ongles longs. Et je fais de mon mieux pour garder mon corps soulevé alors que le véhicule saute sous moi. Dans cette position, le levier de vitesse terminé avec la boule de billard entre et sort de ma chatte comme un perforateur. Mais je bondis avec les mouvements de la voiture. Et comme les deux latinos pincent encore mes tétons, le rebond fait sauter mes seins sauvagement dans leur main. Ça les amuse vraiment.

- Ahahahhahah! Ahahahaha!

Ils ne peuvent s'arrêter de rire.

- Ohhhhh! Ahhhhhh! Ohhhhh!

Je ne peux m'arrêter de gémir. A présent mes gémissements se transforme en un mélange de cris de douleur avec la torture de mes tétons et de cris de plaisir avec la pénétration de ma chatte.

Mais tout d'un coup, mes gémissements restent coincés dans ma gorge. A travers le pare-brise, je vois passer une autre voiture. Et contrairement aux précédentes, celle-ci s'arrête. Je vois les feux de recul s'allumer et je comprends que le conducteur a enclenché la marche arrière. Il recule vers nous.

Les trois latinos ne semblent pas s'en soucier, car ils n'arrêtent pas le système hydraulique de la voiture qui continue à sauter. La musique rap continue à jouer bruyamment alors qu'ils s'acharnent à tordre mes mamelons.

Je vois les feux de recul se rapprocher. La voiture roule à reculons dans la ruelle. Il faut que je me cache! Je ne peux pas prendre le risque d'être vue! Et si c'était un de nos collègues qui venait voir ORTEGA et O'BANNON au restaurant pour les aider? Et si c'était un client qui me reconnaît?

Les feux arrière s'approchent toujours. Les deux latinos me maintiennent toujours en place. Ils ne me laissent pas bouger. J'essaie de descendre ma chatte sur le levier de vitesse pour baisser mon corps et me cacher. Mais c'est ridicule, je ne peux pas devenir invisible.

Soudain la voiture s'arrête et la portière du conducteur s'ouvre. Une femme de mon âge avec un chignon noir sort la tête. Tandis que le « lowrider » continue à sauter, Paco passe devant le capot.

- Pouvez-vous baisser votre musique? C'est un quartier tranquille ici! Sinon, je vais aller en informer le propriétaire du restaurant. Dit la femme avec une voix énervée.

Merde, c'est un problème de voisinage. Et on ne parle pas ainsi à un groupe de latinos, membres de gang. Ils ne vont pas se laisser faire. Le ton va monter et ils vont se disputer. La police va être appelée et je serais arrêtée comme une vulgaire prostituée de rue. Oh mon Dieu non!

Mais la femme n'a rien dit sur la salope que je suis, nue dans la voiture. Elle n'a rien dit sur mon comportement. Est-ce un bon ou mauvais signe?

- Bien sûr Madame! Répond Paco rapidement en faisant signe à Lucio.

Ça c'est une surprise. Je ne m'attendais pas à ce que ces voyous restent calmes. Apparemment, baiser leur pute de gang est plus important que de s'attirer des ennuis.

Alors que la voiture continue de sauter, Lucio arrête la musique rap. Toutefois, nerveuse, mon cœur bat si fort que je crains que la femme ne l'entende. Heureusement elle semble satisfaite, même si elle secoue la tête avec mépris.

L'allée sombre et mal éclairée ainsi que les bonds de la voiture ont du l'empêcher de me voir jusqu'à maintenant. Mais elle pourrait m'entendre alors que le levier de vitesse continue à pilonner ma chatte. Me mordant les poignets, je fais de mon mieux pour étouffer mes gémissements.

- OOOoooooooohhhhh!

Mais ça ne fonctionne pas. Je viens de gémir à haute voix. Et la femme l'a entendu. Elle se fige, fronce les sourcils et étudie le « lowrider » de plus près.

Toujours debout devant le capot, Paco fait un pas de côté pour bloquer la vue de la femme. Apparemment, elle ne peut voir que Lucio et Chico debout sur les côtés du véhicule sautillant. Elle regarde encore quelques instants les trois latinos avant de laisser tomber. Elle ferme sa portière, démarre et va se garer sur le parking de l'autre côté de la rue principale.

Nous la regardons sortir de sa voiture et entrer dans le restaurant. Alors Lucio relance la musique. Pendant tout ce temps, le levier de vitesse pilonne ma chatte et la boule de billard étire ma chatte. Cette pénétration rapide et rythmée a eu son effet. Mon jus coule de ma chatte sur le levier de vitesse, donnant l'impression qu'il est recouvert d'une mousse blanche.

- Ohhhhh! Putain! Aaaaaah! Crié-je finalement.

C'est le point de non-retour. J'ai atteint mes limites et je jouis en force. Pendant un instant mon esprit se vide complètement. Puis l'orgasme éclate comme un coup de tonnerre et fait trembler mon corps sur le levier de vitesse.

Les vagues de plaisir me traversent l'une après l'autre. Cet orgasme est si puissant que mon corps s'effondre. Je suis simplement maintenue par la poigne impitoyable des latinos sur mes mamelons et mes hanches.

Quand j'ouvre enfin les yeux et que je vois les trois gars à travers mes yeux vitreux, je remarque qu'ils ont éteint le système hydraulique et que la voiture ne saute plus. Je ne sais même pas quand ils l'ont fait.

- Ça y est, elle revient! Fait simplement remarqué Chico.

Il ne va pas me laisser le temps de me remettre complètement. Au lieu de cela, il attrape mes cheveux châtains et me tire du levier de vitesse. Il me traîne hors de la voiture jusqu'au coffre où il me jette brusquement. J'atterris sur le dos, bras et jambes largement écartés.

- Regardez cette chatte! Grande ouverte! Commente le voyou en montrant ma chatte béante.

Elle doit être bien ouverte, car je sens l'air froid se précipiter à l'intérieur. Malgré sa remarque grossière, je garde les jambes écartées et je me contente de rigoler bêtement pour répondre.

- Hihihihi! Étirée et mouillée comme la chatte d'une bonne pute de gang non? Dis-je.

Chico renifle.

- C'est sûr salope! Maintenant, laisse-moi voir ce trou à merde serré. Prête à te le faire déchirer tout autant grosse chienne?

Puis sans attendre de réponse de ma part, il s'adresse à son pote :

- Viens Paco, il est temps que tu lui bourres le cul!

Sans dire un mot, le latino calme répond à l'invitation de Chico et s'intercale entre ses deux amis. Il sort simplement sa bite de son pantalon kaki et il attrape mes jambes pour me mettre en position. Il n'y a pas à dire, c'est un silencieux.

Avec ma chatte débordante de mon jus, il ne lui faut que passer sa bite une ou deux fois sur ma fente pour bien la lubrifier. Saisissant mes chevilles avec ses grosses mains, ils poussent mes jambes en arrière jusqu'à ce que mes genoux reposent de chaque côté de ma tête.

Comme mon trou du cul n'est pas du tout préparé, j'essaie d'offrir au géant au bandana un accès plus facile. Alors je tends la bras et pose mes mains sur mes fesses pour les écarter. Lucio fait alors remarquer :

- Joli contraste! Le cul rouge et les ongles longs et blancs.

CLAC! CLAC!

Encouragé par ce commentaire, Chico réagit et donne une grosse claque à ma fesse gauche suivie d'une autre violente donné par Lucio sur ma fesse droite. Les deux rigolent quand l'impact pousse mon corps sur le coffre de la voiture et que je gémis tout en tenant mes fesses comme si ma vie en dépend.

- Maintenant on voit encore mieux le contraste! Dit Chico après avoir accentué la rougeur de mon cul.

Quand Paco positionne sa bite lubrifiée entre mes fesses, je les écarte le plus possible pour lui offrir un meilleur accès. Il grogne simplement quelque chose que j'interprète comme un « bon travail salope ».

Puis il commence à pousser. La taille de sa bite correspond à sa morphologie, car elle est presque aussi grosse et épaisse que la bite noire de Taylor. Ça ne va pas être une partie de rigolade pour moi. Même s'il est silencieux, le latino sait comment traiter une pute de gang tout autant que les deux autres membres du gang. Montrant un mépris total pour mon confort, il se contente de se pencher en avant et d'utiliser tout son poids pour percer mon anneau anal avec sa grosse bite.

- OUILLLLEEEE! Crié-je.

Encore une fois, je dois me motiver pour garder mes mains sur mes fesses et les écarter. Mon corps est poussé par la force du latino et ma tête heurte la vitre de la voiture. Mais mon trou du cul n'a aucune chance de pouvoir résister et mon sphincter serré perd la bataille.

Sans tenir compte de ma douleur, le latino géant commence à me pilonner le cul. Mon anus et mon goulot anal serrent si fort son membre épais que je sens chacune de ses grosses veines sur sa tige bien dure.

Avec ses mains enserrant mes chevilles, il tient mon corps en place et mes jambes en l'air. Chaque coup de rein pousse mon corps en arrière sur le coffre de la voiture avant qu'il ne le tire comme si je pesais rien. J'ai l'impression d'être une simple poupée de chiffon dans les mains d'un géant silencieux.

- Ouais! Encule bien cette salope! Défonce cette pute!

Chico encourage son pote avant d'ajouter :

- Je parie que tu ne peux pas lui remplir le cul en moins de cinq minutes!

Paco se contente de grogner pour répondre. Mais ce défi lui fait intensifier son martèlement dans mon cul. La force de ses coups de rein est si grande que je dois enfoncer mes ongles longs dans mon cul pour garder mes mains sur mes fesses. Malgré l'intensité de cette sodomie, le géant latino ne fait aucun bruit alors qu'il pilonne méthodiquement mon trou du cul. En revanche, mes cris sont de plus en plus forts. Heureusement ils sont couverts par la radio et la musique rap.

Le rythme avec lequel Paco m'encule est très rapide et il ne peut tenir longtemps. Après tout c'est ce qu'il cherche non? Quatre minutes après avoir commencé, il sort brusquement sa grosse bite de mon cul. Comme mes fesses sont toujours serrées sur son engin, on entend un « plop »

- Regardez les gars! Son trou à merde est aussi large que sa chatte! Dit Chico.

- Quelle salope! Ouvre-moi ça comme des bennes à ordures! Crie Lucio.

Hein? Des bennes à ordures? Que c'est dégradant! Pourtant c'est excitant! Je suis l'ordre de Lucio et je glisse rapidement mes deux index dans ma chatte et mes majeurs et annulaires dans mon trou du cul.

Paco m'aide en poussant mes jambes encore plus en arrière jusqu'à ce que mes pieds reposent de chaque côté de ma tête et que mon cul soit relevé en l'air.

Avec mes doigts dans mes deux trous, je commence à les étirer pour les exposer grands ouverts. Bon sang, j'y arrive sans trop de difficulté. Mes trous doivent être ouverts comme le tunnel sous la manche!

- Putain, on pourrait y mettre un arbre là-dedans! Dit Chico.

Je continue d'écarter mes orifices, les ongles blancs de mes pouces et auriculaires encadrant les trous sombres et dilatés. Je dois donner un bon spectacle , car finalement ça fait jouir le géant au bandana.

Sa queue éclate et du sperme épais et blanc jaillit. Le premier jet est toutefois mal dirigé. Dans un grand arc, son éjaculation loupe mes trous béants et s'écrase à droite sur mon nichon gauche.

Mais le latino s'approche un peu et son tir s'améliore. Cependant il tremble tellement de jouissance que le deuxième jet éclabousse mes jolies fesses.

- Bien vu! Rugit Chico alors que le troisième jet tombe dans mon cul grand ouvert.

D'abord, le latino géant m'a déchiré la chatte et le trou du cul, puis il a utilisé mes trous béants comme cible. C'est vraiment avilissant, dégradant.

- Au prochain! s'exclame Lucio dès que les couilles de Paco sont vides.

Tirant sur mes chevilles, il me fait glisser sur le coffre de la voiture. J'ai à peine le temps de retirer mes doigts de mes orifices béants avant que mes pieds touchent le sol. Sinon, je crois que je serais tombée la figure en avant. Dès que je tiens fermement sur mes talons gris, Lucio me fait tourner et me penche sur le coffre. Puis il m'ordonne :

- Écarte! Il faut que je vérifie si ton cul est toujours plus serré que ta chatte.

Merde! Ce n'est pas encore fini! M'empaler sur le levier de vitesse n'a pas suffi. Chacun des gars veut m'enculer. L'un après l'autre ils vont tester la largeur de mon cul.

Même si je n'aime pas la façon dont cela se passe, je ne veux pas perdre de temps à protester. J'ai laissé ORTEGA et O'BANNON depuis quinze minutes maintenant. Ils commencent probablement à se demander ce que je fais. Les laisser croire que l'appel téléphonique offrait une chance de récupérer le projet était une bonne idée, car ça me laisse une bonne marge de temps. Un appel peut durer très longtemps n'est-ce pas?

Mais je dois penser à autre chose pour le moment. Je suis la pute de gang de Daniel après tout et je dois suivre ses règles. Il faudra que je trouve une explication pour dire que l'appel n'a pas donné de résultat positif à mes collègues. Mais je trouverai plus tard.

Pour le moment, je dois mettre mes mains aux ongles longs sur mes fesses pour les écarter et présenter mon trou du cul à Lucio. Et c'est exactement ce que je fais. Quand je suis en position j'entends des petits claquements derrière moi. Quand je regarde derrière moi, je vois Chico et Lucio avec des canettes de bière. Ils boivent un coup en regardant leur pute de gang écarter ses fesses.

Putain! Je suis penchée sur le coffre d'une voiture dans une ruelle sale en présentant mon intimité à des membres de gang alors que mes collègues directeurs sont en train de dîner à côté. Et ces voyous latinos me font attendre, préférant boire un verre plutôt que de profiter de leur pute.

Après avoir pris une dernière gorgée, Lucio se penche en avant et présente la bouteille vide à mon visage.

- Devine où ça va salope? Dit-il.

Les yeux écarquillés, je voudrais protester. Le fond de la bouteille fait bien sept centimètres de circonférence. Il est encore plus gros que le pommeau du levier de vitesses. Néanmoins, je me retiens de dire quelque chose. Il faut que ce soit rapide si je ne veux pas que ORTEGA ou O'BANNON se mettent à ma recherche. Je ne veux même pas penser à ce qui se passerait s'ils me trouvaient dans cette ruelle entourée des trois latinos.

- Oooohhhh! Gémis-je quand je sens le verre froid sur ma chatte dégoulinante.

En écartant largement mes fesses, j'essaie d'offrir le moins de résistance possible. Lucio exploite mon obéissance en passant la bouteille sur la chair rose de ma chatte. Il me taquine en passant maintes et maintes fois le verre sur ma fente sans essayer de pousser l'objet dedans. Encore une fois, il touche ma chatte sensible avec la bouteille.

Il pousse. Je sursaute.

Sautant sur la droite, je trébuche. Relâchant mes fesses, il faut que j'agrippe le bord du coffre pour ne pas tomber.

- Héhéhé! Stupide salope!

Le latino musclé se moque de moi. Bon sang, il avait feint d'enfoncer la bouteille. Il s'amuse avec moi.

- Si tu bouges encore, je vais te défoncer le cul avec la bouteille dans ta chatte. Compris salope? Gronde-t-il.

Non! Je veux dire oui! Je veux dire que j'ai compris. Mais non, je ne peux pas le supporter.

Effrayée, je me remets en place, les seins pressés sur le coffre, mes mains écartant mes fesses. Pour éviter que je ne m'en aille à nouveau, Lucio attrape mes cheveux avec sa main gauche et place la bouteille de bière sur ma fente.

Au lieu de pousser la bouteille à l'intérieur, il commence à tirer sur mes cheveux. En fléchissant mon dos, mes nichons sont soulevés du coffre. Le latino continue à tirer. Avec le dos plié en arrière, il n'y a aucun moyen que je puisse m'échapper.

Lentement, l'homme pousse et mon corps me trahit. Ma chatte est si lâche d'avoir chevauché le levier de vitesse et si humide avec mon jus qu'elle ne résiste pas du tout. Peu à peu, elle s'ouvre et engloutit la bouteille.

Sa taille est quand même différente de la boule de billard. Elle remplit vraiment ma chatte et je ressens des picotements tout autour de l'intrus. Lucio ne perd pas de temps et il commence des va-et vient dans ma chatte avec la canette. Mon antre est si humide que bientôt de la mousse blanche de mon jus se forme sur mes petites lèvres distendues et des bruits spongieux sortent de mon trou.