Chroniques Du Cheptel - Ch. 10

BÊTA PUBLIQUE

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Sa femme demanda aux miliciens s'ils pouvaient le garder deux ou trois jours, le temps qu'il se calme. Le chef des miliciens lui sourit et lui répondit qu'il allait voir ce qu'il pouvait faire. A cette nouvelle, la blonde commença à franchement se détendre, le mariké faisait effet.

Il était temps de prendre congé. Après tout, il avait une affaire à faire tourner et il avait déjà perdu trop de temps. Il jeta un dernier coup d'œil à la femme qu'il venait de sauver et se dit qu'elle était bien jolie cette blonde dans sa robe gitane avec cette énorme fleur blanche piquée dans les cheveux.

Plume lui fit la bise avant qu'elle ne parte et lui offrit ce qu'il restait de son joint. Une fois seule, la rouquine embrassa langoureusement Anton. « Mon héro... » Lui murmura-t-elle à l'oreille avant de l'entrainer par la main vers le chapiteau.

— « C'est quoi le cristal de la semaine prochaine? pour Estelle... » Cru-t-elle bon de rajouter.

— « Des diablotins... Ils sont trois je crois. Ils s'approchent d'elle pendant qu'elle dort dans son lit. Ils font glisser les draps, pour découvrir qu'elle dort nue. Ils commencent à la toucher, la réveillent. Ils la forcent un peu au départ avant de la faire jouir comme une salope... Ensuite c'est une orgie, de sexe, de foutre, enfin tu vois quoi... »

— « J'ai hâte de le voir... » Gloussa Plume d'un air gourmand avant de rentrer dans le théâtre.

*

*****

*

Bal du gouverneur - Palais de Sinistrevent :

Victor se libéra avec une grande satisfaction dans la bouche qui le suçait avec talent, grommelant une insulte bien sentie à l'égard de sa propriétaire... L'espace d'un instant, un sourire béat illumina son visage, il savourait cet instant de plénitude absolu. La satisfaction de se faire pomper par cette femme superbe qu'il avait si facilement corrompu, broyant sa personnalité pour la réduire à l'état de celle d'une esclave sexuelle lâche et surtout docile. Bientôt il testerait toute l'étendue de sa soumission.

Oui Estelle-la-pute n'avait pas volé sa réputation, se proclamant elle-même meilleure tailleuse de pipe de tout Sinistrevent. Son expérience et sa technique était sans égale, seule une prostituée accomplie comme Berthine pouvait rivaliser avec elle et encore... La favorite déchue à ses pieds, finissait de lécher et d'aspirer avec zèle les dernières gouttes de sperme qui lui avaient échappées.

Quand Sélanor l'avait entrainée dans ce boudoir non loin de la salle de bal, Victor avait espéré que ce serait la belle elfe qui s'occuperait de lui... Mais elle avait tout prévu. La favorite l'attendait à genou dans une pose de soumission, prête à le satisfaire.

Pour être tout à fait franc, il n'avait pas été seul à dresser cette connasse; à commencer par son maître Sonny qui avait posé les bases de sa future déchéance ; de Sélanor qui l'avait trahie, de Pizarda qui l'avait subjuguée comme seul un démon savait le faire et de quelques autres qui avaient participés à divers degrés. La pauvre, tant de monde s'était ligué contre elle... La pauvre... En fait il ne la plaignait pas, tellement cette sale pute méritait son sort, elle qui se croyait si spéciale. Il remit dans son pantalon sa queue toute propre et rajusta sa tenue.

— « Merci d'avoir utilisé mon humble bouche à sperme, Monsieur. » Déclara avec humilité la jeune femme à ses pieds, la tête baissée.

Sélanor se rapprocha d'Estelle et lui releva doucement le menton avant de lui parler.

— « Ça c'est bien passé avec le gouverneur? »

— « Oui madame... »

— « Raconte. »

— « Il m'a reçu dans son bureau, il était assis dans son fauteuil, il voulait que je le suce. En faisant le tour du bureau, je me suis rendue compte qu'il ne portait pas de pantalon, il bandait déjà. Je me suis agenouillée devant lui pour le prendre en bouche. »

— « Tu étais habillée? »

— « Oui madame, il m'a dit que ça faisait longtemps qu'il attendait ce moment. »

Cette phrase fit sourire l'elfette : « Ensuite. »

— « Il n'a pas juté dans ma bouche, il m'a demandé d'enlever ma robe avant de me prendre sur son bureau. »

— « Dans quelle position, soit plus précise quand tu expliques. »

— « Pardon madame. Il m'a fait allonger sur le dos, cuisses écartées, je mouillais déjà. Il m'a prise sans préliminaires. Je l'ai massé avec mon sexe pendant qu'il me baisait, ça a duré un bon moment, puis il s'est retiré pour jouir sur mon ventre et mes seins. »

— « Elle peut faire ça? » Demanda Victor étonné.

— « Oui, elle sait contracter les muscles de son vagin pour augmenter le plaisir des hommes. Elle a appris à le faire pour plaire à Sonny. Ce n'est pas extraordinaire, moi aussi je sais le faire... c'est un petit plus pour une prostituée... Ce que je veux savoir, c'est si elle le fait, avec tous ses clients... »

— « Non madame... » Répondit la favorite penaude.

— « Pourquoi l'avoir fait avec le gouverneur alors? » Demanda l'elfette en durcissant imperceptiblement le ton de sa voix.

— « Euh... j'ai pensé que c'était approprié... » Commença Estelle sentant confusément venir l'orage.

— « Approprié pourquoi, parce qu'il est important lui et pas les autres? » La coupa Sélanor d'un ton agacé avant de reprendre en élevant la voix : « Ecoutes moi bien grosse pute fainéante, parce que je ne te le répéterais pas ! Chacun des putains de clients qui fait l'effort de venir te voir pour te troncher est important ! Tu dois le traiter comme s'il était un prince, même et surtout si c'est un pouilleux ! Celui avec qui tu baises, est le plus important au monde, tu dois le vénérer et mériter la pièce d'argent que tu lui demande en échange de ta chatte. Si j'apprends à l'avenir que tu n'as pas fait le maximum pour satisfaire un client, tu seras punie ! »

— « Pardon madame, je vous ait déçu... » Implora Estelle, sincèrement anxieuse et confuse. « ... Je... ça n'arriveras plus ! Pardon, pardon...»

— « Je ne suis pas comme Clotilde, je ne te punirais que si tu le mérites vraiment, Mais saches que si je dois le faire, ma main ne tremblera pas. »

— « Oui madame, pardon, j'ai compris, tous mes clients sont importants, je ne vous décevrais pas... »

Victor était impressionné comme toujours par l'aisance de Sélanor. Bien sûr, il avait programmé cette conne de favorite pour qu'elle lui obéisse, mais l'aura naturelle de l'elfette, sa prestance, son exceptionnelle beauté, sa manière de bouger même était un spectacle fascinant. La façon qu'elle avait eu de se mettre faussement en colère, pour retourner émotionnellement Estelle était juste parfaite. Toujours à genoux, la favorite était dans ses petits souliers, prête à tout accepter pour lui plaire. Elle était dans des dispositions parfaites pour la suite songeât-il avec cruauté en pensant à toutes les horreurs qu'il lui réservait.

— « Tu as joui? » Demanda Sélanor sur un ton plus calme.

— « ... pardon madame? »

— « Avec le gouverneur tu as a joui? »

— « ... Pas vraiment... Euh... si un peu... »

— « Pas vraiment ou un peu? Il faut te décider ! »

— « Pas trop... »

— « Pourquoi? »

— « Je ne sais pas madame, je pense que j'étais concentré sur son plaisir à lui... pas sur le mien. »

— « Je vois... Il voudra te revoir, ou tu as été nulle? »

— « Il m'a dit que j'étais un bon coup et il voudrait me revoir bientôt pour lui et pour me partager avec des amis, il viendra vous en parler... »

— « D'accord. Ce soir, nous attendons de toi, un comportement exemplaire. Comme chaque année, tout le gratin de l'île est présent. Si quelqu'un te pose des questions, tu y réponds franchement. Tu continueras à te prostituer à domicile tous les après-midi mais dès demain tu reprendras tes activités de chanteuse à la Cave en soirée. Tu utiliseras la roulotte pour tes passes, sauf si le client veut te prendre dans la taverne. Je veux te voir te comporter comme la putain que tu es, tu chaloupe des hanches, tu montres ton décolleté et si un invité te touche, tu le laisse faire et tu souris... C'est bien compris?

— « Oui madame... » Répondit Estelle, soulagée de voir que l'humeur de Sélanor s'adoucissait.

— « Une dernière chose, ce soir c'est le bal du gouverneur, c'est un événement respectable. Alors pas d'extra, je veux que tu sois en pleine forme pour la petite exhibition qu'il y aura après. Si un invité insiste pour être seul avec toi, tu me l'envoie, je lui trouverais un rendez-vous dans la semaine. Des questions? »

— « Non madame... »

— « Bien relève-toi maintenant. » Ordonna l'elfette satisfaite du comportement servile de la favorite.

Une fois debout, Victor en profita pour mieux la détailler. Estelle portait pour l'occasion une somptueuse robe au dos nu, constituée d'une jupe si longue qu'elle touchait le sol. Le haut n'était qu'une large ceinture de dix centimètres enroulée autour de son corps. Taillée dans le même tissu que la robe, cette ceinture affinait sa taille en passant sur son nombril, avant de remonter en deux pans croisés sur sa poitrine, laissant ses bras et ses épaules nues. Dorée et satiné, l'étoffe dispendieuse de cette robe accrochait la lumière, la rendant brillante par endroits, illuminant les magnifiques courbes du corps de celle qui la portait.

Estelle n'arborait aucun bijoux ni maquillage particulier, pas de rouge à lèvres ni de vernis à ongles tape-à-l'œil, pas plus qu'elle n'avait une coiffure compliquée, ses cheveux châtains étaient simplement laissés libres de cascader sur ses épaules. Tout cela contribuait à mettre en valeur, le lourd collier d'esclave en métal noirci qu'elle portait autour de son cou. Cette pièce de métal, symbole de son esclavage sexuel, contrastait de façon singulière avec la robe somptueuse qu'elle portait.

Comme si elle lisait dans son esprit, Sélanor posa sa main sur l'épaule de Victor pour lui dire à l'oreille : « Elle est déjà bien trop belle comme ça. Je ne voulais pas qu'elle fasse de l'ombre aux femmes respectables présentes ce soir. Quant à la robe, elle l'a déjà portée l'an dernier et une femme de sa qualité ne porte jamais deux années de suite la même robe. Elle sera la risée du bal. »

Victor hocha affirmativement la tête, il aurait préféré la voir porter un maquillage de pute, mais il devait bien reconnaître que le résultat était surprenant.

— « Donne-moi tes escarpins ! » Ordonna Sélanor.

La favorite se déhancha sans discuter pour défaire les boucles de ses chaussures de luxe et les donner à l'elfette. Elle frissonna en sentant le contact froid des carreaux de marbre sur la plante de ses pieds. Sélanor balança négligemment les escarpins dans le feu de la cheminée non loin. Aussitôt, les flammes léchèrent le cuir des chaussures alors qu'une odeur de brulé se répandait dans le salon.

— « Tu n'en auras pas besoin ce soir, ta robe recouvre tes pieds, personne ne s'en rendra compte. » Lâcha nonchalamment Sélanor avant de s'assoir dans un fauteuil face à la favorite. Il s'ensuivit un échange de regards complices entre l'elfette et le mage.

Victor se mit à tourner lentement autour de sa victime, sans rien dire, il avait le regard et l'attitude d'un prédateur et elle ressemblait à une biche apeurée.

Estelle baissa la tête, elle ne savait pas précisément ce qu'avaient en tête ses tourmenteurs, mais elle sentait confusément que la présence de Victor ce soir, n'était pas bon signe pour elle. Cet homme la détestait, il avait fait d'elle une trainée et il allait certainement profiter de ce bal pour trouver une occasion supplémentaire de l'humilier en public. Elle frissonna à nouveau, mais cette fois-ci c'était parce qu'elle commençait à être sérieusement émoustillée, sa respiration s'accéléra imperceptiblement, anticipant la suite.

— « Tu es excitée? » Demanda le mage sur un ton neutre. Ce n'était pas vraiment une question, Victor le savait ou du moins, il y avait de grandes chances que cette salope le soit en de telles circonstances. Après tout c'était lui qui avait réécrit la personnalité de la jeune femme.

— « Oui monsieur... beaucoup... » Souffla-t-elle, un peu honteuse de l'avouer.

— « Pourquoi? »

— « Je... je ne sais pas monsieur...» Répondit-elle hésitante. Elle ne savait pas pourquoi elle était excitée, mais c'était le cas à chaque fois qu'elle se retrouvait en situation d'infériorité, ça devenait une habitude.

— « Si tu ne sais pas, je vais te répondre. Tu es excitée parce que tu n'es qu'une putain bon marché prête à tout pour avoir une bite de plus dans sa répugnante moule baveuse ! Assied-toi sur le canapé derrière toi sale pute ! » Ordonna-t-il avec un mépris non dissimulé.

Estelle encaissa l'insulte, mais elle obéit avec célérité, révélant sa lâcheté et peut-être aussi son impatience. Même si elle craignait confusément de se faire frapper à la moindre erreur, elle était prête à tout pour satisfaire ses deux-là et plus c'était pervers, plus elle devait s'avilir, plus elle mouillait, c'était comme ça. Bien sûr, elle savait que c'était Victor qui lui faisait ressentir toutes ces choses, mais elle avait vite renoncé à se révolter, pour accepter sa situation. De toute façon, c'était son destin de finir pute, elle le méritait. Elle essayait juste de ne pas trop penser à ce qu'il adviendrait d'elle au retour de son véritable maître Sonny.

— « Cuisses écartées, remonte ta robe jusqu'à la taille, je veux voir ta chatte de pute ! »

L'ordre avait claqué brutalement, interrompant ses réflexions. La favorite releva largement sa robe prenant la position demandée, montrant sa cramouille humide à Victor et à Sélanor. Sélanor était tellement belle dans sa robe de bal face à elle, le contraste était saisissant. Estelle se sentit soudain honteuse, pied nus, exhibée comme une potiche obscène, sans maquillage, avec son collier d'esclave autour du cou, elle ne méritait même pas de porter une aussi jolie robe. Elle méritait d'être exhibée nue devant les notables du bal, simplement tenue en laisse par la magnifique elfette, comme un objet sexuel ou plutôt comme son animal de compagnie. Son esprit vagabonda quelques instants sur ce fantasme, sans s'en rendre compte, l'une de ses mains s'égara d'elle-même sur sa crevasse détrempée, puis remonta à la recherche de son clitoris.

Sélanor se mit à sourire en voyant Estelle-la-pute s'avilir devant eux de la sorte, elle avait envie de l'embrasser et de la malmener un peu en la fistant sur ce canapé, mais ils allaient manquer de temps, il était temps de retourner au bal. Elle fit signe à Victor d'accélérer.

— « Sur le guéridon à coté de toi, ce trouve une outre et un sablier... Prend l'outre ! » Ordonna sèchement Victor.

La favorite prit délicatement en main l'outre. De petite taille, en peau de bête, elle devait contenir approximativement l'équivalent d'une chope de bière.

— « Enlève le bouchon et sens-là ! »

Estelle retira le bouchon de liège qui, retenu par une cordelette, se mit à pendouiller. Elle porta à son nez l'outre, aussitôt une forte odeur âcre assaillis ses narines délicates. Instinctivement, elle recula la tête en faisant une petite mine dégoutée.

— « C'est du foutre... Il a été récolté spécialement pour toi par marquise, il y a deux jours, avant d'être mis à macérer au soleil, pour le goût. » Annonça Victor en scrutant les réactions effarées de la favorite.

Marquise était l'esclave qui vivait dans le chenil de Sonny... avec ses molosses, Estelle ne voulait pas savoir auprès de qui la jeune femme avait récolté le contenu dégoûtant de cette outre. Sa main se mit à trembler légèrement.

— « Prends-en une gorgée et avale-là pour t'habituer au goût. » Ordonna tranquillement Victor. « Allez ce n'est pas comme si ta bouche de salope n'avait pas l'habitude d'avaler du sperme, là c'est juste du foutre de chien. » Rajouta-t-il cruellement, voyant qu'elle hésitait.

Estelle le regarda, horrifiée, espérant bêtement que c'était une blague. Elle lut sur son visage, sa détermination. Il ne plaisantait pas, elle n'avait aucune chance de le faire changer d'avis. Vaincue, elle porta le goulot de l'outre à ses lèvres pour faire glisser une petite gorgée de ce foutre canin dans sa bouche. Le goût âcre était vraiment mauvais, mais moins que l'odeur qui elle était atroce. Elle avala rapidement, presque soulagée que le goût soit un peu moins pire que prévu.

— « Tu vas boire ce délicieux breuvage spécialement élaboré pour toi maintenant. »

Estelle décida que ce serait moins pire de le boire d'un coup, comme si elle buvait une bouteille de tord-boyaux, comme cet alcool infâme de nains des ravines qu'elle avait goûté une fois. Elle renversa sa tête en arrière et commença à boire cul sec. L'épouvantable odeur âcre envahit ses narines, alors que le foutre visqueux se répandait dans sa gorge, elle en avalait autant qu'elle pouvait, mais elle finit par s'étouffer. Elle se mit à tousser en projetant des gouttelettes devant elle. Heureusement, elle ne toucha ni Victor, ni Sélanor qui était plus loin. Prise d'un haut-le-cœur, elle faillit vomir.

La favorite peinait à reprendre son souffle, du foutre s'écoulait sur son menton et des gouttelettes avaient tachées sa robe dorée.

— « Continu salope ! » Ordonna Victor sans manifester une once de compassion pour sa victime.

Estelle changeât alors de technique pour prendre de petites gorgées, elle avait l'impression que l'odeur de cette chose se répandait en elle, envahissant sa bouche, ses narines, son cerveau et enfin son estomac.

— « Stop ! »

Elle s'arrêta. Elle avait bu au moins les deux tiers de ce délicieux breuvage comme disait Victor. Elle respirait fort, luttant contre l'envie de vomir, essayant en vain de chasser cette horrible odeur de foutre de sa bouche. Incapable de se contenir, elle rota bruyamment.

— « Tu vas prendre une grande gorgée et la garder le temps de ce sablier, Surtout tu ne l'avales pas, tu la gardes dans ta bouche de pute tout le temps. Ce que tu ne peux mettre dans ta bouche, finira sur ta robe. »

Estelle ouvrit de grands yeux en entendant la demande de Victor. Fébrile, elle évalua ce qu'il restait dans l'outre et commença à s'inquiéter de ne pouvoir tout mettre dans sa bouche.

— « Si tu échoue à une tache aussi simple, tu seras bien évidement punie... A la fin du sablier, tu seras autorisée à nous rejoindre au bal. Tu nous montreras que tu as toujours ce délicieux foutre canin dans ton trou à foutre que tu appelles une bouche et seulement là, tu seras autorisée à avaler. C'est bien compris salope? »

Estelle hocha affirmativement la tête, effarée.

— « Parfait, mais ce n'est pas fini... Le sablier fait un quart d'heure, pendant tout ce temps, vu que tu as la cramouille à l'air, tu pourras te tripoter. Ça ne te changera pas de d'habitude, j'ai entendu dire que c'était ce que tu faisais dès que tu avais un peu de temps libre. Quand tu viendras nous voir, je veux voir tes deux mains luisantes de mouille. »

Estelle rougit aux commentaires de Victor sur la masturbation. Il est vrai que depuis qu'elle était tombée dans les griffes de Clotilde, de Victor et des autres, elle se caressait bien trop souvent. Son statut d'esclave sexuelle, de prostituée bas de gamme, les soumissions et les dépravations qu'elle subissait jour après jour, l'excitaient comme une folle. Même si elle savait que tout ce qu'elle ressentait était le produit des hypnoses de Victor, elle aimait ce qu'elle subissait. Elle eut une pensée fugace pour sa rivale Clotilde, se demandant où elle pouvait bien être à cet instant. Estelle porta l'outre à ses lèvres et l'infâme liquide envahit à nouveau sa bouche...

— « Une dernière chose, si je ne vois pas du foutre sur ta robe tout à l'heure, je serais très déçu... » Annonça Victor, reposant avec un bruit mat le sablier qu'il venait de retourner sur le guéridon. « On se voit dans un quart d'heure... »

Sélanor prit le temps de rajuster la tenue de Victor, avant de quitter le boudoir sans même accorder un regard pour la favorite.

Estelle l'entendit rire pendant que le couple s'éloignait. Elle se retrouva seule, à côté d'elle les grains de sable s'écoulaient lentement dans le sablier. Les joues gonflées par l'énorme quantité de foutre canin qu'elle avait dans la bouche. Estelle déglutit péniblement avalant malgré elle un peu du surplus de sperme. Lentement l'une de ses mains se porta à son entrejambe. Sa chatte de salope avait besoin de réconfort, elle se mit à la frotter, insérant deux doigts entre ses lèvres entrouvertes et détrempées, massant son clitoris gonflé... Un gémissement sourd, étouffé par tout le foutre dans sa bouche, sorti de sa gorge.

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