Du Bonheur à L'horreur 09

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Un nouvel espoir ?
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Récit n'a pas de balises

Partie 9 de la série de 10 pièces

Actualisé 06/10/2023
Créé 08/28/2020
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Je suivais donc Moussa, nue encore couverte de sueur et de tout le sperme de cette soirée d'orgie. Il m'emmena jusqu'à une porte dissimulée derrière le bureau d'accueil de l'hôtel. Une fois ouverte elle donnait directement à un escalier descendant vers une sorte de sous-sol.

• On va descendre ma princesse, fais bien attention c'est assez étroit et glissant.

Je suivais mon amant aveuglement descendant une bonne vingtaine de marche. Arrivée en bas il faisait très noir et une odeur de renfermé émanait de la pièce.

• Me fais tu confiance ma belle?

• Oui Moussa je te fais confiance.

• Très bien. Alors avant d'allumer je vais te bander les yeux et tu vas vivre une expérience magique.

Il me banda donc les yeux avec une sorte de masque puis alluma la lumière. Je ne voyais strictement rien et cette situation me faisait un peu peur mais en même temps m'excitait beaucoup. Je savais qu'une sorte de jeu pervers allait se dérouler et cela me fit immédiatement mouiller. Moussa pris ma main et me fit le suivre à travers la pièce.

• Laisse-toi faire.

Il m'inclina vers l'avant jusqu'à ce que mon cou repose sur une sorte de planche en bois, il plaça mes poignets également sur la planche. Je compris vite qu'il me plaçait sur un pilori et je commençais à m'inquiéter quelque peu. Je sentais une autre planche se refermer sur moi et mon cou et mes poignets furent maintenant prisonniers. Il passa des chaines autour de mes chevilles maintenant mes jambes écartées. J'étais donc pliée vers l'avant les fesses relevées, cette position était inconfortable et très perverse.

• Voilà ma chérie tu es parfaite dans cette position. Tu es vraiment excitante. Mais tu es très sale petite cochonne est ce qu'un brin de toilette te ferait plaisir?

• Comme vous le voulez monsieur.

• C'est bien ma belle petite esclave, attends-moi 5 minutes.

Je l'entendais s'éloigner, un bruit de clés ouvrant un cadenas me parvenait suivit d'un grincement de porte en métal qui s'ouvre.

• Allez venez mes bébés. On se calme j'ai une surprise pour vous deux.

• Moussa? A qui tu parles? Qu'est-ce qu'il se passe?

• Toi tu te tais! Je vais te présenter mes enfants. Tu vas les adorer.

Je commençais sérieusement à prendre peur surtout à la vue des bruits bizarres qui se rapprochaient de moi. Un mélange de grognements et de respirations bruyantes.

• Moussa s'il te plait je veux voir ce qu'il se passe!!

• Calme toi Adèle. Ce sont juste mes enfants tu les découvriras en temps voulu.

En attendant ouvre la bouche.

Tardant un peu à exécuter son ordre je reçu un bifle imposante qui me remit les idées en place. J'ouvris donc aveuglement la bouche et le gros sexe de Moussa y entra instantanément.

• Régalez-vous mes garçons je veux que vous me nettoyiez cette splendide créature.

Directement deux paires de mains se posèrent sur mon corps et deux langues commencèrent à s'agiter sur mon dos. Ainsi exposée tout mon corps de rêve était à la merci de ces deux inconnus. Moi je ne pouvais pas bouger et m'appliquais donc à sucer comme il se doit mon étalon noir.

Les langues passaient sur mon dos, mes bras, mes aisselles avec des bruits de bouches importants.

Le fait de ne pas savoir qui me faisait ça augmentait encore plus mon excitation. Je pouvais cependant sentir des griffes sur les mains de mes tourmenteurs et une odeur forte de saleté. Cependant leurs lèches étaient puissantes et tapissaient tout mon corps.

• C'est bien mes garçons. Lavez-moi bien cette petite chienne et je vous laisserai vous amuser avec.

Moussa savourait ma fellation en profitant au maximum de la profondeur de ma gorge. L'un des « garçon » était maintenant sous moi et s'occupait de mes seins à pleine bouche pendant que l'autre m'écartait au maximum les fesses pour littéralement me dévorer la chatte et l'anus. Leurs caresses buccales combinés me faisaient mouiller au plus haut point c'était vraiment trop bon. Moussa quant à lui se déversa au fond de ma gorge avec son râle de plaisir habituel.

• Bon les enfants je pense qu'elle est bien propre.

Les deux s'arrêtèrent directement de me lécher et me laissèrent sur ma faim. J'étais totalement excitée a présent.

• Eh bien chérie on dirait que mes garçons t'ont fait du bien?

• Oui c'était trop bon

• Est-ce que tu veux qu'ils te prennent maintenant?

• Oui s'il te plait

• Même sans les voir?

• Oui je m'en fous j'ai trop envie de jouir.

• Parfait tu es une bonne fille. A table les enfants!

Je sentis deux mains se poser sur mes fesses enfonçant des ongles dans ma peau et dans la foulée un gros sexe s'enfoncer dans ma petite chatte détrempée. J'hurlais de bonheur quand une autre bite s'enfonça dans ma bouche. Les deux hommes me prenaient avec force et sans aucune précaution donnant de violents coups de reins. C'était trop bon de se faire défoncer à ce point et je réalisais à quel point ma déchéance était avancée, me faisant prendre par je ne sais qui avec brutalité.

Ils s'échangèrent les positions et cette fois l'homme derrière moi m'encula jusqu'à la garde me faisant obtenir un orgasme des plus puissants.

Cela ne fit qu'encourager la puissance de ses coups de reins. Ils s'alternèrent dans ma chatte dans mon anus et dans ma bouche plusieurs fois et pendant au moins une heure que je ne comptais plus mes orgasmes. Les deux hommes finirent par se retirer et je reçus plusieurs jets de sperme en plein visage. Il y en avait une quantité vraiment importante car tout mon visage en était recouvert.

• C'est bien les garçons. On va pouvoir vous présenter officiellement à ma belle princesse.

Moussa retira le bandeau qui couvrait mes yeux et j'eu l'horreur de découvrir deux hommes noirs au visage déformé. Ils étaient clairement handicapés avec des bouches de côté, des nez anormalement gros et des yeux qui louchaient. On se serait cru dans le film « la colline a des yeux ». Je ne pus retenir un cri d'horreur et le dégout monta en moi.

• Hahaha c'est vrai qu'ils ne sont pas très beaux. Il y a 30ans j'ai malheureusement mis enceinte ma splendide mère et voilà ce qui en est sorti... Depuis nous les gardons cachés dans cette cave. Mais tu les as bien nourris ma belle je t'en remercie.

• Comment tu as pu me faire ça Moussa? Je te faisais confiance.

• N'as-tu pas joui comme une pute? Avoue que tu as pris ton pied?

Je ne pouvais pas dire le contraire c'est pourquoi je gardais le silence, honteuse.

• Bon maintenant j'ai une proposition cruciale à te poser ma chérie. On sait tous les deux que tu es une coquine et que tu aimes le sexe plus que tout. Alors voilà je te propose de devenir ma salope, je te prostituerai, je te ferai subir de nombreuses expériences sexuelles, tu resteras ici pour toujours et tu ne rentreras jamais en France ni reverras ton ex-mari ou ta famille. Je te promets ma protection et de résoudre tous tes fantasmes. Qu'en dis-tu?

Tout se chamboula dans ma tête en écoutant cela. C'est vrai que Moussa m'avait fait découvrir ma sexualité et que je sais qu'en restant ici je vivrais constamment au 7eme ciel. Cependant je ne pouvais pas laisser ma vie s'envoler. Je comptais toujours reconquérir Julien car malgré tout je l'aimais et je voulais des enfants avec lui. Je voulais profiter le temps de mon voyage mais je devais retourner à la réalité un jour.

• Désolé Moussa je ne peux pas. Je dois retrouver ma vie à mon retour. Je ne peux pas rester ici même si j'ai adoré ces moments avec toi.

• Je suis très déçu Adèle. Tu es sûre de ton choix?

• Oui je ne peux pas tirer un trait sur ma vie.

• Bon dans ce cas tu vas rester ici ce soir et demain je te ramène au village de Boubakar sale pute.

• Non Moussa il va me tuer. Ne me fais pas ça.

• Tu ne croyais tout de même pas que tu allais t'en tirer comme ça. Tu as assommé un de mes meilleurs amis. Ta seule chance était de rester avec moi mais tu as fait ton choix.

Il m'avait piégé, soit être sa pute soit il m'abandonnait à un sort funeste. Les larmes s'écoulèrent sur mes joues.

• S'il te plait Moussa.

• Ta gueule. Vous deux saccager la! Je reviens demain matin te chercher.

J'avais assisté à toute la scène à travers de l'écran et je voyais ma femme hurler de désespoir en voyant Moussa remonter les escaliers pendant que les jumeaux reprirent les hostilités par une sodomie violente. Cette fois ils y allaient à fond multipliant les fessées, les morsures et les griffes. Ma femme complètement abasourdie par ce qu'elle venait d'apprendre se laissait faire inerte. Malgré elle, elle gémissait sous les assauts de ses amants mais tout en pleurant toutes les larmes de son corps.

Quant à moi j'étais toujours attaché à ma chaise, l'anneau avait eu raison de mes érections et je n'étais plus capable de bander.

Je dus regarder le supplice de ma bien aimée pendant au moins une heure de plus durant laquelle les deux handicapés ont défoncé tous ses orifices. Les deux hommes repus étaient alors repartis dans leur cellule pour y dormir abandonnant mon épouse au pilori complétement achevée.

Soudain la porte de la chambre ou je me trouvais s'ouvrit et je pu reconnaitre Pierre.

• Julien on n'a pas beaucoup de temps il faut partir.

Le jeune homme me détacha et me tendit un jean et un tee shirt ainsi qu'une robe.

• Tiens je te donne ces affaires c'est à Camille et moi. Allez viens on doit aller libérer ta femme.

Je n'en revenais pas cet homme était en train de nous sauver la vie. Il me tendit également nos deux passeports ainsi qu'une clé.

• J'ai pu récupérer ça dans le bureau de Moussa, allez-vous n'avez pas une minute à perdre. Va la libérer et fonce à l'aéroport.

• Mais Pierre il faut que tu partes avec nous, vous ne pouvez pas rester avec ce fou.

• Malheureusement Camille ne souhaite pas partir et je ne peux pas la laisser seul ici. Allez fais vite

• Merci Pierre je te serai toujours reconnaissant.

Sorti de la chambre je fonçais jusqu'à la cave et en faisant le moins de bruit possible je libérais ma femme du pilori ou elle s'était endormie. Je la pris dans mes bras et remonta les escaliers sans réveiller les jumeaux. Une fois dans le hall je réveillais tendrement ma femme qui en ouvrant les yeux eu la surprise de sa vie.

• Julien? C'est bien toi? Je te croyais parti?

• Jamais je ne t'aurais laissé tomber Adèle. Je t'expliquerai ce qu'on m'a fait subir en tous cas j'ai assisté a tout.

Ma douce éclata en sanglots de honte et de regrets.

• Je suis tellement désolé mon amour. Je me suis tellement mal comporté, tu ne me mérite pas mais je t'aime tellement.

• On en rediscutera pour le moment enfile cette robe et ces baskets on doit partir au plus vite.

C'est donc sans sous vêtement mais habillés que nous quittâmes l'hôtel et par chance nous pûmes prendre un taxi rapidement direction l'aéroport. Pendant le trajet une gêne s'était installée et nous avions du mal à aborder la discussion. C'est moi qui brisais la glace.

• Adèle j'ai vraiment été blessé que tu puisses croire que je t'abandonne. Tu t'es comporté comme une véritable salope je ne te reconnais plus.

• Je suis tellement désolé mon amour. Tu as raison j'ai un problème. Je n'arrive pas à me contrôler, j'aime vraiment trop le sexe. Je te promets de changer, si tu arrives à me pardonner je suis sûr qu'avec ton aide je pourrais contrôler mes pulsions.

• Il faut que tu te fasses soigner. En rentrant en France nous irons voir un psy mais sache que je ne te laisserai jamais tomber je t'aime plus que tout Adèle.

• C'est d'accord mon amour.

Elle se blottit contre moi et s'endormit pour le reste du trajet. Moi je ne savais pas quoi penser mais il fallait que tout revienne à la normale. J'avais cependant peur des séquelles qu'allait laisser l'anneau sur mon sexe, j'espérais pouvoir rebander un jour sinon comment satisfaire les envies débordantes de ma chérie. J'étais néanmoins soulagé et plein d'espoir pour l'avenir, nous allions rentrer en France et reprendre une vie normale.

Le taxi nous déposa devant l'aéroport et nous pûmes racheter des billets. En effet il y avait un vol dans 3h. Apres avoir passé la douane sans encombre nous pouvions chacun nous faire un brin de toilettes dans les sanitaires près de la porte d'embarquement.

J'entrais dans le sanitaire masculin et commençais à me nettoyer les aisselles, le sexe, le visage. 3 hommes entrèrent pour aller aux toilettes. Ils étaient grands, la cinquantaine, jean noir et blouson de cuirs. Le physique typique de bikers, les cheveux longs la barbes et très baraqués voir un peu gras. Je les entendais discuter pendant qu'ils urinaient.

• Ça fait du bien de rentrer en France quand même. On a bien profité

• Oui on en à baiser des petites locales haha

• Tu as raison mais les petites chattes blanches me manquent.

• C'est clair t'inquiète en arrivant à Paris on va direct aux putes.

• On aura peut-être de la chance pendant le vol avec une hôtesse chaudasse. Hahah

Ils sortaient en riant de leurs vulgarités. Moi je finissais tranquillement ma toilette avant de sortir rejoindre ma chérie. Elle était assise et sa toilette lui avait fait du bien elle était nettoyée et vraiment magnifique. Je ne pouvais pas m'empêcher de l'admirer, qu'elle était belle a tout point de vue ma latine. Je m'assis à côté d'elle attendant l'embarquement qui n'était que dans 1h.

Je remarquais les trois hommes des toilettes assis deux rangées plus loin, ils semblaient nous épier en rigolant. Les regards noirs et inquiétants des 3 voyous me firent baisser les yeux. Je décidais de ne pas y prêter attention et comme ma femme je m'assoupis quelques temps.

A notre réveil notre embarquement avait commencé, mon billet que je gardais à la main était tombé par terre durant ma sieste. Nous embarquons donc et je suivais ma femme qui cherchais nos places dans l'avion. Nous étions installés sur la rangé de 3 au milieu de l'appareil, ma femme entra donc au milieu et moi à sa gauche. J'allais attacher ma ceinture quand un des voyous arriva à ma hauteur.

• Monsieur vous êtes à ma place.

• Euh vous devez faire erreur regardez.

Je sortais mon billet et c'est avec effroi que je vis que mon billet avait été remplacé par un autre.

• Ce n'est pas normal on a acheté les billets ensemble avec ma femme

• Bon allez dégage on ne va pas y passer deux heures.

L'homme me pris par le bras et me dégagea de ma place pour s'y installer. Ma femme semblait autant incrédule que moi.

• Chérie tanpis ce n'est que 3h on se retrouve après

• Pas de soucis mon amour bon vol.

Avant de partir un autre voyou était en train de parler à la voisine de ma femme.

• Bonjour Madame cela vous dérange-t-il d'échanger de place avec moi? J'ai une place coté hublot à l'avant.

• Bien sûr monsieur pas de soucis.

C'était donc prémédité l'un de ces connards m'avait volé ma place pendant ma sieste et maintenant ils entouraient ma princesse. J'étais baisé et c'est tout naturellement que je me retrouvais à côté du troisième loubard 2 rangs derrière sur la droite. Celui qui m'avait éjecté de ma place avait le visage dur avec une bonne barbe brune et de longs cheveux gras, celui de l'autre côté de ma femme était rasé mais avec un bouc, quant à mon nouveau voisin il possédait une grande cicatrice sur le visage et une longue moustache bref de vrais bikers style Harley Davidson. J'avais de l'appréhension sur ce qui allait se passer mais vu ce que j'avais entendu dans les toilettes ça allait dégénérer. Mon voisin me regardait avec mépris avant de m'adresser la parole.

• Alors petit qu'est-ce que ça fait d'abandonner sa petite poupée a des vieux vicelards comme nous?

• Si vous touchez à un de ses cheveux je vous jure que...

• Tu vas te calmer tout de suite la tapette.

En me coupant il m'avait chopé deux doigts qu'il se mit à tordre. Je ravalais ma fierté, un peu apeuré.

• Ne t'inquiète pas on n'est pas des violeurs mais elle devrait succomber. Si tu es sage tu pourras même regarder.

Il posa son portable sur la tablette devant nous. L'écran affichait ma femme au milieu des 2 autres loubards. L'un d'eux avait posé son portable en mode camera sur sa tablette également nous donnant une bonne vue et une bonne écoute de ce qui se déroulait la bas.

• Alors ma jolie comment se sont passées tes vacances?

• Euh très bien merci et vous?

• Parfaites on a bien profité de la chair locale haha mais les petites blanches me manque.

Tout en disant cela il posa sa main sur celle de mon épouse qui retira expressément la sienne.

• Je suis mariée laissez-moi tranquille!

• Ah tu parles de la petite lopette qui était assis la? Ne t'inquiète pas il nous voit et a pas l'air de réagir.

En effet il toucha son portable et ma belle Adèle pouvait maintenant me voir impuissant à côté du troisième larron. J'étais incapable de bouger surtout que je savais que mon voisin m'empêchera d'intervenir.

• Tu vois il est sage comme une image. Tu peux te détendre ma belle. Tu sais que je n'ai jamais vu de femme aussi belle que toi?

Il reposa sa main sur mon épouse mais cette fois sur son genou nu. Cette fois Adèle tremblotante ne fit aucun mouvement de recul a l'attouchement du grand barbu. Elle tourna juste la tête vers son agresseur et le fixait sans réaction.

• S'il vous plait laissez-moi tranquille.

• Chut laisse toi allez petite.

La main du voyou remontait maintenant le long de la cuisse de ma douce et tendre. L'homme a sa gauche avait lui aussi commencé en silence les hostilités et caressait l'autre cuisse de ma femme. Moi j'étais horrifié, excité mais je n'arrivais plus à bander, mon voisin en revanche commençait à se caresser par-dessus son pantalon. Adèle ferma les yeux et laissa les deux mains inquisitrices disparaitre sous sa robe.

• Mais c'est que tu n'as pas de culotte petite chienne. On a tiré le gros lot les gars.

Ma femme laissa échapper un petit gémissement de plaisir preuve qu'un doigt s'était immiscé dans sa petite chatte. Celui à sa droite pris son menton de son autre main et lui roula une énorme pelle bien grasse. Les deux hommes firent chacun passer une jambe de ma princesse au-dessus des leurs ainsi elle était jambes grandes écartées et je pouvais entendre les clapotis des doigts qui allaient et venaient en elle.

• Qu'est-ce qu'elle est bonne ta femme. Regarde l'effet qu'elle me fait.

Mon voisin avait sorti un énorme sexe et se branlait doucement devant moi. Il me dégoutait. Les deux hommes doigtaient maintenant hardiment ma chérie tout en l'embrassant à tour de rôle. Elle était super excitée et se laissait aller à ce jeu pervers.

• Bon j'en peux plus il faut qu'on passe aux choses sérieuses. Viens avec moi

L'homme a la barbe noire qui m'avait éjecté de ma place se leva et emmena ma femme en direction des toilettes. Elle ne jeta même pas un regard dans ma direction ce qui me brisa le cœur. Ils entrèrent dans les toilettes et le voyou plaça son portable qui servait de camera sur le lavabo pour que nous ayons une vue imprenable sur ce qui allait se passer.

A peine la porte fut verrouillée que l'homme se rua sur ma femme et déchira de sa robe d'un seul coup. Elle était à présent nue avec ses baskets devant ce bougre qui se léchait les babines de désir.

• Ce que tu es bonne, ça va changer des putes qu'on se tape le long des routes.

Il souleva mon épouse pour l'assoir sur le lavabo. Et immédiatement plonge deux doigts dans son antre. Adèle eut le malheur de gémir de plaisir et se prit une grande claque de son violeur.

• Ferme ta gueule, ton plaisir de salope me répugne. Suce-moi la langue.

L'homme sortit sa langue et ma douce se jeta dessus pour la sucer à pleine bouche. Lui était entre ses jambes et la branlait frénétiquement, elle était vraiment trempée car les bruits de doigtage étaient vraiment bruyants. Il sortit d'ailleurs ses doigts imbibés de cyprine et les plongea dans la bouche d'Adèle sans aucune délicatesse. Elle suçait ses doigts avec gourmandise. Une fois les doigts bien nettoyés il fit descendre ma femme du lavabo et d'une clé de bras la força à se mettre à 4 pattes. Il retira ses bottes et ses chaussettes et écrasa le visage de ma princesse au sol avec son pied ce qui mit sa croupe en évidence. Il plongea alors deux gros doigts dans son anus accueillant. Encore une fois ma latine gémit ce qui lui valut une fessée d'une violence folle.

Trompe
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