Du Bonheur à L'horreur 09

• Je t'ai dit de la fermer. Suce-moi les orteils plutôt que de gémir.

Ma femme prit alors le gros orteil du voyou en bouche pendant qu'il insérait un troisième doigt dans son anus. Elle était totalement humiliée et semblait adorer ça. Moi je n'arrivais toujours pas à bander malgré mon excitation ce qui m'inquiétais fortement.

Barbe noir déboutonna son pantalon et étant sans caleçon extirpa un gros sexe. Il retira ses doigts de l'anus de mon amour et l'encula d'une traite. Malgré les menaces ma femme hurla de bonheur. L'homme l'enculait avec force avec de grands coups de rein. Il plaça ses doigts poisseux dans la bouche de ma femme pour qu'elle les nettoie pendant cette sodomie intensive. Elle se délectait des quelques secrétions. Le calvaire dura un bon quart d'heure sans ralentir le rythme et ma femme avait subi 2 orgasmes déjà.

• Allez vient nettoyer ma bite avant de reprendre sale pute.

Ma femme se mit sur ses genoux et se précipita pour prendre le gros sexe a pleine bouche. Elle effectuait de longs va et vient dans sa gorge telle une vraie pro.

• Eh bien tu caches bien ton jeu princesse. Tu es un vrai garage a bite. Tu mérites une petite récompense.

Il la souleva pour quelle l'entoure de ses cuisses, la plaqua contre la porte des toilettes et la pénétra avec force. Elle jouit instantanément ce qui encouragea l'homme à la buriner de toutes ses forces. On pouvait entendre les coups de rein sur la porte dans tout l'avion ainsi que les cris de jouissance de ma chérie. Cela semblait amuser les hôtesses.

Proche de l'orgasme l'homme se retira et laissa tomber ma femme, il se rapprocha des toilettes et éjacula sur la cuvette un peu sale.

• Nettoie-moi ça salope

Ma femme a 4 pattes se présenta à la cuvette et commença à lécher le sperme sur la planche à grands coups de langue.

• Ce fut un plaisir ma belle. Je vais dire au suivant que la place est libre.

Le voisin de gauche compris le signal et se leva de sa place pour se diriger aux toilettes. Le barbu en sortant me fit un signe de pouce en l'air avec un sourire glaçant. Le deuxième larron était donc le chauve au bouc, il était plus gras et plus petit que son collègue et avait un visage menaçant. Je n'avais pas encore entendu le son de sa voix mais je sentais que ma femme allait encor dérouiller.

Quand il entra dans la pièce Adèle était toujours à 4 pattes en train de lécher la cuvette. Je le vis alors enlever sa ceinture et assener un violent coup sur les fesses de ma chérie qui cria de douleur. Cela semblait encourager le gaillard qui continua ses coups avec force. Je voulais me lever pour intervenir mais mon voisin me ressaisit les doigts et les tordit.

• Tout doux mon grand. T'inquiète tout va bien se passer.

Ma femme avait les fesses et le dos rouge écarlate et pleurait toutes les larmes de son corps. Le chauve fit passer sa ceinture autour du coup d'Adèle et serra telle une laisse. Il la tira fortement vers lui ce qui la fit s'étaler au sol. Il fit tomber le jean sortit un sexe lui aussi imposant et s'assailli sur les toilettes. Il tira la laisse pour que ma femme se retrouve à ses pieds, elle comprit le message et pris son sexe en bouche encore choqué par le comportement de cet homme. Lui ne comptais montrer aucune marque de tendresse et s'enfonça au plus profond de la gorge de ma jeune épouse, lui boucha le nez d'une main. Elle respirait alors difficilement et commençait à vouloir s'extirper mais de son autre main l'homme lui mis une grande claque puis deux ce qui calma Adèle.

L'homme attendit le dernier moment pour retirer son sexe, il plaça ma femme a 4 pattes et l'encula encore sans vergogne tout en tirant la laisse vers l'arrière pour étrangler ma chérie. Ce coït était d'une réelle violence mais ma femme commençait à prendre beaucoup de plaisir ça se voyait à ses yeux dans le vide. Heureusement l'homme n'était pas super endurant et en sortant de l'anus de ma femme il lui éjacula sur le visage et les seins une énorme quantité de sperme. Toujours sans un mot il reprit sa ceinture et laissa ma femme dans son état déplorable.

• Bon allez à moi de jouer maintenant. Tu vas venir avec moi lopette.

Le ton de sa voix ne me laissait pas le choix et il me poussa jusqu'au toilette. En entrant je pouvais découvrir de mes yeux ma femme couverte de sperme et marqué des précédents coups de ceinture. Elle me regardait avec pitié semblant m'implorer d'intervenir.

• Ça ne sert à rien de le regarder comme ça. Il n'osera pas intervenir c'est une petite merde.

Silencieux je me laissais humilier sachant qu'il avait raison. Ma femme semblait acquiescer et détourna le regard vers son nouveau bourreau.

• Bon comme je suis le plus sympa des trois je vous laisse une petite chance. Ma beauté si tu arrives à jouir avec la bite de ton mari je vous laisse tranquille.

Une lueur d'espoir émana des yeux de ma femme et elle se précipita pour me débraguetter mais sa surprise fut immense en découvrant mon sexe rabougri. Elle commença néanmoins à me sucer mais sans succès, je n'arrivais plus à bander.

• Hahahaha quelle merde. Une vraie bombe est en train de le sucer et lui il reste avec son sexe d'enfant.

Les larmes se mirent à couler le long de mes joues et Adèle semblait partager ma peine surtout qu'elle se rendait compte du gros problème que ça pourrait engendrer pour notre vie de couple.

• Tu vas quand même servir à quelque chose l'impuissant, je veux que tu nettoie ta jolie poupée.

Je me dirigeais vers le papier quand il m'interrompit. Lui était maintenant pantalon aux chevilles et sur la cuvette des toilettes.

• Non non non tu vas la nettoyer avec ton urine.

• Mais je..

• Tu fermes ta gueule et tu obéis. Pisse-lui dessus elle ne mérite que ça cette chienne.

Je regardais ma femme implorant son pardon pour ce que j'allais faire, je pris mon sexe entre mes doigts et en visant les seins de ma chérie j'expulsais un premier jet. Ma femme ferma les yeux et moi je m'appliquais à viser chaque zone maculée de sperme, ses seins et son visage en particulier. Quand j'eu fini elle été couverte d'urine et me regardait avec mépris.

• Bon maintenant viens me sucer salope pendant que je pose ma pèche. Toi la lopette tu restes dans le coin.

Ma femme se dirigea donc à 4 pattes tel un chien mouillé vers le 3eme larron et pris son sexe en bouche. Ce salaud était en train de chier en même temps et une odeur nauséabonde commençait à venir jusqu'à mes narines, je n'osais imaginer ce que devait sentir ma chérie. Pourtant elle suçait son gros sexe a pleine bouche pendant qu'il passait sa main tendrement dans ses cheveux sales.

• Bon j'ai bientôt fini ma belle en revanche il faut que je me vide la vessie et je n'en veux pas une goutte sur mon pantalon sinon ça va chier tu as compris?

Ma femme obéissante inclina son visage vers l'arrière et ouvrit donc grand la bouche. Le salopard orienta son jet et commença à uriner dans la bouche de ma belle latine. La quantité était importante et bien jaune pourtant ma chérie avalait au fur et à mesure sans rechigner. Elle alla même jusqu'à récupérer les dernière goutte directement à la source.

• C'est bien ma belle tu sais satisfaire un homme. Pas comme ton trou du cul de mari.

En effet j'étais abasourdi, en y réfléchissant en une semaine ma femme avait découvert les bas fond de la perversité et je n'étais pas au bout de mes surprises.

• Allez ma cochonne vient me nettoyer je déteste m'essuyer haha.

Il se leva, s'inclina un peu et écarta ses fesses. On pouvait voir l'anus du voyou remplit de poils souillés d'excréments cela me dégouta et pourtant la femme s'y rapprocha et plongea sa langue dans l'anus de son amant. Elle prenait le temps de bien lécher chaque paroi tachée du derrière, sa main droite quand a elle était sur sa chatte, je n'en revenais pas elle se touchait en effectuant cet acte dégradant.

• C'est bien je suis fier de toi.

Il l'a pris cependant par les cheveux et la forçant à s'agenouiller plongea son visage dans les toilettes encore remplit de merde. Ainsi exposer il se plaça derrière elle et remplit directement son vagin avec sa grosse bite. Pendant qu'il la besognait il tira la chasse d'eau et ma femme ne manqua pas de boire la tasse à plusieurs reprises. Le loubard finit par éjaculer au fond du vagin d'Adèle dans un râle satisfait.

• Bon allez les amoureux on vous laisse tranquille. Passez une bonne fin de vol haha

Une fois sorti je me retrouvais seule avec ma femme qui émergeait difficilement de ces multiples orgasmes. Je pris immédiatement une serviette imbibée d'eau et commençai à nettoyer son corps et son visage complétement souillé. Elle complétement inerte se laissait faire docilement. Une fois bien propre elle me regarda dans les yeux d'un air interrogateur.

• Julien? Aimes-tu me voir me faire humilier à ce point?

• Euh non... Je... Je n'ai rien pu faire ils m'ont menacé

• Hum il faut que tu changes toi aussi. Je t'ai promis de faire des efforts pour me contrôler mais j'ai besoin de toi pour t'interposer quelquefois.

• Je comprends. On va surmonter cette épreuve ensemble.

• J'espère mais tu dois me le prouver.

• Je te le promets. Je t'aime Adèle.

Je l'embrassais tendrement et nos langues se mirent à danser ensemble. Elle passa sa main sur mon crane et appuya pour m'indiquer la direction. Je me retrouvais alors entre ses jambes et lui léchais sa chatte avec gourmandise. Des coulées de sperme arrivait dans ma bouche mais je m'en foutais je voulais la faire jouir. Elle cria en atteignant l'orgasme et se blottit contre moi.

• Moi aussi je t'aime Julien.

Il fallait maintenant sortir humiliés de ces WC. Adèle essaya de remettre sa robe mais elle était vraiment déchirée de haut en bas. Je retirais ma ceinture pour quelles puisse à minima fermer cela comme un kimono. Elle était vraiment provocante dans cette tenue mais pas le choix, tout rentrera dans l'ordre quand on sera rentré à l'appartement. En sortant nous pouvions découvrir les regards soit amusés soit dégoutés des autres passagers qui devient avoir tout entendu. Les trois loubards s'étaient installés ensemble nous laissant nous assoir a deux. L'atterrissage arriva vite et nous pûmes sortir en vitesse de cet avion de malheur.

Enfin en France je commençais à être vraiment soulagée. J'avais dû subir de nombreuses horreurs mais nous y étions. Julien m'avait déçu dans l'avion, sa couardise commençait à être un véritable problème surtout s'il devait m'accompagner sur le chemin de la rédemption. Mais ce qui m'avait encore plus surpris c'est son incapacité à bander.

Nous avions passé le contrôle des passeports sans encombre malgré ma tenue provocante. Je sentais le vent sur ma chatte encore brulante des différentes pénétrations. Nous nous apprêtions à sortir de l'aéroport quand une main imposante se posa sur mon épaule. Je me retournais et un homme de deux mètres me faisait face. Il était énorme, crâne rasé, un visage de russe digne du KGB, il me glaça le sang directement.

• Jeunes gens veuillez me suivre tout de suite.

• Mais qui êtes-vous? Qu'est-ce qu'il se passe?

• Je suis l'inspecteur Igor Kafelnikov. Vous allez me suivre sans poser de question.

Il nous avait montré sa carte avant de nous pousser vers la sortie ou une voiture de police nous attendait. Il nous fit monter à l'arrière et lui prit le volant jusqu'au poste de police de la ville.

A suivre