Infidélité : L'éveil de Lucie

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Mon cœur bat la chamade. Je suis consciente de ce que je suis sur le point de faire, et pourtant, je ne peux pas m'empêcher de le faire. Je me penche vers lui, mes mains tremblantes défont son pantalon. Sa demi-molle apparaît, imposante. Je suis parcourue de frissons, mon désir monte en flèche.

« Suce-moi, ordonne-t-il d'une voix grave qui me fait frissonner. Et après, je vais te baiser. » Je mouille à ses mots, perdant tout contrôle.

Mes doigts se referment timidement autour de sa bite, et je suis immédiatement frappée par sa taille. Elle est si grande, si épaisse, si différente de celle de Chris. Je la sens grossir encore plus dans ma main, se durcir sous mes caresses. Je suis étonnée, excitée, un peu effrayée même. Je n'ai jamais ressenti une telle sensation auparavant.

Je ne peux m'empêcher de penser à la déception que je ressens chaque fois que je vois ou touche la queue de Chris, à l'insatisfaction qui me ronge. Mais avec Marc, c'est différent. Je suis enthousiasmée, je suis curieuse, je suis impatiente.

Je le branle doucement, explorant chaque centimètre de sa virilité avec mes doigts. Je sens son pénis pulser dans ma main, je sens son désir, je sens son excitation. Et je sens la mienne, m'envahir et submerger tous mes sens.

Je me penche vers lui, ma bouche s'approche timidement de son sexe. Je l'embrasse doucement, puis j'ouvre la bouche pour le prendre en moi. Mais c'est difficile, il est trop grand, trop épais. Je tente de le prendre plus profondément, mais je sens ma gorge se contracter.

Marc me regarde, un sourire satisfait sur le visage. Il pose sa main sur ma tête et tente de me pousser plus loin, de me faire prendre plus de lui. Je résiste, je tousse, je m'étouffe presque. Mais je ne m'arrête pas, je continue, je m'efforce de le prendre en moi.

Je le sens grossir encore plus dans ma bouche, je le sens se durcir encore plus sous mes caresses. Pendant ce temps, l'une de ses mains s'aventure dans mon dos pour défaire ma jupe de tailleur. Il ouvre la fermeture et essaye de tirer sur la jupe pour l'enlever. Je me déhanche tant bien que mal pour l'aider, une fois mes fesses passées, il s'escrime avec le collant mais finit par le craquer. Il baisse alors ma culotte puis empoigne le tout pour me l'enlever. Je me tortille, la bouche toujours pleine mais plus très active, pour dégager une jambe. A peine libérée, je reprends consciencieusement ma besogne et je sens déjà sa grosse main s'insérer entre mes cuisse. De gros doigts râpeux frottent mon clitoris avant d'aller s'insinuer dans mon intimité humide. De son autre main il me relève la tête, me faisant lâcher sa bite et me dit : "Je crois que tu es prête, viens sur moi"

Il actionne alors son siège le faisant reculer légèrement et s'incliner en position la plus allongée possible. Une fois de plus je me contorsionne pour extirper ma deuxième jambe de la jupe, la culotte et des lambeaux de collants et je m'installe à califourchon sur lui sans hésiter. J'ose à peine le regarder cependant. Il a déboutonné sa chemise, je vois son ventre proéminant, ses pectoraux qui ressemblent à des seins rabougris et, dans cette position semi-allongée, son double menton. Ce n'est pas très glamour mais c'est compensé par cet énorme membre que je place à l'entrée de mon vagin avant de descendre précautionneusement dessus.

Dès les premiers instants c'est l'extase. Son pénis me dilate de façon délicieuse. Plus je me l'enfonce et plus je plonge dans le plaisir. A ce moment précis je sais que j'aime les très grosses bites et que Chris ne pourra jamais me satisfaire. Chaque centimètre de plus en moi m'écarte, me remplit et me rapproche de la jouissance. La lente descente sur son pieu me parait presque interminable et je n'en reviens pas. Jamais je ne m'étais sentie comblée à ce point (au sens propre du terme). Je remonte tout aussi lentement pour entamer le va-et-vient. Sa bite qui frotte ma paroi, l'aspiration créée dans mon vagin, tout me pousse à recommencer au plus vite. Je me renfonce plus rapidement mais arrivée au bout, Marc me saisit par les hanches pour m'immobiliser et donne un coup de reins sec qui lui permet d'aller encore plus loin, sa bite semble cogner le fond de mon vagin, là où aucun homme n'était encore aller. Le mouvement m'arrache un petit cri de plaisir, je sens mon clito se tendre et mon vagin se serrer. Je me demande même si je n'ai pas eu un mini-orgasme. Et puis je commence à le chevaucher sérieusement. J'essaye de m'enfoncer le plus loin possible mais j'ai du mal à aller seule aussi loin que lui. J'ai chaud. Ses mains commencent à me peloter les seins et à s'échiner sur les boutons de mon chemisier. J'ai tellement peur qu'il me les arrache que je m'arrête, repousse ses mains et je me déboutonne. "Ne t'arrête pas !" m'ordonne-t-il. Je reprend alors mes mouvements tout en ôtant mon chemisier. Mon haut commençait à me tenir trop chaud de toute façon, j'ai un rythme assez effréné à présent et je suis accaparée par les sensations dans ma chatte. Je suis pleine, la seule sensation de l'air sur mon clito suffit à me faire frémir de plaisir. Marc m'arrache le soutien-gorge et je me retrouve à poil, sur mon patron avec les seins qui se balancent en tous sens. Je n'y pense même pas, je m'excite comme une folle sur cette bite qui me rend dingue. Je halète tandis qu'il me malaxe les seins sans ménagement. Puis il me pince fortement un téton, je pousse un cri de douleur puis une onde me parcoure le corps jusqu'au clito et mon vagin se contracte puissamment autour du pieu de chair et mon cri se transforme en un hurlement de jouissance. Je suis tétanisée par l'orgasme qui me submerge, empalée.

Puis Marc m'attrape par les seins et me tire sur lui. Je me retrouve allongée sur lui, sur son ventre mou et en sueur. J'ai la tête dans son coup et je sens sa transpiration un peu aigre. Avec ses mains, il me bascule le bassin et se met à me pilonner furieusement. Le rythme est intense, j'ai le souffle court et je pousse un cri à chaque coup de reins. J'en perd complètement la tête, j'oublie où je suis, qui je suis et avec qui je suis. je ne réagis même pas lorsqu'il insère ses doigts boudinés dans ma bouche pour jouer avec ma langue. Je bave de plaisir. Il simule un coït simultané dans ma bouche tandis qu'il me martèle la chatte. Puis il m'embrasse à pleine bouche, je sens sa grosse langue me fouiller, me lécher. Son haleine chaude, sa salive se mélangeant à la mienne. Pendant qu'il continue à me bourrer, je sens qu'il m'enfonce le bout d'un doigt, puis deux dans le cul. Je n'oppose aucune résistance tant le traitement qu'il m'inflige me laisse dilatée et ouverte de partout. Je n'ai pas envie de lui permettre de mettre ses doigts dans mon cul mais je ne suis plus moi-même. Je suis au bord de l'explosion et, à mon corps défendant, cette intrusion anale déclenche un orgasme phénoménal. Je m'immobilise et me raidi tandis que mon anus se referme sur les doigts de Marc et que mon vagin se contracte autour de son énorme bite. Il continue son va-et-vient dans ma chatte hyper serrée une seconde et explose à son tour, je sens son pénis gonfler, pulser et propulser un jet puissant au fond de de ma chatte.

Je me laisse aller quelques secondes, toute molle, sur lui. Puis je reprends mes esprits et tout va très vite. Je réalise que je suis le cul à l'air dans une voiture près de chez moi. N'importe qui peut nous avoir maté. Sans aucune élégance, je me dandine pour me redresser. La bite flasque de Marc sort de mon vagin dans un gargouillis visqueux. Ma chatte bave du sperme comme un escargot en déplacement tandis que je me tords le cou pour déterminer si on nous a vu. «

- À priori personne en vue Lucie, j'ai essayé de surveiller un peu, tente de me rassurer Marc

- Ouf ! lui répond-je

- Tout va bien? me demande-t-il

- Oui, t'inquiète. C'était vraiment très bien Marc, j'ai adoré mais c'était une belle connerie de ma part. Tant professionnellement que personnellement. N'y vois rien de perso mais ça ne se reproduira plus.

- Ok, je comprends. C'était super pour moi aussi »

Je me rhabille en toute hâte (collants déchirés dans la poche de la veste de tailleur, culotte enfilée rapidement pour m'empêcher de dégouliner en route) et je sors de la voiture. Je rentre chez moi tout en sentant encore le feu entre mes cuisses. Chris n'est pas couché mais je file prendre une douche avant même qu'il n'ait le temps de m'embrasser. Une fois au lit tous les deux, il fait une tentative d'approche mais je suis exténuée et je le repousse gentiment. On s'endort dans les bras l'un de l'autre, sa petite érection collée à mes fesses.

De ce jour ma vie a vraiment changé, en mieux. Évidemment, contrairement à ce que j'avais affirmé avec assurance, Marc et moi avons continué à baiser ! Le seul hic subsistant dans ma vie, c'est ma relation sexuelle avec Chris et ma honte personnelle. J'aimerais me rattraper de mon infidélité en lui procurant plus de satisfaction mais c'est plus fort que moi, j'ai beau l'adorer plus que tout au monde : nu, je le trouve ridicule. Ça tue ma libido. Et donc je manque d'enthousiasme, d'autant plus que je suis parfaitement satisfaite sexuellement. Même ses cunni ne m'embrasent pas. Je sais qu'il en souffre, je le déplore mais je ne parviens ni à le contenter ni à arrêter de le tromper. De toute façon, cela ne lui change pas grand-chose finalement à part qu'il a une femme plus heureuse !

La boîte de Marc a fini par acheter de petits bureaux et l'équipe a demandé à ce que les réunions aient lieu plus tôt dans l'après-midi. Il a donc remplacé celles du soir de 18h à 20h (qui étaient hors temps de travail mais c'était les débuts) par des réunions plus académiques de 16h à 18h. Je ne l'ai jamais dit à Chris. Marc est l'amant parfait. Non seulement il me fait jouir comme je n'aurais jamais pu l'imaginer, mais en plus il a un comportement irréprochable au boulot. Il n'en profite d'aucune manière, il ne fait aucune allusion ni aucun geste déplacé. Il n'est pas arrogant et il comprend parfaitement la nature de la situation. Nous baisons donc très régulièrement après les réunions, alternativement au bureau ou chez Marc jusqu'au jour où il m'a demandé de baiser chez moi ! Il m'a prise au dépourvu, pendant qu'il me labourait la chatte, que je haletais et gémissais comme une dingue il m'a dit : «

  • La prochaine fois, j'aimerais que ce soit chez toi. Tu peux gérer ça?
  • Aaaah, ouuuuuh, ouiiiii, si tu veux, ooooh, je m'en occupe, plus vite, plus vite, baise-moi »

C'est sûr, ce n'était pas la discussion de l'année. Je me suis bien fait entuber. Dans tous les sens du terme !

J'ai bien été obligée de me débrouiller avec ça. J'ai donc raconté à Chris qu'Idriss ne pouvait pas nous accueillir et qu'on allait faire notre réunion chez nous. Le jour en question, je fais en sorte de le lui rappeler car je veux être certaine qu'il ne va pas se pointer pendant la "réunion" !

«

- T'as pas oublié pour ce soir? je lui demande

- Euh ... quoi déjà?

- Tu sais qu'on ne peut pas aller chez Marc comme d'habitude pour la réunion alors j'ai proposé qu'on la fasse chez nous pour une fois, répond-je

- Ah oui, c'est vrai. C'est pourtant pas très grand ici.

- Bah on n'est pas très nombreux et puis c'est quand même normal que ça tourne.

- Oui bien sûr. Tu penses que vous aurez finis vers quelle heure?

- Max 20h mais je t'enverrai un message pour te tenir au courant.

- Oui, c'est vrai que je ne suis pas invité ...

- Mais c'est normal loulou ! Non seulement c'est une réunion de boulot mais en plus, comme tu l'as fait remarquer ce n'est pas immense!

- T'inquiète ma puce, je te taquine. J'irai au café en attendant. »

Il est tellement gentil... et naïf. J'en ai un pincement au cœur mais aussi d'autres frissons plus intimes il faut bien l'avouer. C'est quand même étrange comme cette trahison me dégoute et m'excite à la fois, je dois être un peu perverse !

Enfin bref, Marc arrive à 18h comme prévu. On parle un peu, on prend un verre. De toute façon j'en avais sorti plusieurs pour faire croire à Chris qu'on était plus que deux ! On s'amuse même à boire dans chaque et puis on passe aux choses sérieuses. Il me lèche délicieusement (j'avais bien dit que c'était un coup parfait !) mais quand je sors sa bite, il ne bande pas du tout. J'ai l'impression de passer des heures à le sucer pour qu'il soit "utilisable". Mais je suis quand même sacrément fière de moi : à force de m'échiner sur sa queue à m'en distendre les lèvres, je finis par lui faire prendre une belle ampleur. Sa bite est monumentale et je n'hésite pas longtemps avant de m'installer à califourchon sur lui.

Putain que c'est bon ! On baise comme ça un moment sur le canapé puis il me porte sur mon lit. Je suis littéralement empalée sur sa queue pendant le transport ! Il m'allonge sur le dos, s'installe sur moi et se met à me pilonner sans me laisser un moment de répit. C'est sportif, il faut que j'encaisse ses coups puissants et profonds et j'ai du mal à respirer mais putain que c'est bon. Hors d'haleine je jouis au moins trois fois. Puis il me retourne pour me prendre en levrette. C'est ce que je préfère, surtout que, depuis notre première fois, j'ai appris à attendre avec impatience le moment où il décide de m'enfoncer ses doigts dans le cul. Cet instant déclenche toujours en moi un orgasme saisissant, incontrôlable. Je suis à quatre pattes, les seins gigotant dans tous les sens au rythme de ses coups de reins, perdue dans mon monde de plaisir. Je ne pense plus qu'à ce va-et-vient viril qui m'embarque à chaque fois, je sens sa grosse main me pétrir les fesses, j'anticipe sa future intrusion sèche et vulgaire dans mon anus avec délice quand le charme semble se rompre : il s'immobilise. Je ne comprends pas ce qu'il fait, une vraie torture. J'émerge tant bien que mal de ma torpeur torride, je lève la tête et j'aperçois entre mes yeux engourdis CHRIS ! Devant la porte ouverte, face à moi, qui me dévisage, éberlué. Mon cœur loupe un battement. Je comprends instantanément l'horreur de la situation, le sentiment de trahison qui doit le parcourir. J'en suis vraiment peinée. Mais j'ai la chatte en feu, je sens le sang pulser dans l'énorme pénis de Marc à l'entrée de mon vagin, j'ai envie de jouir. Le mal est fait de toute façon et quelque part, sur l'instant, j'ai presqu'envie que Chris voit comment je peux m'éclater avec quelqu'un qui a le bon "matos". Sans plus y réfléchir, un peu désolée quand même, je recule d'un coup sec pour m'envoyer la queue de Marc au fond de la chatte en criant de plaisir. Bien sûr, ce dernier comprend le message et se remet au boulot avec un efficacité redoublée. Je retombe dans mon état second, la chaleur m'envahit de nouveau. Marc se penche sur moi pour me malaxer un sein un peu brusquement, me pince le téton violement. Mais ce geste est désormais associé à une décharge électrique dans mon clitoris et je me cambre de plaisir. Il me saisit par les hanches, semble vouloir s'enfoncer encore plus à chaque et m'insère soudain ses doigts avec l'effet escompté. Tout mes sphincters se serrent sous l'effet des contractions de plaisirs. Je lui écrabouille les doigts et la bite dans un orgasme phénoménal secouée de spasme et plus du tout maîtresse de moi-même. Nous nous affalons sur le lit. Il m'écrase de sa masse grasse mais je n'ai pas l'énergie de tenter de le repousser ni même de le lui demander. Au bout de quelques instants, je lève les yeux en me demandant si Chris est encore là, mais non, il est parti.

Marc fini par s'en aller à son tour et je me retrouve seule. Rassasiée mais honteuse. Je m'en veux terriblement et j'ai peur que Chris ne revienne pas mais je suis également terriblement effrayée à l'idée qu'il revienne car je ne saurai pas comment l'affronter. Je prends une douche et je m'effondre en pleurs sur le canapé.

Quelques heures plus tard, je sursaute en entendant des clefs tourner dans la serrure de la porte d'entrée. Chris est de retour, il a l'air triste et pas très sobre. Je me précipite vers lui :

"Je suis désolé," commence-je mais il m'interrompt immédiatement.

"Ne dis rien," me dit-il, "Je ne veux rien entendre."

Et il s'écroule sur notre lit. Il dort !

Je m'approche de lui doucement et je décide de le déshabiller pour l'installer au lit confortablement. Une fois nu, je ne peux m'empêcher de contempler ce petit pénis tout mou qui nous fait tant de mal à tous les deux. Je le saisis entre mes doigts, le fait coulisser un peu pour m'amuser. Le souvenir de Marc m'émoustille un peu. Je reprends mes esprits et je termine de le mettre au lit. Par respect, je dors sur le canapé.

Le lendemain matin, j'ai très peu dormi et j'ai passé pas de temps à pleurer en me reprochant mes erreurs. Je ne sais pas quoi faire mais il faut que je parvienne à l'excuser rapidement. J'essaye de préparer un petit déjeuner pour lui faire plaisir au moment où il se lève enfin. Il s'est dégotté un bas de jogging sur lequel j'ai l'impression de voir une tâche au niveau de sa bite (décidément je ne pense qu'à ça ces derniers temps !)

Je prends mon courage à deux mains et je lui dis "Chris..." mais de nouveau il m'interrompt. «

  • Lucie, je... je ne comprends pas. Comment as-tu pu me faire ça? me dit-il, la voix tremblante.
  • Chris, je suis désolée... Je ne sais pas ce qui m'a pris. C'était une erreur, une énorme erreur.
  • Une erreur? Tu as couché avec Marc dans notre appartement, Lucie ! Comment peux-tu appeler ça une erreur? s'indigne-t-il
  • Je... Je ne sais pas, Chris. C'est la première fois que ça arrive, je te le jure. Je regrette tellement...
  • La première fois? Comment veux-tu veux que je te croie? Vous aviez l'air très à l'aise tous le deux.
  • Mais c'est la vérité, je te le jure. Je ne sais pas pourquoi j'ai fait ça... Je suis désolée, lui répond-je, incapable de le regarder dans les yeux.
  • Je veux tout savoir, Lucie. Je veux savoir ce tout qui s'est passé ce soir, demande-t-il alors.
  • Chris, je... je ne pense pas que tu veuilles vraiment savoir...
  • Si, Lucie. J'ai besoin de savoir, insiste-t-il en me fixant.
  • D'accord... Après le départ de l'équipe, Marc s'est un peu attardé, on a discuté un peu, puis on a décidé de prendre un verre... et puis... et puis ça a dérapé, lui dis-je la voix tremblante.
  • Comment ça "ça a dérapé", Lucie? Que s'est-il passé?
  • Je... Je ne sais pas, Chris. On a commencé à se toucher, à s'embrasser... et puis... et puis tu connais la suite, j'avoue péniblement.
  • Et tu as aimé ça, Lucie? me demande-t-il, la voix pleine de douleur.
  • Chris, je...
  • Réponds, Lucie. As-tu aimé ça?
  • Oui... Oui, j'ai aimé ça. Mais je regrette, Chris. Je regrette tellement...
  • Je... Je ne sais pas quoi dire, Lucie, murmure Chris, le regard perdu.
  • Chris, je...
  • Non, Lucie. Laisse-moi réfléchir. »

Je baisse les yeux et je remarque une bosse dans son jogging. Il bande ! Cette situation l'excite. Je n'en reviens pas, il m'a l'air tout aussi paumé que moi. Nous sommes tous les deux blessés par cette situation. Lui car il se sent trahi et moi car je me sens coupable. Mais nous sommes aussi tous les deux excités.

Il faut que j'arrive à en tirer avantage. Je tends ma main vers son pantalon et je commence à masser sa petite queue toute dure au travers. «

  • Chris, cette situation semble te troubler, lui dis-je d'une voix douce, tout en caressant sa modeste érection à travers son jogging.
  • Je... je ne sais pas Lucie. Je me sens trahi, mais en même temps, je ne peux pas nier que cette histoire m'excite d'une certaine manière. »

Je sens une pointe de malice naître en moi, un plaisir étrange à le voir ainsi, partagé entre la douleur et le désir. Je décide de pousser un peu plus loin.

«

  • Je vais te raconter quelques détails supplémentaires de ma soirée avec Marc, lui dis-je tout en maintenant la pression sur son sexe, en le massant doucement.