Kidnapping et Soumission Tome 12

BÊTA PUBLIQUE

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Maître Alexandre démarra la caméra et Sweet Pussy commença à lire le papier.

« Bonjour, je m'appelle Sweet Pussy, esclave sexuelle de Maître Alexandre. Comme vous pouvez le voir, je suis tatouée, piercée et j'ai d'énormes nibards avec un tour de poitrine de 140 bonnet Q et je vais... bientôt encore... les gonfler... »

« Tu ne dois pas hésiter dans ta lecture, il faut que les clients sentent que tu pratiques librement tout ce que tu lis. Recommence et mets-y plus d'enthousiasme! »

Maître Alexandre donna le top à Sweet Pussy et celle-ci relut le papier qui comportait toutes les pratiques sexuelles auxquelles elle s'adonnait avec plaisir.

Bonjour, je m'appelle Sweet Pussy, esclave sexuelle de Maître Alexandre et Maîtresse Aurore. Comme vous pouvez le voir, je suis tatouée, piercée et j'ai d'énormes nibards avec un tour de poitrine de 140 bonnet Q et je vais bientôt encore les gonfler. Je suis bisexuelle et pratique couramment : la fellation, la sodomie, la double pénétration, la soumission extrême, le bukkake, le play-piercing, le gang bang, la zoophilie, les insertions extrêmes, le piss-shower and piss-drinking, le sperme shower...»

« N°1, à toi maintenant. »

Sweet Pussy se désaccoupla des plugs.

N°1 prit la place de Sweet Pussy et lut le papier que lui tendit son Maître. Elle lut sans hésitation le même laïus. Lola s'installa à son tour. Elle dut s'y reprendre à trois fois avant que sa séquence ne soit en boîte.

« Bien. Maintenant travaux pratiques. On va commencer par le plus simple. Vos « clients du FKK » sont encore là et vous serez à leur disposition. Allez les gars, occupez-vous de Sweet Pussy. »

Maître Alexandre empoigna subitement la tresse de Sweet Pussy pour lui relever la tête et lui dit :

« Toi, tu les suces, ensuite ils te prendront par tous les trous pour allier les images aux paroles. Et tu fais tout ce qu'ils te demandent. Compris! »

« Oui Maître. » Répondit Sweet Pussy.

Maître Alexandre fit un signe de la tête et les six blacks se saisirent de l'esclave sexuelle, la pauvre Sweet Pussy, et la mirent à genoux sur un matelas flambant neuf. Mondher se positionna debout devant Sweet Pussy et sortit un sexe à demi gonflé qu'il présenta aux lèvres de sa bouche. Elle ouvrit ses lèvres et emboucha la tige de chair. Pendant ce temps, Bouba enfonça sa bite dans le vagin de Sweet Pussy, Adil s'occupa de l'enculer d'une seule traite, les sexes de Savio et Moussa se trouvaient dans les mains de Sweet Pussy. Auguste filmait avec la caméra, faisait des gros plans de la fellation et de la double pénétration. Il mettait sa caméra à quelques centimètres des sexes qui pénétraient les orifices. Sur l'écran, les bites luisantes de cyprine et de gel anal coulissaient dans la chatte et le cul de Sweet Pussy. Puis Auguste pointa sa caméra juste au-dessus du sexe de Mondher qui glissait toujours entre les lèvres piercées de Sweet Pussy. De la salive coulait des commissures des lèvres due à la rapidité avec laquelle Mondher enfonçait sa bite au fond de la gorge de la femme.

« T'es prêt Auguste, je vais lui décharger dans la gueule, vas-y filme mon pote... Laisse ta gueule ouverte toi. »

Mondher sortit son sexe de la bouche et le branla. La bite gicla dans la bouche de Sweet Pussy qui reçut les salves gluantes sur sa langue. Moussa et Savio éjaculèrent à leur tour dans la bouche de Sweet Pussy sous l'oeil inquisiteur de la caméra.

« Eh Auguste, attends on va lui juter sur la tronche. »

« D'abords, je veux voir son trou du cul s'ouvrir quand tu sors ta queue et le voir palpiter sous tes assauts. »

Adil sortit sa queue lentement du fondement de Sweet Pussy . Son anus restait ouvert et Auguste fit un gros plan sur cet orifice béant qui n'attendait qu'une chose : se faire une nouvelle fois pénétrer par une bite. Adil pointa son sexe et en regardant Auguste le filmer, il enfonça sa bite lentement pour pénétrer le cul qui l'attendait. Moussa gicla dans le vagin de Sweet Pussy.

« C'est dans la boîte! On va faire quelques photos pour notre site. Allez maintenant pour toi entraînement de tes deux trous à bite avec tes gros copains que voici. » Dit Maître Alexandre en montrant deux plugs en métal de gros diamètre.

Sweet Pussy se dirigea vers la fameuse chaise qu'elle avait testé il y a deux ans. Maître Alexandre y fixa les deux plugs métalliques et les enduisit de gel. Sweet Pussy positionna ses orifices et s'empala lentement sur les deux phallus. Les traits de son visage se crispèrent pendant l'intromission. Elle fut difficile car depuis leur libération, elles n'avaient plus besoin d'avoir un cul qui pourrait s'empaler sur des phallus de dix centimètres de diamètre. Auguste ne rata rien de cette sodomie et filma l'intromission en gros plan. Maître Alexandre attacha les poignets et les chevilles de Sweet Pussy à la chaise.

«On va reprendre les bonnes habitudes. Une semaine sur la chaise pour travailler ton cul et ta chatte. »

N°1 et Lola se retrouvèrent sur les deux autres chaises après avoir été filmées en action, elles furent enculées sauvagement, prises en double pénétration, elles sucèrent et avalèrent le foutre qui se déversaient des chibres des blacks sous l'oeil de la caméra. Pendant une semaine complète, leur cul et leur chatte furent comblés par des plugs de huit centimètres de diamètre. Deux semaines plus tard, leurs orifices avaient retrouvé l'élasticité de leur première captivité, dix centimètres d'ouverture.

Le vendredi de cette fameuse deuxième semaine, Maître Alexandre avait organisé un dîner et invité des Maîtres et Maîtresses qui avaient été triés sur le volet pour rebâtir une nouvelle confrérie et lever des fonds afin de retrouver leur lustre précédent.

Tout le monde avait mis la main à la patte, même Maître Alexandre, à la préparation de la salle de réception. Vers 19h00, Maître Alexandre entra dans la chambre de ses trois esclaves et ôta leur collier. Alors qu'elle ouvrait le collier de N°1, il sourit en les regardant toute trois se remémorant le « bon vieux temps ».

«Où est Maîtresse Aurore, Maître, nous ne l'avons pas encore vue? » Dit N°1.

« Elle fera son apparition prochainement. Aujourd'hui dimanche, est un jour particulier, nous organisons ce dîner pour relancer notre affaire, alors il faut que tout soit parfait et il va falloir donner de votre personne. J'ai concocté une petite surprise pour mes convives et vous devrez vous surpasser! »

Sweet Pussy, N°1 et Lola se rendirent dans la loge que Maître Alexandre leur a aménagé. Des uniformes de bonnes en vinyle étaient soigneusement préparés sur des chaises avec une paire de bas résille et des escarpins aux pieds de celles-ci. Les trois esclaves enfilèrent leur uniforme de bonne qui arrivait à peine à couvrir leur sexe. Elles firent de même avec les bas et chaussèrent leurs pieds avec la paire d'escarpins aux talons vertigineux. Leur Maître fit un signe de l'index et les trois femmes se dirigèrent vers la salle de réception. Les trois esclaves attendirent à côté d'une table les ordres.

Vers 20h00, les six tables furent occupées par tous les convives. Sur un signe de Maître Alexandre, elles servirent l'apéritif et les amuse-bouche. Les Maîtres et Maîtresses ne manquèrent pas de peloter et de toucher intimement les servantes. Suivant les ordres de leur Maître, elles souriaient aux convives et se laissaient pénétrer par les différents objets que les convives introduisaient dans leur vagin ou leur anus. Pour les encourager à continuer, elles les aguichaient en tendant leur croupe et en bombant leur poitrine siliconée.

Les trois esclaves servirent le dessert aux convives puis desservirent les tables. Il ne restaient plus que les verres pour désaltérer les invités de Maître Alexandre.

« Pour clôturer votre soirée, vous allez pouvoir maintenant apprécier le talent de mes esclaves. Vous allez pouvoir commander vos boissons préférées et mes esclaves se feront un plaisir de vous les apporter d'une manière peu commune mais oh combien agréable pour vous du moins... »

Aucun invité n'osait se lancer jusqu'à ce qu'un des Maîtres commanda une bière.

« Ah Maître Van Vleet, ce sera une bière spéciale Sweet Pussy. » Fit Maître Alexandre à l'adresse de Sweet Pussy. Elle prenait une canette et partait en direction de la table de Maître Van Vleet mais Maître Alexandre la stoppa dans son élan.

« Non, non, non Sweet Pussy. Pas comme ça. A genoux salope. Tu vas amener la bière de Maître Van Vleet à ma façon. Sweet Pussy s'agenouilla.

« Mets la tête au sol et écarte tes fesses avec les mains. »

Maître Alexandre se saisit de la canette et d'un tube de gel. Il enduisit l'anus de Sweet Pussy et posa la canette contre celui-ci.

« Pousse salope, que je t'enfourne cette canette dans ton cul de pute. »

« Non Maître, pas ça! »

Maître Alexandre poussa sur la canette et celle-ci força l'anus à s'arrondir autour du cylindre de fer. Sweet Pussy poussa un cri étouffé pendant l'intromission. La canette de bière glissa lentement dans le fondement de l'esclave. Maitre Alexandre l'enfonça au trois quart, la goupille d'ouverture vers le bas.

« Allez va à la table amener la commande. »

« Oui Maître. »

Sweet Pussy avança à quatre pattes vers la table du Maître. Elle posa la tête au sol. Le Maître souleva la goupille et un pschitt se fit entendre. Le silence était pesant dans la salle et tous les convives regardaient attentivement l'esclave «servir » la commande du Maître. Il positionna un verre sous la canette.

« Relève-toi lentement pour me servir et ne fait pas trop de mousse. »

Sweet Pussy poussa sur ses bras pour abaisser son postérieur. La bière se déversa dans le verre. Lorsque tout le contenu de la canette fut dans le verre, le Maître dit à l'esclave :

« C'est très bien salope, maintenant serre bien ton cul pour écraser cette canette, je veux entendre le métal crisser. »

Sweet Pussy serra ses sphincters afin de contenter le Maître et on entendit le métal s'écraser légèrement. Les convives applaudissaient pour cette performance. Sweet Pussy repartit vers son Maître qui applaudissait aussi. Lorsqu'elle arriva à ses côtés, il lui prit le menton et lui tapota le front arboré de son diadème en signe de satisfaction. Sweet Pussy se leva. Maître Alexandre positionna Sweet Pussy de telle sorte que tous les convives voient son cul dilaté par la canette. Son Maître tira la canette qui glissa lentement hors de ses fesses. Lorsque la canette fut hors de l'anus de l'esclave, un bruit intempestif se fit entendre et les convives éclatèrent de rire. Sweet Pussy était rouge de honte. Elle se mit à côté de Lola et de N°1 attendant les ordres que pourrait lui donner son Maître.

« Quelqu'un voudrait peut-être du champagne? »

Quelques Maîtresses levèrent la main.

« N°1, viens ici. »

« Oui Maître. » Fit timidement N°1 qui savait ce qui allait lui arrivait.

Elle se mit à quatre pattes et écarta d'elle-même ses globes fessiers. Maître Alexandre enduisit son anus d'une bonne couche de gel et prit une bouteille de champagne qu'il posa contre son cul. Il appuya fortement et après quelques rotation de la bouteille, celle-ci s'enfonça dans ses fesses dans un râle bestial ininterrompu de N°1. Lola et Sweet Pussy regardaient les yeux ébahis pendant l 'intromission de cette bouteille de 75 cl qui perforait lentement le cul de leur comparse. Elle amena sa commande et revint avec sa bouteille vide. Maître Alexandre fit lever N°1 et exhiba son postérieur à toute l'assemblée. Maître Alexandre retira lentement la bouteille de champagne des fesses de N°1. Un « plop » se fit entendre lorsque la bouteille sortit des entrailles de l'esclave.

« Bouba, amène-moi ma nouvelle esclave. »

« Oui, Maître Alexandre. »

Bouba sorti de la salle de réception et revint quelques instants plus tard tenant au bout d'une laisse, une femme blonde de cheveux avec deux couettes, affublée d'un uniforme d'écolière, d'une paire de dim-up noirs, de babies compensées noires, d'une paire de lunettes rondes. Elle avait un ball-gag dans la bouche qui lui maintenait la bouche ouverte, de la salive coulait de la bouche en un mince filet continu. Lorsque la femme leva la tête, Sweet Pussy, N°1 et Lola n'en crurent pas leurs yeux. C'était Maîtresse Aurore!

« Oui, vous ne rêvez pas. C'est bien votre Maîtresse Aurore, du moins maintenant soumise Aurore. Lorsque je suis sorti de taule, elle était à l'hôpital pénitentiaire, dans une camisole de force. Elle voulait coucher avec le personnel médical et s'insérait tout sorte d'objet dans le vagin ou l'anus. Cet état fait suite à ce qu'elle a subi en cellule avec ses codétenues. Elle ne se contrôle plus et elle est complètement accros aux sévices et aux pratiques extrêmes. Alors j'ai commencer à la transformer en esclave mais je dois parfaire son éducation. Elle sera avec vous maintenant! »

Maître Alexandre joignit les actes à la parole. Soumise Aurore se mit à côté de son Maître et leva les fesses. Un plug était fiché dans son cul. Maître Alexandre le sortit sans ménagement de son fondement. Il enduisit de gel son anus ouvert et prit une seconde bouteille de champagne qu'il enfonça dans le cul de Soumise Aurore qui grogna dans son ball-gag.

« Soumise Aurore, N°1, allez vers les tables qui ont demandé du champagne. »

« Oui Maître. » Répondirent les deux esclaves qui avancèrent lentement à quatre pattes à travers la salle de réception. Leur visage se crispait à chaque pas car les mouvements de leurs jambes faisait bouger la bouteille dans leur fondement et donc était source de douleur. Soumise Aurore arriva à sa table. Le Maître d'un signe du doigt la dirigea et elle se mit en position afin que le Maître puisse déboucher sa bouteille. Le Maître n'eut aucun égard pour la soumise et se saisit de la bouteille à pleine main. La soumise cria car les mouvements brutaux la faisaient souffrir. Lorsque la bouteille fut ouverte, le Maître demanda à l'esclave de baisser ses fesses pour servir les coupes de champagne. Les Maîtresses regardaient avidement ce cul qui leur servait ce doux breuvage. Lorsque les invités de la table furent tous servis, le Maître saisit le goulot de la bouteille et pistonna le cul de Soumise Aurore avec celle-ci. Soumise Aurore serra les dents et attendit que le Maître ait terminé de se servir d'elle tel un vulgaire objet.

« Retourne au bar voir ton Maître, trou à bites! »

Les Maîtresses éclatèrent de rire en entendant le qualificatif utilisé par le Maître. Soumise Aurore repartit vers son Maître, toujours à quatre pattes. Sweet Pussy, N°1, Lola et Soumise Aurore durent servir les tables plusieurs fois et leur cul travailla longuement pendant la soirée.

Elles étaient exténuées avec les efforts qu'elles avaient fournis. C'est tard dans la nuit qu'elles retournèrent dans leur chambre, mais en compagnie de Soumise Aurore qui dormirait désormais avec elles. Maître Alexandre attacha leur collier au cou et leur souhaita bonne nuit.

C'est Sweet Pussy qui fut réveillée la première, non pas que son corps fut reposé suffisamment mais parce qu'elle sentit une langue s'immiscer dans son entre-jambe et s'enfoncer profondément dans son vagin. Sweet Pussy fut surprise d'apercevoir Soumise Aurore en train de lui lécher la chatte. Elle n'en demandait pas tant et Sweet Pussy écarta ses jambes pour laisser Soumise Aurore assouvir ses envies. Sweet Pussy sentit les piercings de cette langue frotter contre ses chairs. Sweet Pussy emprisonna la tête de Soumise Aurore pour qu'elle ne quitte pas son entre-jambe. Elle leva son bassin et présenta son cul pour que son amoureuse du moment le lèche avidement. La langue ne perdit pas de temps et cet organe inquisiteur pénétra les sphincters qui se présentaient à lui. Sweet Pussy gémit silencieusement pour ne pas réveiller Lola et N°1 et profiter pleinement et égoïstement du plaisir que lui prodiguait Soumise Aurore. Mais une paire d'yeux les espionnaient discrètement...N°1 avait entendu les gémissements de Sweet Pussy. Elle ne voulut pas interrompre le spectacle qui s'offrait à elle, et se contenta de regarder son ancienne Maîtresse qui léchait Sweet Pussy. Mais le plaisir monta en elle et elle se précipita sur Soumise Aurore, la décolla du sexe de Sweet Pussy et la plaqua sur le lit de dos.

« Sweet Pussy, maintiens-lui les jambes pendant que je me mets à califourchon sur son visage pour qu'elle me lèche le sexe. Lola, réveille-toi et viens t'occuper de notre esclave sexuelle. Explose-lui la chatte avec ta main, toi Sweet Pussy, tu lui bourres le fion avec ta main. »

N°1 se donnait du plaisir en faisant glisser son sexe sur la bouche de Soumise Aurore, Sweet Pussy et Lola, quant à elles, défonçaient littéralement ses orifices génitaux. Mais au lieu de se plaindre, elle ruait de plaisir et ondulait des hanches pour signaler son plaisir. N°1 prit les tétons de Soumise Aurore entre ses doigts et pinça fortement ceux-ci.

Après une bonne dizaine de minutes de plaisir intense, les quatre esclaves se laissèrent tomber sur le lit en sueur, repues de sexe pour la matinée.

Maître Alexandre entra dans la chambre une bonne demi-heure après ce festival sexuel et les détacha. Elles se lavèrent sous la douche et prirent la collation qui se trouvait dans la cuisine.

« N°1 et Sweet Pussy, un client amateur de bondage a besoin de deux filles pour réaliser un shoot pour un magazine spécialisé. Vous irez chez lui passer la soirée et plus si affinité. Quant à toi Lola, un riche industriel japonais t'a choisi pour cinq jours de soumission pour lui et tous ses invités. Il t'a trouvée super trash avec ton crâne équipé de piercings. Mon idée de vidéo porte ses fruits »

« Avec ce qu'on a subi hier, ne devrait-on pas nous reposer? » osa N°1.

« J'ai besoin de me renflouer, on a plus un rond, donc faut bosser pour nos équipements et vos vêtements, vos piercings ou des prothèses le cas échéant!!! »

A 18 heures, Savio emmena N°1 et Sweet Pussy, habillées de leur cape, béret et chaussées de leurs bottes vers Hasselt avec son fourgon. Savio gara son fourgon devant un studio photo en centre ville. Elle descendirent toutes les deux et entrèrent dans le magasin. Un petit homme d'origine asiatique les accueillit et les fit monter à l'étage. Les deux esclaves se trouvèrent dans une grande pièce blanche, vide de meubles mais avec des cordes qui pendaient du plafond et un drôle d'engin qui trônait au centre de la pièce. L'asiatique leur demande de se déshabiller.

« Nous allons commencer par des positions softs en suspension par le plafond. »

Pendant que les deux « mannequins » se déshabillaient, l'asiatique préparait son matériel photographique et ses cordes.

Ils commença par N°1 et lui demanda de se coucher au sol. Il passa ses cordes autour des jambes de N°1 à plusieurs endroits, son torse fut encordé et ses bras positionnés dans le dos. Il s'adressa à Sweet Pussy et lui demanda de se mettre dans la même position. Il positionna les cordes comme sur N°1 et lorsqu'il fut prêt, il tira sur une corde qui passait par un anneau et le corps de N°1 s'éleva lentement dans les airs. N°1 se retrouva le corps en oblique et la tête en bas. Il fit de même avec Sweet Pussy. L'homme prit quelques clichés, puis il prit un ball-gag qu'il fixa entre les dents de N°1, un autre fut fixé entre les dents de Sweet Pussy. Il reprit quelques clichés. L'asiatique prit deux brins de corde et les noua sur les tresses de ses mannequins et tendit la corde dans le dos pour cambrer leur tête.

« Simulez la souffrance et une lente agonie pour que le bondage fasse plus vrai que nature. »

Les deux mannequins firent selon les desideratas du photographe qui fut satisfait de leurs mimiques.

Il les détacha et prit quelques clichés de leur peau marquée par le serrage des cordes. Lorsque les deux esclaves furent reposées, l'homme leur dit :

« C'était une mise en bouche agréable, maintenant on va travailler sérieusement. Allez-vous installer sur mon manège, j'arrive de suite. »